Mikama - Apr 29, 2016

V.M. dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar


Les divers services, dont le centre fiscal, la direction de la statistique et le registre de commerce, avaient posé comme objectif de formaliser 200 entreprises en trois jours. Avec près de 600 entreprises crées, cet objectif est largement atteint et l’opération est une belle réussite. Ces trois jours de création foraine d’entreprises étaient précédés de fortes sensibilisations auprès de la population d’Antsiranana. Les petits entrepreneurs étaient les cibles. Rakotoarinosy a exercé ses activités dans l’informel pendant un an et a obtenu les documents de création de son atelier mécanique durant cette création foraine d’entreprises. Pour lui, le guichet unique facilite la tâche des entrepreneurs et accélère la procédure

FR dans Madagascar Matin
L’Arfs, faisant partie du programme Asa ou Programme agro-sylvicole autour d’Antananarivo, au montant total de 4 millions d’euros, le programme Arfs de 4 ans répond à trois objectifs à savoir la dotation de 75 communes rurales de la zone d’intervention du programme Asa de dispositif de sécurisation des droits fonciers, de gestion du territoire et de fiscalité foncière ; Permettre à 25 000 exploitants agricoles de ces communes d’accéder à un foncier agricole dans des conditions de sécurité afin qu’ils intensifieront leur production

Dans La Gazette de la Grande Ile
Les prix de l’énergie, incluant le pétrole, le gaz naturel et le charbon, devraient baisser de 19,3 % en 2016 par rapport à l’année précédente, recul moins prononcé que les 24,7 % prévus dans l’édition de janvier du Commodities Markets Outlook. Les cours des produits non énergétiques, tels que les métaux, les minerais, les produits agricoles et les engrais, devraient diminuer de 5,1 % cette année, alors que la baisse avait été projetée à 3,7 % en janvier. (..) La faiblesse des prix des produits de base compromet les perspectives de croissance de nombreux pays riches en ressources naturelles qui ont connu une poussée des activités de prospection, des investissements et de la production durant le boom des produits de base des années 2000. Les pays qui ont beaucoup emprunté et investi dans l’espoir d’une accélération de la croissance pourraient avoir des difficultés à assurer le service de leur dette ... Les prix du pétrole et des métaux étant aujourd’hui inférieurs de 50 % à 70 % à leurs sommets du début de 2011.


Mikama - Apr 28, 2016

R.Edmond dans Midi Madagasikara
 D’après les statistiques, il y a actuellement plus de ressortissants chinois que français à Madagascar. Après l’Union Européenne, c’est la Chine qui est la deuxième partenaire commerciale de la Grande Ile. Mieux la Chine est actuellement la première importatrice des produits en provenance de Madagascar. Les échanges n’ont pas cessé d’augmenter pour atteindre un chiffre record de 668 millions USD en 2015. Par ailleurs, des entreprises chinoises spécialisées dans des domaines très variés ont investi environ 740 millions USD à Madagascar.

Nathan Raherivelo dans L'Express de Madagascar
11 % seulement des entreprises  franches de l’industrie textile fournissent des équipements de protection individuelle à leurs employés, une disposition pourtant obligatoire selon la législation.
Seulement la moitié des entreprises du secteur déclarent affilier leurs employés à la CNAPS. Plus de 40 % des travailleurs et leurs familles sont totalement privés de prestations sociales élémentaires. Pire, un nombre assez important d’entreprises ont arrêté le versement des cotisations sociales, consécutivement à la conjoncture politique. Les risques et les cas réels de maladies professionnelles sont occultés, dûs au manque  de connaissance des maladies professionnelles, et aux lacunes relatives à la désuétude des textes et règlementations dans ce domaine.

Fahranarison dans NewsMada
... la défécation à l’air libre. Cette pratique concerne encore à l’heure actuelle plus de 157.000 villages malgaches sur 170.000. Ainsi, seulement 13.000 villages soit 7% ont actuellement le statut «Sans défécation à l’air libre» (Sdal). (..) Dans son élan, le FAA [Fonds d’appui pour l’assainissement] déploie également ses efforts au niveau des communautés dans ses zones d’intervention à travers le pays. En décembre 2015, 17.271 communautés ont été touchées par les activités de déclenchement communautaire, et l’organisme compte en arriver jusqu’à 28.000 communautés déclenchés d’ici la fin de cette année.

