Mikama, January 31, 2017

Riana R. dans NewsMada
Réhabilitation du canal des Pangalanes : une équipe marocaine sur le terrain... La période d’incubation s’étalera sur six mois durant laquelle l’agence marocaine mènera des études de faisabilité techniques, financières et juridiques. Pour sa part, la partie malgache mettra à la disposition de cette entreprise marocaine les informations et documents nécessaires à la réalisation de ces études. Le canal des Pangalanes, long de 700 km et dont l’emprise va jusqu’à 1000 km a été aménagé pour la navigation commerciale durant l’époque coloniale (1896 à 1904) afin d’acheminer plus facilement la production d’épices du sud-est de l’île vers le port de Toamasina.

Manou  dans NewsMada
Le Plan cadre d’action de protection de l’enfant a aussi été adopté et mis en œuvre dans la région du Boeny au cours de l’année 2016, a-t-il rappelé. Il a avoué par contre que le secteur santé reste un point noir dans le domaine social de la région avec 178 séropositifs dépistés, 947 cas de lèpre, 3 cas de poliomyélite et 3 cas de rage durant l’année écoulée. Le Boeny a dépassé ses objectifs en reboisement et a adopté la politique de réduction des émissions issues de la déforestation et de la dégradation forestière. La régularisation de la situation administrative des exploitants miniers a permis une hausse de 14% des recettes fiscales dans le Boeny...

Razafy dans Madagascar Matin
Le nouveau rapport du Wwf « Relancer l’Economie de l’Océan Indien Occidental : les actions pour un avenir durable » évalue les actifs océaniques de la région occidentale de l’Océan Indien à 333,8 milliards de dollars. L’économie de l’Océan Indien occidental est ainsi la 4ème plus forte de la région, devant Mozambique, Maurice, Seychelles, Comores ou Madagascar. D’ailleurs, le produit intérieur brut de Madagascar est estimé à 10,6 milliards de dollars alors que le produit marin brut évalué dans le rapport est à 20,8 milliards de dollars.

Ramatoulaye MOUSSA MAZOU dans Africa Newsroom
Afin de réduire la vulnérabilité des populations face aux effets néfastes et pervers du changement climatique et des phénomènes météorologiques, le PNUD a procédé au lancement à Antsirabe du projet « Amélioration des capacités d’adaptation et de résilience face au changement climatique dans les communautés rurales à Analamanga, Atsinanana, Androy, Anosy et Atsimo Andrefana ».
Etalé sur cinq (5) ans avec un financement d’environ cinq (5) millions de dollars, ce projet a pour objectif de lever les barrières identifiées dans les zones ciblées à savoir la pression anthropique sur les ressources naturelles, le manque de ressources financières et techniques, la difficulté d’accès aux crédits, intrants, et infrastructures d’eau et assainissement, manque d’informations agro-météorologiques et climatiques, le manque de sensibilisation des décideurs et de coordination entre secteurs les plus affectés.

Mikama - January 30, 2017

L.R. dans L'Express de Madagascar
Après Fianarantsoa, Toliara et Ankazondandy,  le système riziculture endormant (SRE) vient d’être expérimenté à Ampanotokana. « Nous avons décidé de renouveler cette expérience sur plusieurs sites dans cette commune rurale. Nous avons pu constater un résultat très prometteur avec le triplement du rendement des parcelles utilisées. L’échantillonnage de la production donnait 7,05 tonnes par hectare », a expliqué Antoine Randrianatoavina, l’initiateur de ce projet. (..) Le père de famille a expliqué que, pendant la saison hivernale, la culture est recouverte d’un sachet pour hiberner ses oligo-éléments qui enrichiront sa croissance et sa poussée.

Riana R. dans NewsMada
Le budget de fonctionnement du Fonds d’entretien routier (Fer) a connu une hausse pour l’exercice 2017. Le problème de recouvrement des Redevances pour l’entretien routier (RER), principale ressource du Fer, reste encore à résoudre. 130 milliards d’ariary. Tel est le budget à la disposition du Fer relatif aux projets d’entretien et de construction de routes durant l’année 2017

Nomena E dans La Gazette de la Grande Ile
Un exemple concret est le cas d’une société chinoise sise aux périphériques d’Antananarivo. Selon les dires du ministre en charge des travailleurs, Maharante Jean de Dieu, les dirigeants de cette entreprise obligeaient les employés malgaches œuvrant dans cette société à travailler de 8 heures du matin à 20 heures du soir, la pause repas ne dépassant pas les 20 minutes. Et tout ceci pour un maigre salaire. Pourtant, la fermeture de cette société d’esclavage a suscité de vives réactions venant des ex-employés. « Laissez-nous travailler ou nous redeviendrons des prostitués, des braqueurs », clament certains...

