Mikama - Oct 2, 2014

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Confondre Etat puissance publique et Etat actionnaire. C’est la principale source de la faillite des entreprises d’Etat depuis l’indépendance. D’après les données du Trésor public donc, sur les 158 sociétés à participation de l’Etat depuis cette période, il n’en reste plus que 53. Autrement dit, plus d’une centaine ont perdu corps et bien en 54 ans. (..) Quat aux rescapées et surtout celles dans lesquelles l’Etat est actionnaire majoritaire, elles ne se portent pas mieux. Elles ne rapportent pas grand-chose à l’Etat. En 2013, ces entreprises n’ont généré comme dividendes que 930 millions Ar. Ce chiffre qui concerne toute une année et qui est apparemment élevé aux yeux de l’opinion, est à comparer avec certaines dépenses de l’Etat dont la solde et les pensions qui vont jusqu’à 70 milliards Ar par mois. (..) Rappelons que la loi n°67-007 du 28 juin 1967 ayant précédé la nouvelle évoquée ci-dessus a amené à confondre Etat puissance publique et Etat actionnaire. Elle a permis l’immixtion de l’Etat puissance publique dans la gestion de ces sociétés.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
«75 000 hectares seront concernés par la culture de canne car selon les études, une société a besoin de 60 hectares au minimum pour que la production soit rentable. Quant à la production, chaque unité devrait produire 2 000 litres par jour nécessitant une main d’œuvre de 600 employés pour la plantation et pour la transformation», explique Nirina Rakoto­manantsoa, responsable auprès du ministère de l’Industrie. Aujourd’hui, la production nationale journalière est de 1 000 litres, mais avec l’entrée en opération de ces unités, une production de quatre millions de litre par jour est attendue.


Anjara Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
Car parmi les 17 maladies tropicales et zoonoses négligées, Madagascar en abrite 6 qui touchent pratiquement tout le territoire.
Des maladies négligées qui peuvent pourtant dégénérer et entraîner des séquelles handicapantes pour les patients, voire causer leurs décès. Il s’agit principalement de la bilharziose, des vers intestinaux, de la filariose lymphatique, de la lèpre, de la cysticercose/téniases et de la rage. Les chiffres sont d’ailleurs assez alarmants : sur les 112 districts à Madagascar, 998 sont identifiés foyers d’endémie filarienne, 95 districts classés zones hyperendémie bilharzienne et 112 non épargnés par l’infestation massive des vers transmis par sol (ascaridiose, ankylostomiase, trichocéphale). 33 districts sont endémiques à la cysticercose, une dizaine de personnes meurent chaque année de la rage. Quant à la lèpre, malgré l’atteinte de l’élimination en 2006, un millier de personnes sont dépistées chaque année.

Noro Niaina dans Newsmada
Les contextes épidémiologiques qui persistent à Madagascar constituent des facteurs qui favorisent le développement des maladies tropicales négligées. Les six pathologies existantes au pays posent toujours des problèmes pour la santé. La bilharziose, la filariose lymphatique, les vers intestinaux, la rage, la lèpre et la cysticercose. Tels sont les six maladies tropicales négligées(MTN)  parmi les 17 pathologies répertoriées dans le monde qui posent des problèmes dans le domaine de la santé à Madagascar. (..) Sur les 112 districts existants à Madagascar, 98 sont identifiés foyers d’endémie filarienne, 95 sont classés zones hyperendémie bilharzienne et tous les districts de l’île ne sont pas épargnés par l’infestation massive des vers intestinaux transmis par le sol, et 33 districts sont présumés endémiques à la cysticercose. En outre, Madagascar figure encore parmi les 17 pays hyperendémiques dans le monde en matière de lèpre avec plus de 1.000 cas dépistés chaque année. « Quant à la rage, cette maladie cause la mort d’environ une dizaine de personnes par an », a-t-il poursuivi.

Racl.R dans La Nation
Faute de stratégies claires, les réalisations des statistiques à Madagascar ont été très limitées et en ce moment. Un besoin d’environs 39 millions de dollars serait nécessaire pour faire un recensement général digne de ce nom. Or, si la Stratégie nationale de développement de la statistique (SNDS) est appliquée effectivement, les orientations des activités statistiques s’amélioreront. (..) Selon les responsables auprès de la Banque mondiale, on dénombre très peu de statisticiens de formation au niveau des secteurs. A titre d’exemple, il n’y a qu’un seul statisticien au sein du service des statistiques agricoles alors que le secteur occupe environ 80% de la population. Cette SNDS vise également la mise en place des représentations de l’institut national au niveau des 22 régions, la réalisation d’enquêtes et l’effort de consolidation des données dans le Tableau de Bord de l'Economie (TBE) et l’organisation de la rencontre des utilisateurs et producteurs de statistiques.

Anjara Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
... les dirigeants d’entreprise seront motivés  à respecter leurs obligations et les employés connaîtront leurs Droits sociaux » explique le coordonnateur des délégations régionales, Joslina Tsaboto, représentant le DG de la CNaPS sur place. 90% de la population locale, des paysans, sont déjà affiliés à la CNaPS grâce à la collaboration avec le « Tranomben’ny Tantsaha », qui met en place le régime de retraite des producteurs. 7 régions ont déjà  été ciblées par ces enquêtes dont les résultats serviront de bases de données pour ce nouveau régime de Protection Sociale à Madagascar.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
L’année prochaine, 850 millions de Chinois devraient avoir accès à une connexion Internet, contre 620 millions cette année. Il faut y ajouter l’essor de la classe moyenne chinoise. Celle-ci devrait augmenter de 60% d’ici 2020 d’après les prévisions des spécialistes de la question. Elle passera donc d’environ 200 millions de personnes à 500 millions. La classe moyenne est le pilier de la consommation. Avec l’évolution de cette classe, il y a de la place pour tout le monde sur le marché chinois. (..) Des opérateurs commencent aussi à exporter sur la Chine des produits halieutiques, souvent vivants. Il en est ainsi des crabes, des anguilles… Les besoins des consommateurs chinois sont différents de ceux des marchés habituels (Europe et Etats-Unis). De plus, les normes chinoises ne sont pas aussi strictes et contraignantes que celles de l’Union européenne ou des Etats-Unis.

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