Mikama - Apr 27, 2016

Dans Madagascar Matin
Un entrepreneur sur six (16%) qui a été inspecté au moins une fois au cours des douze mois précédant les enquêtes de la Transparency International a déclaré qu’un « cadeau ou paiement informel » lui a été demandé par un inspecteur de l’administration au cours d’une visite dans les locaux de son entreprise. En majorité (71 %), ces entrepreneurs ont fait face à une seule demande de pot-de-vin. Pour les autres (29 %), le nombre de demandes durant l’année écoulée dépasse la dizaine. Pour ce qui est du montant total de pots-de-vin versés aux inspecteurs de l’administration, elle dépasse 1 000 000 ariary dans 40 % des cas.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
57,4% de l’électricité produite par la Jirama sont issus de l’hydroélectricité, selon les données du dernier tableau de bord économique de l’Institut national de la statistique (INSTAT). Ce chiffre concerne l’année 2015, et pour 2014, il a été de 59,5%. Comme quoi, on constate un recul et c’est au profit de l’énergie thermique, donc issue des centrales à gasoil et à fuel. (..) Pire, il recule même puisque dans les années 90, la part de l’hydroélectricité a déjà dépassé les 70% de la production totale. (..) Il se contente d’allouer tous les ans des méga-subventions à la Jirama (300 milliards Ar pour 2016 dont 200 milliards pour l’achat de gasoil et de fuel). Ces subventions sont jugées comme injustes et scandaleuses par les bailleurs de fonds : elles servent les 15% d’abonnés de la Jirama censés avoir un pouvoir d’achat relativement supérieur à celui des 85% non raccordés à l’électricité. Or, ces subventions sont prélevées sur les recettes publiques et donc sur les obligations fiscales payées par les contribuables, qu’ils aient ou non l’électricité chez eux.

Nirina Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
A partir de ce mois de mai, l’Office Malgache des Propriétés Intellectuelles (OMAPI) prévoit de faire 1 000 visites dans la Capitale. Les principales cibles sont les entreprises, les créateurs, les inventeurs, les chercheurs ou encore les groupements des opérateurs. </strong></p><p>En cinq ans, l’Office Malgache des Propriétés Intellectuelles (OMAPI) a reçu 11 435 dépôts de demandes de titres, alors qu’en 17 ans, de 1994 à 2010, quelque 20 556 dépôts étaient enregistrés. Cette augmentation s’explique par un grand travail effectué par l’OMAPI.

Mikama - Apr 25, 2016

Bill dans Madagascar Tribune
Le succès du projet pilote « Vatsin’Ankohonana » dans le district de Betafo (Betafo, Antsoso, Soavina, Inanantonana, Ambohimasina, Alakamisy Anativato, Tritriva ) dans la région Vakinankaratra, a permis d’étendre le programme de Transfert monétaire pour le développement humain (TMDH) d’un montant de 40 millions de dollars US. Ce sont dorénavant 39 000 ménages de 53 communes de 5 régions de Madagascar. (..) Le projet Vatsin’Ankohonana, financé à hauteur de 1,3 millions de dollars US par la Banque Mondiale dans le cadre du programme de Filets sociaux de sécurité (FSS), a démarré le mois de septembre 2014 pour une durée de trois ans. Il s’agit d’octroyer aux ménages extrêmement pauvres une bourse familiale à hauteur de 20 000 Ar à 40 000 Ar tous les deux mois, en fonction du nombre d’enfants.

Dans La Gazette de la Grande Ile
1 461 candidatures de 126 pays ont été reçues en 2015 pour le Prix Equateur. Seule une vingtaine de communautés ont été primées. L’Union Soamitambatra de Madagascar est l’une d’elles. Six communautés malagasy ont été sélectionnées parmi les lauréats de ce Prix Equateur depuis son lancement en 2002. (..) L’Union Soamitambatra travaille avec 6 589 personnes de dix villages. Avec une meilleure gestion communautaire de la forêt Badika et des lacs, les revenus des communautés en matière de vente de poissons et d'autres produits ont atteint quatre fois le salaire minimum pour le pays. La fréquentation à l'école primaire est passée de 30 à 90 pour cent. Les agriculteurs ont fait la transition à une variété de semences à cycle court comme le riz, le maïs et les arachides pour diversifier leurs activités agricoles. Les frayères pour les poissons ont été protégées, des normes de durabilité ont été promues pour garantir l’abondance des poissons et le volume des prises. En tout, près de 15 000 hectares de forêts et 65 hectares de lacs sont gérés intégrant la gestion des ressources naturelles avec la durabilité économique et sociale.

Minoo M. dans La Gazette de la Grande Ile
Toutes les personnes ayant franchi notre grande île ne nient pas la beauté de notre pays. Cultures en cascade et très diversifiées sur les hautes terres centrales, lagons bleus à perte de vue sur les côtes, une surface forestière de 21.4% du territoire, selon la Banque mondiale en 2015, font de notre nation une île paradisiaque. Malheureusement, la médaille a un revers : la saleté des villes.

