Mikama - Nov 28, 2014

Samy R. dans Newsmada
Les dernières statistiques avancent que la Grande île dispose de près de 5.700 km de routes nationales bitumées, de plus de 6.000 km de routes secondaires en terre battues et de 30.000 km de pistes. (..) Selon une étude de la Banque mondiale, le manque d’entretien et de maintenance des routes a entrainé le fait qu’entre 1970 et 2000, «<em> le pays a perdu en moyenne environ 1.000 km de routes par an ». Le linéaire routier qui était d’environ 50.000 km au début des années 60, n’est plus que de 38.000 km en 2010.

Bill, Léa Ratsiazo dans Tribune de Madagascar
Le ministre des travaux publics Roland Ratsiraka informe que l’État a prévu 5 milliards d’ariary à repartir entre les communes pour la réhabilitation des infrastructures, notamment les routes. Dans cette rubrique, il reste une enveloppe de 600 millions d’ariary qui sera distribuée à travers un tirage au sort ; les heureuses communes élues seront connues ce 28 novembre.

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Concernant les amendements, le droit de douane sur le bondillon, matière première du savon, a été finalement maintenu à 10% alors que le projet prévoyait de l’augmenter à 15%. Par ailleurs, la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) de 20% sur le poussin d’un jour que la loi de finances rectificative 2014 avait instaurée est également supprimée. «Ces amendements auront évidement des incidences sur la recette douanière, mais elles seront moindres. Je précise que le droit de douane sur des produits comme le sucre et la farine est maintenu à 10% au lieu de 20% pour sauvegarder le pouvoir d’achat de la population», explique Hajarizaka Rami­nomanana, directeur général des douanes.

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Selon la DG de la météo, la pratique fréquente des feux de brousse est la principale cause de ce retard de la pluie, car, cela réchaufferait la terre. « La température issue des feux de brousse est supérieure à 200° et donc les nuages ne se forment pas. Même s’il y en a, ils sont absorbés par l’atmosphère », explique la spécialiste en météorologie. La provocation de la pluie artificielle n’est pourtant pas facile pour les météorologues. Cela exige la présence de nuages, mais surtout, beaucoup d’argent. Le ministre des Transports et de la Météorologie, Ulrich Andriantina note qu’une séance de pluie artificielle coûterait environ 20 000 000 d’ariary, car, cela nécessiterait l’utilisation d’un aéronef dont la location serait de 5 000 000 d’ariary l’heure.

Bill dans Tribune de Madagascar
Environnement. Exploitation forestière. Dorénavant, le permis de gré à gré va être remplacé par le permis par voie d’adjudication; c’est ce qui a été suggéré par les participants à l’atelier sur le bois (..) Parallèlement à cet atelier, le GIZ a également été auprès des acteurs de la pêche et des ressources halieutiques et ceux de l’environnement, toujours dans le cadre du programme germano-malgache environnement pour la région Boeny. Les participants à cette rencontre ont décidé des structures et stratégies de préservation et de promotion des forêts de mangrove dans le Boeny. Des coopératives seront créées et leur première préoccupation sera d’accroître les champs de mangrove jusqu’à atteindre les superficies de 100 000 hectares comme précédemment.

Had'Nah dans La Nation
Si 10% de la population malgache sont des personnes handicapées d’après l’estimation des centres orthoprothésistes, 3% ont besoin d’appareillage, soit environ 660.000 personnes. Pourtant il n’existe que 67 techniciens orthoprothésistes dans toute l’île. Il faut 30.000 à 200.000 ariary pour l’achat d’un appareil orthopédique selon le cas du patient. « On compte huit centres d’appareillage à Madagascar.

Mikama - Nov 27, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Du gré à gré déguisé. En un mois et quelques jours, des tests effectués par l’Autorité de régulation des marchés publics ont démontré que 60% des avis d’appel d’offres émis par les autorités contractantes manquent de transparence dans l’attribution des dossiers. Selon des techniciens spécialisés dans ce domaine, il s’agit d’une obstruction de la transparence dont l’objectif est de jouer sur les délais afin qu’un candidat choisi au préalable puisse gagner un marché. Ces derniers confirment que dans ce cas, le candidat n’aura pas beaucoup ou pas du tout de concurrents sur le dossier.

Léa Ratsiazo dans Tribune de Madagascar
L’insuffisance de financement explique l’état des routes ; seuls 8% du budget de l’État sont consacrés aux travaux publics, contre 70% au Congo selon le ministre de tutelle Roland Ratsiraka. Près de la moitié des routes nationales est délabrée (46%) et à peine le quart (27%) est praticable. Alors que la majorité des financements sont alloués à l’entretien des routes nationales. (..) La BAD (Banque africaine de développement), parmi les bailleurs de fonds dans le secteur travaux publics, affirme que dans les zones où la route a été réhabilitée et en bonne état, le taux de fréquentation des écoles a augmenté de 67% ; il en est de même pour la fréquentation des centres de santé.

Y.L dans La Gazette de la Grande-Ile
Les fonds seront donc alloués aux dépenses ayant le plus d’impact dans le volet social, notamment, la santé, l’éducation et la sécurité alimentaire ; et dans le volet économique.

Mikama - Nov 26, 2014

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
242 types de produits en provenance d’Europe seront exonérés à partir de 2015. Ils  représentent au moins 10% de pertes pour la recette douanière. Le revers de la médaille commence à se faire sentir pour Mada­gascar. L’application progressive de l’Accord de partenariat économique intérimaire (APEI) avec l’Europe affecte progressivement la recette de l’État. Dans la loi de finances 2015, 242 types de produits ayant payé entre 10 et 20% de droit de douanes auparavant seront désormais exonérés. Selon les estimations, les pertes conséquentes à ce changement pour l’année 2015 représenteront, au moins, 10% des objectifs de recettes de la direction générale des douanes. Et ce chiffre augmentera certainement au fil des ans car d’ici 2022, 100% des produit

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Trois opérateurs dans la course. Après la société Dago Trade à Vontovorona et la société Tsong Newtech implantée à Toliara, la société SMTP se lance aussi dans les activités d’exportation de viande de bovidés. Le marché mahorais serait la principale destination pour cette dernière. (..) Pour ce faire, un abattoir aux normes internationales sera érigé au parc Ehoala à Tolagnaro. Selon les prévisions, 2800 tonnes de viande par an devront être produites dans les premières années.


