Mikama - Oct 30, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana  dans L'Express de Madagascar
Selon les informations qui y sont véhiculées, le Trésor  a honoré 14,26% des arriérés de l’État, soit un montant de 30,807 milliards ariary. Selon les précisions, les créanciers de l’État, bénéficiaires de ces arriérés, sont constitués des loueurs de groupes électrogènes de la Jirama, de certaines compagnies pétrolières et d’une compagnie minière. Cette entité publique prévoit de continuer de payer les mêmes subventions aux compagnies pétrolières et d’octroyer des subventions à la Jirama,  respectivement de l’ordre de 182 milliards ariary et de 161 milliards ariary, d’ici la fin de l’année. (..)  la majeure partie des recettes douanières non recouvrées résulte de la suspension des Droits et Taxes à l’Importation (DTI) au profit des compagnies pétrolières et de la Jirama s’élevant à hauteur de 244,3 milliards ariary jusqu’à fin 2014.
Reference: bulletin Tahiry n°47 du Trésor Public  

Reflet dans Newsmada
Les lacs, marais et lagunes constituent principalement les zones de pêche continentale à Madagascar. Les eaux des fleuves ou des rivières sont peu productives à l’exception de la Lily (exutoire du lac Itasy), du Mangoro (versant Est)... Près des trois-quarts des zones piscicoles exploitables, importantes de par leur superficie et leur capacité, assurent l’approvisionnement de la plupart des marchés sur tout le territoire. Parmi ces zones de pêche figurent le lac Alaotra, le lac Kinkony, le lac Itasy, le lac Mantasoa, le lac Tsiazompaniry, les plans d’eau du district de Miandrivazo, le cours intérieur de la Tsiribihina et les lagunes associées au canal des Pangalanes.

R.Edmond dans Midi Madagasikara
En effet, la Grande Ile est classée au 163e rang du classement Doing Business 2015, alors que son rang révisé selon la nouvelle méthodologie basée sur le score à la distance à la frontière était 157e dans le Doing Business 2014.
Reference: Doing Business 2015 Madagascar

Mikama - Oct 29, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Dix ans après le début des travaux de recherche et d’évaluation, la compagnie pétrolière Madagascar Oil a finalement soumis le plan de développement du bloc 3104 de Tsimiroro au comité de directeur de l’OMNIS. Il s’agit du premier plan de développement dans le pétrolier élaboré à Madagascar. Elle fait suite à la déclaration de commercialité par la compagnie le 8 mai.  (..) À partir de fin 2015, le nombre de puits sera également multiplié afin d’atteindre l’objectif de 10 000 barils produits par jour de production, contre 500 barils actuellement.

M.R. dans L'Express de Madagascar
Armand Tazafy, directeur général des impôts, a reconnu à demi-mot hier que le montant forfaitaire de 2000 ariary d’impôt  sur le revenu pour les salaires au-dessous de 250 000 ariary devrait être main­- tenu dans la loi de finances 2015.  Mais ce n’est pas encore définitif, car le document devra encore passer devant les parlementaires, et surtout avoir l’aval des hautes autorités du pays.   (..) Mais outre ce sujet sur l’Irsa, il a, néanmoins, laissé échapper quelques informations par rapport à 2015. Une hausse de l’ordre de 12%, par exemple, devrait être préconisée pour la recette fiscale.  Pas de nouvelle taxe en vue, mais l’élargissement de l’assiette fiscale constitue la base de la stratégie afin d’atteindre cet objectif.  

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Depuis 2012, la suspension des taxes sur les produits pétroliers permettait de maintenir le niveau des prix à la pompe. Avec cette intervention, l’Etat perdait 40% des taxes. Et pour la JIRAMA, une suspension supplémentaire de 35% ramenait le manque à gagner à 75%. Cette suspension a engendré des pertes d’environ 280 milliards Ariary, depuis son application en 2012.

Mikama - Oct 28, 2014

Dimisoa dans Newsmada
Parmi les modes de transport, celui du fluvial est sans doute le moins connu. Ainsi, pour améliorer ce secteur, le ministère des Transports et de la météorologie et l’Agence portuaire maritime et fluviale (APMF) projettent pour la réhabilitation des infrastructures d’appontement, la vulgarisation et la mise en application des textes en vigueur, la promotion du partenariat public privé dans la gestion des infrastructures et les investissements relatifs aux infrastructures portuaires (..) Il est à noter que des textes sont en vigueur pour régir le transport fluvial, comme l’arrêté n° 6020 du 17 octobre 1990 fixant les conditions requises pour l’admission à naviguer sur les voies navigables, la loi n° 90-005 du 18 juin 1990 relative au code des voies navigables et de la navigation intérieure, etc.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Notons que l’agriculture familiale est une forme d’organisation de la production agricole caractérisée par des liens qui unissent la famille et l’unité de production avec un recours au travail familial. Le capital de production et le patrimoine familial y sont confondus. A Madagascar, « ce modèle familial prédomine et constitue même la base de l’économie nationale. Ce sont notamment des petits agriculteurs qui exploitent une superficie économique de moins de 1,5ha pour effectuer une pluralité d’activités incluant l’agriculture sans une spéculation spécifique, l’élevage, la pêche, l’artisanat. A part l’auto-consommation, ils commercialisent une partie de leur production même s’ils n’enregistrent aucun surplus. Et paradoxalement, ces petits agriculteurs sont très vulnérables », a exposé le Dr Jacqueline Rakotoarisoa, le directeur scientifique du FOFIF

Racl.R dans La Nation
10 millions de dollars par jour de transactions. Qui aurait-cru qu’une telle somme circulait chaque jour à Madagascar ?