Mikama - Apr 20, 2016

Nirina Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
Plus de la moitié de la population malgache a moins de 18 ans, selon le chiffre avancé par l’UNFPA. 53,8% de la population est composés de jeunes de moins de 20 ans avec près de 32% des jeunes entre 10 et 24. L’exploitation sexuelle des enfants et adolescents reste encore difficile à combattre.

Miangaly Ralitera dans L'Express de Madagascar
L’adduction d’eau potable, une mine d’or pour les paysans de Miarinarivo. Les habitants de Manazary, dans le district de Miarinarivo, se réjouissent pleinement de l’installation de quelques bornes fontaines dans leur cour, grâce au programme Accès rural à l’eau potable et à l’assainissement (AREA), cofinancé par la délégation de l’Union Européenne. (..) « en tout, on vise sept cent mille bénéficiaires sur onze régions cibles jusqu’en 2018, fin du programme. On constate que les bénéficiaires atteignent la moitié de cette cible, à mi-chemin du programme ». Toutefois, il reste un long chemin à faire, pour pérenniser ces infrastructures. Pour le moment, les bénéficiaires paient 1 000 ariary par mois et par foyer, pour entretenir ces ouvrages.
12 mois après le projet, la gestion des ouvrages sera attribuée à la communauté. Ce mode de gestion présente encore des résultats négatifs. Dans la région de l’Itasy, le taux d’adduction d’eau potable est élevé, selon les statistiques, plus de 70% de la population en bénéficierait.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Une Jirama toujours en crise et qui continue de bouffer les deniers publics (300 milliards Ar pour 2016), une Jirama, et encore elle, qui évolue avec des statuts obsolètes et donc une Jirama hors-la-loi, un taux d’électrification parmi les plus faibles en Afrique (15% contre 35% à l’échelle continentale)… La consommation d’électricité pour l’éclairage public n’a connu qu’une faible croissance de 2% en 2015. Elle représente seulement 0,6% de la consommation totale. Pour les ménages, la croissance de la consommation a été de 3,5% l’année dernière, contre 1,2% pour l’industrie et le secteur des services.

Mikama - Apr 18, 2016

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Identifier et cartographier le potentiel des investissements pour l’eau agricole en faveur des petits exploitants. Tel est l’objectif de la mission d’une équipe d’experts internationaux de la FAO du 11 au 16 avril 2016. En fait, Madagascar fait partie des pays bénéficiaires du projet financé par le FIDA (Fonds International de Développement Agricole) qui vise à renforcer l’efficacité et la durabilité des investissements hydro-agricoles afin de lutter contre la pauvreté.

FR dans Madagascar Matin
Juan de Nova – La France arrête encore des pêcheurs malgaches. A quelques mois de la tenue de la Francophonie à Madagascar, la France montre ses dents envers les pêcheurs malgaches et démontre aussi à Madagascar que les îles Eparses appartiennent désormais à la mère patrie. Les autorités ont bien déclassé le dossier îles éparses au fonds de leur tiroir en échange de l’appui de la France.

Nathan Raherivelo dans L'Express de Madagascar
Allier impératif écologique, rentabilité économique et entraide à partir d’un simple geste citoyen : jeter ses déchets dans les bacs à ordures. Telles sont les maximes qui ont fait naître le projet Fakotôry, lancé au début de ce mois d’avril. Ce start-up de jeunes qui accompagne actuellement douze activités précaires, et à la fois projetant de réduire les déchets de la capitale de 11% d’ici janvier 2017, ambitionne de répondre aux problèmes de pollution dans les grandes villes. Il veut également contribuer à l’amélioration des conditions de vie des personnes défavorisées et marginalisées, qui représentent la majorité de la population malgache.
Dans la pratique, Fakotôry, c’est le recyclage des déchets et la création de nouveaux produits d’usage quotidien et à design unique.

Miangaly Ralitera dans L'Express de Madagascar
En 60 ans d’existence, la protection sociale a connu de grandes évolutions à Madagascar.
« A ses débuts, elle assurait les prestations familiales. Ensuite, les rentes des accidents de Travail ont été ajoutées. En 1969, on a ajouté la pension de retraite », a retracé Henri Rémi Botoudi, Président du Conseil d’Administration de la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale (Cnaps), lors de la messe œcuménique, pour la célébration du 60e anniversaire de la Protection sociale à l’Ekar Ambatonilita, vendredi.
Pour le moment, seuls les travailleurs des secteurs privés bénéficient de la couverture sociale. La Cnaps veut élargir ses réseaux avec les travailleurs indépendants, essentiellement les paysans, dont l’étude de faisabilité est déjà en cours.

