Mikama - Sep 19, 2018

Prof Martin Rupiya in The East African
But while the jostling for presidency steals the limelight, my paper, which uses intelligence data including Wikileaks, reveals the underlying dominant French and military interests in Madagascar, whose influence remains unchanged since the coup. Madagascar is a former French colony and France has always been willing to go the extra mile when it comes to retaining control or asserting influence over it. This includes foreign policy, economic policy and minerals, culture and defence and security. France had designated the country's capital, Antananarivo, as one of eight key centres for investment — on par with Berlin, Rabat, London, Rome, Washington, Dakar and Madrid. It has made major investments in the airport and the only deep-sea harbour capable of taking in submarine vessels. French citizens have also been encouraged to invest, leading to over 140 major monopoly cartels and more than 5,000 small- to medium-scale businesses. With all these interests to nurture, France's power extends to the country's politics. It had a role to play in the coup that Marc Ravalomanana's government in 2009, because he was trying to break France's grip on the country. (..) Diplomatic cables indicate that it was around this time that France's Africa presidential advisor decided to back Andry Rajoelina — the mayor of Antananarivo and a popular opposition figure. When he was threatened with arrest by the government, he was given refuge in the French embassy from where he continued to issue calls for Ravalomanana's removal from office. Rajoelina's position, supported by the French government, brought people onto the streets in protests. The armed forces responded with live fire. The deaths of civilians were the final straw for some of the military, who were already on the verge of mutiny. As read in another cable sent to the US embassy, senior generals ordered Ravalomanana, at gun point, to hand over power. He then fled to South Africa.

Professor Martin R Rupiya dans Mail & Guardian
There are at least two underlying dimensions to the political stability and presidency of Madagascar whose congruence, if absent, results in the chaos that has been characteristic of political succession on the island in the past. The first dimension is that, based on the stated and existing French interests, the president of Madagascar serves at the pleasure of Paris. History and empirical evidence has demonstrated this to be the case. To this end, Madagascar is an important satellite centre for Francophone policy and includes control of the neighbouring islands of Mayotte and Réunion. As a consequence, Paris has designated Antananarivo as one of eight key centres for investment. The others include Berlin, Rabat, London, Rome, Washington, Dakar and Madrid. There is a large French population, numbering more than 25 000 citizens, spread throughout the three islands. Paris has also created a French triangular security umbrella, which includes a deep sea-harbour capable of taking in submarine vessels and an aviation runway alongside the Ivato International Airport in Antananarivo (..) The military is the second pillar in securing the presidency in Madagascar. In the contemporary era, working with highly confidential, diplomatic cables that became available to the public in November 2010 through Julian Assange’s WikiLeaks, the uncompromising French position was clear until proxies amenable to their interests were restored in office. The local French residents mounted a spirited and successful “Anyone but Ravalomanana” campaign.

Mikama - Sep 18, 2018

R.Edmond dans Midi Madagasikara
Et la réalisation des aéroports d’Ivato et de Nosy-Be constitue justement un exemple de réussite de PPP. Les travaux sont financés à hauteur de 30% par l’Etat et de 70% par des banques privées, dont la Société Financière Internationale. Ravinala Airports, le concessionnaire de ces deux aéroports, fait preuve d’efficacité dans la réalisation des travaux qui profitent par ailleurs à l’ensemble du secteur aérien. En effet, Ravinala Airports reverse 3 millions d’euros annuellement sur les redevances aéroportuaires à l’ADEMA, qui peut ainsi financer la réhabilitation des autres aéroports.

Harilalaina Rakotobe  dans L'Express de Madagascar
Malgré une place importante dans l’économie du pays, le secteur agricole a tout de même besoin d’améliorer ses chiffres. Un concours d’application est initié en ce sens. Employant près de 80% de la population et contribuant seulement à hauteur de 30% du produit intérieur brut du pays, le secteur agricole ne demande qu’à être mieux exploité pour performer ses statistiques. (..) D’un autre côté, le secteur agricole commence à attirer de plus en plus les jeunes entrepreneurs, à l’image des participants aux derniers rendez-vous « startup dating» organisés en fin de semaine. Des initiatives encouragées par l’agence de promotion. « En tant qu’agence de promotion des investissements, l’EDBM s’est fixé pour objectifs de renforcer la compétitivité du secteur privé malgache, notamment dans l’agricole dans la mesure où le poids économique de ce dernier est assez conséquent avec sa deuxième place en terme de rentrée de devises après le secteur minier» explique Andry Tiana Ravalomanda, directeur général de l’EDBM. Ce dernier explique que Madagascar est également leader mondial dans l’exportation de plusieurs produits comme la vanille, le girofle et le litchi. Le cacao fin de Madagascar ou les crevettes bio de Madagascar sont de bons exemples d’une production haut de gamme jouissant d’une excellente réputation à l’international.

