Mikama - February 28, 2014

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Selon Léonidas Tezapsidis, ambassadeur de l’Union européenne et chef de délégation de la Commission européenne à Madagascar, une enveloppe assez conséquente d’un montant de 455 millions d’euros est même déjà attribuée pour la Grande île. Sa mise en œuvre s’étale de 2014 à 2020. « Je précise que ce sont des dons non remboursables, qui ne sont donc pas de nouveaux endettements pour Madagascar. Le montant de cette allocation a été fixé selon quelques critères, on verra par la suite selon la capacité d’absorption du pays »
Concernant le 10e FED, les éventuels engagements sont déjà officiellement clos depuis décembre 2013. Madagascar a donc définitivement perdu  le montant qui n’a pas pu être  utilisé sur les 577 millions d’euros qui lui ont été attribués en 2008.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Si on se réfère aux dernières données de l’INSTAT, les revenus salariaux moyens pour ceux qui ont le niveau primaire sont de 830 000 Ar par an, contre 616 000 Ar pour les sans instruction. (..) ar si les taux d’achèvement en primaire et d’alphabétisation s’améliorent, il n’en est rien du taux net de scolarisation. Il a subi une chute vertigineuse : de 96% en 2006, il passe à 69% en 2012 pour les enfants de 6 à 10 ans. Cette baisse de plus de 20 points est à attribuer à la crise qui secoue les ménages.


Mikama - February 27, 2014

Noella Rakoto dans Newsmada
Pays d’échantillonnage, Madagascar peut dépasser cette réputation. (..) Sous le thème « Madagascar outdoor Indoor », le salon [ « Maison et objet » qui a eu lieu à Paris du 24 au 28 janvier dernier] a vu la participation de 12 artisans malgaches qui ont exposé leurs créations et ont porté haut le flambeau du pays.
Selon Gilles Le Gof, président du Cap Export, « Les retombées ont été à la hauteur des attentes puisqu’elles font état de près de 380 contacts et 44 commandes. On peut donc dire que l’évènement a été un succès ».

Racl.R dans La Nation
97% de la population de l’Androy sont pauvres. D’après l’enquête effectuée par l’INSTAT dans le cadre du suivi des objectifs du millénaire pour le développement (OMD) 2012, c’est la région de l’Androy qui est la plus touchée par la pauvreté. Toutefois, sur la base des 2 dollars par tête par jours, la pauvreté concerne 91% de la population malagasy. Et l’évolution de la pauvreté a montré une tendance à la hausse durant les 20 dernières années.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
... le groupement des entrepreneurs malagasy (FIVMPAMA) présidé par Ntsoa Randriamifidimanana a, invité cette semaine en terre malagasy la Société d’intérêt collectif agricole des producteurs agricoles de la Guadeloupe (SICAPAG). Cette société regroupe une centaine de cultivateurs  spécialisés dans le domaine des fruits et légumes, des plantes médicinales et des fleurs aromatiques. Ses produits sont distribués par des grandes et moyennes surfaces, dans des hôtels et restaurants et jusque sur les bateaux de croisière. Il s’agit pourtant d’une entreprise de cultivateurs et non pas d’une grande entreprise. A ce sujet, le FIVMPAMA affirme que malgré sa surface relativement petite comparée à celle de Madagascar, la Guadeloupe est un exemple de réussite dont les paysans malagasy devraient s’inspirer.

Anny Andrianaivonirina dans Midi Madagasikara
Orion X Trade est un courtier introducteur en bourse présent sur le plan national et international. Créé en 2013 dans le but de promouvoir le marché boursier mondial dont la bourse de commerce à Madagascar, c’est un courtier introducteur...  « La bourse a toujours été un meilleur placement sur une longue période, selon Heriniana Ramamonjisoa, trader et analyste d’OXT. Tous les produits financiers peuvent être caractérisés par différents paramètres importants qui sont le risque et la rentabilité. Ce couple est indissociable et forcément corelié. Un rendement élevé est souvent synonyme de risque élevé et vice versa ».

Sera R dans Newsmada
Pomme de terre : de nombreuses menaces risquent de ruiner la filière... « Le sol s’est appauvri, et les producteurs forcent sa fertilisation par l’utilisation à outrance d’engrais chimiques, donnant comme résultat la mauvaise qualité des pommes de terre de nos jours, sans parler de l’inexistence de l’amélioration des plants », a expliqué Dadanaivo, un de ces collecteurs. (..) Lui de conclure que la quantité des pommes de terre répondant aux normes exigées par les importateurs se réduit d’année en année, faisant ainsi l’effet d’une douche froide sur son ardeur de vouloir optimiser son quota d’exportation.

Noro Niaina dans Newsmada
... il est à noter que près de 65% des garçons et des filles connaissent les trois moyens de prévention du VIH dont l’utilisation des préservatifs, la fidélité ainsi que l’abstinence sexuelle. De même, la proportion de jeunes qui ont à la fois des connaissances exactes sur les moyens de prévention sexuelle du VIH et qui rejettent les principales idées fausses relatives à la transmission du VIH est de 27,4% et de 25.3%. Pour dire que les jeunes sont en connaissance du danger du comportement sexuel à risque auquel ils s’exposent…

Dimisoa dans Newsmada
Selon les dernières données de l’institut national des statistiques publiées cette semaine, 62 décès sur 1 000 ont été enregistrés durant l’année 2012. Cette mortalité est plus élevée en milieu rural qu’en milieu urbain avec les taux respectifs de 64 pour mille et 39 pour mille.