R.Edmond dans Midi Madagasikara
La Bonne Viande Malgache, ou BOVIMA, ce sera l’appellation de la marque de viande malgache à exporter sur le marché régional. Plus exactement à Mayotte, premier marché que le groupe SMTP de Danil Ismail vise... Le projet qui nécessitera 5,5 millions USD en investissements et 6 millions USD en fonds de roulement consistera en la création de deux entreprises dans la région Anosy, plus particulièrement du côté d’Ehoala Park à Fort Dauphin. La première se chargera des achats et de l’engraissement du bétail, en l’occurrence du bovin et du caprin. L’autre entreprise sera un abattoir qui achètera le bétail pour les abattre et les conditionner selon les normes internationales en vigueur.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Trois objectifs principaux. L’utilisation des aides budgétaires allouées par l’Union européenne est plus ou moins connue. (..) Il sera focalisé sur la bonne gouvernance, la saine gestion des finances publi­ques, la transparence budgétaire  ainsi que la lutte contre la corruption. Des financements
seront également alloués à la sécurité intérieure, notamment en zone rurale. (..) L’appui budgétaire de l’Union européenne s’élève à 78 millions d’euros, soit l’équivalent de 249,6 milliards d’ariary.

Hanitra R. dans Midi Madagasikara
Journées scientifiques EDUCMAD : Le contenu de la médiathèque en visuel. Les élèves des lycées, et même des collèges peuvent sûrement en tirer profit. Voir de près le fonctionnement et quelques échantillons des contenus de la médiathèque électronique du programme EDUCMAD (Education à Madagascar), un programme de soutien à l’enseignement dont la composante phare est la médiathèque électronique dont il équipe des lycées malgaches, publics ou privés.

Noella Rakoto dans Newsmada
La 2è réunion de travail du groupe Task force pour l’arrêt de la pêche illégale a débuté hier au Carlton Anosy, réunissant à l’occasion 7 pays d’Afrique et de l’océan Indien, à savoir le Kenya, la Tanzanie, le Mozambique, les Comores, les Seychelles, Maurice et Madagascar. (..) Dans le cadre de la participation de Madagascar à ce projet, des résultats ont déjà été palpables. Effectivement, 2 bateaux ont déjà été arraisonnés grâce aux échanges d’informations entre les différents pays ayant pour objectif de surveiller la mer.

Mikama - Nov 25, 2014

Racl.R dans La Nation
Qui voudrait bien investir à Madagascar ? L’insécurité et le problème de fourniture d’énergie électrique, les mesures fiscales non incitatives, défavorable aux opérateurs économiques opérant déjà à Madagascar ainsi que la propagation de maladies qu’on croyait révolues, sont autant de facteurs qui découragent d’éventuels investisseurs à utiliser leurs argents à Madagascar.

Noella Rakoto dans Newsmada
Même si les aides budgétaires sont réduites pour l’année 2015, les investissements publics, quant à eux, sont en constante augmentation. La loi de finances 2015 prévoit environ 11 milliards d’ariary au titre des investissements publics dans l’ensemble de la Grande île. (..) En ce qui concerne le financement de ces collectivités territoriales décentralisées (CTD), le projet de loi de finances 2015 pour cette année prévoit que les transferts d’argent de l’administration centrale vers les CTD s’élèvent à 41 milliards d’ariary. Cependant, ces transferts de fonds ne sont pas la seule forme de financement des collectivités territoriales décentralisées. Il y a effectivement les programmes d’investissement public (PIP) dont bénéficient directement les régions, les communes… et qui demeureront les propriétés de ces CTD.

Léa Ratsiazo dans Tribune de Madagascar
Le BIT (Bureau international du travail) informe de manière officielle que près de 4 millions de la population active sont en chômage à Madagascar.

Mikama - Nov 24, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Un fléau à éradiquer. Outre la surexploi­tation, la filière crabe est marquée par un taux de mortalité élevé. Une enquête du programme a démontré que du stockage au village à la commercialisation en passant par le transport vers l’usine ou les marchés locaux, ce taux est de 32% et peut atteindre les 40 à 50% en saison de grosses pluies. Selon les estimations, cette importance de la mortalité entraîne une perte annuelle de 1 300 tonnes soit une valeur commerciale de 4 500 000 euros. Face à la situation, le ministère chargé des Ressources halieutiques et de la Pêche et le programme Smartfish se sont fixés pour objectif de diminuer d’un tiers le taux de mortalité avant la fin de l’année 2015, et à moins de 10% vers fin 2017.

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Etait-ce un mauvais calcul de la part de l’État  Le projet d’augmenter de 10 à 15% le droit de douane sur le bondillon dans la loi de finance 2015 pourrait avoir des impacts négatifs importants sur des entreprises. C’est le cas, par exemple, de la savonnerie Soba qui utilise ce produit comme matière première de base pour sa production. D’après cette société, les 5% en plus représentent plus de la totalité de leur marge bénéficiaire. Si cette mesure est appliquée, elle devra donc vendre à perte ou décider de réviser à la hausse ses tarifs

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Seuls 6% des travailleurs ont un travail moderne et formel. Ce chiffre du Bureau international du travail (BIT) montre à quel point la qualité des offres d’emplois est plus qu’exécrable dans le pays.

Mikama - Nov 21, 2014

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Cette longue crise s’est traduite par un recul des performances économiques et sociales et une dégradation de la situation en matière d’infrastructures et de gouvernance. Le pays a fini par être considéré comme un Etat en situation de fragilité en 2013, selon la méthodologie commune aux Banques multilatérales de développement (BAD et Banque mondiale), fondée sur la moyenne des indicateurs de l’évaluation des politiques et institutions des pays (EPIP). Facteurs de géographie physique. La faible capacité de l’Etat face à l’étendue du territoire, à la nature du relief et du climat, et à la faible densité de la population, d’une part et la récurrence des catastrophes naturelles (cyclones et inondations) d’autre part... Facteurs politiques, institutionnels et sécuritaires.  La principale cause de fragilité du pays réside dans la faiblesse du processus démocratique, favorisée par l’absence d’indépendance et de neutralité des institutions supérieures de la République (Justice, Forces de Défense et de sécurité, Administration)... Facteurs économiques et financiers. Le taux d’investissement (public et privé) est inférieur à 15% par an sur le long terme, avec une productivité totale des facteurs faible et en baisse accélérée. Le taux de croissance de l’agriculture, la principale source de croissance, n’a pas dépassé 2,5% sur le long terme... Facteurs sociaux - pauvreté et inégalités. L’incidence de la pauvreté est élevée : 71,7% environ au seuil national d’environ 0,64 $ par jour et par personne et 92% au seuil de 2$ par jour et par personne...

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Avec 5000 kilomètres de côtes, Madagascar est indéniablement un pays à fort potentiel en matière de ressources halieutiques pourtant cette absence de loi a fait que les gabegies et les exploitations illicites ont pris une place considérable dans le secteur. (..) L’augmentation du montant des amendes jugées trop basses, la mise en place d’une peine d’emprisonnement, les autorisations annuelles de la pêche, de collecte ainsi que la préservation des écosystèmes aquatiques sont, entre autres, les grandes lignes de ce projet de loi.

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Dans dix ans quelques 600 000 ha à 800 000 ha existant au­jourd’hui selon diverses sources, devraient passer à 1 800 000 ha voir à 2 400 000 ha selon le rapport du « Perma­lien vers 2e Forum sur les Aires Marines Protégées par les Com­munautés Locales » 2e Forum sur les aires marines protégées par les communautés locales tenu au mois d’avril de cette année à Antsiranana, tandis que le WWF fait état de 800 000 ha selon un communiqué de presse.