Mikama - Oct 27, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana  dans L'Express de Madagascar
Les investisseurs chinois s’intéressent davantage  à l’élevage. Après la construction d’un abattoir de bovidés à Toliara, ils vont investir dans la mise en place d’une ferme-école. C’est dans ce domaine que va investir la société chinoise Tsong Newtech basée en Chine. L’accord de partenariat a été signé avec le ministère de l’Élevage dont l’objectif est de mettre en place un modèle d’élevage d’espèces ovines et bovines. Selon les explications, l’abattoir de Befanamy, dans la commune rurale de Mitsinjo, sera  transformé en un complexe comprenant un centre de formation, une ferme et une chambre froide réservée aux activités d’exportation.

Lantoniaina Razafindramiadana  dans L'Express de Madagascar
«La situation est plutôt stable. On n’a pas connu la reprise forte qu’on a espéré». C’étaient les propos de Keiko Kubota, économiste principal auprès de la Banque mondiale... De nombreux investisseurs explorent des potentiels, mais la plupart préfèrent attendre pour s’assurer de la stabilité politique et de la direction politique du pays », a précisé cet économiste. Outre l’absence de la reprise économique, la Banque mondiale, à travers cet économiste, a également mis en exergue l’accélération de la dépréciation de la monnaie locale. Une situation qui découle du déficit persistant de l’offre sur le marché interbancaire des devises, mais qui a permis une hausse de 7% du volume des exportations durant les huit premiers mois de l’année 2014, par rapport à ceux de la même période en 2013. Mais la dépréciation de l’ariary de 11% par rapport au dollar américain depuis le début de l’année a contribué au renchérissement du prix d’importation du riz. (..)  A propos des recettes fiscales, la Banque mondiale a noté des améliorations, mais à la fin du mois d’août, les recettes collectées correspondent à 55% des recettes visées, ce qui pourrait entraîner une perturbation dans l’exécution du budget.


Noella Rakoto dans Newsmada
L’exécution budgetaire du 3è trimestre de cette année a affiché une rentrée des recettes fiscales s’élevant à près de 84,55%. Un taux discutable étant donné le contexte économique qui prévaut à l’heure actuelle.

Mikama - Oct 24, 2014

Antsa R. dans Midi Madagasikara
7,8 tonnes à l’hectare ! C’est le rendement record en 2013, pour les riziculteurs de la zone PC23 Sud, regroupés dans la Fédération Tsaravohy. Avec deux récoltes par an, il est possible pour ces paysans de produire jusqu’à 15 tonnes de riz, sur une surface d’un hectare. Cela, grâce aux nouvelles pratiques vulgarisées dans le cadre du PAPRIZ (Projet d’amélioration de la productivité rizicole des Hautes Terres centrales de Madagascar).

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Les compagnies pétrolières doivent payer une redevance pour l’entretien routier (RER). Ce financement représente plus de 90% des ressources du FER. Les 10% restant proviennent, entre autres, de la Taxe sur les produits pétroliers (TPP) et d’éventuelles subventions des bailleurs de fonds.

V.R. dans L'Express de Madagascar
Près de 620 000 personnes bénéficiaires et 75 millions de dollar débloqués. L’USAID a lancé hier, un vaste programme de lutte contre la malnutrition en cette période de soudure.

Mikama - Oct 23, 2014

Dans La Nation
L’INSTAT a recensé environs 2 282 500 unités de productions individuelles avec un poids de 7 472 milliards d’Ariary de biens et de services et qui ont créé 4 840 milliards d’Ariary de valeur ajoutée dans des secteurs hors agriculture, élevage, pêche alors que la Direction Générale de l'Impôt enregistre environ 173 000 entreprises formelles...   93% des emplois créés se trouvent dans le secteur informel dont 75,3% sont absorbés par les entreprises informelles agricoles. (..) Seuls 16,2% des urbains de 10 ans et plus parlent couramment le français (contre 3,5% en milieu rural) et 31,9% ont une connaissance moyenne (contre 16,9% en milieu rural). En ce qui concerne la maîtrise de l’outil informatique, seule une faible minorité de Malgaches de 15 ans et plus possède une connaissance en informatique (7,8%). En plus, près d’un quart de la population malgache de 15 ans et plus déclarent ne pas savoir ni lire ni écrire même leur langue maternelle. (..) En ce qui concerne le phénomène de la déscolarisation des enfant, il concerne près d’un enfant sur quatre de 6 à 14 ans et deux tiers des enfants de 15 à 19 ans d’après les études de l’INSTAT.