Mikama - February 26. 2014

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
L’accès à l’eau potable dans la capitale est de 60%, selon Olga Rasamimanana, vice-PDS de la commune urbaine d’Antananarivo. (..) La capitale ne compte pourtant que 1 000 bornes-fontaines. Si elle veut se conformer à la norme de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), soit 1 borne-fontaine pour 500 habitants, il faudra compter 3 000 bornes-fontaines, d’après la vice-PDS. (..) Avec une croissance démographique de 3% par an et dépassant la moyenne nationale (2,8% par an), la situation n’ira pas en s’améliorant. (..) La capitale à elle seule génère environ la moitié des richesses créées dans le pays. Ce chiffre atteint près des 3/4 du PIB si on y inclut tous les centres urbains du pays. Mais si les urbains manquent d’eau potable et d’autres services de qualité dans des  secteurs comme l’éducation, le transport, le pays verra à terme sa croissance bloquée.

Anjara Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
En 2003, le nombre d’enfants inscrits et allant à l’école primaire a été de 3,4 millions, et les efforts ont permis d’augmenter ce chiffre à 4,3 millions en 2009 – 2010. (..)

Mikama - February 25, 2014

Fahranarison dans Newsmada
Des efforts tangibles ont été entamés en vue d’atteindre l’objectif relatif à l’éducation primaire pour tous, mais le taux de scolarisation actuelle est encore de 69%. Cette situation est due à l’insuffisance de l’offre d’enseignement à cause de la fermeture de nombreuses écoles mais également de la pénurie d’enseignants. Pourtant, en 2006, la cible était presque atteinte par le pays puisque le taux de scolarisation a atteint 76%. Par conséquent, il y a eu une chute de plus de 20 points entre les deux périodes. A propos de cet indicateur, la disparité régionale est très importante, avec un taux inférieur à 50% dans les régions du Sud et Sud-ouest de l’île.
L’OMD n°4, quant à lui a comme objectif de réduire le taux de mortalité infantile à deux tiers par rapport à son niveau de 1990. L’objectif est de réduire ce taux à 53 sur 1.000 naissances, mais l’enquête a révélé que ce taux est encore de 62 sur 1000.
Pour l’OMD n°5 qui vise à améliorer la santé maternelle, la cible pour 2015 était de 122 décès maternels sur 100.000 accouchements mais à Madagascar il y a encore 478 décès. Ce niveau n’a pas pratiquement bougé depuis l’année 1997. Malgré ces défaites, ce n’est plus le moment de baisser les bras.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Le directeur général de l’INSTAT, Gérard Ravelomanantsoa précise : « Le taux de la pauvreté à Madagascar stagne autour de 70% depuis longtemps déjà. Cela veut dire qu’à Madagascar, la pauvreté est un problème structurel. Ce problème s’explique par l’insuffisance du revenu, laquelle trouve son origine dans les problèmes liés à l’emploi. L’autre explication porte sur la redistribution des fruits de la croissance économique. A Madagascar, le secteur tertiaire génère le plus de croissance, et les acteurs de ce secteur essentiellement urbains, en sont les principaux bénéficiaires. Par contre, le pays compte plus de ruraux et la pauvreté frappe plus les ruraux que les urbains ». (..)

Mikama - February 24, 2014

Fanjanarivo dans La gazettede la Grande-Ile
L’agriculture dans son ensemble incluant la pêche et la sylviculture est l’un des secteurs où les perspectives de production ne sont guère reluisantes si on se réfère au TBE avec un solde d’opinion dépassant les -97% pour le dernier trimestre 2013. (..) Concernant le climat des affaires, le solde d’opinion des entreprises est également négatif comme pour l’évolution de la production et des prix. Il est de -75,6% si on considère l’ensemble de toutes les formes d’entreprises. Il faut rappeler qu’ici aussi, le signe négatif du solde d’opinion montre qu’il y a plus d’opinion négative que de réponse positive. Autrement dit, le climat des affaires n’a rien de sain selon les entreprises. Le pessimisme frappe plus particulièrement les entreprises individuelles avec un solde d’opinion de -75,7%, contre -63,3% pour les Sarl et -62% pour les sociétés anonymes.

Dimisoa dans Newsmada
La riziculture est en effet pratiquée par environ 200 000 ménages dans la Grande île et la plupart des ménages consomment du riz trois fois par jour, notamment ceux qui habitent les hautes terres. La consommation moyenne se situe autour de 138 kg/hab./an en milieu rural et 118 kg/hab./an en milieu urbain. Par ailleurs, pour l’ensemble des différents modes de riziculture, la production globale a été évaluée à 4 914 450 tonnes en 2008.