Arh. dans NewsMada
Seulement 0,3% des exploitants agricoles, en particulier les riziculteurs, arrivent à se procurer du matériel motorisé pour l’amélioration de leur rendement. Plus de 97% des agriculteurs malgaches travaillent encore à la bêche et utilisent la charrue à traction animale (enquête filière riz FA0/UPDR 2000). (..) La Stratégie nationale de mécanisation rizicole (SNMR) a été approuvée en conseil des ministres en mai 2015. La SNMR s’articule autour de trois axes stratégiques. Le premier consiste à faciliter l’accès aux matériels agricoles.. En 2015, 60 000 organisations de producteurs paysans avaient été appuyées par le gouvernement malgache.

Arh. dans NewsMada
Le volume et la valeur des exportations d’huiles essentielles ne cessent d’augmenter. De 25 000 tonnes en 2008, ce volume continue à évoluer pour atteindre 65 000 tonnes en 2011. La part d’exportation de 0,91%, en 2008, sur la totalité des produits exportés de Madagascar atteint 2,91% en 2011 (Instat). Malgré cette nouvelle donne, la Grande île n’arrive à satisfaire que seulement 1% de la demande internationale.

Mikama - Apr 15, 2016

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
L’exportation des denrées alimentaires ne cessent d’augmenter. Selon les statistiques publiées par le service des douanes hier, l’exportation des céréales, épices, fruits et légumes au premier trimestre de cette année a atteint les 25 700 tonnes, soit une valeur de 607 milliards d’Ariary. (..) Ces dernières années, le volume d’exportation dans ces filières affiche une courbe ascendante. Celle-ci passe de 135 000 tonnes en 2014 à 177 500 en 2015. Elle a même presque doublé.

Nathan Raherivelo dans L'Express de Madagascar
L’esprit d’entrepreneur a été au centre des discussions et de partage à travers le success story des trois intervenants, Andry Rasamoelina du Groupe First, Rivo Rakotondrasanjy, gérant d’Obio Hamy et Secrétaire Général du Fivondronan’ny Mpandraharaha Malagasy (FIVMPAMA), et Jessica Rakotoarisoa, ambassadrice du produit Nomad.
« Dans tout le processus de création et de développement de produits, on a intégré les utilisateurs, en amont et en aval. Autrement dit, on a anticipé et étudié les besoins des clients pour créer un produit adapté avec un volume déjà défini »...

FR ans Madagascar Matin
le Ministère a octroyé un financement de 340 millions d’Ariary à l’Ontm pour la promotion de Madagascar à travers le salon international du tourisme, évènement qui aura lieu du 2 au 4 juin prochains, le salon Indaba à Durban au mois de mai 2016, le salon top Résa à Paris au mois de septembre 2016, le salon Ttg Rimini au mois d’octobre 2016 et le salon Wtm Londres au mois de novembre 2016.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Les problèmes de disponibilité et d’accessibilité alimentaires sont maintenant généralisés au niveau des 4 Districts de l’Androy et du District d’Amboasary Atsimo, rapporte le Bulletin Système d’Information sur la Sécurité Alimentaire et la Vulnérabilité (SISAV) n°22-Période couverte : Janvier-Février 2016.Les réserves alimentaires au niveau des ménages sont épuisés, les aliments de base se font rares au niveau des marchés et se vendent à un prix élevé. Seuls 19% des Communes disposent encore de riz, et la pénurie de riz est signalée au niveau de 4% des communes observées.

Mikama - Apr 13, 2016

Dans La Gazette de la Grande Ile
La situation à Madagascar est l’une des plus critiques au monde, car ce problème touche 50 % des enfants de moins de cinq ans… Le Programme national de nutrition communautaire de Madagascar est mis en œuvre sous diverses formes depuis 1993. Aujourd’hui, il gère 7 000 sites implantés dans cinq régions rurales et destinés à aider 2,1 millions de mères et d’enfants de moins de cinq ans. Au début, l’ampleur et l’intensité des actions menées étaient impressionnantes, mais une succession de crises politiques et économiques a limité la portée des premiers succès. Les résultats d’une étude d’impact à long terme et à séries multiples (1998-2011) ont montré que si le programme avait un certain effet sur le poids, réduisant ainsi la prévalence de l’insuffisance pondérale chez les enfants, il n’avait pas d’impact significatif sur la taille par rapport à l’âge, donc sur le retard de croissance staturale. Dans un pays où 50 % des enfants souffrent d’un tel retard, la situation était alarmante.

Nadia dans NewsMada
Selon les données fournies par le Comité national des mines (CNM), «l’artisanat minier fournissait vers les années 2000 la totalité de la production d’or (1,5 tonne par an) et près de 60% des exportations minières de Madagascar en matière de pierres précieuses et de pierres fines. Au cours de cette période, le saphir et le rubis de Madagascar constituaient 30% de la production mondiale». Toutefois, force est de constater que le secteur ne contribue aucunement au développement durable.