Lova Emmanuel dans L'Express de Madagascar
A partir de ce PND, l’État espère une croissance à deux chiffres à partir de 2017. Pour 2014, ce sera de 3%. Dans le PND, la croissance à atteindre en 2015 est de 5%, 7% en 2016 et plus de 10% à partir de 2017. (..)  Atteindre les deux chiffres pour 2017 est réalisable en fonction de la stabilité politique locale. Idem pour le taux d’investissement malgache de 25% du PIB. (..) la croissance économique sera propulsée par quelques branches d’activités plus résilientes aux chocs exogènes, et à forte propagation des effets d’entrainement sur le reste du système économique. Il s’agit des grands projets miniers, le développement des réserves touristiques, les zones franches industrielles, l’agriculture extensive et intensive et le développement des réserves touristiques, entre autres. (..) Comme prévu, le Programme national de développement, dont le slogan est « Croissance inclusive et développement durable », aura cinq axes stratégiques :
Axe 1: « Gouvernance, État de Droit, Sécurité, Décentralisation, démocratie, Solidarité nationale »
Axe 2: « Préservation de la stabilité macroéconomique, relance des activités prioritaires et d’appui au développement »
Axe 3: « Croissance inclusive et ancrage territorial du développement dans le cadre d’une décentralisation effective »
Axe 4: « Valorisation et développement du Capital humain en adéquation avec un développement durable et fort ».
Axe 5: « Valorisation du Capital naturel et développement durable, capacité de résilience ».
Arnaud R. dans Midi Madagasikara
Au Sénégal, 57 % de la population ont accès à l’Energie. Et en Afrique du Sud, la situation est encore plus meilleure avec un taux de 80 %. Tandis qu’à Madagascar, 15 % de la population seulement y ont accès.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Atteindre un taux d’accès à l’électricité de 30% en 2020, et entre 50% à 60% en 2030. C’est l’objectif que s’est fixé que le ministère de l’Énergie.

Mikama - Oct 22, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
...  le ministre de l’Emploi, de l’Enseignement Technique et de la Formation Profes­sion­nelle, Gatien Horace, a avancé dans sa présentation que la Banque africaine de développement va accorder un prêt de 71 millions USD pour la réhabilitation de 109 kilomè­tres de routes sur la RN9 à partir de Toliara, un financement de l’Agence française de développement à hauteur de 50 millions d’euros pour le by-pass à l’Est de Tana. Le ministre a également évoqué une contribution du Fonds Koweitien pour la réhabilitation de la portion reliant Soanierana Ivongo à Mananara Nord d’un montant de 17 millions USD. (..) Appel aux étrangers
Pour la Banque mondiale et l’Union européenne, des appuis financiers, respectivement de l’ordre de 400 mil­lions de dollars et de 455 mil- ­lions d’euros, sont en vue. Ils comprennent les financements des travaux de routes.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Afin de réduire ces trafics, la plateforme des organisations de la société civile oeuvrant pour l’environnement ou Alliance voahary gasy (AVG) a organisé les 20 et 21 octobre derniers à Mahajanga une formation pour les Officiers de police judiciaire (OPJ). L’objectif est de mieux aider ces derniers à mener à bien leurs enquêtes dans le cadre légal et réglementaire. Notons qu’outre les trafics de bois de rose, ce type de trafics concerne aussi d’autres ressources d’origine marine, terrestre et minière. La lutte contre les feux de brousse, la déforestation et la destruction des ressources naturelles ainsi que la protection des aires protégées et des mangroves entrent aussi en ligne de compte dans la formation de ces OPJ. A part les trafics de ressources qui ont explosé depuis ces 5 dernières années en effet, des infractions contre l’environnement sont également sanctionnées par la loi.

Mikama - Oct 21, 2014

Léa Ratsiazo dans Tribune de Madagascar
La Grande Île figure dans la liste des dix derniers pays dans le monde qui n’ont pas atteint les OMD (objectifs du millénaire pour le développement) fixés par les Nations Unies. L’eau et l’assainissement est un des grands secteurs où Madagascar est encore à la traîne. Selon la ministre de l’eau Ndahimananjara, 43% seulement des Malgaches ont accès à l’eau potable pour le moment et la défécation à l’air libre est encore très répandue actuellement.
Reference: Objectifs du Millénaire du Développement : Rapport 2014 Nations Unies

Dans La Nation
D’après un estimatif du coût de l’installation d’une centrale hydroélectrique, il en faudrait plus ou moins 700 millions d’euros à raison de 2.000 euros/ Kw pour le besoin énergétique de la Grande île qui est de 350 Mw. Il en faut au minimum compter entre 400 euros et 2.000 euros par Kw pour des installations d'une puissance supérieure à 100 Kw d’après les experts étrangers.