Mikama - February 21, 2014

Fety dans Ino Vaovao
FANATSARANA NY VOKATRA : 40 % -n’ny tantsaha ihany no mampihatra ny teknikam-pambolena
Tsy mora ny fanatanterahana sy ny fiatrehana ny fiofanana atao ho an’ny tantsaha indrindra fa ny mpamboly. Eo ny tsy fahafoizany fotoana sy ny tsy fampiharany mihitsy ireo teknika nomena azy.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Parmi ces filières porteuses, on peut citer entre autres, la filière girofle pour Analanjirofo, le miel à Ambositra et la vanille dans le Nord. La filière maïs et la filière arachide ainsi que les élevages ovin, porcin, avicole et de moutons sont également développées. En parlant du girofle, des paysans ont été soutenus par l’AIM (Association Inter-Coopération Madagascar) dans la fabrication de l’huile essentielle. L’association a en même temps mis en relation les producteurs avec un opérateur économique suisse pour assurer le débouché de leurs produits.

Dimisoa dans Newsmada
Plus de 75 % de sa population active se trouve dans le domaine de l’agriculture.

Mikama - February 20, 2014

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Sur la période de 2010-2012, le volume de l’aide publique au développement sous forme de don ou de crédits à taux concessionnels des partenaires habituels s’élève à 427,5 millions USD par an. A cela s’ajoute l’aide fournie et gérée directement par les ONG Internationales et les coopérations décentralisées portant une valeur de 26,4 millions USD par an.

Racl.R dans La Nation
Le tableau de bord de l’aide par donateur s’élargit donc à deux groupes d’acteurs, les coopérations décentralisées et les ONG internationales. La base de la Plateforme de Gestion de l’Aide (AMP) comptabilise 801 projets dont 460 effectifs en 2012. Il y a 267 projets pour les coopérations bilatérales dont 127 actifs en 2012, 355 projets pour les coopérations multilatérales dont 199 actifs en 2012, 123 pour les coopérations décentralisées dont 89 actifs en 2012 et enfin 63 par les ONG internationales dont 48 actifs en 2012. L’ensemble de ces projets totalise un décaissement effectif de 454 millions de dollars dont 35% provenant des bilatérales, environs 61,2% fournies par les coopérations multilatérales et 5,3% par les ONG internationales.


Mikama - February 19, 2014

Noella Rakoto dans NewsMada
13.375.455 euros, l’équivalent des 10% du PIB de Madagascar. C’est notamment le montant de la valeur ajoutée créée par le secteur de l’artisanat durant l’année 2013.

Volana Rarivoson  dans All Africa
The United Nations World Food Programme (WFP) strengthens its programmes aimed to combat food insecurity in Madagascar, particularly through its relief and recovery operation in response to natural disasters. Switzerland has allocated a contribution of US$1.1 million (about 2.5 billion Ariary) to this operation. This funding will allow WFP and its partners to provide food assistance to some 46,000 people in the south and south-east of Madagascar.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
En 2013, le nombre d’arrivées des visiteurs non résidents aux frontières s’établit à 196 375 contre 255 942 en 2012, soit une baisse de l’ordre de 22,31%. Le montant des recettes s’élève pourtant à 861,63 milliards d’ariary contre 614,18 milliards d’ariary.

Mikama - February 18, 2014

Rija Ratovomahefa dans L'Express de Madagascar
« Entre 2012 et 2013, une stagnation de la création de richesse s’observait sur le plan de la croissance économique du pays. Notre taux de croissance économique était de 2,4% en 2013 contre 2,5% en 2012, et ceci était accompagné d’un taux d’inflation de 5,8% entre ces deux années », a fait savoir Laza Rajamarison, macroéconomiste au sein du Centre de recherches, d’études et d’appui à l’analyse économique à Madagascar (CREAM). (..) Pour cette année 2014, la Loi de finances prévoit un taux de croissance de 3% selon le rapport de la DGE. (..) l’économie prévoit une aug­mentation de l’ordre de 10,5% sur le secteur secondaire et de 2,5% sur le secteur tertiaire, contre seulement 1,5% du secteur primaire.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Rappelons que depuis des années déjà, le Trésor public dénonce la mauvaise gouvernance des CCAL [Chèques carburant et lubrifiants]. Au lieu d’un besoin annuel estimé à 28 milliards Ar, l’Etat en consomme 70 milliards Ar. L’économie de plus de 40 milliards Ar dégagée en une année seulement aurait permis à l’Etat d’acheter 100 bateaux de surveillance des côtes.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Exclu de l’AGOA, Madagascar n’exporte plus que pour 20 milliards de dollars vers les USA, alors que Maurice progresse de 17,5 % à 191 millions de dollars.

'ttention Resampakely

Nalefa tatsy @ Serasera


Hitako teny ho eny hoe i Resampakely no isan'ny atolotry ry MAPAR ho PM, na koa ho MinInt..

... ka dia LOZA e...

Aza hadino mihintsy fa vao njay nahazo fahefana ingahikely dia :
 > Sobika, NOV 16, 8h31 Haja André Resampa a sorti une lettre adressée aux fonctionnaires leur demandant de ne recevoir d'ordre que du Chef de l'Etat ou du secrétaire général de la Présidence. 

Ary dia niara-nahita ny namoronany ilay "Direction de la sécurité territoriale (DST), rattachée à la présidence de la HAT", izay ny cousin-ny Charles Nakany no nampandraiketany azy t@ voanalohany. Ary dia niara-nahita ny nafitsok'izy mirahalahy tao.  Santionany...

