Mikama - Nov 14, 2014

Lova Rabary-Rakotondravony dans L'Express de Madagascar
Capitaine Andriamparany Ravelonarivo : « Les ports de la Grande île ne sont plus adaptés ». Le coordonnateur national du Collectif des officiers de la marine marchande malagasy, expert maritime international... À Maurice, ils ont en projet une infrastructure capable d’accueillir 14m de tirant d’eau, chez nous, dès que les containers arrivent sur des grands bateaux de première catégorie, il faut les transborder sur des bateaux plus petits à Durban, à Maurice ou à La Réunion avant qu’ils arrivent ici. Il y a un projet pour agrandir la capacité de Toamasina à accueillir des navires plus gros, mais quand ce projet arrivera à terme en 2020, Maurice sera déjà loin. Par ailleurs, les ports secondaires qui permettaient l’exportation de milliers de tonnes de produits d’exportation comme le café, le litchi, le girofle, le sucre et bien d’autres ne sont plus capables de le faire.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Dago Trade a débuté ses activités en février.  Elle travaille avec cinq à six fournisseurs de Tsiroanomandidy, d’Andramasina et de Moron­dava pour atteindre son quota d’exportation  de 22 à 44 tonnes de viande par mois. Les activités de la société ne se limitent pas au seul abattage de zébus. Avec deux chaînes de transformation, l’entreprise s’active particulièrement à la préparation de viande destinée à l’exportation, par procédé de congélation pour la viande crue ou de séchage pour la viande semi-cuite. Le transport des marchandises se fait par voie maritime jusqu’au Vietnam, importateur des produits de la société.  Les parties de viande, qui ne sont pas destinées à l’exportation, tels que les abats et les pieds, sont proposés à prix bradés aux employés.

C.A. dans La Gazette de la Grande-Ile
En effet, le ministère d’Etat en charge de l’Equipement, des Infrastructures et de l’Aménagement du territoire ne devrait avoir droit qu’à 64,5 milliards Ar pour 2015, contre 27,9 milliards Ar pour celui de l’Energie. (..) Face au budget d’autres départements comme l’éducation (714,2 milliards Ar) et la santé (plus de 333 milliards Ar) qui sont des secteurs sociaux très importants, les infrastructures sont plutôt les parents pauvres du budget public pour 2015. Le seul qui pourrait tirer quelque peu son épingle du jeu est le ministère des Travaux publics avec un crédit de 231,8 milliards Ar pour 2015. Et on se demande pourquoi un Sénat non encore existant devrait être doté de 12,3 milliards Ar.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
28,5 millions d’euros. C’est le coût prévu par la société Hydelec Madagascar du groupe italien Tozzi holding associé au groupe Sipromad, pour la construction de la centrale hydroélectrique de Farahantsana sur l’Ikopa. (..)  la déforestation et les feux de brousse contribuent à tarir les sources d’eau et à ensabler les rivières. Un phénomène qui pourrait compromettre l’exploitation des 500 sites hydroélectriques potentiels dont la puissance totale est estimée à 7 800 MW. (..) Notons que Hydelec exploite déjà la centrale de Sahanivotry à Antsirabe (15 MW) et celle de Maroantsetra (2,4 MW).

Latimer Rangers  dans Midi Madagasikara
Panoramique et gros-plan sur l’operation coup d’arret Un grand Reportage de Latimer Rangers

Anjara Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
L’inauguration des infrastructures d’adduction d’eau potable à Mahazaza le 12 novembre dernier ... un chantier qui a coûté 43 606 USD entamé en mai dernier... bénéficiera à près de 1 400 personnes du village Mahazaza, dans la commune rurale d’Antanetibe Mahazaza dans le district d’Ambohidratrimo. Ce projet a été réalisé grâce aux membres du Rotary E-clubs...

Racl.R dans La Nation
Madagascar n’en profite pas autant que les étrangers. Beaucoup d’économistes ont réclamé la révision des Accords de partenariats économiques ou APE car ils profitent plus aux étrangers qu’aux entreprises malagasy. Ce qui est surprenant, d’après certaines analyses, c’est que malgré plusieurs accords de partenariats économiques, le pays reste à la traîne du développement. Il a été remarqué, à l’exception de quelques opérateurs, qu’il est encore difficile pour les entreprises malagasy de s’attaquer aux autres marchés comme celui de l’Union européenne qui est pourtant un des signataires de l’APE-Intérimaire.

Racl.R dans La Nation
L’exportation du nickel, produit par la société Ambatovy a déjà dépassé les recettes d’exportation de tous les autres produits. Le nickel va encore à cet effet prendre le dessus sur l’ensemble des produits d’exportation car les recettes générées par ses exportations atteindront la barre de un milliard de dollars par an contre environ 650 millions de dollars pour les textiles, le girofle, la crevette et la vanille réunis, selon l’INSTAT en 2012.

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