Mikama - Sep 17, 2018

R.Edmond dans Midi Madagasikara
Agriculture de subsistance. Selon  ce bailleur de fond multilatéral, la population malgache ne tire pas encore profit de ce secteur.   « La performance constamment médiocre du secteur  agricole signifie que, la majorité de la population ne  ressent pas les retombées de la croissance économique ».  Les données statistiques prouvent en tout cas cette importance du secteur agricole à Madagascar. « Environ 80% de la population exercent des activités  agricoles, principalement dans les zones rurales où  l’agriculture de subsistance est la principale source  de revenus. Entre 2001 et 2012 (dernières données  disponibles), 77%  de la population rurale vivaient en  dessous du seuil national de pauvreté – un chiffre qui est  resté inchangé. Et entre 2014 et 2017, le secteur agricole  s’est contracté en moyenne de 0,8% par an. Ce qui  indique que la croissance économique de ces dernières  années ne s’est pas traduite par une amélioration  significative du bien-être de la population rurale. Le  secteur agricole est limité par une faible productivité due à l’utilisation minimale de techniques agricoles modernes,  au manque de connectivité aux marchés pour faciliter le  transport des marchandises, et à une grande vulnérabilité  aux fluctuations climatiques. Les ménages ruraux ont peu  d’activités non agricoles génératrices de revenus pour  atténuer l’impact des chocs météorologiques ».

Harilalaina Rakotobe  dans L'Express de Madagascar
Sur huit millions d’hectares de superficie cultivable dans tout Madagascar, environ deux millions et demi de ces hectares sont exploités. Soit, seulement 4 % de la superficie totale du pays et 31 % des terres cultivables. (..) Opérant dans le domaine de l’agriculture dans la zone Sud de l’île depuis près d’une décennie, Tozzi Green met en avant, à la zone Forello Tanjombato, les espèces cultivées ainsi que l’évolution et l’amélioration de sols dégradés dans le Sud de Madagascar où la terre est réputée pour son caractère aride, dur et difficile à cultiver. Spécialisée dans la culture vivrière, la société dédie une grande partie de ses terrains à la plantation de matières premières alimentaires.

Mikama - Sept 14, 2018

Dans Xinhua
 Madagascar recorded its best rice output in 15 years, a government official said here Thursday. (..) "Madagascar harvested 4.3 million tons of rice in 2018, up from 3.1 million tons in 2017,"

Dans Relief Web
Madagascar a fait face à une épidémie de peste pulmonaire affectant plusieurs zones, en l’occurrence les grandes villes comme Antananarivo et Toamasina en 2017. Rappelons-le, la propagation rapide et la transmission de cette épidémie vers les zones non endémiques ont été favorisées par le déplacement et la mobilité des personnes à l’intérieur même du pays, voire au-delà des frontières. Actuellement, la Grande Île entre de nouveau dans la saison favorable à l’apparition de l’épidémie de peste. Par conséquent, la nécessité d’élaborer une Procédure Opérationnelle Standardisée (POS) pour la mise en place de Postes de Contrôle Sanitaire Terrestre dans certains lieux stratégiques en cas de flambée épidémique de peste ou autres maladies à potentiel épidémique a été identifiée parmi les priorités à court terme.

Dans All Africa
But despite their prominence, zebu herds have dwindled from 23 million in the early 1980s to about six million today. One Malagasy entrepreneur plans to rebuild the island's cattle industry and resurrect a zebu beef export market that faded decades ago due to chronic underinvestment and a lack of proper veterinary care. Backed by about N$95 million ($7 million), International Finance Corporation (IFC) loan and extensive advisory support from IFC and the World Bank, BoViMa-short for Bonne Viande de Madagascar-is building a modern feedlot and slaughterhouse close to Tolanaro in Madagascar's impoverished South. The feedlot will source zebu and animal feed from local breeders and farmers, supporting a wide network of jobs and trade. BoViMa, a member of the SMTP Group, plans to produce zebu meat for domestic and foreign consumption, including the fast-growing Gulf markets of the United Arab Emirates and Saudi Arabia. Danil Ismael, the company's founder and chief executive officer, expects it will provide a much-needed economic boost for Madagascar,

Mikama - Sep 13, 2018

Dans Science Advances
Our evidence for anthropogenic perimortem modification of directly dated bones represents the earliest indication of humans in Madagascar, predating all other archaeological and genetic evidence by >6000 years and changing our understanding of the history of human colonization of Madagascar.

Dans Phys Org
... the new study provides evidence of human presence on Madagascar as far back as 10,500 years ago—making these modified elephant bird bones the earliest known evidence of humans on the island.