Mikama - Nov 20, 2014

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Sur financement de l’Union européenne, ce fonds [Fonds régional de développement agricole (FRDA)] mis en œuvre par AFDI (agriculteur français et développement international) vient en appui aux initiatives des paysans du Sud. Il subventionne les activités des paysans, des éleveurs et pêcheurs locaux. L’objectif est de les aider à augmenter leur production et leurs revenus et par la même occasion leur niveau de vie.

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Aujourd’hui, le taux d’accès à l’eau potable est de 46% dans le pays. L’accès aux latrines a connu une nette avancée, en passant de 48% il y a deux ans à 50% actuellement, grâce à la stratégie Assainissement Total Piloté par la Com­munauté.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
3 ans pour mettre en place le cloud gouvernemental en commençant à petite échelle, c'est-à-dire au niveau du 1er arrondissement de la capitale. C’est la proposition de la société Wistron de Taiwan (Chine), 3ème mondial en cloud computing. (..)  Mais le cloud peut aussi intéresser les entreprises et ici, on parle de cloud d’entreprises. L’objectif est d’automatiser différentes tâches dont la commande des écrans, des compteurs et prises, la surveillance et la sécurité.

Mikama - Nov 19, 2014

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Les premières informations du rapport de réconciliation de l’Initiative pour la transparence des industries extractives (EITI) sont publiées. Exceptionnellement, elles concernent, cette année, les paiements significatifs effectués par l’industrie extractive auprès de l’État durant les deux exercices, 2012 et 2013. Ce qui a permis d’apprécier l’évolution des parts apportées par ce secteur à la caisse de l’État. Ces parts ont enregistré une hausse de l’ordre de plus de 11,3 millions de dollars, passant près de 52 à 63,7 millions de dollars. « Le nombre de compagnies extractives ayant effectué des paiements de frais d’administration supérieurs à 5 000 USD recensés auprès du Bureau des cadastres miniers et de l’Office des mines nationales et des industries stratégiques est de 126 pour l’année 2012 contre 102 pour 2013. D’après les analyses préliminaires sur les paiements effectués par les compagnies, cinq sociétés ont versé plus de dix milliards d’ariary et couvrent déjà 82% du flux total de  paiement pour l’exercice 2013 », stipule un communiqué diffusé par EITI Madagascar.

Fahranarison dans Newsmada
Sans être exhaustive, l’accès aux services de base (soins, éducation, transport en commun…) et l’accès à l’emploi demeurent parmi les problèmes majeurs à résoudre </em>», a rappelé notre source. Le chiffre avancé par les agences de l’ONU est très alarmant : 2% des personnes handicapées ont accès aux services de base (ONU), 90% des enfants handicapés ne vont pas à l’école (Unesco, Unicef), seulement 1% des filles handicapées sont alphabétisées (Unicef) et 80% des personnes handicapées sont sans emploi (ONU, BIT).

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Créer 200 000 em­plois et tripler le volu­me des exportations sur le marché américain par rapport à 2008. Tels sont les défis que s’est lancé le Grou­pement des entreprises franches et partenaires (GEFP) pour les cinq prochaines années.

Mikama - Nov 18, 2014

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
En effet, la pauvreté est structurelle à Madagascar. Les statistiques sont têtues : la pauvreté demeure toujours autour de 70%, qu’il y ait crise ou non. Cela signifie qu’aucun régime n’est arrivé à trouver les voies et moyens pour sortir de ce cercle vicieux. C’est souvent faute de vision et de bonne gouvernance. Si Ravalomanana avait le MAP, la bonne gouvernance n’était pas son fort. Citons les exonérations fiscales et douanières abusives accordées à Tiko et qui ont d’ailleurs conduit les bailleurs de fonds à couper les aides budgétaires en décembre 2008. Il y avait aussi les multiples marchés publics de gré à gré dont le recrutement d’expatriés pour diriger la Jirama après les délestages et black-out de 2004-2005 et dont les salaires étaient plus élevés que ceux du président français de l’époque… Quant au régime actuel, il aura bientôt le Plan national de développement (PND). Ce plan devrait pourtant servir de cadre global à toutes les politiques et stratégies sectorielles ainsi qu’aux lois de finances. Cela veut dire que pendant presque une année, l’exécutif navigue à vue et n’a aucune vision pour piloter la croissance et le développement. On attend donc ce que le PND va accoucher comme cadre global.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Amoron’i Mania est favorable à la migration de la population pour un développement socio-économique de la région. En effet, plus de 50 000 ha de terrain ont été identifiés lors d’une descente sur terrain dans la partie ouest du district d’Ambatofinandrahana qui renferme des vastes de terrain arables couvrant les 2/3 de la superficie totale de la région. Le programme MATOY financé par l’Inter-coopération Suisse appuie actuellement la mise en œuvre de cette politique de migration tandis que le PROJERMO financé par la BAD se charge de la mise en place des jeunes entrepreneurs ruraux dans ces Zones d’Investissement Agricole identifiées par l’installation des infrastructures nécessaires, entre autres.

Racl.R dans La Nation
Des semences de riz hybrides vont arriver à Madagascar avant la fin de cette année, selon le ministère de l’Agriculture. Dans l’objectif de toujours augmenter la production rizicole à chaque saison, notamment lors de la campagne 2014-2015, le ministère de l’Agriculture et du développement rural attend l’arrivée de semences de riz hybrides. Ces semences seront à tester sur le sol malagasy. Le but, selon le ministère de tutelle, est d’atteindre un niveau de production de l’ordre de 4,5 millions de tonnes pour l’année prochaine, soit une hausse 500 000 tonnes par rapport à cette année.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Dans ce sens, le rapport du marché de sisal pour mars à octobre 2014, et qui a été établi par Wilhelm Clasen fait état que pendant la période janvier/septembre 2014 les exportations de sisal atteignaient 4.720 tm. Une fois de plus la Chine était l’acheteur le plus important de sisal malgache avec une quote-part d’environ 50 % des exportations, suivie par le Maroc (26 %), l’Inde (7 %) et Espagne (6 %). Les prix s’orientaient aux prix du marché de sisal de l’Afrique de l’Est.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
En effet, bien que négative, la balance commerciale de Madagascar, relative aux Etats-Unis, a connu une hausse de 47,7 % depuis 2012. Une importante amélioration de cet indicateur est donc attendue, car l’AGOA est une initiative qui nous permet de bénéficier d’un régime préférentiel spécial vers le marché américain, en plus du SGP (Système généralisé de préférences).  Aujourd’hui, la réintégration dans l’AGOA, ouvre à la Grande-île, plus de 7 000 lignes de produits d’exportation, tels que la vannerie, les épices, les huiles essentielles, le café, le thé, la vanille, le cacao, les pierres précieuses, les métaux, etc.