Sera R. dans NewsMada
Selon les informations recueillies, il faut prévoir dans les 6 000 euros l’année, soit environ 20,5 millions d’ariary, pour étudier l’informatique ou le droit à Maurice. La filière gestion est plus onéreuse avec la bagatelle de 10 000 euros par an. Si on y ajoute les billets d’avion, la restauration et les autres dépenses, le compte de 30 millions d’ariary n’est pas loin.

Mikama - January 27, 2017

Pela Ravalitera  dans L'Express de Madagascar
Cependant, ce sont surtout les femmes seules avec enfants (17 à 23% des ménages en 2003), abandonnées ou mères célibataires qui y recourent face aux problèmes économiques auxquels elles sont confrontées pour assurer leur subsistance et celle de leur progéniture.
Quant à la précocité de la sexualité, selon l’Enquête démographique et sanitaire de 1997, 56% des adolescentes de 18 ans ont commencé leur vie reproductive, la proportion étant beaucoup plus importante en milieu rural qu’en ville. En outre, sur les Hautes-terres, les premiers rapports sexuels des jeunes (garçons et filles) se font en moyenne à partir de 16 ans. Ailleurs, ils les ont entre 12 et 15 ans; et dans le Sud dès l’âge de 10-12 ans pour les adolescentes, avant même l’apparition de leurs premières menstruations.

Riana R.  dans NewsMada
Madagascar exporte en moyenne 3.000 tonnes d’oignons alors que la production globale dépasse largement cette capacité. Atsimo Andrefana à elle seule peut produire jusqu’à 7.000 tonnes par an.

Dans NewsMada
Au moins deux nouvelles sociétés par mois sont installées à Antananarivo en 2016, selon les chiffres de l’Institut national de la statistique (Instat). Une hausse de la création d’entreprise de 11,5 % est constatée dans la capitale en 2016 par rapport à l’année précédente. 8574 nouveaux établissements ont été enregistrés dans la région Analamanga en 2016. Par rapport à 2015, le nombre de créations d’activité de l’année qui vient de s’écouler, a augmenté de 11,5 % (7 687 nouveaux établissements en 2015). En moyenne, 715 nouvelles activités par mois sont créées en 2016.

Mikama, January 26, 2017

Garry Fabrice Ranaivoson dans L'Express de Madagascar
Avec une note de 26/100, soit un recul de 2 points par rapport à l’année 2015 où elle a eu 28/100, la Grande île accuse une chute vertigineuse dans le classement mondial IPC 2016, et se retrouve à la 145e place sur 175 États. Une dégringolade de 22 places donc, vu que dans le classement 2015, Mada­gascar était en effet 123e sur les 168 pays évalués. Devant la presse, Claude Fanohiza, directeur exécutif de Transpa­rency international Mada­gascar, explique ce fort recul de la Grande île par l’insuffisance, voire l’absence de prise de responsabilité du citoyen dans la lutte contre la corruption.
« Les gens que nous rencontrons dans les rues estiment que cette lutte ne concerne seulement que l’État. Ce qui est totalement faux, car chacun a une responsabilité dans la lutte contre la corruption », soutient-il.

Riana R. dans NewsMada
Le Camm (Centre d’arbitrage et de médiation de Madagascar) a été  créé en 2001, puis restructuré et rattaché à la Chambre de commerce et d’industrie d’Antananarivo depuis 2012. Ce centre propose le moyen de sécuriser les échanges et les affaires grâce à l’institutionnalisation des procédures MARL. Conçu pour le secteur privé et incluant à cet effet tous les groupements économiques, le centre aide les entreprises à prévenir et régler les litiges des entreprises.  Depuis sa restructuration en 2012, le Camm traite près de 20 affaires par an.