... la DST a enfreint toutes les règles ...

La mère de cet individu qui serait électricien poseur de bombe est intervenue en public dans la cour du tribunal à Anosy ce mardi 15 mars pour exprimer son mécontentement contre les accusations portées contre son fils et dénoncer les traitements dont il aurait fait l’objet. Elle évoque des tortures policières. Ce que la DST a nié ce jeudi 17 mars 2011 devant la presse conviée à une conférence de presse à Ambohitsorohitra.

Fa mety hoy ianao hoe tantara taloha izany (na dia nampijaly olona sy nanitsakitsaka ny zo fototra maha-olona ary ny lalAna aza izy miral).. Inty jereo tsara:

Le puissant secrétaire général de la présidence, Haja André Resampa, s'active afin de s'assurer que les opposants au président de la Haute Autorité de transition (HAT), Andry Rajoelina, ne bénéficient d'aucune mansuétude... 


Io no maha-izy an'ingahikely... efa 2012 io.


Ka fanontaniana ny ahy izao : raha inty tokoany moa ka lasa PM na koa MinInt i Resampa Haja Andre, dia SAHY "miara-miasa" aminy ve ny toatoa an-dry Saraha Georget? 
Io hoy aho hoe, ngo ho'a dia himenomenona hotry ny loha tapaka indray avy eo e...
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Parce que il y a eu deja une premiere. Et je crois que Patrick (qui est fan de Georget) est donc plus que averti... Lui ou Georget ne pourront pas aussi refaire comme dans cette premiere, voir ci-bas : "denoncer" et "se plaindre" par apres...

Une semaine avant, Saraha Rabeharisoa a dénoncé le fait que les électeurs n'ont pas ... La suspension serait levée au lendemain du référendum du 17 novembre.

Midi Madagasikara, La Une du 12 Septembre
 C’est une affaire des gros bras à Ampefiloha ! » se plaint Mme Saraha Georget Rabeharisoa...  << On a changé les noms dans la liste... >>
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fa dia ireto averiko eto ireo ohabolana sy ohapitenenana hisaintsainana e...
- Tovolahy tsy mahalala ho an-tena, sakafon'alika gaigy.
- Maniry manitra ohatra ny alika miambozon-koditra
- ny nenina tsy mba roahina eo aloha tahaka ny ondry fa avy manaraka tahaka ny alika.

Mikama - February 17, 2014

Racl.R dans La Nation
« Plus c’est gros, plus c’est cher», s’exclame les connaisseurs de crabes de mangrove. Si beaucoup de personnes s’investissent dans le secteur de l’informatique pour la recherche d’emploi, les opérateurs dans le domaine halieutique semblent croire au potentiel de la pêche. Le potentiel en « scylla serrata » (une espèce de crabe) à Madagascar est estimé à 7 500 tonnes par an alors que seul un tiers de ce potentiel est exploité actuellement. Ce qui laisse une grande marge de manœuvre pour ceux qui désirent se lancer dans l’exploitation. (..) Madagascar, avec ses 325 000 ha de mangroves , représentant 20% des mangroves africaines, possède la plus importante surface de ces forêts dans l’océan Indien occidental. 98% de ces forêts se situe entre le cap St Sébastien au Nord et le Cap St Vincent au sud de la façade occidentale de Madagascar d’où l’endroit idéale pour la culture de crabe de mangrove ou bien le en scylla serrata.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Nouveau Code pétrolier : Déjà en cours d’élaboration. Toutes les actions concernant l’exploration ou l’exploitation de ces ressources minérales doivent faire l’objet d’études d’impacts environnementaux, selon le directeur général de l’OMNIS, Rasoanaivo Bonaventure. « Les compagnies doivent faire cette étude pour chaque phase, puis avoir un permis environnemental avant de pouvoir poursuivre », a-t-il souligné.


MIkama - February 14, 2014

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar 
L’insécurité alimentaire menace le monde rural. À part les aléas climatiques, l’ensa­blement des canaux d’irrigation et des rizières a réduit la superficie cultivable.
Un avenir peu luisant pour les ruraux. « La superficie des périmètres irrigués tend à réduire au fil des années. Actuellement, les 30% des 1,2 millions d’hectares de ces périmètres ont des difficultés à bénéficier d’eau. Le cas de l’Alaotra semble inquiétant. Aussi, certaines rizières de ce grenier à riz ne sont  cultivables que quand la pluie est excédentaire », a lancé Lanto Ramaroson, coordonnateur des bassins versants et périmètres irrigués (BVPI), au sein du ministère de l’Agri­culture, hier à Ambohiman­dray.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
« Investisseurs, professionnels, éleveurs, opérateurs ou particuliers peuvent s’inscrire dans l’annuaire de l’Elevage en consultant le site www.fiompiana.com. On y trouve toutes les informations concernant ce secteur comme la recherche de débouchés, de partenaires et de produits », a-t-il [Ralaimampianina Hajaniaina, le directeur du Système d’Information] rajouté.