Hanitra R. dans Midi Madagasikara
A ce jour, moins de la moitié de la population malgache a accès à l’eau potable. Selon les données disponibles, 43 %, soit près de 11 millions de Malgaches n’y ont pas accès et davantage n’ont pas accès à l’assainissement dans la mesure où 86 % de la population (plus de 18 millions de personnes) n’ont pas la possibilité d’utiliser des toilettes aux normes. « Un budget de 220 millions de dollars par an est nécessaire pour couvrir les besoins à Madagascar et atteindre les objectifs d’accès à l’eau potable et à l’assainissement par toute la population malgache », déclare la ministre de l’Eau, Johanita Ndahimananjara, et d’ajouter qu’il faudrait, jusqu’en 2025, un financement de 1,4 milliard USD pour atteindre les objectifs.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Sur environ 215 familles connues des plantes à fleurs de Madagascar, la famille des caféiers ou Rubiaceae est parmi les 4 grandes familles de la flore avec 92 genres dont 25% endémiques et 930 espèces dont 631 publiées, d’après les statistiques du Missouri botanical garden (MBG). Cette richesse floristique devrait aider le pays à promouvoir la caféiculture non seulement pour le marché national où la consommation est encouragée par l’Organisation internationale du café (ICO) mais également pour l’exportation.
Reference: la base de données de Madagascar catalogue du MBG

R.Edmond dans Midi Madagasikara
Avec seulement 10 % du PIB, Madagascar dispose du taux de pression fiscale, l’un des plus faibles en Afrique. Une situation catastrophique due essentiellement au fait que le secteur informel domine très largement l’économie du pays.  Jusqu’à maintenant, l’activité informelle représente 70 % des flux financiers dans le pays... pour cet opérateur économique, si  on accorde à ces entreprises une exonération de TVA et d’impôts sur une période de 5 ans, comme on le fait avec les entreprises franches, elles seront incitées plus facilement à se formaliser. « Au moins 50 % des entreprises informelles basculeront automatiquement vers le formel  si au niveau de l’EDBM, la création de ce nouveau type d’entreprise est déclarative et doit être effective en 15 min », précise notre interlocuteur.

Noella Rakoto dans Newsmada
« Le poste de dépenses le plus important est constitué par le désherbage. Le paysan est ainsi obligé de consacrer entre 30 à 50% de son temps à cette tâche. Or, les produits chimiques ne sont pas toujours adéquats pour résoudre ce problème lorsqu’il se présente »... « Le problème avec les adventices, c’est qu’ils consomment également les engrais et apportent, par la même occasion, diverses maladies et insectes ». Dans un contexte international de réduction des coûts de production et de développement durable, la gestion des adventices se doit d’être respectueuse de l’environnement. Pour pouvoir y remédier, il faut avant tout les identifier.

Sera R. dans Newsmada
De source auprès du ministère de l’Énergie, Madagascar se propose d'émettre des licences pour trois blocs d'exploration offshore et onshore cette année, a indiqué vendredi dernier l’Agence-presse Reuters. Ce nombre de licences peut atteindre une cinquantaine en 2015 (..) Pour rappel, Madagascar compte actuellement 249 blocs d'exploration, dont 24 ont été jusqu'à présent licenciés à des compagnies d'exploration. 15 d’entre elles, dont la française Total et l’américain Exxon mobil, exploitent actuellement 18 blocs onshore sur les 21 répertoriés et 6 blocs offshore sur 228.

Mikama - Oct 20, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Selon une enquête menée en 2012, près de 2/3 des touristes à Madagascar visitent les parcs nationaux pendant leur séjour. Toutefois, l’accès n’y est pas toujours facile à cause du mauvais état des infrastructures routières. Des investissements ont été réalisés dans ce domaine pour améliorer les services offerts aux touristes. Le montant injecté s’élève à 3 milliards d’ariary. Cela a permis à Madagascar National Parks de contribuer au désenclavement de neuf parcs nationaux. (..) Le désenclavement des parcs entre dans le cadre des appuis aux communautés locales mis en œuvre avec les bailleurs de fonds. Entre 2013 et 2014, environ 28 000 ménages ont bénéficié de 971 microprojets financés. Ils portent sur des petits élevages, cultures de rente, artisanat, cultures vivrières et maraîchères. Des infrastructures sociales, à savoir des écoles, des micro-barrages  et canaux d’irrigation, des adductions d’eau potable sont érigées, outre les routes.

Anjara Rasoanaivo. dans Midi Madagasikara
Impliquer les populations locales à la conservation et à la gestion des aires protégées, tel est le concept de développement durable mis en place par Madagascar National Parks qui gère aujourd’hui près de 2,5 millions d’hectares (..) En 2013, 700 CLP actifs et 5 700 personnes issues des communautés locales ont surveillé près de 49 % de la superficie des aires protégées. En 2013 et 2014, près de 28 000 ménages ont bénéficié de 971 microprojets financés par MNP, soutenu par ses partenaires. Il s’agit entre autres de petits élevages, cultures de rente, artisanat, cultures vivrières et maraîchères. En outre, MNP a contribué au développement des communes riveraines à travers la construction de près de 80 infrastructures sociales dont des écoles, des micro-barrages et des canaux d’irrigation, de l’adduction d’eau potable, un bloc sanitaire public et d’autres infrastructures communautaires. Ainsi, en 2013, les retombées financières directes sur les communautés riveraines ont atteint 5,3 milliards d’Ariary.