Fahranarison dans NewsMada
L’or bleu demeure inaccessible à plus de 11 millions de personnes dans la Grande île, soit presque la moitié de la population. (..) 48% de la population sont privés d’eau potable en ce début d’un nouveau périple de 15 ans, qui consiste à assurer un accès universel à l’eau potable d’ici 2030. Avec une telle statistique, la Grande île est classée en queue de peloton dans ce domaine à l’échelle mondiale. Madagascar figure ainsi parmi les dix pays ayant un taux d’accès à l’eau le plus bas. (..) Toujours d’après ce rapport, 50 litres d&rsquo;eau coûtent plus de la moitié du salaire quotidien de bon nombre de ménages dans certains villages de la Grande île. Même dans les villes, l’accès à l’eau auprès des bornes-fontaines communautaires n’est plus tout à fait gratuit...

Anatra R. dans La Vérité
Le « fitampoha » ou le bain des reliques royales est une tradition du royaume sakalava dans la Région du Menabe, sur la côte ouest de Madagascar. La cérémonie aura lieu tous les dix ans. Elle consiste à manifester l’attachement de la population à ses traditions et surtout à son roi. Auparavant, la fête a eu lieu sur un îlot de sable au bord du fleuve de Tsiribihina, près de la ville de Belo. Pendant trois jours, les participants vont revivre chaque épisode de l'histoire du royaume depuis les temps mythiques qui remontent de Dieu jusqu'aux derniers héritiers des anciens rois. La fête est clôturée par le bain des reliques dans le fleuve, un acte symbolique qui réactualise l'alliance fondamentale entre la dynastie et les premiers occupants du territoire.

Mikama - Apr 12, 2016

Dans La Gazette de la Grande Ile
Doing Business 2016 de la BM, Madagascar se situe au 164ème rang sur 189. (..) Selon le rapport 2015-2016 sur la compétitivité mondiale du Forum Economique Mondial, les principaux facteurs les plus problématiques à l’amélioration du climat des affaires à Madagascar sont entre autres: l’instabilité politique, l’accès au financement, la corruption, l’inadéquate fourniture en infrastructures, l’insécurité, les niveaux de taxation élevés, les lois et règlements et une main d’œuvre peu formée. La deuxième contrainte majeure est relative à la baisse drastique de l’investissement public et privé au cours de la dernière décennie. (..) En matière de transport routier, la densité du réseau national est de 9 km/km² à Madagascar, contre une moyenne de 35 km/km² en Afrique Sud saharienne et les routes en bon état ne représentaient que 10% de l’ensemble du réseau routier existant en 2013 (selon le PND). (..)  Le stock total d’arriérés, en novembre 2015, est estimé à 1 101,3 Mds MGA. Ainsi, les autorités s’étaient engagées à apurer 363,4 Mrds MGA en 2015. Le montant effectivement apuré à la date de novembre 2015 est de 116,8 milliards MGA, dont notamment plus de 60% aux fournisseurs de la JIRAMA et 17% aux distributeurs pétroliers et environ 10% pour le remboursement de TVA. Les autorités négocient le règlement des arriérés et factures en cours en émettant des bons du Trésor (titrisation) avec des maturités allant de 1 à 5 ans.

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
En baisse. Les exportations des entreprises franches ont diminué en 2015. Celles-ci sont passées de 658 millions de dollars en 2014 à 558 millions de dollars en 2015, selon les informations publiées par la Banque mondiale. « Madagascar a moins exporté vers l’Europe, alors que c’est ce marché qui a soutenu la reprise entamée en 2011 » (..) Cette baisse des exportations des entreprises franches a eu des impacts négatifs dans la performance économique du pays. « Mada­gascar a enregistré un taux de croissance économique à 3%  contrairement à l’estimation de 5% prévue dans la loi des Finances 2015. Cette mauvaise performance est surtout due à la baisse des exportations des entreprises franches, le cours du nickel sur le marché international, et la baisse des recettes dans le tourisme »

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Madagascar Southern Petroleum Company (MSPC) a découvert du gaz naturel sec exploitable, à 2 900 mètres de profondeur, dans l’Atsimo-Andrefana. (..) 20 milliards de mètres cubes de gaz prêt à être utilisés

Olivier de Souza dans Madagascar Tribune
Madagascar parmi les 10 meilleures destinations pour les firmes pétrolières (..) qui offre selon l’étude une « règlementation simple et attrayante » susceptible d’attirer de nombreux investissements, étant donné que le pays possède de vastes réserves de pétrole en offshore, surtout dans le canal du Mozambique, mais aussi en onshore.
Voici le classement
1- Mauritanie
2- Madagascar ...