Hade'nah dans La Nation
« Education pour tous » Un appui de 55,4millions USD
Le projet d’Appui d’urgence au programme d’éducation pour tous (PAUET) par le biais du ministère de l’Education nationale, a été présenté hier au Motel Anosy. Ce projet s’étale sur trois années et s’étale dans douze régions dont Analamanga, Itasy, Bongolava, Vakinankaratra, Ihorombe, Betsiboka, Boeny, Melaky, Sofia, Diana et Alaotra Mangoro.

Riana dans Madagascar Matin
A cette occasion, la JCI « Ilon’Iarivo » a  invité trois personnalités marquantes dans la vie économique et politique de Madagascar, entre autres le juriste Sahondra Rabenarivo, la  présidente du Groupement des entreprises de Madagascar (GEM) et le président du Groupe Socota, Salim Ismail.
Parmi les priorités pour le succès de développement, ces trois mentors ont été unanimes sur l’importance de la création de l’emploi que ce soit en milieu rural ou dans le secteur industriel. Sous l’angle démographique, le taux de la croissance démographique de la population malgache est de 3% par an. A cet effet, le pays devrait créer près de 600 000 emplois par an, a déclaré le président du groupe Socota Salim Ismail. « Cela semble vertigineux, mais beaucoup de pays l’ont fait », a-t-il souligné.

Fahranarison dans Newsmada
A quelques mois de l’échéance des OMD [objectifs du millénaire pour le développement], le pays a bénéficié d’un soutien financier de 85,4 millions d’ariary du partenariat mondial pour l’éducation afin de mener le projet d’appui d’urgence au programme éducation pour tous (PAUET).
Lancé officiellement hier au motel Anosy, ce projet d’urgence touche 1.900.000 élèves issus des écoles primaires publiques (EPP) des 12 régions de la Grande île. Ce projet vise à préserver l’accès à l’enseignement primaire, tout en améliorant les conditions d’enseignement dans les zones cibles. Les régions bénéficiaires, à l’instar d’Ihorombe, de Betsiboka, d’Androy, d’Atsimo Atsinana, d’Anosy… sont considérées comme étant des régions les plus vulnérables en matière d’accès à l’éducation de base.

Mikama - February 13, 2014

Dans newswise
The Wildlife Conservation Society announced today that the Government of Madagascar has approved carbon sales with Microsoft and its carbon offset partner, The CarbonNeutral Company, and Zoo Zurich. The carbon credit sales will support the Government of Madagascar’s REDD+ Project (Reducing Emissions from Deforestation and Forest Degradation "plus" conservation) in the Makira Natural Park and mark the first sale of government-owned REDD+ credits in Africa. (..) Makira contains an estimated one percent of the world's biodiversity including 20 lemur species, hundreds of species of birds, and thousands of plant varieties, including many found nowhere else on earth. The Makira forest spans nearly 400,000 hectares (more than 1,500 square miles), making it one of the largest remaining intact blocks of rainforest in Madagascar. In addition, Makira's forests serve as a zone of watershed protection, providing clean water to over 250,000 people in the surrounding landscape.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Dans ce cadre, pourtant, les statistiques des douanes de Madagascar couvrant la période janvier/septembre 2013 montrent des exportations de 5.441 tm [de sisal]. L’acheteur le plus important était la Chine avec 2.982 tm, suivi par le Maroc avec 1.365 tm. Les exportations pour ces deux pays représentent 80 % des exportations des fibres de sisal du Madagascar.


Mikama - February 12, 2014

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Mais en attendant d’y voir un peu plus clair, et selon  les analyses de la COMMISSION DE SUPERVISION BANCAIRE ET FINANCIERE  relatives à l’évolution du secteur de la microfinance , il s’avère que les résultats dans le secteur, sont mitigés. La filière  qui compte dix sept institutions de microfinance (IMF) de niveaux 2 et 3 en activité, a évolué comme suit sur les neufs premiers mois de 2013.
A l’actif, les crédits nets à la clientèle ont augmenté de 47,0 milliards d’ariary depuis le début d’année et se chiffrent à 235,9 milliards. En ressources, les dépôts de la clientèle ont enregistré une hausse de 28,3 milliards d’ariary (+19,2%) et s’établissent à 175,6 milliards contre 147,3 milliards en décembre 2012. Cette évolution est expliquée par les dépôts à vue (DAV) des sociétaires et par les dépôts à terme (DAT) des institutionnels. Les emprunts à terme se sont accrus de 12,0 milliards d’ariary et totalisent 60,9 milliards à fin septembre 2013. La trésorerie nette du secteur, positive de 58,1 milliards d’ariary, a diminué de 7,4 milliards (-11,3%) par rapport à la situation à fin 2012. Le secteur de la microfinance affiche un résultat net intermédiaire positif de 4,9 milliards d’ariary à la fin du troisième trimestre 2013 contre un bénéfice de 6,3 milliards un an auparavant, soit une contraction de 1,3 milliard. L’autosuffisance opérationnelle du secteur s’établit à 110,7%, indicateur en recul de 5,4 points par rapport à la réalisation de l’exercice précédent. La masse bilancielle du secteur est marquée par une hausse de 51,5 milliards d’ariary (+16,5%) pour se situer à 364,5 milliards.