Racl.R dans La Nation
Rappelons que seulement 15% de l’ensemble de la Grande île est abonné à la Jirama. Cette société d’Etat présente pourtant des dettes énormes qui s’élèvent à 100 milliards ariary envers l’Etat malagasy. (..)

Mikama - Oct 17, 2014

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
D’après lui [Rivo Rakotondrasanjy, secrétaire général de la Fédération du patronat malgache (Fivmpama)], selon les derniers chiffres de la Direction générale des impôts, il existe 173 000 entreprises formelles à Madagascar. Près de 3 000 sont dans le secteur primaire, 10 000 dans le secondaire et le reste dans le service. Par ailleurs, selon un autre chiffre de l’Institut national de la statistique (Instat), il existe plus de 2 282 000 entreprises qui opèrent dans le secteur informel, dont près de 800 000 micro-industries.

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Elle [l’Organisation Internationale de la Migration (OIM)] apporte un appui financier de 1 159 620 000 ariary de la part du gouvernement américain, et 251 000 000 d’ariary de sa part, pour contribuer à la lutte contre la traite des personnes. Les deux camps affirment qu’il ne s’agit pas nécessairement de freiner la migration des personnes, mais de réguler le processus pour les protéger, pour que les pays de départ en tirent bénéfice par la contribution de la diaspora au Produit Intérieur Brut, à travers les transferts qu’elle effectue.

Georges R. dans Newsmada
Selon les informations recueillies, c’est surtout dans le secteur Bâtiment et travaux publics (BTP) qu’on retrouve le respect des normes à Madagascar.

Mikama - Oct 16, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Des collèges agricoles seront implantés dans différentes régions pour améliorer les acquis des producteurs. «A Madagascar, on a souvent l’habitude d’envoyer les enfants aux champs après avoir raté le CEPE. Ces derniers ne maîtrisent pourtant pas les techniques ce qui empêche un développement effectif de leurs activités. La mise en place des collèges est une des solutions préconisées pour les rendre professionnels», a avancé Mamy Rajaonesa, responsable auprès du Fifata (Fikambanana Fampivoarana ny Tantsaha.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Le projet de loi devant régir la remise en état, la gestion, l’entretien, la préservation et la police des réseaux hydro-agricoles a été adopté en conseil de gouvernement le 14 octobre dernier. Selon le ministère de l’Agriculture et du Développement rural, ce projet de loi vise à lever les nombreuses entraves à la bonne gestion de l’eau, au bon entretien des infrastructures hydro-agricoles et à l’efficacité de la police des réseaux. Rappelons que le désengagement de l’Etat des secteurs productifs sous les programmes d’ajustement structurel des années 90 a obligé les usagers de l’eau à prendre en charge l’entretien de ces infrastructures. (..) Notons que les infrastructures hydro-agricoles reviennent très chères en investissement. Prenons l’exemple du grand barrage d’Andapa pour 35 milliards Ar et qui irrigue 10 000 ha.

Navalona R.  dans Midi Madagasikara
L’Institut Malgache d’Innovations (IMI) et le Holding de Développement d’Industries Innovantes (HDI) travaillent en partenariat pour mettre en œuvre un projet de création d’usines de transformation de micro-algues, et ce, avec l’appui du ministère de l’Industrie.

Mikama - Oct 15, 2014

Racl.R dans La Nation
Des économistes comme Jean-Jacques Ratsietison a souligné, dans une lettre ouverte au président de la République actuel il y a des mois de cela, qu’avec une dévaluation de la monnaie de 100%, le pouvoir d’achat des 22 millions de Malgaches, est immédiatement amputé d’au moins 50%. Si on procède à une autre dévaluation de 100%, le pouvoir d’achat résiduel de 50% se réduira à nouveau de moitié, et il en restera donc 25%. (..) Cet économiste a fortement suscité qu’il est désormais temps de clamer haut et fort que la dévaluation directe ou sous ses autres formes, flottement ou MID est un véritable instrument de mort.

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
«L’application des normes est une démarche facultative et lorsqu’elle devient volontaire, celles-ci deviennent des règlementations ou des règlementations techniques. Pour l’heure, moins de 0,5% des Malgaches connaissent le système normatif », explique Séraphin Razafi­mahaly, directeur général du BNM [Bureau des Normes de Madagascar]. (..) Selon les explications de José Rakoto­manjaka, directeur général de  Qeim, ce sont  surtout les entreprises du secteur de la construction qui font de la certification. Ceux qui exportent des produits agricoles également, comme le litchi, procèdent à la mise aux normes de leurs produits à cause des exigences des marchés destinataires des produits. Par contre, le recours à la normalisation reste très faible dans le secteur industriel, à cause du manque d’informations, mais aussi et surtout le problème de coût trop élevé d’un processus de mise aux normes. Il existe plusieurs normes internationales. Nous avons par exemple les normes de santé, sécurité et environnement, la fameuse HSE.



Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
La santé des enfants menacée. Le service de vaccination auprès du ministère de la Santé publique recense au mois d’août, cent douze mille cinq cent quarante-et-un enfants non-vaccinés sur cinq cent soixante-huit mille six cent soixante dix enfants de moins d’un an.