Mikama - Nov 17, 2014

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Rappelons que le dernier recensement agricole incluant l’élevage date de 2005 et le cheptel bovin au niveau national ne compte que 1 188 332 têtes. Dans les années 60 pourtant, c’était 1 zébu pour 1 habitant. (..) Le cheptel bovin, très utilisé pour le transport et la traction animale dans les travaux agricoles, est en diminution progressive à cause des vols récurrents particulièrement dans les régions du sud de Madagascar où l’élevage des zébus est très développé. Plus, et selon les données du Rapport spécial de la mission FAO/PAM d’évaluation de la sécurité alimentaire à Madagascar, il est mentionné que dans ce contexte d’insécurité, beaucoup de producteurs ont préféré vendre une partie de leur troupeau et recourir par la suite à l’emprunt ou à la location de zébus pour effectuer leurs travaux agricoles. L’Etat sanitaire du cheptel bovin est jugé satisfaisant grâce aux vaccinations contre les charbons. Près de 90 pour cent du cheptel bovin est vacciné. Et particulièrement dans le nord du pays, le manque d’eau avait occasionné en 2013 des pertes estimées à 10 pour cent du cheptel bovin.

Racl.R dans La Nation
Depuis toujours, l’atout fiscal est mal exploité par les dirigeants étatiques, ce qui ne fait qu’empirer la grogne chez les payeurs d’impôts. Pour l’opinion publique, la réalité est indignant, l’Etat vit au-dessus de ses moyens. Le régime ne dispose pas d’énormes ressources financières en vertu d’une politique fiscale inefficace, alors qu’il engage d’énormes dépenses qui ne sont ni productives ni efficaces ou efficientes.  (..) D’après le secteur privé à Madagascar, l’Etat aurait plus de ressources s’il opte pour l’élargissement de l’assiette fiscale en introduisant le secteur informel dans le circuit. (..) D’après le FMI, Madagascar devrait améliorer la collecte d’impôts et investir dans les infrastructures pour faire face à un enjeu pour atteindre une croissance de 3% pour 2015. Le FMI a encouragé le gouvernement à mener des réformes pour un meilleur climat des affaires.

Racl.R dans La Nation
Face au contexte économique où les prix des denrées sont en constante augmentation, le salaire vital devrait tourner autour de 1 600 000 ariary, d’après le calcul du « Sendika kristianina malagasy » (Sekrima). En effet, ce chiffre est totalement loin de la réalité sur le salaire minimum d’embauche ou SME qui est autour de 108 000 ariary actuellement.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Agoa – Madagascar remplit toutes les conditionnalités. (..) Il s’agit de l’élaboration du décret de mise en œuvre  du système de visa pour le textile dans le cadre de l’AGOA, la fourniture du spécimen du certificat d’origine pour le textile à utiliser dans le ou les ports d’exportation, du spécimen des empreintes du cachet utilisé au niveau du ou des ports d’exportation donnés, et enfin du spécimen de signature des douaniers habilités à signer le visa et la finalisation du document de compilation des règlementations en vigueur en anglais, sur les engagements du Gouver­nement malgache par rapport au Visa agreement.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Maîtrise de l’inflation. (..) L’amélioration de l’entrée des devises figure parmi les priorités du gouverneur. (..)  Le niveau des réserves en devises de la Banque centrale  qui est actuellement à 2,2 mois d’importation est appelé à être amélioré car la  moyenne acceptable s’établit entre deux et quatre mois. La maîtrise de l’inflation a été également évoquée pour résoudre le problème. Or, le projet de loi de finances 2015 prévoit un taux d’inflation de 7,1% qui s’explique principalement par l’application progressive de la vérité des prix du carburant

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Leadership – Des jeunes femmes montent au créneau. Cinq projets initiés par des jeunes femmes bénéficient d’un financement [à hauteur de 500 dollars]. (..) Les jeunes de 10 à 24 ans représentent 32% de la population, selon l’Instat. Faute de compétences, ils, surtout les jeunes filles, sont rarement représentés dans le schéma de développement. C’est pourquoi, Youth First engage des experts en développement, pour former les jeunes filles, et un mentor pour les encadrer chacune. La formation de la deuxième promotion de jeunes filles leaders est prévue au mois de décembre, et cible les moins de 24 ans. Celles qui sont familières à la vie en communauté en seront privilégiées.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
D’après Lalanirina Jacqueline, productrice de baie rose dans la commune d’Ambararatabe, la demande exprimée par cinq entreprises d’exportation qui font la collecte directement sur les lieux est de 600 tonnes par an, alors que la production de la dernière saison n’atteignait encore que 22 tonnes. « Il s’agit d’une filière récemment développée. Nous poursuivons la multiplication des plantes. Chaque pied peut produire 3Kg par an et peut vivre jusqu’à 60 ans », a-t-elle indiqué. Bref, la filière est prometteuse et le marché est loin d’être saturé. Outre la création d’emploi et de richesse, la baie rose rapporte également gros, d’après les explications. En effet, la production est triée en trois, selon la qualité. Sur un hectare, un producteur peut obtenir 200 Kg de baie rose de première grade qui se vend à 28 000 Ar/Kg ; 300 Kg de deuxième grade qui se vend à 20 000 Ar/Kg et enfin 700 Kg de troisième grade, vendu à 6 300 Ar/Kg.

Mikama - Nov 14, 2014

Lova Rabary-Rakotondravony dans L'Express de Madagascar
Capitaine Andriamparany Ravelonarivo : « Les ports de la Grande île ne sont plus adaptés ». Le coordonnateur national du Collectif des officiers de la marine marchande malagasy, expert maritime international... À Maurice, ils ont en projet une infrastructure capable d’accueillir 14m de tirant d’eau, chez nous, dès que les containers arrivent sur des grands bateaux de première catégorie, il faut les transborder sur des bateaux plus petits à Durban, à Maurice ou à La Réunion avant qu’ils arrivent ici. Il y a un projet pour agrandir la capacité de Toamasina à accueillir des navires plus gros, mais quand ce projet arrivera à terme en 2020, Maurice sera déjà loin. Par ailleurs, les ports secondaires qui permettaient l’exportation de milliers de tonnes de produits d’exportation comme le café, le litchi, le girofle, le sucre et bien d’autres ne sont plus capables de le faire.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Dago Trade a débuté ses activités en février.  Elle travaille avec cinq à six fournisseurs de Tsiroanomandidy, d’Andramasina et de Moron­dava pour atteindre son quota d’exportation  de 22 à 44 tonnes de viande par mois. Les activités de la société ne se limitent pas au seul abattage de zébus. Avec deux chaînes de transformation, l’entreprise s’active particulièrement à la préparation de viande destinée à l’exportation, par procédé de congélation pour la viande crue ou de séchage pour la viande semi-cuite. Le transport des marchandises se fait par voie maritime jusqu’au Vietnam, importateur des produits de la société.  Les parties de viande, qui ne sont pas destinées à l’exportation, tels que les abats et les pieds, sont proposés à prix bradés aux employés.