Anjara Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
Le lancement officiel du nouveau projet de Genderlinks, « Femmes et élections communales », financé par l’Union européenne à hauteur de 227 000 euros soit près de 673 000 000 ar, s’est tenu hier à l’Hôtel Colbert, en présence du représentant du chef de la délégation de l’Union européenne et des premiers responsables auprès de Genderlinks, en l’occurrence Ialfine Papisy.

Mikama - February 11, 2014

Racl.R dans La Nation
Madagascar exporte des produits vers le Marché commun de l’Afrique orientale et australe (COMESA). Pour l’année 2013, les principaux produits sont les combustibles minéraux, les huiles minérales et produits de leur distillation, à hauteur de 9.849.000 USD. Il y aussi le thé, le café, matés et épices, allant jusqu’à 8.877.000 USD. Les minerais, scories et cendres (6.841.000 USD), le sucre et sucreries (6.041.000 USD), le coton (5.243.000 USD), les transactions spéciales commerciales (3.552.000 USD), le bois, le charbon de bois et ouvrages en bois (3.495.000 USD), le papier et cartons, ouvrages en pâte de cellulose, en papier ou en carton (3.303.000 USD), les poissons et crustacés, mollusques et autres invertébrés aquatiques (3.254.000 USD) et finalement les légumes, plantes, racines et tubercules alimentaires (2.887.000 USD).

Faly Randriamiarantsoa dans AoRaha
Tsy fahampian’ny fepetra mifehy ny fampidirana sakafo sy biby eto Madagasikara. Saika avy any ivelany ny ankamaroan’ ireo aretina mpahazo ny biby eto amintsika. «Tsy mbola voafehy araka ny tokony ho izy ny fidiran’ ireo vokatra samihafa mety mitondra ireny aretina ireny», araka ny fanamarihan’ny filohan’ ny sampam-pianarana fitsaboana biby, ny Profesora Rafatro Herintsoa... Ankoatra izany koa ny tsy fahampian’ny mpitsabo biby eto Madagasikara. «Manodidina ny 300 ny isan’ny mpitsabo biby eto Madagasikara amin’ izao fotoana raha maherin’ ny 700 no takian’ny tsena», hoy ihany ny fanazavany. Nanomboka tamin’ ny 2007 no nisokatra ity sekoly [DESMV, Ambatobe] ity ka mpianatra manodidina ny 30 isan-taona no mandranto fianarana ao.

Mikama - February 10, 2014

Mamy Rakotondrainibe dans Rotius International
Les acteurs des accaparements de terres viennent de tous les continents et sont souvent des firmes transnationales. (..) Les perspectives sont inquiétantes : Le gouvernement sud-coréen est revenu ouvertement à l’offensive en 2013, annonçant clairement son intention de remettre en place le projet initial de grande envergure de Daewoo Logistics... En vue de les attribuer à la société chinoise Madagascar Wuhan Iron and Steel Corporation – WISCO, qui prévoit d’extraire du minerai de fer, l’Etat malgache a titré à son nom 43 000 ha de terres incluant des villages... Les futurs travaux d’infrastructures et d’exploitation d’ilménite de la compagnie Toliara Sands Project, filiale de la société australienne World Titanium Resources, font courir de gros risques d’expropriation et d’expulsion aux centaines de familles riveraines, en plus des risques de tarissement des ressources en eau et de l’émission de radioactivité.
Reference: Collectif  TANY

Arh. dans Newsmada
La valeur totale FOB (Free On Board), ou les marchandises achetées sans les différents frais pour l’exportation de la vanille, du café et des crevettes de Madagascar s’affiche à plus de 230 milliards d’ariary en 2013. Pourtant cette valeur a atteint les 250 milliards d’ariary l’année précédente, 144 milliards d’ariary en 2012 (TBE n°14 Instat).

Mikama - February 8, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Selon l’Economic Development Board of Madagascar, les sociétés malgaches détiennent la première place en terme de créations d’entreprises.
Le developpement de l’entrepreunariat malgache et l’engagement des entrepreneurs malgaches dans la formalisation de leurs activités. Telles sont les deux interprétations avancées par un économiste pour expliquer les statistiques sur les créations d’entreprises de l’Economic Development Board of Madagascar (EDBM). Le bilan 2013 montre en effet que les sociétés d’origine étrangères représentent 49% de la totalité des créations contre 52% en 2012.

Dans L'Express de Madagascar
Madagascar est classé au 7e rang des 10 pays les plus libéraux en Afrique en 2014, avec un score de 61,7 selon la nouvelle édi­tion de l’Index of Economic Freedom, publié chaque année par le Wall Street Journal et The Heritage Foundation. Un recul par rapport à  l’année dernière avec 62 points. En se basant sur le résultat d’ensemble, Madagascar se classe au 79e rang mondial sur 178 pays.

Sera R dans NewsMada
D’après un communiqué émanant hier du Programme alimentaire mondial des Nations unies (Pam) à Madagascar, cette organisation vient de bénéficier d’une contribution de 1,1 million de dollars américains (environ 2,5 milliards d’ariary) de la part du gouvernement Suisse.