Dans ESI Africa
With only 14% of the population with access to electricity, Madagascar is high on the priority list for the World Bank Group. Last week, the World Bank Vice President for Africa, Makhtar Diop, confirmed the Bank’s commitment to support Madagascar with $1.3 billion over the next three years, as pledged in Paris last December during the international donors conference. (..) "Madagascar’s hydro potential of 7,000MW represents a tremendous opportunity for Dominovas Energy, a US-based power solutions firm...

Dans Daily Sabah
The volume of Turkey's bilateral trade with Madagascar reached some $60 million in 2015, of which $54 million was composed of Turkish exports, according to the Ministry of Economy. Some of the export items included cereals, iron, steel, electronic devices, transportation vehicles and various manufactured goods. On the other hand, primary imported goods from Madagascar contained vegetables, spices, leather, non-material minerals, and textile goods. (..) Having a $10.75 billion GDP in 2015, according to the World Bank... With some $895 million of direct foreign investment, which is approximately eight percent of the country's GDP, Madagascar is among the eastern African countries that drew in the most direct foreign investment. (..) Furthermore, foreign investors can establish firms with 100 percent foreign capital and they can also freely transfer foreign currency. The investments in free trade regions are exempted from corporate taxes as well as from income tax for a period of 15 years.

Mikama, January 25, 2017

Fahranarison dans NewsMada
49 espèces de plantes, composées essentiellement d’arbres et d’orchidées tous endémiques, viennent d’être intégrées dans la liste rouge de L’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). (..) Cette compagnie minière, rappelons-le, a pris l’engagement de réduire les impacts de ses activités sur l’environnement, via un programme de conservation complète. Elle mène ainsi des actions de sauvetage, de transplantation des espèces de plantes dans l’arboretum ou des zones à réhabiliter, procède à la cryoconservation, à la micro propagation et à la conservation des espèces dans les sites gérés par Ambatovy.

José Belalahy dans Midi Madagasikara
... une grande partie de la zone « Océan Indien Occidental » qui couvre « environ 15 000 km de côte et où vie l’une des populations les plus pauvres du monde ».  Mais où « 71% des récifs coralliens présentent des risques de disparition et 35% des poissons sont surexploités ». Et où plus de la moitié des ressources marines sont surexploitées ...

Hanitra R.  dans Midi Madagasikara
Depuis 1980, les catastrophes naturelles ont causé des dommages estimés à plus de 17 milliards de dollars en termes d’infrastructures agricoles et économiques à Madagascar, aux Comores, à Maurice, aux Seychelles et à Zanzibar, faisant de l’Indianocéanie la troisième région du monde la plus touchée par les catastrophes naturelles.

Miangaly Ralitera dans L'Express de Madagascar
Alors que le produit marin brut serait plus portant que le produit intérieur brut de Madagascar. Le premier est estimé à 20,8 milliards de dollars et le second, à 10,6 milliards d’ariary. Et le nouveau rapport du Fonds mondial pour la nature (WWF), portant sur les valeurs économiques de l’océan Indien Occidental, estime à 333,8 milliards de dollars, les richesses de l’océan Indien occidental.

Mikama, January 24, 2017

R.Edmond dans Midi Madagasikara
Homeopharma s’appuiera sur sa propre expertise en matière de plantes médicinales et nutritionnelles ainsi que de produits naturels de santé et de bien-être, pour identifier, sélectionner, mais surtout former et accompagner les futurs entrepreneurs dans une démarche durable et responsable. Un partenariat entre deux leaders en somme. CECAM, une institution de microfinance qui détient 60% de part de marché en crédit rural implantée dans 20 régions de l’île. CECAM dispose actuellement de 233 points de vente et de 210 000 clients et contribue ainsi depuis une vingtaine d’années, à la croissance économique et à la lutte contre la pauvreté, en offrant des services financiers adaptés aux besoins de l’économie rurale. Quant à Homeopharma, c’est le premier laboratoire pharmaceutique malgache spécialiste des plantes médicinales et nutritionnelles. Elle fabrique à partir d’extraits de plantes de la pharmacopée traditionnelle de la biodiversité de Madagascar.