C.A. dans La Gazette de la Grande-Ile
En effet, le ministère d’Etat en charge de l’Equipement, des Infrastructures et de l’Aménagement du territoire ne devrait avoir droit qu’à 64,5 milliards Ar pour 2015, contre 27,9 milliards Ar pour celui de l’Energie. (..) Face au budget d’autres départements comme l’éducation (714,2 milliards Ar) et la santé (plus de 333 milliards Ar) qui sont des secteurs sociaux très importants, les infrastructures sont plutôt les parents pauvres du budget public pour 2015. Le seul qui pourrait tirer quelque peu son épingle du jeu est le ministère des Travaux publics avec un crédit de 231,8 milliards Ar pour 2015. Et on se demande pourquoi un Sénat non encore existant devrait être doté de 12,3 milliards Ar.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
28,5 millions d’euros. C’est le coût prévu par la société Hydelec Madagascar du groupe italien Tozzi holding associé au groupe Sipromad, pour la construction de la centrale hydroélectrique de Farahantsana sur l’Ikopa. (..)  la déforestation et les feux de brousse contribuent à tarir les sources d’eau et à ensabler les rivières. Un phénomène qui pourrait compromettre l’exploitation des 500 sites hydroélectriques potentiels dont la puissance totale est estimée à 7 800 MW. (..) Notons que Hydelec exploite déjà la centrale de Sahanivotry à Antsirabe (15 MW) et celle de Maroantsetra (2,4 MW).

Latimer Rangers  dans Midi Madagasikara
Panoramique et gros-plan sur l’operation coup d’arret Un grand Reportage de Latimer Rangers

Anjara Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
L’inauguration des infrastructures d’adduction d’eau potable à Mahazaza le 12 novembre dernier ... un chantier qui a coûté 43 606 USD entamé en mai dernier... bénéficiera à près de 1 400 personnes du village Mahazaza, dans la commune rurale d’Antanetibe Mahazaza dans le district d’Ambohidratrimo. Ce projet a été réalisé grâce aux membres du Rotary E-clubs...

Racl.R dans La Nation
Madagascar n’en profite pas autant que les étrangers. Beaucoup d’économistes ont réclamé la révision des Accords de partenariats économiques ou APE car ils profitent plus aux étrangers qu’aux entreprises malagasy. Ce qui est surprenant, d’après certaines analyses, c’est que malgré plusieurs accords de partenariats économiques, le pays reste à la traîne du développement. Il a été remarqué, à l’exception de quelques opérateurs, qu’il est encore difficile pour les entreprises malagasy de s’attaquer aux autres marchés comme celui de l’Union européenne qui est pourtant un des signataires de l’APE-Intérimaire.

Racl.R dans La Nation
L’exportation du nickel, produit par la société Ambatovy a déjà dépassé les recettes d’exportation de tous les autres produits. Le nickel va encore à cet effet prendre le dessus sur l’ensemble des produits d’exportation car les recettes générées par ses exportations atteindront la barre de un milliard de dollars par an contre environ 650 millions de dollars pour les textiles, le girofle, la crevette et la vanille réunis, selon l’INSTAT en 2012.

Mikama - Nov 13, 2014

Lova Emmanuel dans L'Express de Madagascar
En 2008, Madagascar avait une note de 3,4/10 en termes de corruption mais est vite tombé à 2,8 en 2013. Le Bianco visait 7/10 pour 2015, mais cet objectif n’est plus à la portée de Madagascar. Par ailleurs, le DG du Bianco d’annoncer que sa direction est actuellement sur le point de redresser cette institution. « La prochaine Stratégie de lutte contre la corruption devrait nous permettre de revenir sur les rails. En attendant, nous avons mis en place une stratégie intérimaire pour limiter la casse », a-t-il conclu. Une stratégie qui devrait passer au niveau de l’Assemblée nationale pour adoption.

Valis dans Tribune de Madagascar
La facilité élargie de crédit (FEC) remplace la facilité pour la réduction de la pauvreté et la croissance (FRPC). La FEC est caractérisée par des plafonds d’accès plus élevés, des conditions de financement plus concessionnelles, une plus grande souplesse dans la conception des programmes qu’elle appuie, et une conditionnalité à la fois plus simple et mieux ciblée. Le taux d’intérêt des financements accordés au titre de la FEC est de 0% avec un différé de cinq ans et demi et une échéance maximale de dix ans. (..) D’après George Tsibouris, « Des premiers signes de reprise économique sont visibles, avec une croissance à 3 pour cent et une inflation sous les 7 pour cent en 2014… ».

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
« Du point de vue de la qualité nutritionnelle, plus de quatre Malgaches sur cinq consomment des aliments de faible qualité… Les analyses montrent que sur ces deux aspects (quantitative et qualitative), la situation est très dégradée à Madagascar », interpelle le rapport de l’ENSMOD.
Les enfants moins de cinq ans sont aussi frappés de plein fouet par cette malnutrition avec un taux de 47,4%. (..) « Chez les moins de cinq ans, les infections respiratoires aigües  occupent la première place avec 45,4% parmi les dix principales causes de morbidité vue en consultation externe des centre de santé de base suivis de la diarrhée, 14,7%, et le paludisme, 7,8%.  La pneumonie représente par contre les 5,8% des mortalités hospitalières », a indiqué l’annuaire statistique 2012 du ministère de la Santé publique.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Pour le président du JPM, le pays pourrait relever son taux de pression fiscale à 15% (contre 11% actuellement), si l’administration arrive à formaliser les grosses entreprises informelles et les entreprises partiellement formelles. Parmi ces opérateurs qui enfreignent les règles du jeu fiscal, on peut citer des importateurs, des importateurs-grossistes, des grands propriétaires immobiliers…

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Entrepreneuriat: Des business angels pour aider les jeunes. Des particuliers riches peuvent aider les jeunes à créer leurs entreprises. C’est la nouveauté à apporter par le Club entrepreneurs étudiants du rendez-vous des entrepreneurs (CEERE) qui organise le salon de l’entrepreneuriat parrainé par le Groupement des entreprises de Madagascar (GEM)... Ce club existe depuis 4 ans et travaille sur la promotion de l’entrepreneuriat à Madagascar. Pour le salon des 19 et 20 novembre, il veut aider les jeunes à créer leurs sociétés par un coaching, des orientations diverses, leur mise en relation avec des réseaux professionnels… C’est ainsi que les grands groupements dont le GEM, le SIM, le FIVMPAMA, l’EFOI seront présents au salon.

Léa Ratsiazo dans Tribune de Madagascar
Le Club Entrepreneur Étudiant organise la 3ème édition du « global entrepreneurship » le 19 et 20 novembre 2014 à Antananarivo afin d’appuyer les jeunes qui veulent se lancer dans l’entreprenariat. Car la grande majorité des jeunes Malgaches n’ose pas se lancer dans l’entreprenariat, constate Mino Andriamasinoro du Club Entrepreneur Étudiant. « 2% seulement des jeunes Malgaches osent se lancer dans l’entreprenariat » selon ce responsable.