Mikama - February 7, 2014

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Produits de la mer : 62% seront issus de l’aquaculture en 2030
C’est l’un des chiffres publiés par la Banque mondiale dans son nouveau rapport publié le 5 février 2014 sur la pêche et l’aquaculture pour l’horizon 2030. (..) Au niveau mondial, la Grande Ile est le 3ème en termes de superficie de mangroves avec 325 000 ha. Ces forêts en bord de mer constituent en quelque sorte la maternité et la crèche des crevettes, des crabes et de nombreux poissons. (..) Rien que pour les crabes pourtant, le pays a un potentiel de 7 500 à 8 000 t/an, contre une production annuelle de 2 700 à 3 500 t. (..) Mais pour l’heure, les poissons coûtent chers et sont un produit de luxe pour 9 Malagasy sur 10 frappés par la pauvreté. Le kilo commence à 6 000 Ar alors que le revenu de ces Malagasy sont en dessous de 4 000 Ar par jour

R.V. dans La Gazette de la Grande-Ile
Récemment, la Fondation pour les Aires Protégées et la Biodiversité de Madagascar (FAPBM) a renouvelé ses engagements. En 2011, l’organisme a octroyé 850 000 dollars. Puis, 1 251 063 en 2213. Et pour cette année, FAPBM offre plus de 2,1 millions de dollars pour la protection des aires protégés de la Grande Ile. (..) Notons que la FAPBM soutient plus de deux millions d'hectares d'aires protégées réparties dans 28 sites de Madagascar dont 3 d'entre eux font partie du patrimoine naturel mondial de l'UNESCO, comme les forêts humides de l'Atsinanana à l'est de la Grande Ile.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Des produits agricoles destinés à l’exportation vers les pays de l’Union Européenne ont été refoulés en raison de la présence de pesticides.

En Transition : Who's Who

L.O.I. n°1372 du 24/01/2014
Les hommes du nouveau président
Hery Rajaonarimampianina, manque de réseaux solides, même s'il est entouré de collaborateurs fidèles.
Deux hommes qui ont pris une place importante dans le staff électoral d'Hery Rajaonarimampianina le poussent à jouer pleinement son rôle de chef d'Etat en s'émancipant de l'influence du président sortant, Andry Rajoelina dit TGV. Il s'agit d'une part de son avocat et ami Henry Rabary-Njaka et d'autre part de Solofo Rasoarahona, son ancien bras droit au ministère des finances. Ce dernier est aussi son associé depuis 1995 au sein du cabinet d'expertise-comptable Auditeurs & Associés CGA. Plusieurs personnes sont redevables à Solofo Rasoarahona de les avoir introduites auprès de Rajaonarimampianina, à commencer par Herisoa Razanadrakoto, qui a été sa conseillère technique au portefeuille dès 2009, mais aussi Rinah Rakotomanga, une communicante engagée auprès de Hajo Andrianainarivelo au premier tour de l'élection et en charge de la communication de Rajaonarimampianina pour le second tour. De son côté Georges Kamamy, prince du Menabe, est devenu très présent dans l'entourage présidentiel. Même si ses réseaux politiques restent à construire, le nouveau locataire du palais d’Ambohitsorohitra pourra compter sur deux autres anciens du ministère des finances, Rivo Rakotovao et Arsène Rakotoarisoa, qui étaient ses conseillers techniques depuis 2009

L.O.I. n°1372 du 24/01/2014
Jean-Christophe Mitterand, Al Njoo Kok Kiong, Madagascar Oil, Franck Ramarosaona, Eurogroup, Gilles Bonnenfant, thiel Rasamoely, Babeau, Oceanemed, Latitudes, Jean-Philippe Karouby, Dawood rawat, Michel Scarbonchi


Mikama - February 6, 2014

Rija Ratovomahefa dans L'Express de Madagascar
Il s’agit de l’artisanat. La recette sur les produits exportés au cours de l’année 2013 confirme cette bonne santé du secteur. 13 375 455 d’euros de recette au total, ont été générées par l’artisanat. (..) Ils avaient assuré 10% de la part du PIB en 2013. On constate une hausse de 5 millions d’euros de recette par rapport à celle du 2012. L’artisanat est l’un des secteurs porteurs de l’économie malgache. Il concerne près de deux millions de personnes, qui en vivent plutôt mal pour la plupart. (..) Les produits artisanaux les plus exportés sont notamment les pierres, la sculpture, la maroquinerie, les linges de maison, la tapisserie et la vannerie.

Navalona R. dans L'Express de Madagascar
Le cheptel de volailles à Madagascar dépasse actuellement les 35 millions de têtes. 86 % de ces animaux sont issus de l’aviculture villageoise, d’après les statistiques publiées par la FAO. En outre, une étude récente a révélé que ce type d’élevage à cycle court représente un chiffre d’affaires de plus de 100 millions USD par an au profit des petits ménages ruraux. (..) seuls 3% d’entre eux acceptent de faire vacciner leur cheptel. La perte économique liée à la propagation de ces maladies, souvent négligée par les éleveurs, est pourtant évaluée à plus de 30 milliards d’Ariary par an, d’après toujours une étude publiée tout récemment.

Fahranarison dans NewsMada
Quand les bonnes idées valent de l’or ! C’est ce qu’on peut dire de la conception de la présidente de SOS village d’enfant, Maria Raharinarivonirina. Son projet, « 6 maisons des femmes » primé « Women for change » peut actuellement améliorer la vie de plus de 800 femmes et autant d’enfants.