Mikama - Oct 14, 2014

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
90% de la production de vanille, de girofle et de café sont assurées par les paysans malagasy, d’après les données 2014 de la Banque mondiale. Les paysans approvisionnent aussi l’industrie dont 45% de la production sont issues de leurs produits. En matière de sécurité alimentaire, ils commercialisent 25% de leur production vivrière (riz, manioc et maïs). Les ménages ruraux alimentent également les villes en charbon de bois. Comme quoi, l’agriculture familiale tient une place prépondérante dans le pays, d’autant que l’agriculture est essentiellement familiale à Madagascar. Le pays compte 2,5 millions d’exploitations dont 99% sont d’ordre familial. Même en ville, 38% des ménages sont des exploitants agricoles contre 76% en milieu rural. Toutes ces familles cultivent plus de 2 millions d’ha, élèvent plus de 10 millions de zébus, 1,3 millions de porcs et plus de 30 millions de volailles selon le dernier recensement agricole

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Un rendez-vous manqué. A cause de l’éclatement de la crise, l’objectif de doubler la production rizicole en 2009, puis de la tripler en 2012 dans le cadre de la mise en œuvre de la Révolution verte lancée en 2007, n’a pu être atteint. Avec le retour à l’ordre constitutionnel, le ministère de l’Agriculture et du développement rural revient sur les traces de cette politique. Hier, le ministre Roland Ravatomanga a annoncé un nouveau défi. Il s’agit de doubler la production de riz en 2018 pour atteindre 8 millions de tonnes, contre 3 977 000 tonnes lors de la campagne 2013-2014. Pour parvenir à cet objectif, différentes actions sont programmées (..)  Outre l’amélioration du rendement, le ministère de l’Agriculture œuvre dans l’augmentation de la superficie de rizières irriguées par la réhabilitation des barrages hydroagricoles.

Hanitra R. dans Midi Madagasikara
Treize navires ont pu être contrôlés durant les 20 jours passés en mer, par les inspecteurs des pêches à bord du patrouilleur OSIRIS dans le cadre de la 42e mission régionale de surveillance des pêches dans la région Océan Indien. Ils ont pu mettre au jour 25 infractions

Mikama - Oct 10, 2014

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
1,5 MW. C’est l’actuelle production de la centrale hydroélectrique de Sahavonitry à Antsirabe, alors que cette infrastructure a une puissance installée de 15MW. (..)  « Le débit de l’eau alimentant cette centrale au fil de l’eau n’est actuellement que de 0,8 m3/s, alors que pour avoir 15 MW, il faut un débit de 9 m3/s...». (..) En effet, Sahavonitry n’est pas la seule centrale hydroélectrique à souffrir d’un faible niveau du débit de l’eau. Andekaleka est dans la même situation : si le débit nécessaire pour obtenir 92 MW est de 45 m3/s, il se situe maintenant à 30 m3/s et la production de cette plus grande centrale du pays n’est que de 60 MW. Mandraka et Antelomita connaissent le même problème.

R.Volatsara dans La Gazette de la Grande-Ile
95% des Malgaches utilisent les ressources naturelles à savoir les charbons de bois, les bois de chauffe comme combustible. Cette réalité anéantit la forêt locale, selon les sources de la Banque mondiale. Car si l’utilisation continue, d’ici 30 ans, la forêt de la Grande Ile disparaitra. De plus, plus de 12 000 personnes meurent chaque année à cause de l’utilisation des charbons de bois, dont 10 000 enfants de moins de 5 ans. (..) Citons le cas du site pilote à Ranomafana Brickaville qui produit environ 2000 litres par jour avec une superficie de 60 ha à l’heure actuelle. Avec l’expérience de la société Mada-gascar Energy Company, un litre d’éthanol dure 2 jours de cuisson. Mais le prix reste encore assez élevé par rapport au pouvoir d’achat des populations. Aujourd’hui le litre en prix d’usine s’achete à 2 500 ariary. (..) Selon Nirina Rakotomanantsoa, coordonnateur de projet éthanol, le projet procure près de 3 millions d’emplois dans les 3 ans à venir, dont la construction de 8 usines de transformation par district. Et pour ce faire, il faut planter près de 280 000 ha de canne à sucre. Mais sans oublier que le combustible éthanol sera utilisé avec un réchaud spécifique, et pour le bon fonctionnement du projet, 4 millions de réchauds seront à dispatcher dans toute l’île.