Racl.R dans La Nation
Dans le cadre de la relance économique, l’Union européenne va octroyer une enveloppe de 8 millions d’euros aux petites et moyennes entreprises et industries pour leur appuyer dans leur reprise économique.

R.Mathieu dans Newsmada
Nanao fifanarahana, ny 10 novambra teo, ny Vondron’ny fikambanan’ny mpanjono makamba eto Madagasikara (GAPCM) sy ny WWF ho fanatsarana ny sehatra jono makamba. Dimy taona ny fiaraha-miasa eo amin’ny roa tonta, ka tanjona ny hahazoana Marine Stewardship Council (MSC). Fifanarahana natao amin’ny minisiteran’ny Jono. Ao anatin’ny fanajana ny tontolo iainana ny hanatanterahana fanatsarana sy hampaharitra ny jono makamba. Samy mandray andraikitra mifanandrify azy ny maro (fanjakana, ONG, mpanjono). Laharana fahatelo amin’ny varotra ivelany ny fanondranana makamba. Ireo mpanjono madinika amin’ity sehatra ity, mamelona olona 95.000 any avaratra andrefana ; ny jono indostrialy manome asa mivantana 1.323.

​Dimisoa dans Newsmada
La crevette de Madagascar occupe la troisième place des produits d’exportation malgache. Ainsi, le ministère des Ressources halieutiques et de la Pêche et le WWF viennent de signer un accord de cinq années pour développer un projet d’amélioration de la pêche industrielle crevettière malgache. L’objectif est d’atteindre les standards de certification MSC (Marine Stewardship Council) afin d’assurer la pérennisation de la pêcherie crevettière et la maintenir à un statut particulier auprès des consommateurs. (..)  A l’échelle traditionnelle, cette pêcherie crevettière fait vivre quelque 95 000 personnes dans le Nord-ouest de Madagascar, tandis que le secteur industriel crée 1323 emplois directs.

Mikama - Nov 12, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Pêche – La production de crevette diminue. Une baisse de 50% des captures entre 2005-2011...  si auparavant, dans une zone quelconque, la capture était de 1700 tonnes, maintenant il est de 300 tonnes. (..)  Face à la situation, un accord de partenariat a été signé entre le ministère, le groupement et le WWF. Il porte sur un projet d’amélioration de la pêche industrielle crevettière malgache, dont l’objectif est d’atteindre les standards de certification MSC ou Marine Stewardship Council. Il s’agit de mettre en place l’écocertification basée sur une approche sur l’écosystème en partant du milieu naturel, des techniques et de la saison de pêche.
Un plan d’action pour l’amélioration de la pêche crevettière industrielle sera développé et validé par les différentes parties dans le cadre d’un atelier qui sera organisé prochainement.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
 Notons que près de 1 000 collecteurs disposant chacun au moins un camion ayant un poids en charge entre 2,5 et 4 tonnes opèrent chaque année dans les régions d’Analanjirofo et d’Atsinana durant la campagne de litchi. D’autres ont des camionnettes pouvant transporter 1 tonne de produit. Ils paient régulièrement de patente spéciale pour la collecte de litchi et de droit de stationnement, a-t-on conclu.

Arnaud R. dans Midi Madagasikara
Normes internationales du Travail (NIT) et Principes et Droits Fondamentaux du Travail (PDFT), deux choses que bon nombre de Malgaches, employeurs et travailleurs, ont encore du mal à maitriser.

Mikama - Nov 11, 2014

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Des informations qui font froid au dos. « Cette année, 80% des hôpitaux dans la ville de Fianarantsoa ont enregistré un taux de coupure de 80% en 24h. Le groupe électrogène de secours n’est pourtant pas fiable. Il y a ainsi un laps de temps où tous les appareils médicaux sont aux arrêts. Tandis que 80% des centres de santé dans notre zone d’étude entre autres Fianarantsoa, Ambohimahasoa et Ambalavao n’ont pas du tout de l’électricité », a dévoilé Toniniaina Rakotozanakajy, coordonnateur de coopération pour le développement entre l’université de Suisse et de Madagascar. (..) « La tension électrique au bout d’une ligne doit être plus ou moins 10% de 220 volts et de 50 hertz. Dans bon nombre de villes, cette tension n’est que de 180 volts et 50 hertz. Cette baisse tension aura un impact sur les appareils électroniques », a ajouté Toniniaina Rakotozanakajy. (..) « 80% de nos énergies proviennent du groupe thermique, il faudrait valoriser nos 7000 mégawats de l’énergie hydroélectrique. Il n’y a que 350 mégawats qui sont actuellement exploités. Pour y arriver, il faut la volonté politique de l’Etat et la protection des bassins versants pour endiguer le fléau de l’ensablement », interpelle Toniniaina Rakotozanakajy.

Racl.R dans La Nation
Anaclet Imbiki, ancien ministre de la Justice Garde des Sceaux, expose dans le bulletin n°4 de la Plate forme de la société civile, des mesures à mettre en œuvre afin d’espérer la baisse du niveau de corruption dans le milieu judiciaire malgache. Anaclet Imbiki estime nécessaire « le déclenchement de la procédure relative à l’enrichissement illicite, la mobilité fonctionnelle et spatiale raisonnable des organisée, l’institution de système d’opinion dissidente pour les juridictions collégiales, magistrats, l’amélioration substantielle de leurs avantages financiers, l’interdiction effective de travailler dans le même ressort juridictionnel des magistrats de même famille avec d’autres professionnels judiciaires (greffiers, avocats, officiers de police judiciaire...) ».
Reference: http://www.hayzara.org

Navalona R.  dans Midi Madagasikara
A Mangatany dans le district d’Arivonimamo II, des paysans encadrés par Agrisud affilié au GSDM effectuent une plantation de caféiers arabica depuis décembre 2011.

Mikama - Nov 10, 2014

Lova Emmanuel dans L'Express de Madagascar
Le projet de code pétrolier 2014 stipule en son article 110 que « le Contrac­tant est tenu de verser, à titre de participation, une somme dont le montant représente 1/2500ème du montant global des engagements minimum des travaux d’Exploration à répartir entre toutes les collectivités concernées par le titre minier d’Exploration, valable pour toute la durée de l’Explo­ration, payable au début des travaux d’Exploration » (..) Cependant, l’Etat central pourrait jouir d’un bon nombre d’avantages…à long terme! D’une part, pendant la période d’exploration, le contractant et ses sous- traitants sont déjà exonérés de la TVA et de toutes taxes assimilées sur leurs importations de biens et services nécessaires aux Activités Pétrolières. D’autant plus, qu’ils sont soumis au taux de 0% sur leurs achats locaux de biens et services nécessaires aux activités pétrolières. Mieux que rien… D’autre part, pendant la période d’exportation, le contractant et ses sous- traitants, en ce qui les concerne,  sont soumis au paiement d’une redevance par baril produit dont le montant est en fonction du type d’Hydro­carbures exploité ; d’un impôt direct sur les hydrocarbures, représentatif et libératoire de l’Impôt sur les Revenus (IR) et de l’Impôt sur les Revenus des Capitaux Mobiliers (IRCM) ; d’un impôt additionnel sur le profit pétrolier, de la taxe environnementale. Mais ils demeurent soumis au régime fiscal de droit commun en ce qui concerne les autres impôts, droits et taxes tels qu’ils sont définis dans le Code Général des Impôts.

