Mikama - Oct 27, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana  dans L'Express de Madagascar
Les investisseurs chinois s’intéressent davantage  à l’élevage. Après la construction d’un abattoir de bovidés à Toliara, ils vont investir dans la mise en place d’une ferme-école. C’est dans ce domaine que va investir la société chinoise Tsong Newtech basée en Chine. L’accord de partenariat a été signé avec le ministère de l’Élevage dont l’objectif est de mettre en place un modèle d’élevage d’espèces ovines et bovines. Selon les explications, l’abattoir de Befanamy, dans la commune rurale de Mitsinjo, sera  transformé en un complexe comprenant un centre de formation, une ferme et une chambre froide réservée aux activités d’exportation.

Lantoniaina Razafindramiadana  dans L'Express de Madagascar
«La situation est plutôt stable. On n’a pas connu la reprise forte qu’on a espéré». C’étaient les propos de Keiko Kubota, économiste principal auprès de la Banque mondiale... De nombreux investisseurs explorent des potentiels, mais la plupart préfèrent attendre pour s’assurer de la stabilité politique et de la direction politique du pays », a précisé cet économiste. Outre l’absence de la reprise économique, la Banque mondiale, à travers cet économiste, a également mis en exergue l’accélération de la dépréciation de la monnaie locale. Une situation qui découle du déficit persistant de l’offre sur le marché interbancaire des devises, mais qui a permis une hausse de 7% du volume des exportations durant les huit premiers mois de l’année 2014, par rapport à ceux de la même période en 2013. Mais la dépréciation de l’ariary de 11% par rapport au dollar américain depuis le début de l’année a contribué au renchérissement du prix d’importation du riz. (..)  A propos des recettes fiscales, la Banque mondiale a noté des améliorations, mais à la fin du mois d’août, les recettes collectées correspondent à 55% des recettes visées, ce qui pourrait entraîner une perturbation dans l’exécution du budget.


Noella Rakoto dans Newsmada
L’exécution budgetaire du 3è trimestre de cette année a affiché une rentrée des recettes fiscales s’élevant à près de 84,55%. Un taux discutable étant donné le contexte économique qui prévaut à l’heure actuelle.
(..) En termes de performances, l’atteinte des indicateurs cibles tourne autour de 47%. Ce qui traduit une amélioration comparée au taux du deuxième trimestre qui est de 41%. Quant au taux d’exécution des dépenses, toutes catégories confondues, elle est évaluée à 48,59% et 37,85% pour les dépenses soumises à la régulation. La revue de l’exécution budgétaire a pour objectif d’évaluer la performance et les réalisations durant un trimestre, notamment la situation des recettes, la performance des indicateurs, la situation des dépenses et la situation des marchés publics.

R.Edmond dans Midi Madagasikara
“La situation économique semble ne pas avoir significativement évolué par rapport à 2013, à l’instar du nombre d’entreprises formelles créées qui a chuté de 11 % au premier semestre par rapport à la même période de l’année précédente, ou encore le ralentissement des importations, surtout les équipements. Cependant, des signes positifs sont perçus du côté des crédits au secteur privé dont le taux de croissance annuelle a été maintenu en moyenne à 17 % depuis le début de l’année. Les exportations sont aussi soutenues par les activités minières et textiles qui continuent leurs expansions”

CHAN-MOUIE  Jean  Anastase dans Midi Madagasikara
Jusqu’à ce jour, trois conventions de partenariat d’une importance capitale, ont été signées avec les partenaires directes (PADI). La première convention a été établie avec  l’Organisme Public de Coopération Intercommunale  (OPCI) « Fivoarana » qui comprend 5 communes dans la partie sud du district de Miandrivazo. C’est avec ces 5 communes qu’intervient le programme MATOY dans le développement économique du territoire, l’objet même de ce partenariat. La deuxième convention est celle établie avec la région du Menabe à Morondava, permettant à chaque acteur de développer leurs projets ou activités dans leurs territoires respectifs, avec la promotion des mesures incitatives tout en essayant de sensibiliser tous les acteurs du développement à agir dans leurs secteurs respectifs. La troisième convention est celle établie avec la société STOI, en septembre 2013. La STOI est un partenaire économique actif sur la filière  haricot lingot blanc  de Miandrivazo, créatrice de richesses : et qui intègre les petits producteurs de faible revenu dans leurs activités.

Racl.R dans La Nation
La semaine dernière, le ministère du Commerce et de la consommation a affirmé qu’il existe en effet 17 filières pouvant décoller l’économie nationale. Il est à noter que ces filières touchent les huiles essentielles, le tourisme, l’artisanat, le trépang, le litchi, le maïs, le girofle, la vanille, le pois du cap, le miel, le foie gras, le cacao, l’algue, le tilapia, l’anguille, la soie de murier et le haricot. (..)  « Le gouvernement doit prioriser l’agriculture à Madagascar malgré les différends politiques qui se répercutent sur le peuple. Si l’agriculture marche bien, le peuple ne souffrirait pas autant et que Madagascar pourrait connaître enfin une prospérité », a expliqué un citoyen. Un autre citoyen a souligné l’importance du secteur agricole et des avantages que le pays puisse en tirer. « Si tout marche bien à Madagascar, l’énergie, l’environnement des affaires, le pays peut bénéficier d’importants investissements qui peuvent transformer nos produits agricoles et les exporter. Cela ne donnera pas un avantage au niveau de la compétitivité de Madagascar sur le plan international mais au moins des emplois aux nationaux »

Noro Niaina dans Newsmada
Les actions de sensibilisation du programme phare pour 2014 « Education numérique » se poursuivent. Déjà, 18 écoles ont bénéficié de divers matériel éducatif un mois après le lancement officiel touchant les régions Menabe (2), Bongolava (1), Itasy (1), Analamanga (2), Sava (3), Alaotra-Mangoro (1), Atsinanana (1), Analanjirofo (1), Betsiboka (1) et Boeny (2). (..) Chacune des écoles pilotes sera dotée de deux serveurs Raspberry, de 50 tablettes, de 50 coques de tablettes, d’un vidéo projecteur, de deux valises, de onze multiprises. En tout, ce seront 1.500 tablettes, 1.500 coques de tablettes, 60 serveurs, 60 valises, 30 vidéoprojecteurs, 30 écrans, et 330 multiprises qui seront répartis entre les écoles bénéficiaires pour l’année scolaire 2014-2015.

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