Mikama - Apr 11, 2016

Randria M dans Madagascar Tribune
La rareté du raphia sur le marché local persiste et commence à devenir un sérieux problème pour les artisans malgaches. Ces derniers ne peuvent plus produire régulièrement, étant donné que le raphia constitue une de leurs matières premières. Le marché ne peut satisfaire les demandes des artisans. Le prix ne cesse de croître, allant de 800 Ariary le kilo à 2 000 Ariary en 2012, le kilo de raphia coûte maintenant 4 500 Ariary. Saisons ou exportation massive. Cela est dû à la déforestation dans les régions productrices de raphia comme Mahajanga, Antsiranana, Fianarantsoa ou Antananarivo ; il y a également le changement climatique qui perturbe les saisons et les cultures. Mais la principale cause en est l’exportation massive du raphia. En effet Madagascar approvisionne 75% des produits de raphia brut dans le monde.

Yvan Andriamanga dans Madagascar Tribune
D’après les statistiques révélées lors de cette journée, le diabète touche plus de 920.000 personnes dans l’île ; ce chiffre ne représente que les personnes recensées et dépistées. « Plusieurs millions de malgache sont atteints par cette maladie mais ne savent pas encore qu’ils le sont que lorsque la maladie prend des allures préoccupantes et devient grave »

FR dans Madagascar Matin
Le Service des Affaires Juridiques et du Contentieux (Sajc) de la douane a obtenu le « label probité » du Comité de Sauvegarde de l’Intégrité (Csi) en vertu du contrat de partenariat conclu avec la Douane le 9 juillet 2015. Au terme de longs et laborieux efforts pour se conformer aux normes, le Sajc se voit enfin décerner le fameux « label intégrité ». Auparavant appelé « label probité », au moment de son initiation en 2008, le processus a été mis en veilleuse depuis 2009 à cause de la crise.

FR dans Madagascar Matin
Le conseil d’administration de l’Ida ou association internationale de développement, en sa session du 22 mars 2016 a approuvé le financement du Pagose ou projet d’amélioration de la gouvernance et des opérations dans le secteur de l’électricité pour un montant de 47,1 millions de Dts, soit l’équivalent de 65 millions de dollars. (..) Le projet Pagose comporte 4 composantes...

Navalona R. dans Midi Madagasikara
La Banque mondiale vient d’accorder un prêt d’un montant de 53 millions USD, soit l’équivalent de plus de 166,9 milliards en Ariary pour la mise en œuvre d’un projet CASEF (Croissance Agricole et Sécurisation Foncière). « L’objectif consiste à améliorer la sécurisation foncière et l’accès au marché des ménages agricoles ciblés en milieu rural. Les populations rurales pourront ainsi en tirer profit grâce à la mise en place de nouveaux services complémentaires et par l’injection de nouveaux revenus »

Dans Le Daily
Comment Madagascar a créé son phénomène Dahalo... « la possession  du bœuf, un animal  sacré,  est  la  suprême ambition de  tout  individu Bara qui, ayant le  sentiment de  sa dignité, considère  comme légitime tout  moyen  de  s’en  procurer. Imbus  de  cette idée,  les audacieux et les  impatients  ne  résistent guère  à  la  tentation de  razzier armes  en  main  et  au  péril de leur  vie » (..)  Sous la forte pression de la loi de l’offre et de la demande sur le marché local, et surtout internationale, du commerce de la viande, les razzias à travers  les campagnes de Madagascar sont devenues de véritables expéditions militaires très proches de la guérilla.

R.Edmond. dans Midi Madagasikara
La réussite du groupe SOCOTA est exemplaire dans le paysage industriel malgache. Malgré une ambiance économique particulièrement morose provoquée par des années de crise, la branche textile et habillement du groupe a enregistré ces dernières années une croissance de 15%. Ce qui a permis au groupe SOCOTA de continuer à embaucher, pour pas moins de 1 000 emplois par an. Du coup, d’un peu plus de 7 000 actuellement, l’effectif du groupe SOCOTA franchira le cap des 10 000 emplois d’ici trois ans. Cette réussite de SOCOTA trouve avant tout son origine dans la compétence particulière de son Président Salim Ismail,

Mikama - Apr 8, 2016

Dans Madagascar Matin
Bien que la commission des thons de l’Océan Indien déclare que les thons (albacore, listao et thon obèse) et l’espadon cueillis dans les eaux malgaches et dans l’Océan Indien ne sont pas surexploités, Greenpeace et l’Ong Bleu Ventures ont donné une autre version. « L’Union européenne exploite les ressources des pays de l’Océan Indien sans en payer le juste prix, notamment à Madagascar », note Blue Ventures. Les captures de thon ne cessent d’augmenter alors que l’appui de l’Ue dans l’accord de pêche diminue. L’Ue palangre plus de 13 000 tonnes de thon par an au large des côtes malgaches contre 10 000 tonnes auparavant. Soulignons que Les captures de thon de l’Océan Indien représentent environ 20 % du total des captures mondiales dont 65 % dans la partie ouest de l’Océan Indien. L’Océan Indien détient les 25 % du marché européen des importations de conserves de thon. Une usine de conserves de thon (capacité de traitement de 36 000 tonnes par an) est basée à Antsiranana.