Koloina H.  dans Midi Madagasikara
Rizières sèches, prix à la hausse, insuffisance de l’offre de PPN (Produits de première nécessité)… ont été observés dans la Capitale, depuis quelques semaines. Hier, le ministre du Commerce et de la Consommation, Tazafy Armand a annoncé officiellement une distorsion sur le marché du riz. Une flagrante baisse de la production a été observée pour cette saison, d’après ses dires. « On n’a pu récolter que 20% de la production à cause du manque d’eau... Dans la filière riz, les opérateurs traditionnels ne représentent plus que 5% de l’ensemble à Madagascar. Le prix CAF du riz est de 350 USD la tonne. Si l’on se réfère aux coûts, le prix de revient au Port de Toamasina devrait être de 65 000 Ariary, pour un sac de 50 kilos. Et pourtant, le prix du marché est entre 59 000 et 61 000 Ariary.

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
La Chine devient le premier pays fournisseur de la Grande île. 2 085 milliards ariary de produits « made in China » sont évalués à en 2016. (..) Au cours des cinq dernières années, on peut noter une ascension fulgurante des produits « Made in China » sur le marché malgache. Les importations passent de 870,4 milliards ariary en 2011 à 1 633,4 milliards ariary en 2015. En 2015, l’Empire du milieu est considéré comme le premier investisseur du pays. Puisque sur les 484 entreprises étrangères créées, 168 sont chinoises, suivies de près par les entreprises françaises avec 110 nouveaux établissements. Par ailleurs, le marché chinois ne représente que 8% des exportations des produits malgaches avec une valeur marchande de 552,8 milliards ariary. Avec ce chiffre, il se positionne à la quatrième place derrière l’Union européenne, les États-Unis, le Japon et la Corée du Sud.

Nomena E dans La Gazette de la Grande Ile
Le ministère des travaux publics dispose de 100 milliards fmg de budget pour effectuer son travail durant cette nouvelle année 2017, selon les mots du ministre lors d’une cérémonie de présentation de vœux, vendredi dernier. Ce ministère se charge de tous les travaux d’entretien des routes, des bâtiments admnistratifs, et autres services publics. La réhabilitation de la RN44 reliant Moramanga et Ambatondrazaka était par exemple inscrite dans les prévisions de 2016. (..) en piochant dans le budget de 100 milliards fmg, le MTP ambitionne d'entretenir 10805km de routes nationales au cours de 2017. Si la prévision 2017 est totalement dépensée, les déboursements de cette institution atteindront donc 29% de plus qu’en 2016. Rien ne l’empêche ainsi de réaliser cet objectif, même si l’année dernière 2 000 km de routes sur les 10 000 prévus n’ont pas été réalisés, faute d’argent selon le ministère.

Mikama, January 23, 2017

 R.Edmond dans Midi Madagasikara
 « Nos réserves en devises se chiffrent actuellement à 1,1 milliards de dollars » a déclaré le Gouverneur de la BCM Alain Rasolofondraibe... l’un des éléments précurseurs de ces réserves en devises est le financement octroyé au titre de la Facilité Elargie de Crédit (FEC) et dont la première tranche de 45 millions USD a été débloquée courant 2016.

Dans La Gazette de la Grande Ile
À Madagascar, des chercheurs ont mis en évidence les atouts de la figue de barbarie, plante invasive certes, mais indispensable à bien des égards.
Des scientifiques malgaches des universités de Toliara (au sud de l’île) et d’Antananarivo (la capitale) défendent les atouts de la figue de barbarie. Présentés dans le média SciDev, leurs travaux soulignent les vertus nutritionnelles des fruits de ce cactus opuntia riche en calcium, en magnésium et en vitamine C... les chercheurs proposent une valorisation plus large de l’opuntia grâce à la vente de produits transformés lucratifs, comme des jus, des huiles alimentaire ou essentielle.

Solo/Manou dans NewsMada
Un canal de 155 mètres sur la rive gauche de l’Anony, dans la commune rurale de  Tanambe, a été réceptionné dans le district d’Amparafaravola le 19 janvier La réhabilitation de cette infrastructure agricole améliore l’irrigation de 4.600 hectares de rizières dans la commune.  Entrant dans le cadre du projet Bassin versant périmètre irrigué (BVPI), l’exécution des travaux a nécessité un budget de 280 millions d’ariary. Un canal adjacent d’une longueur de plus de 3 kilomètres, assurant l’irrigation de 1250 hectares de rizières...