Mikama - Oct 9, 2014

Racl.R dans La Nation
Afin de réviser les grands objectifs et lignes stratégiques appliqués aux forêts, de même que la législation et la réglementation qui fixent leurs règles d’application, il faut environ 336.000 dollars d’après la FAO. Parce que la politique forestière qui s’applique à Madagascar date des années 1990, le besoin de réformer ces lois ne fera que bénéficier les exploitants de nos jours étant donné les avancées technologiques où le contexte à la fois national et international a beaucoup changé. En collaboration avec le ministère de l’Environnement, de l’écologie et des forêts, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) ainsi que les partenaires techniques membres des organisations de la société civile vont ensemble lancer un Projet de Révision de la politique forestière et élaboration du Code forestier à Madagascar.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Monographie des 22 régions: Un nouvel outil moderne d’informations. (..) Elle permet d’entreprendre le suivi/évaluation de l’impact des politiques économiques et de développement. La monographie régionale se présente ainsi comme un instrument indispensable pour les décideurs, notamment régionaux, pour l’élaboration d’une stratégie harmonieuse de développement. C’est aussi un outil d’administration, de gestion économique et sociale, de marketing auprès des partenaires de développement.
Reference: CENTRE DE RECHERCHES, D’ETUDES ET D’APPUI A L’ANALYSE ECONOMIQUE A MADAGASCAR

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
« La structure régissant l’éducation se trouve actuellement au cœur du brouillard. Il y a déjà la loi d’orientation de 2008-2011, née après la réforme de l’éducation en 2004. Mais, cette loi indiquant que l’école primaire doit durer sept ans, le collège de trois ans et le lycée de deux n’a pas été suivi.

Mikama - Oct 8, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Les institutions de microfinance en souffrance. Le taux de non remboursement connaît actuellement une hausse. Celui-ci est à plus de 5%, niveau non atteint il y a quelques années encore. (..) Les appuis des bailleurs de fonds se sont limités aux renforcements de capacité et non au refinancement. Les IMF doivent s’approvisionner auprès des banques primaires qui appliquent des taux d’intérêt élevés, pouvant aller jusqu’à 14%.

Racl.R dans La Nation
Les autorités au niveau du service foncier à Madagascar reconnaissent que les textes et les lois qui régissent le secteur foncier et la gestion des terres datent d’il y a presque 100 ans. (..) Il semble que l’immatriculation des terres et la nécessité de titres fonciers ont été mises en place en 1896, en vue notamment de l’appropriation des terres par les colons. Pour le collectif TANY et aussi pour les avantages des Malagasy, ces titres ne devraient plus être définitifs et inattaquables. La conséquence actuelle de cette situation est la perpétuation des droits des détenteurs de titres sur les terrains concernés, même lorsque les colons qui les avaient obtenus ont quitté Madagascar en 1947, en 1960 ou en 1972, ajoute le Collectif TANY.

A.R dans La Gazette de la Grande-Ile
Selon les estimations, 70% des affaires portées devant le tribunal se rapportent aux problèmes fonciers.

Mikama - Oct 7, 2014

Racl.R dans La Nation
Malgré les critiques de plusieurs personnes et experts dans l’économie, c’est ce secteur de l’industrie textile qui a depuis ces dernières 15 années, produit plus de revenus à l’Etat ainsi que des milliers d’emplois au peuple. L’existence de plusieurs zones franches à Madagascar a réduit le secteur de l’emploi et depuis la chute de l’emploi en 2009, le pays a enregistré des milliers de chômeurs de plus de 40.000 ouvriers, dont une majorité de femmes, et 300.000 emplois indirects. L’exportation de textiles malgaches atteignait près d’1 milliard de dollars dans la période où Madagascar a bénéficié de ce marché préférentiel.

Racl.R dans La Nation
Entre 2007 et 2009, les Investissements directs étrangers (IDE) représentaient plus de 10% du PIB et dépassaient encore les 8% du PIB entre 2010 et 2012. D’après les expériences sur terrain constatées quelques années après l’implantation de ces grands projets, le résultat est stupéfiant. « Ces investissements ont stimulé le développement économique régional et ont apporté non seulement des capitaux étrangers, mais également une expertise internationale. Ces grands projets ont contribué à l’amélioration des routes, des installations portuaires et des infrastructures électriques locales », rapporte la Banque mondiale.

Noro Niaina dans Newsmada
Un milliard d’habitants vivent dans des logements indécents et bidonvilles à travers le monde. A Madagascar, 72% des populations vivent dans des logements précaires à cause de la croissance démographique et de la pauvreté.

Mikama - Oct 6, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Tous les marchés de travaux d’un montant inférieur à 3 000 000 unités de compte (UC), et tous les marchés de biens d’un montant inférieur à 300 000 UC  seront régis par les procédures nationales de passations de marché. Selon les informations émanant du ministère des Finances et du Budget, cette mesure est rendue possible suite à la signature de la lettre d’accord  relative à l’application des procédures nationales de passation des marchés, pour les appels d’offres nationaux relatifs aux  projets financés par le Groupe de la Banque Afri­caine de Développement (BAD).

Racl.R dans La Nation
Les Malagasy ont peur des représailles et n’osent pas dénoncer le ou les auteurs de corruption. Ils sont témoins et se sont familiarisés avec la corruption à leur quotidien mais n’osent pas dévoiler quoi que ce soit par peur des contre-attaques de celui ou ceux qu’il a surpris. Par peur de représailles, et ne voulant pas trop souvent être mêlés à des affaires qui pourraient être trainées en justices, les Malagasy préfèrent se taire. L’enquête du Centre d’Assistance Juridique et d’Action Citoyenne ou CAJAC en novembre et décembre 2010 confirme bien cette thèse. (..) Dans leur rapport, c’est la gendarmerie qui présente le plus haut taux de corruption avec environ 22% suivi du tribunal avec 15%, les diverses communes avec 15%, l’éducation publique avec 14%, la police et les servies foncier avec respectivement 7 et 6% de taux de corruption. Il y a aussi les Fokontany, le secteur privé, les concours nationaux et beaucoup d’autres secteurs. Le développement économique est fauché par la corruption étant donné que toutes les branches du développement y sont infestées.