St Jacques Marino dans Madagascar Matin
Madagascar – 9.200.000 personnes souffrent du diabète... celui de « type 2 »  peut être favorisé par le surpoids, dont souffre un adulte sur quatre, ou l’obésité, concernant 10% des adultes.

Arnaud R. dans Midi Madagasikara
« Un mal silencieux ». C’est l’expression utilisée par le Coordonnateur National de l’Office National de Nutrition (ONN), Holy Malala Raobelina, pour qualifier la malnutrition chronique, un fléau national qui frappe actuellement 47 % des enfants malgaches de moins de cinq ans, soit deux millions d’enfants. (..) Tout de même, il faut souligner que Madagascar a témoigné d’un bon résultat en matière de nutrition, puisqu’en 1993 le taux de malnutrition était encore de 53 %.

Navalona R dans Midi Madagasikara
En 2015, les échanges commerciaux entre Madagascar et la Chine ont atteint une valeur de 668 millions USD. Soit, une augmentation de 35 fois par rapport au volume enregistré en 1990 ... on a recensé aujourd’hui plus de 1 400 entreprises chinoises qui sont venues y investir. Et le montant de leurs investissements s’élève à peu près 739 millions USD

Sera R. dans NewsMada
Les familles défavorisées, appelées sous le sobriquet de 4mi, qui habitent La Réunion kely d’Ampefiloha, comptent actuellement plus de 2 000 membres, selon le responsable de ce quartier (..) Les occupants sont répartis dans 218 toits dont plus de 60 % d’entre eux sont des enfants. La majorité d’entre eux sont issus du monde rural des régions, entre autres,Toliara, Fianarantsoa, Ambatondrazaka, sans compter celle d’Analamanga.

Mikama - Apr 7, 2016

Arh. dans NewsMada
A noter que la filière ne représente que 0,2% du PIB national, selon les données de l’Organisation internationale du café (ICO). Un taux moindre par rapport à celui de la riziculture irriguée, dont la part dans le PIB est estimée à 15%. Le pays produit environ 45.000 tonnes de café par an et en exporte près de 10.000. (..) Selon les statistiques de la direction générale des Douanes, l’exportation de café a généré 11 millions de dollars en 2010, 6,7 millions en 2011, 5,3 millions en 2012, 19,7 millions en 2013 et 15 millions l’année dernière. (..) Selon les dernières statistiques disponibles, la production de café à Madagascar a baissé de plus de 60% de 1960 à 2010. Le café constitue pourtant l’un des principaux produits d’exportation de Madagascar. A l’apogée de la caféiculture, 80% des revenus des ménages de la partie Est de Madagascar provenaient de la vente du café.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Identité: 95% des Malagasy s’identifient comme Malagasy. C’est la plus forte proportion enregistrée par Afrobaromètre ou le réseau de recherche panafricain et non partisan qui mène des enquêtes d’opinion publique sur la démocratie. 34 pays ont fait l’objet de la même enquête qui a porté cette fois-ci sur l’identité. (..) A Madagascar, seuls 7% des Malagasy se sentent plus de leurs groupes ethniques que de leur nationalité. Comme quoi, il est illusoire de compter sur un éventuel conflit ethnique si on se réfère à certaines menées de partis et groupes politiques. De plus, 49% des citoyens se sentent uniquement Malagasy. 50% déclarent être fiers d’être appelés « Africains » si l’autre moitié ne l’est pas ou est indifférente à la question.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Si ailleurs, les bourses sont accordées aux étudiants les plus méritants, elles sont pour tout le monde dans les universités malagasy. Histoire de donner à tous ces jeunes les mêmes chances pour poursuivre leurs études. Et dans un pays très pauvre comme Madagascar, les bourses au niveau de l’enseignement supérieur sont une évidence, d’autant plus que moins de 5% des bacheliers ont la possibilité d’accéder à l’enseignement supérieur.