Racl.R dans La Nation
D’après les économistes du CREM, « si aucune mesure n’est prise, le chômage va s’accroître de 4% par an, la vulnérabilité des ménages va aussi s’accroître de 10% par an. Si nous mettons en œuvre une politique budgétaire restrictive, le taux de chômage va s’accroître de 7% par an et la vulnérabilité des ménages va s’accroître de 12% par an ».

Noro Niaina dans Newsmada
Toutefois, le girofle constitue l’un des principaux produits d’exportation de Madagascar. Près de 90% de la production malgache sont concentrés dans la région d’Analanjirofo pour s’étendre dans la région Atsimo-Atsinanana. Chaque année, le pays produit près de 20.000 tonnes de clous de girofle dont près de la moitié est destinée à l’exportation.

Mikama - Nov 7, 2014

Georges  R. dans Newsmada
Selon les données du Plan d’action pour le développement rural (Padr), la surface des périmètres irrigués à Madagascar pour la riziculture est évaluée à près de 1,2 million d’hectares dont seuls 100.000 hectares bénéficient de financements adéquats en ce moment. (..) Selon les données du département de tutelle, Madagascar dispose au total de 36 millions d'hectares de terres cultivables, mais seulement trois millions d'hectares, qui ne représentent même pas le dixième de ces terres arables, sont exploitées. Les données de l'Institut national de la Statistique (Instat) montrent que 70% des agriculteurs malgaches travaillent sur de petites surfaces de moins de 1,5 ha, 23% sur des surfaces entre 1,5 et 4 ha et seulement 4,8% exploitent des surfaces de plus de 4 ha. En dépit de l’énorme potentiel de la Grande île dans le secteur rizicole, le pays arrive seulement au 19è rang mondial en termes de production. Celle-ci est de 3,4 millions de tonnes de paddy par an.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Bâti sur la rivière Ankaibe, le barrage d’une largeur de cinquante mètre et relié à six kilomètres de canaux  va permettre de contrôler l’irrigation d’une surface rizicole de 2100 hectares. Six mille ménages vont bénéficier de cette infrastructure. « Ce barrage va permettre d’accroître la production, ce qui permettra aux agriculteurs d’accroitre leurs revenus... La réalisation de ce barrage a été financée avec  le soutien de la Banque mondiale à travers le projet Bassins versants et périmètres irrigués (BVPI) mis en œuvre également dans les régions de l’Itasy, l’Alaotra-Mangoro et Boeny.

Bill dans Tribune de Madagascar
World Parks Congress de Sydney. D’après le premier responsable de la Fondation des aires protégées, il nous faut – à raison de 3 dollars/ha –, quelque 18 millions de dollars par an pour préserver notre environnement des prédations et espérer un développement durable.

Mikama - Nov 6, 2014

Racl.R dans La Nation
L’Etat va devoir rembourser ses dettes contractées aux bailleurs de fonds à partir des deniers publics. D’un montant de 252,7 milliards d’Ariary, les dettes de l’Etat à l’endroit des bailleurs de fonds ainsi qu’aux divers créanciers à qui l’Etat a emprunté de l’argent devraient être remboursées en 2015. D’après le projet de loi de finances 2015, la répartition de ces dettes s’effectue ainsi, 191,9 milliards d’Ariary en dette principale, 22 milliards d’Ariary pour les dettes à la Russie et environs 60 milliards d’intérêts.

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Une société nationale des Mines et une société nationale du Pétrole seront créées. La réforme du code minier ne fera pas de l’ombre à l’Omnis. Les sociétés nationales joueront des rôles commerciaux. Elles peuvent mener leurs propres travaux d’exploration, mais pourront également travailler en partenariat avec des sociétés étrangères désirant travailler à Mada­gascar. Néanmoins, selon les explications de Joeli Valérien Lalaharisaina, ceux qui veulent investir à Madagascar ne seront pas obligés de signer des partenariats avec ces sociétés. « Le partenariat avec les sociétés nationales ne sont pas des passages obligés, mais des passages privilégiés. (..) Concernant le processus de réforme du code minier, la première étape qui consistait à faire l’état des lieux et à recueillir les divers avis après des ministères concernés vient d’être bouclée. Le département de Joeli Valerien Lalaharisaina va maintenant élargis le champ de consultations vers les autres parties prenantes comme les opérateurs, la société civile et les collectivités décentralisées.

Racl.R dans La Nation
D’après le constat de quelques organismes, il y a actuellement environs 300.000 jeunes qui entrent chaque année sur le marché du travail mais d’après les constats, il se peut qu’il y aura environs 750.000 jeunes d’ici peu.

Mikama - Nov 5, 2014

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Les cinq grands objectifs spécifiques assignés au Programme Sectoriel Agriculture, Elevage, Pêche (PSAEP) basés essentiellement sur l’accélération de l’augmentation des revenus des ménages ruraux et le développement d’une population d’exploitants agricoles et de PME transformatrices performantes sont : 1 - Etendre les espaces/zones de production et assurer la durabilité de l’exploitation des ressources, 2 - Améliorer la productivité, promouvoir des systèmes de production durables et compétitifs et développer la recherche Agricole appliquée, 3 - Contribuer à la sécurisation alimentaire et nutritionnelle des ménages vulnérables et à la réduction des risques pour les vulnérables, 4- Développer l’accès aux marchés nationaux et promouvoir le repositionnement de l’exportation malgache, 5 - Améliorer la gouvernance du secteur AEP et renforcer la capacitation des acteurs.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
L’État entend travailler d’arrache-pied pour améliorer les recettes fiscales en 2015. Selon les prévisions,  le taux de pression fiscale devrait passer de 11,6% cette année à 12,3%. En termes de recettes, le projet de loi de finances initiale 2015 table sur un volume de 3 614,0 milliards ariary contre 3 044,9 milliards en 2014, soit une différence de 569 milliards ariary équivalant à 18,7%. (..)  Pour 2015, les recettes de droit de douane subiront un déficit évalué à  moins 10%. Selon les prévisions, les recettes fiscales attendues se chiffrent à 3 552 milliards ariary, dont 1 791,5 de recettes fiscales intérieures et 1 760,5  de recettes douanières.