R.Edmond dans Midi Madagasikara<
Et d’après les statistiques, le trafic journalier de marchandises a augmenté avec  400 camions par jour pour les conteneurisées et 80 camions par jour pour les conventionnelles.  2,1 km de routes ont également été aménagées dans le port où les piétons peuvent circuler en toute sécurité.

Mikama - Oct 3, 2014

Noro Niaina dans Newsmada
Avec seulement  0,4% du budget total alloué au ministère de l’Education nationale, la direction de l’éducation préscolaire et de l’alphabétisation a du mal à réaliser ses projets. Plus de trois milliards d’ariary. (..) Pour le moment, le Men gère près de 2.500 centres préscolaires qui sont animés par 3.900 éducateurs et enseignants.  Cette année, il envisage de créer 27 nouveaux préscolaires pouvant   accueillir près de 250.000 enfants âgés de 3 à 5 ans et d’octroyer des subventions aux 2.500 enseignants. (..) La réalisation de ces projets nécessite, en effet, un budget de plus de 3,1 milliards d’ariary.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Sur les 8 premiers mois de l’année, le marché du pétrole lampant est en régression de -20% selon l’Office malgache des hydrocarbures (OMH). Il s’établit ainsi à 21 146 m3. (..) Le recul sans arrêt de la consommation de ce produit révèle l’appauvrissement des ruraux.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
-4%. Le marché pétrolier du mois d’août a affiché cette régression selon les données de l’Office malgache des hydrocarbures (OMH). Il s’est donc établi à 72 267m3.

Mikama - Oct 2, 2014

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Confondre Etat puissance publique et Etat actionnaire. C’est la principale source de la faillite des entreprises d’Etat depuis l’indépendance. D’après les données du Trésor public donc, sur les 158 sociétés à participation de l’Etat depuis cette période, il n’en reste plus que 53. Autrement dit, plus d’une centaine ont perdu corps et bien en 54 ans. (..) Quat aux rescapées et surtout celles dans lesquelles l’Etat est actionnaire majoritaire, elles ne se portent pas mieux. Elles ne rapportent pas grand-chose à l’Etat. En 2013, ces entreprises n’ont généré comme dividendes que 930 millions Ar. Ce chiffre qui concerne toute une année et qui est apparemment élevé aux yeux de l’opinion, est à comparer avec certaines dépenses de l’Etat dont la solde et les pensions qui vont jusqu’à 70 milliards Ar par mois. (..) Rappelons que la loi n°67-007 du 28 juin 1967 ayant précédé la nouvelle évoquée ci-dessus a amené à confondre Etat puissance publique et Etat actionnaire. Elle a permis l’immixtion de l’Etat puissance publique dans la gestion de ces sociétés.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
«75 000 hectares seront concernés par la culture de canne car selon les études, une société a besoin de 60 hectares au minimum pour que la production soit rentable. Quant à la production, chaque unité devrait produire 2 000 litres par jour nécessitant une main d’œuvre de 600 employés pour la plantation et pour la transformation», explique Nirina Rakoto­manantsoa, responsable auprès du ministère de l’Industrie. Aujourd’hui, la production nationale journalière est de 1 000 litres, mais avec l’entrée en opération de ces unités, une production de quatre millions de litre par jour est attendue.


Anjara Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
Car parmi les 17 maladies tropicales et zoonoses négligées, Madagascar en abrite 6 qui touchent pratiquement tout le territoire.

Mikama - Oct 1, 2014

Garry Fabrice Ranaivoso dans L'Express de Madagascar
Selon l’indice annuel de la Fondation Mo Ibrahim, milliardaire anglo-soudanais, publié le 29 septembre et relayé par le journal en ligne Jeune Afrique le jour même, sur les dix dernières années, la Grande île a connu un recul de « -8,55 points » et est à la dernière position des performances des pays africains en matière de gouvernance.

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Le charbon à base de dé­chets fait le business. Après avoir été mise en veille pendant quelque temps, la structure de fabrication du charbon à base de déchets à Andranomanalina-Centre, devient une gestion privée. Pourtant, elle fait partie des structures mises en place par le projet sécurité humaine, financé par les Nations-Unies pour trois ans, jusqu’à cette année. (..) Toutefois, elle n’emploie que huit personnes du quartier, car les machines ont pris le relais pour faire le travail à la chaîne, et produire environ 500 kilos de charbon par jour, à vendre dans les grandes surfaces.

Jao Patricius dans Newsmada
L'artisanat est à l'heure de la professionnalisation. Le micro-entreprenariat est maintenant l’objectif du ministère de tutelle à travers un programme d’éducation financière.