R.Edmond dans Midi Madagasikara
Homeopharma s’appuiera sur sa propre expertise en matière de plantes médicinales et nutritionnelles ainsi que de produits naturels de santé et de bien-être, pour identifier, sélectionner, mais surtout former et accompagner les futurs entrepreneurs dans une démarche durable et responsable. Un partenariat entre deux leaders en somme. CECAM, une institution de microfinance qui détient 60% de part de marché en crédit rural implantée dans 20 régions de l’île. CECAM dispose actuellement de 233 points de vente et de 210 000 clients et contribue ainsi depuis une vingtaine d’années, à la croissance économique et à la lutte contre la pauvreté, en offrant des services financiers adaptés aux besoins de l’économie rurale. Quant à Homeopharma, c’est le premier laboratoire pharmaceutique malgache spécialiste des plantes médicinales et nutritionnelles. Elle fabrique à partir d’extraits de plantes de la pharmacopée traditionnelle de la biodiversité de Madagascar.
Koloina H. dans Midi Madagasikara
Rizières sèches, prix à la hausse, insuffisance de l’offre de PPN (Produits de première nécessité)… ont été observés dans la Capitale, depuis quelques semaines. Hier, le ministre du Commerce et de la Consommation, Tazafy Armand a annoncé officiellement une distorsion sur le marché du riz. Une flagrante baisse de la production a été observée pour cette saison, d’après ses dires. « On n’a pu récolter que 20% de la production à cause du manque d’eau... Dans la filière riz, les opérateurs traditionnels ne représentent plus que 5% de l’ensemble à Madagascar. Le prix CAF du riz est de 350 USD la tonne. Si l’on se réfère aux coûts, le prix de revient au Port de Toamasina devrait être de 65 000 Ariary, pour un sac de 50 kilos. Et pourtant, le prix du marché est entre 59 000 et 61 000 Ariary.
Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
La Chine devient le premier pays fournisseur de la Grande île. 2 085 milliards ariary de produits « made in China » sont évalués à en 2016. (..) Au cours des cinq dernières années, on peut noter une ascension fulgurante des produits « Made in China » sur le marché malgache. Les importations passent de 870,4 milliards ariary en 2011 à 1 633,4 milliards ariary en 2015. En 2015, l’Empire du milieu est considéré comme le premier investisseur du pays. Puisque sur les 484 entreprises étrangères créées, 168 sont chinoises, suivies de près par les entreprises françaises avec 110 nouveaux établissements. Par ailleurs, le marché chinois ne représente que 8% des exportations des produits malgaches avec une valeur marchande de 552,8 milliards ariary. Avec ce chiffre, il se positionne à la quatrième place derrière l’Union européenne, les États-Unis, le Japon et la Corée du Sud.
Nomena E dans La Gazette de la Grande Ile
Le ministère des travaux publics dispose de 100 milliards fmg de budget pour effectuer son travail durant cette nouvelle année 2017, selon les mots du ministre lors d’une cérémonie de présentation de vœux, vendredi dernier. Ce ministère se charge de tous les travaux d’entretien des routes, des bâtiments admnistratifs, et autres services publics. La réhabilitation de la RN44 reliant Moramanga et Ambatondrazaka était par exemple inscrite dans les prévisions de 2016. (..) en piochant dans le budget de 100 milliards fmg, le MTP ambitionne d'entretenir 10805km de routes nationales au cours de 2017. Si la prévision 2017 est totalement dépensée, les déboursements de cette institution atteindront donc 29% de plus qu’en 2016. Rien ne l’empêche ainsi de réaliser cet objectif, même si l’année dernière 2 000 km de routes sur les 10 000 prévus n’ont pas été réalisés, faute d’argent selon le ministère.
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