Racl.R dans La Nation
Priorisée par le fokontany de Fanovana et validée par la commune d’Ambatovola, la mise en œuvre de ce projet [construction de deux passerelles longues de 11,5 m chacune] a vu la contribution de toutes les parties prenantes. En tant que maître d’ouvrage et gestionnaire du projet, la Commune elle-même a assuré le recrutement des tâcherons, le contrôle des travaux et la maîtrise d’œuvre par la conception du design des deux passerelles. Le fokontany et toutes ses populations ont assuré la fourniture des matériaux locaux dont 26m3 de sable de rivières, de 22m3 de gravillons 5/15 et l’ouverture de la piste de 1 km en HIMO. La compagnie minière a fourni des matériaux de construction et payé les tâcherons.

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Il est 17h. Les quartiers de la haute ville sont à peine visibles depuis la place de l’Indépendance à Analakely. Une épaisse fumée couvre une partie des quartiers, y compris le palais de la Reine. (..) « Ce sont les feux de pâturage et de culture sur brûlis non maîtrisés qui provoquent cette fumée épaisse » conclut le météorologue d’Ampandria­nomby.

Mikama - Nov 4, 2014

Noella Rakoto dans Newsmada
Le marché des bons de trésor par adjudication (BTA) n’est pas encore réglementé. Les Etats-Unis proposent à l’Etat malgache leur assistance pour y apporter une amélioration et étendre la zone d’échange. Pour faire face à ses besoins de liquidités, l’Etat malgache fait appel aux bons de Trésor par adjudication auquel des soumissionnaires répondent selon les montants qu’ils proposent et à des taux différents. (..) Si l’on compare les résultats des soumissions de bons de trésor par adjudication sur les 5 dernières séances, l’on peut constater que les montants des annonces varient entre 55 et 70 milliards d’ariary. Ce montant important de 70 milliards d’ariary a été proposé le 24 septembre dernier, auquel les soumissionnaires ont répondu par une offre de 56, 17 milliards d’ariary. Des soumissions qui ont toutes été acceptées par l’Etat. Il en fut de même pour la date du 22 octobre dernier où l’Etat a annoncé 59 milliards d’ariary et auquel les soumissionnaires ont répondu à hauteur de 74,56 milliards d’ariary.

Racl.R dans La Nation
Il semble que le développement ne se pas aussi pour 2015 à en juger les prévisions de loi de finances 2015 avec une dépense totale de 4 288,4 milliards d’Ariary. En effet, 70% de ce budget soit environs 2 998,4 milliards d’Ariary seront prévus pour combler les dépenses courantes et les salaires des fonctionnaires de l’Etat.

Racl.R dans La Nation
D’après le bulletin mensuel Tahiry n°47 du Trésor public, la compagnie Air Madagascar endosse des dettes fiscales qui s’élèvent actuellement jusqu’à 44 935 546 529,54 MGA. « Chose inadmissible pour une société! », souligne le bulletin Tahiry n°47. Comme l’explique le Trésor public, « les pertes considérables enregistrées par Air Madagascar ne datent pas d’il y a cinq ans mais de quelques décennies.

Mikama - Nov 3, 2014

Tsiry Andrianina dans Newsmada
Le projet de loi de Finances 2015 prévoit un taux de croissance de 5% et entend mettre l’accent sur le secteur secondaire qui portera essentiellement cette progression. L’Etat devra déployer des efforts particuliers pour améliorer le recouvrement fiscal afin d’atteindre le taux de pression fiscale estimé à   12,3% du PIB vers la fin de l’année 2015. (..) Taux de pression fiscale à 12,3% du PIB .. 4 889 milliards d’ariary de dépenses

Had'Nah dans La Nation
Salon de l’agroalimentaire et de la cuisine. Le FUNHOL intéresse beaucoup les visiteurs. Le stand dédié à l’énergie renouvelable FUNHOL a attiré de nombreux visiteurs durant le salon de l’agroalimentaire et de la cuisine qui s’est déroulé dernièrement au palais des Sports et de la culture à Mahamasina. 12.000 décès par an sont attribués à des infections respiratoires provoquées par l’utilisation du charbon de bois et du bois de chauffe. (..)  Propre, abordable et pratique, le FUNHOL ainsi que le « foyer à éthanol » contribuent beaucoup à la protection de l’environnement et à la réduction des dépenses énergétiques des ménages en matière d’énergie de cuisson.

Racl.R dans La Nation
D’après la Jeune Chambre Internationale Ilon’Iarivo, le taux de chômage chez les jeunes de moins de 25 ans est évalué à plus de 70%, soit environ 6 millions de personnes.

Racl.R dans La Nation
« Certains articles du code minier actuel sont sources de spoliation des droits des populations sur les terres lors de l’installation de nouvelles sociétés minières car ils amènent les autorités de l’Etat à accorder la priorité aux projets des sociétés minières », explique le collectif TANY dans un communiqué à la presse.

Y.L dans La Gazette de la Grande-Ile
Cluster ou grappe des entreprises: Un concept adéquat pour Madagascar... Pour information, le  cluster ou grappe d’entreprises est un mode d’organisation au sein d’un conglomérat d’entreprises d’un même secteur d’activité entretenant entre elles des relations de coopération coordonnées par une structure d’animation s’appuyant sur des partenariats avec les institutions locales, mettant en œuvre des projets collectifs pour relever des défis communs.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
L’agriculture familiale est un ensemble des activités agricoles reposant sur la famille. Cette dernière gère elle-même son exploitation à petite et moyenne échelle couvrant une superficie totale entre 200 et 300 ares et qui est caractérisée par une faible mécanisation et d’utilisation d’engrais.

Léa Ratsiazo dans Tribune de Madagascar
La proportion des commerçants détaillants augmente de 7 points, passant de 30 % au premier trimestre 2014 à 37 % au deuxième 2014. (..) Par ailleurs, la proportion des nouveaux transporteurs augmente de 12,8 % au deuxième trimestre 2014 par rapport au premier trimestre 2014... Bref, la majorité de petits opérateurs privés enregistrés au deuxième trimestre sont des commerçants détaillants, des restaurants-bars ou hôtels et des transporteurs (taxi-be, taxi-brousse et transport de marchandises). (..) Par contre, le nombre des entreprises unipersonnelles à responsabilité limitée (EURL) diminue de 14 % (125 nouvelles EURL au premier trimestre 2014 contre 108 EURL au deuxième trimestre 2014)...  la moitié des SARL et des EURL démarrent leurs activités avec 2 000 000 ariary ou moins et la moitié des EI avec 1 000 000 ariary ou moins.

Fahranarison dans Newsmada
Une émission de téléréalité qui sort de l’ordinaire ! Il s’agit du concours « Master business Academy » qui verra le jour d’ici quelques semaines à l’initiative de la Jeune chambre internationale Ilon’Iarivo. De quoi promouvoir l'entrepreneuriat, « une mission toute indiquée pour la JCI Ilon’Iarivo qui se fixe comme mission de donner aux jeunes les opportunités de développement pour leur permettre de créer des changements positifs », a souligné sa présidente, Sanda Solofoson Randriamifidimanana.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
2,4 milliards  d’ariary. C’est le montant des bourses allouées aux vingt-et-un centres de formation agricole de Madagascar. Près de 2800 étudiants en seront les bénéficiaires pendant deux ans.