Mikama, January 20, 2017

Koloina H. dans Midi Madagasikara
Sachant que le taux d’exportation de Madagascar est en baisse, par exemple de 2013 à 2014, les exportations vers Seychelles est passé de 7millions USD à 3millions, soit une baisse de 4millions. Le taux de production de Madagascar devrait être de trois projets par région.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Le projet comporte les volets suivants : l’analyse des circuits nationaux d’approvisionnement en matériels et intrants agricoles ; l’étude de faisabilité de mécanismes innovants pour le financement du secteur agricole; l’étude diagnostic du potentiel de pôles de croissances agricoles et agro-industrielles à Madagascar et l’étude des chaînes de valeurs ; l’étude sur l’amélioration de la gouvernance du secteur agricole; l’organisation d’un forum des partenaires techniques et financiers ; la formulation du programme ; et l’audit des comptes du PPF .

Dans La Gazette de la Grande Ile
Située à Ambilobe, dans la région de Diana, à 950 kilomètres au nord de la capitale malgache, la rivière de la basse Mahavavy comprend le plus gros réseau hydro-agricole de Madagascar. Elle arrose un périmètre de 19 000 hectares, dont
9 000 hectares du domaine de l’usine sucrière
et 10 000 hectares cultivés par des paysans, dont 6 000 hectares de rizières. Ces terres sont exploitées par 6 000 producteurs. (..) Depuis 2015, décrit toujours Mamy Andriatiana dans SPORE, l’eau coule à flots toute l’année, permettant aux riziculteurs d’effectuer deux récoltes par an. Le débit a doublé, arrosant plus de 80 % du périmètre de riz et de canne. Les rendements de riz sont passés de 0,8 tonne à 4 ou 5 tonnes par hectare grâce à l’appui technique et organisationnel des organisations paysannes.  (..) Le projet MAPS a démarré par la réhabilitation des infrastructures d’irrigation, composées de canaux principaux, d’un dessableur et d’ouvrages divers (ponts, dalots [ouvrages hydrauliques semi-enterrés], évacuateurs, déversoir, partiteurs, etc.) pour un coût total de 3,5 millions d’euros. (..) Plus de 3 000 ménages ont ainsi pu bénéficier du projet.


Mikama, January 19, 2017

Navalona R. & Koloina H. dans Midi Madagasikara
Tous les prix de produits de première nécessité ont connu une forte hausse depuis le début de l’année. Pour les produits vivriers, ceux-ci ont même doublé. En parlant de l’huile, le prix du litre a atteint maintenant 5 900 Ariary dans les grandes surfaces et 6 500 Ariary au niveau des épiceries alors que l’an dernier, c’était à  4 900 Ariary. S’agissant du sucre, le prix du kilo s’acquiert à 2 800 Ariary contre 2 400 Ariary en 2016. Quant au riz de variétés locales, comme le « tsipala » ou le « makalioka », une hausse de l’ordre de 100 Ariary a été observée comparée à l’année précédente. (..) Les causes ne sont pas forcement les mêmes, cela dépend du produit mais si on parle de produits vivriers, l’insuffisance en eau est la cause principale.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
3% des ressources en eaux douces exploitables le sont effectivement à Madagascar, d’après les données fournies lors du forum national des acteurs du secteur eau en juin dernier à Tanà. (..) Toutefois, toutes ces eaux se perdent dans la nature et dans la mer, alors que l’accès à l’eau potable ne concerne que 43% de la population. Concernant l’irrigation pour l’agriculture et surtout la riziculture, elle est loin d’être maîtrisée. Or, la riziculture irriguée représente plus de 65% du total.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
0,9% par habitant par an. C’est la moyenne de la croissance du PIB réel par habitant par an depuis 2014, date à laquelle le régime Rajaonarimampianina a accédé au pouvoir. Cette moyenne est calculée sur les données du FMI. (..) Cette année par exemple, le PIB par habitant est prévu afficher une croissance de 1,6% sur la Grande Ile, soit une très maigre progression de 0,3%. Par contre, les Etats subsahariens fragiles vont enregistrer un taux de 2,4%.