Mikama - February 5, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
«Le plus pour les environnementalistes est que les lois sont respectées. Les compagnies doivent se soumettre à la responsabilité sociétale et environnementale. Les compagnies qui s’implantent aussi dans le pays devront être légales », ajoute-t-il. Pour Maplecroft, une autre institution de référence pour les investisseurs et les intervenants miniers, Madagascar fait partie des pays à risque élevé, juste après les pays à risque extrême que sont les pays en guerre comme le Centra­frique, l’Irak, la Syrie. Le classement inclut les risques à court terme tels l’État de droit, les violences politiques, la stabilité des régimes, le niveau de préparation en terme d’infrastructures. L’incertitude relative aux législatives existantes, la justice, le régime fiscal font partie des critères d’évaluation pour Fraser Institute.
References:
Maplecroft, Corruption Risk Index 2014
Maplecroft, Global Risks and Resilience Atlas 2014
Fraser Institute, Mining Survey 2012-13 Data


NIR dans La Gazette de la Grande-Ile
Avec des journées de plus de 8h, les jeunes enfants doivent transporter les briques sur leurs têtes pour charger les charrettes de livraison. Ce travail physique leur permet de gagner un revenu journalier d’environ 0,50 à 1 euro par jour. Beaucoup de familles confient que cela leur « suffit » au moins pour assurer la popote quotidienne et vivre au jour le jour ! Sachant que plus de 80% des revenus du foyer sont concentrés sur l’achat de nourriture.

Fanjanarivo dans La Gazettede la Grande-Ile
Plante endémique de Madagascar et ne se trouve nulle part ailleurs que dans le Sud du pays, soit dans les régions d’Androy et d’Anosy, le « satrapotsy » ou « anivona » (ravenea xerophila) est en danger d’extinction selon le classement de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). (..)

Mikama - February 4, 2014

Racl.R dans La Nation
Entreprenariat. Toutes les classes d’âges intéressées. Si depuis toujours, les entrepreneurs furent des jeunes dynamiques fraîchement sortis des universités pour s’aventurer dans le monde des affaires, ce n’est plus cas à présent. L’entreprenariat n’est plus l’apanage de la classe d’âge comprise entre 25 et 40 ans. Toutes les catégories de personnes se sentant capables de conduire une entreprise, sont intéressées à se lancer dans les affaires. (..) Rappelons qu’en 2012, le nombre d’unité de production individuelle (UPI) hors agriculture, élevage, pêche, est estimé à 2 282 500 unités. Les personnes qui se lancent dans les petites affaires, œuvrent dans le secteur informel par manque de connaissances en la matière. Forcées de survivre, elles ne disposent plus de temps pour connaître les règles du jeu. (..) Leurs projets tournent ainsi autour de la broderie, l’agroalimentaire, la vente en gros et détail, la coiffure et l’esthétique, le tourisme et pour certaines personnes, elles ne connaissent même pas dans quel activité elles vont se lancer.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Actuellement pourtant, le réseau routier de Madagascar se place parmi les moins développés au monde avec moins de 10km de route revêtue pour 1 000 km2.
L’indice d’accès rural pour Madagascar défini comme le pourcentage de population rurale qui vit à moins de 2 km d’une route praticable toute l’année est seulement de 22,4%, selon les données de la Banque mondiale. C’est un taux extrêmement faible comparé aux autres pays en développement. Il explique la pauvreté qui affecte plus les ruraux que les urbains. Les dernières statistiques qui remontent à 2010 montrent que 44% des routes nationales sont jugées en mauvais état.

Mikama - February 3, 2014

Fanjanarivo dans La gfazette de la Grande-Ile
A Madagascar, le budget public consacre tous les ans et depuis 2010 moins de 3% pour les secteurs agricoles dont l’agriculture proprement dite, l’élevage, la pêche, les forêts. Auparavant, cette part a été de 11%. Mais il faut souligner qu’avant 2009, 75% du financement du développement rural étaient assurés par les bailleurs de fonds.

Riana dans Madagascar Matin
Depuis les 41 années de signature de la convention sur les zones humides, Madagascar possède 7 sites de zones humides d’importance internationale, apprend-on d’un communiqué publié par la Conservation International. Ces sites concernent le lac Tsimanampetsotsa-Betioky (une superficie de 45 604 ha au sud), le complexe des 4 lacs de Manambolomaty-Antsalova (7 491 ha dans l’ouest), le lac Alaotra- Ambatondrazaka (722 500 ha à l’Est), le marais de Torotorofotsy-Andasibe (9 993 ha, également dans l’Est), le parc privé de Tsarasaotra à Soavimasoandro (27 ha, dans le centre ville d’Antananarivo), le lac Bedo-Belo/Tsiribihina (1 962 ha, dans le sud) et la rivière de Nosivolo-Marolambo (358 511 ha située dans l’Est). Rappelons-le, Madagascar a ratifié la Convention de Ramsar le 19 février 1998.

Fanjanarivo dans La gfazette de la Grande-Ile
Selon une étude de la Banque mondiale réalisée dans les années 2000 pourtant, si le pays respecte le Code des marchés publics, il peut faire jusqu’à 25% d’économies.