Jir dans L'Express de Madagascar
Humanitaire – « Médecins océan Indien » à Maroantsetra. 13 ans après, le docteur Firoze Koyt-cha et son équipe renouent avec une zone particulièrement enclavée au Nord-Est de Madagascar, avec un triple objectif de soigner, d’enseigner et d’informer. (..) Durant ces deux semaines, quelques 8 000 patients seront passés au crible. « Nos équipes seront à pied d’œuvre de 8 heures à 21 heures tous les jours, à l’exception du dimanche. En moyenne, chaque jour, chacun de nous consultera une soixantaine de personnes. »

Mikama - Apr 6, 2016

Bruno Salomon Ramamonjisoa dans World Policy
Since the 1960s the gross domestic product per capita has decreased significantly, from $460 to less than $272 in 2014. Despite the establishment of a structural adjustment program in 1988 and an environmental protection program in 1990, basic living conditions have not improved, 76.5 percent of the population is still below the poverty line, and the illegal exploitation of natural resources such as forest and mineral products continues even in protected zones.

FR dans Madagascar Matin
Les admissions en franchise occasionnent ainsi 330,6 milliards ariary de perte de recettes en 2015 contre 299,4 milliards ariary en 2014, d’après la Direction générale de la douane. En outre, les pertes générées par les accords économiques avec les partenaires régionaux s’élèvent à 74,8 milliards ariary dont 34,8 milliards ariary au titre de la préférence tarifaire Comesa et 31,5 milliards ariary pour la Sadc. Par ailleurs, on observe une accélération de l’utilisation du certificat d’origine européenne, de telle façon que les pertes tarifaires y afférentes enregistrées au titre de l’année 2015 comptent pour dix-huit fois le total enregistré pour toute l’année 2014...  les droits et taxes suspendus dont bénéficient ces entreprises et zones franches s’élèvent à environ 130 milliards ariary par trimestre dont près de 75% pour des matières textiles et des confections.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
La catégorie des 15-25 ans est la plus concernée et selon l’estimation d’un centre de cure, sis dans la capitale, 73% d’entre eux prennent du cannabis, à raison de 2 à 3 joints par jour. Le phénomène tend à s’aggraver depuis environ 10 ans. (..) Certains en font pousser dans leur jardin et ce facteur participe à la montée de la consommation de cannabis. Antananarivo compte le plus de consommateurs car ils sont estimés atteindre 72% de la population.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Recensement de la population: Un besoin de 40 millions au lieu de 23 millions US$. 1 dollar par personne selon des spécialistes de la statistique. C’est l’estimation du coût pour effectuer le prochain Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH). Et si on se réfère aux différentes extrapolations, le pays compte dans les 23 millions d’âmes. (..) Et si on prend comme base les ménages, le pays compte dans les 5,7 millions de ménages... la taille moyenne du ménage à Madagascar avoisine les 5 personnes par ménage. (..) Notons que le dernier recensement remonte à 1993, alors que cet exercice devrait se faire tous les 10 ans. Madagascar aurait donc dû mener deux autres recensements depuis. Mais il a mis 23 ans entre le dernier et le prochain recensement. Une situation qui aurait pu et pourrait encore fausser les données et donc les politiques et stratégies socioéconomiques.

D.H.R. dans La Vérité
Le site de Belo sur Mer, appelé Kirindy Mitea figure parmi les 20 nouvelles réserves de biosphère de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco). Ce qui ramène à 669 le nombre total de réserves de biosphère dans 120 pays. Le parc national Kirindy Mitea, situé dans la Région de Menabe, a été créé en 1997. Il s’étend sur une superficie de 625 000ha avec un taux d’endémicité de 97 %. (..) L’Association Madagascar National Parks (Mnp) gère actuellement 43 aires protégées dans tout le pays. (..) L’association Mnp a obtenu depuis octobre 2014 la certification Iso 9001-2008 pour son système d’audit interne. Elle a également obtenu, le 24 mars 2016, le certificat de transparence budgétaire, suite à  l’évaluation effectuée par Msisi (« Multi sector information service ») et Ibp (« International budget Partnership ») sur le degré de transparence du processus d’élaboration de son budget.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Dans le secteur de la santé, les indicateurs de santé sont en régression ou stagnation (retard de croissance de 50% des enfants de moins de 5 ans, taux de mortalité maternelle de 48 naissances pour 1000 naissances et prévalence de malnutrition élevés), les services de santé sont réparties de manière inéquitable et sont de mauvaises qualités et la politique de recouvrement des coûts constitue un obstacle majeur à l’accès à la santé pour les personnes vulnérables. Dans le secteur de l’éducation, le nombre d’enfants non scolarisés augmente, la qualité de l’enseignement demeure précaire avec des enseignants peu qualifiés et leur répartition spatiale très inégale, au désavantage net des régions dites vulnérables. En outre, le nombre d’enseignants FRAM s’amplifie et se concentre surtout dans l’enseignement primaire (80%). Et les ménages sont amenés à contribuer de façon croissante dans le secteur, au détriment des ménages peu lotis.