Mikama, January 18, 2017

Razafindramanitra dans Lakroan'i Madagasikara
“Il nous manque 10% de notre besoin annuel pour assurer l’autosuffisance en consommation de riz”... Le marché africain du riz est actuellement dominé par les Asiatiques. Madagasikara a comme partenaire la Coalition pour le Développement du Riz Africain (CARD). Concernant la venue du Vietnam dans le secteur rizicole, annoncée lors du sommet de la Francophonie, cela reste encore à l’étude car le Vietnam voulait surtout vendre sa production. Madagasikara cherche en premier lieu des partenaires pour assurer la production tant en quantité qu’en qualité. C’est une des raisons du partenariat avec le Jica (Japon).

Dans Relief Web
Madagascar: Grand Sud Humanitarian Snapshot (as of October 2016)
Source: https://www.humanitarianresponse.info

Mikama, January 17, 2017

Raitra dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar
Si pour beaucoup avoir un handicap est synonyme de limite et de discrimination, Michel Jocelyne n’est pas de cet avis. Couturière, elle est également la vice-présidente de l’association Association des Femmes Handicapées de Madagascar de Diego Suarez (AFHAM). (..) les gens ne nous considèrent pas comme leurs égaux. De ce fait, nous sommes victimes de reproches sur nos conditions physiques et de discrimination. Certains pensent que nous ne valons rien, que nous ne sommes que des charges pour la société. D’autres disent que nous ne savons pas faire grand-chose, que nos capacités tant physiques qu’intellectuelles sont limitées et que nous n’avons aucun avenir.

Yvan Andriamanga dans Madagascar Tribune
Les rivières, lacs et réserves d’eau naturelles autour de la capitale sont taries : Ikopa, Mandroseza et bien d’autres encore. La météo de son côté donne des explications sur cette sécheresse qui persiste dans les zones Est et hautes terres selon le service météorologique. La déforestation, la culture sur brûlis, les feux de brousses sont autant de causes qui expliquent cette catastrophe naturelle. L’imperméabilité du sol à cause des goudrons et sols en ciment ou en béton n’arrangent rien...

Dans La Gazette de la Grande Ile
A Madagascar, le taux prévu pour cette année est de 4,5%. Le pays devrait donc enregistrer 1,6% de plus que le reste de la région. Il faut toutefois signaler que même supérieure à la croissance démographique (2,8% par an), la croissance économique n’est pas encore pro-pauvre sur la Grande Ile. La société civile a évoqué la toute petite augmentation de 1% des dépenses sociales pour 2017. Or, la population pauvre est d’une telle proportion (92%)... Par ailleurs, la croissance de cette année sera essentiellement portée par le secteur secondaire et plus particulièrement par les entreprises franches, la filière bois, l’industrie agroalimentaire. Comme quoi, la principale composante de la démographie risque d’être écartée du partage des fruits de la croissance. Il s’agit des paysans qui constituent pourtant 78% de la population active et 80% de la population dans son ensemble.

Mikama, January 16, 2017

Dans La Gazette de la Grande Ile
Et selon les données gouvernementales disponibles, il est fait état que l’élevage bovin se concentre principalement dans les Régions d’Atsimo-Andrefana, d’Androy, d’Anosy, de Menabe, de Boeny, de Sofia, de Melaky et de Betsiboka pour le zébu malagasy et dans les Régions du triangle laitier (Analamanga, Itasy, Bongolava, Vakinankaratra, Haute Matsiatra) et d’Alaotra Mangoro pour le bovin laitier. L’élevage de petits ruminants, ovin et caprin, a une forte concentration dans les zones sud, ouest et nord-ouest. La pratique de l’élevage porcin et celle de l’aviculture concernent l’ensemble du territoire national. Par ailleurs, le milieu naturel offre un climat favorable à toutes les filières d’élevage et des immenses superficies de pâturages naturels sur 35 millions d’hectares

Dans La Gazette de la Grande Ile
En effet, d’après les données du BIT, actuellement, 65% de la population de Madagascar vit en milieu rural qui est caractérisé par un taux de pauvreté élevé et un déficit de travail décent. En 2010, la pauvreté rurale était estimée à 82% comparée à celle du milieu urbain qui est de 51%. (..) La majorité des travailleurs se trouvent dans des activités peu rémunérées, particulièrement dans l’économie informelle et le secteur agricole dans lequel 75% des emplois se trouvent. Pourtant, seulement 11% des employés de ce secteur sont des employés salariés et parmi eux, 8,7% sont des femmes.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Les seules informations disponibles sont celles évoquées, en octobre 2016, par le ministre des Finances et du Budget, Gervais Rakotoarimanana. « Seulement 39% de la production d’électricité de la Jirama sont commercialisés. 35% de la production de la Jirama sont perdus. 15% concernent les pertes techniques et 20% sont des pertes inexpliquées, qui coûtent 20 milliards d’Ariary par mois. A cause de ces pertes, seulement 65% de la production sont donc facturés. De plus, le taux de recouvrement des recettes de la Jirama n’est que de 60%. Si on fait le compte, cette société ne commercialise réellement que 39% de sa production »

Navalona R.  dans Midi Madagasikara
Pour ces deux secteurs porteurs, il est désormais obligatoire de déclarer les nouvelles découvertes de substances si auparavant c’était facultatif.  En outre, une société nationale sera créée afin de participer aux activités minières et pétrolières, et ce, à hauteur de 5% à plus de 20% du capital.  En fait, le leitmotiv de ce ministère étant : « secteur extractif, secteur pourvoyeur de ressources ». « Il faut voir grand et loin car ce secteur pourra contribuer à plus de 30% du PIB comme dans les autres pays miniers s’il ne représente pour l’heure que 2,12% du PIB. Et c’est apporté notamment par Ambatovy, QMM et KRAOMA.

Mikama - January 13, 2017

Jean Riana dans La Gazette de la Grande Ile
La région d’Alaotra Mangoro couvre une superficie de plus 33 000 km2, elle recouvre environ 120 000 ha de rizières avec lesquelles elle produit entre 250 000 tonnes et plus en une année. Rappelons que la région est considérée comme étant le grenier à riz de la grande île. La région exporte dans les 80 000 tonnes par an.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Rappelons que l’Accord sur la Facilitation des Echange(AFE) constitue l’un des principaux résultats de la  9e conférence ministérielle de l’Organisation Mondiale du Commerce qui s’est tenue à Bali en 2013. Cet Accord établit une série de mesures pour la fluidité des marchandises à travers les frontières. Des mesures qui devront permettre de simplifier et d’harmoniser les procédures aux frontières tout en assurant une plus grande transparence dans l’application des lois ainsi que dans l’équité des décisions. Et pour le cas de Madagascar, le pays a déjà ratifié cet Accord qui prévoit en même temps la mise en place d’un Comité National sur la Facilitation des Échanges afin de mettre en œuvre cette série de mesures.

Dans L'Express de Madagascar
Selon le site du Trésor Public, « la dette de Mada­gascar à fin décembre 2016 est estimée à 12 598,7 milliards ariary, soit environ 3 901,6 millions USD. C’est l’équivalent à 39,7% du produit intérieur brut (PIB) »

Mikama, January 12, 2017

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Inférieur à 50% ou plus précisément aux alentours de 47%. C’est le taux de récupération des bœufs volés en 2016 si l’on se réfère aux statistiques fournies par le premier ministre. (..)  Cette réforme (Réforme sur le secteur de la sécurité (RSS)) tant vantée l’année dernière par les autorités se pratique notamment dans les pays qui sortent d’un conflit ou d’une guerre. Ce n’est pas le cas pour Madagascar où l’insécurité est d’un autre ordre. Mais on dirait que les autorités concernées ont accepté d’adopter la RSS grâce au financement extérieur qui l’accompagne.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Le ministère auprès de la Présidence en charge de l’Agriculture et de l’Elevage a identifié 700 000 ha de terrain destinés à la plantation fourragère et à la mise en place de ranchs. Environ 40 tonnes par jour. Tel est  le gap de besoin en fourrage des éleveurs de vaches laitières membres de Malagasy Dairy Board (MDB) à Analamanga. « Mais dans tout Madagascar, ces éleveurs n’arrivent à satisfaire que près de 37% des besoins faute de moyens et de terrains suffisants alors que le fourrage est une alimentation indispensable pour améliorer la production laitière tant en quantité qu’en qualité »

Sera R. dans NewsMada
Si on prend en considération les lignes suburbaines reliant les périphéries du centre ville comme Behoririka, Anosy, Vasakosy et les 67 ha, les 6 000 taxis-be recensés récemment au niveau de la CUA, ajoutés à cet effectif de l’UCTU, parler de 12 000 voitures dans le transport en commun, qui circulent quotidiennement dans la capitale, n’est pas loin de la réalité.

Riana R. dans NewsMada
La production annuelle dans la région varie de 250 000 à 300 000 tonnes par an dont 80 000 tonnes sont destinées à l’exportation. Pour la campagne 2015-2016, la production rizicole dans l’Alaotra a atteint les 345 000 tonnes, soit une hausse de 20% par rapport à la précédente campagne.

Mikama, January 11, 2017

Dans La Vérité
Le représentant résident du Fonds monétaire international (Fmi) à Madagascar, Patrick Imam, dans une interview accordée à un quotidien de la place, tenait à affirmer tout haut que Madagascar devrait consentir des gros efforts s’il compte obtenir, un jour, un décaissement. En effet, si la confiance semblait revenir à Paris, lors de la Conférence des bailleurs et investisseurs (Cbi), où Madagascar décrochait un record de financements, jamais atteint des régimes précédents, à hauteur de 10,2 milliards de dollars dont 6,4 milliards de dollars d’aide publique au développement (Apd), il va falloir le transformer en actes concrets.

Hanitra R. dans Midi Madagasikara
Un financement de 1,5 million d’euros remis par l’Union européenne, permettra à cet organisme d’étendre ses activités d’assistance alimentaire dans le Sud de Madagascar, la zone la plus touchée par la sécheresse, à l’origine de l’insécurité alimentaire. Il s’agit, plus précisément, d’un financement du Département de la protection civile et des opérations d’aide humanitaire de la Commission Européenne (ECHO) qui permettra de mener des actions au profit de 130.000 personnes, soit 26.000 ménages en situation d’insécurité alimentaire dans le Sud à travers, notamment, des programmes de transferts monétaires, et ce, outre les distributions gratuites de vivres. Ce programme consiste à effectuer des transferts monétaires par téléphone mobile dans les districts où les marchés sont fonctionnels, afin de permettre aux ménages d’avoir davantage accès à la nourriture disponible sur les marchés.  Chaque ménage reçoit 60.000 ariary par mois. (..) Pour la période de janvier à mars 2017, il lui faudra 35 millions de dollars pour poursuivre sa réponse humanitaire dans le sud du pays...

 
  Source The Huffington Post - 06/29/2016






© UNICEF Madagascar/2009
Source UNICEF

In Madagascar 76.5 percent of the population lives in poverty, which means that most people are unable to afford adequate nutrition or access to health care. With 50 percent of under-five year-olds suffering from stunted growth, Madagascar is one of the 10 countries in the world with the highest burden of chronic malnutrition, and one of the 20 countries where 90 percent of the world's stunted children live. Anaemia affects 35 percent of women of child-bearing age - threatening their health and that of their unborn children. Some 38,000 children die every year before their fifth birthday - or 104 children a day.
Now more than ever, preventing a deterioration in the health and nutrition status of the Malagasy people is vital to ensure that gains made in previous years are not lost, and that the most excluded women and children are reached with life-saving interventions. 
Punctuated by repeated peaks of acute malnutrition, the situation in Madagascar is critical. Global acute malnutrition among children under five varies from 10 percent to 20 percent during the 'lean season,' when food supplies are limited, in the country's most vulnerable regions. This is mainly in the semi- arid south where unreliable rainfall frequently damages harvests.
While Madagascar has shown a decline in its under-five mortality rate in recent years, acute poverty threatens to turn back this progress. 
© UNICEF Madagascar/2010
Malaria, diarrhoea, neonatal complications and acute respiratory infections are the biggest causes of death in children. A lack of access to basic health care, especially in remote rural regions, means that many children do not receive routine immunisations including polio, tetanus, measles and the BCG vaccine to prevent childhood tuberculosis.
Access to safe drinking water and sanitation is poor, with significant idsparities between households in rural and urban invironments. In rural areas only 29 percent of families use improved drinking water sources, and only 11 percent of the population across Madagascar has acces to adequate sanitation. Access to water and sanitation in schools and basic health centres is limited. Less than a third of primary schools have latrines, and less then 15 percent of basic health centres are equipped with drinking water points.