Mikama - Mar 31, 2015

Racl.R dans La Nation
D’après les statistiques, il semble que le pays se débrouille dans le Marché commun de l’Afrique orientale et australe (COMESA) car en 2013, la Grande île a exporté près de 70 millions de dollars dans la zone, si elle était de 40 millions US$ en 2012 et 51 millions US$ en 2011. Compte tenu de ces statistiques, à qui donc profite cette opportunité ? Aux nationaux ou aux étrangers ? Les récentes statistiques démontrent en effet que 23% des importations mauriciennes dans le cadre des échanges commerciaux avec le COMESA proviennent de Madagascar durant l’année 2014.

Racl.R dans La Nation
Ainsi, l’utilisation d’engrais à Madagascar est inférieure à 5 kg/ha contre une moyenne de 11,4 kg/ha en Afrique subsaharienne. Les variétés modernes représentent moins de 1% des surfaces rizicoles d’après la Banque mondiale. Sans le soutien de l’Etat, ces quelques 2 millions de ménages ne pourront pas se développer. (..) Même avec cet appui en semences et engrais, les paysans devront résoudre le problème de manque de surface pour cultiver. Peu d’entre ces familles qui cultivent actuellement, dispose de plus de un ha de terrain

R.Volatsara dans La Gazette de la Grande-Ile
« La chaleur va augmenter d’un à deux degré à Madagascar, surtout dans la partie sud du pays. Aussi, la saison des pluies sera-t-elle courte et l’automne sera  encore plus long. » Ceux-ci sont en effet les conséquences du changement climatique. Pire encore, « les cyclones seront encore multipliés et s’intensifieront avec une vitesse de 120 km minimum ». C’étaient les propos de Nanie Ratsifandrihamanana, directeur du WWF Madagascar, samedi dernier, lors d’une marche pour la protection de l’environnement au sein de l’université d’Ankatso.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Appuyer les jeunes ruraux déscolarisés de 15 à 29 ans à devenir des professionnels dans les métiers agricoles et ruraux. C’est la raison d’être du programme CAPEPT/EFTP ou de la formation des Jeunes ruraux déscolarisés (JRD), appuyé conjointement par  le projet Formation professionnelle et d’amélioration de la productivité agricole (FORMAPROD) du ministère de l’Agriculture, et l’UNESCO.

Raw dans Tribune de Madagascar
Le World Justice Project (WJP) a publié le 26 mars dernier le WJP Open Government Index 2015, qui constitue la première tentative à mesurer la transparence du gouvernement basée sur les expériences et les perceptions des populations. Selon l’Indice, Madagascar est en général classé 9è parmi les 18 pays de la région de l’Afrique subsaharienne, soit à mi-chemin entre les mauvais et les pays dont le gouvernement pourrait servir de modèle ; 6è parmi les 15 pays à faible revenu, ce qui signifie que le pays figure dans la tranche supérieure des pays où le revenu est très faible ; et 74è parmi les 102 pays au niveau mondial.
Source: worldjusticeproject.org/opengov

Dans L'Express de Madagascar
Sur les vingt millions d’artisans exerçant dans la Grande île, seuls huit cent possèdent la carte d’artisan qui doit être retirée auprès du ministère de l’Artisanat a confié Manan­tsoa Hery Rarojo­son

Mikama - Mar 30, 2015

Racl.R dans La Nation
Comme le rapporte le site economia-expansion.mg, il y a environ 4 millions de chômeurs à Madagascar en plus des 500.000 personnes qui arrivent chaque année sur le marché de l’emploi. En 2019, si aucun changement n’est apporté, il y aurait 6 millions de chômeurs soit 28% de la population malagasy comptée à 22 millions d’habitants en 2019. (..)  Ainsi, d’ici 2019, le but des Nations Unies, c’est de réduire le taux d’extrême pauvreté de 40%. Ce programme affiche aussi que ledit programme vise à augmenter le pourcentage de dépenses publiques sous la responsabilité des structures territoriales décentralisées et déconcentrées de 5% (2010) à 15% d’ici 2019, de manière à renforcer les capacités des Collectivités Territoriales Décentralisées (CTD) à contribuer significativement au développement régional. 523,4 millions USD dont 53,1% sont à mobiliser selon l’estimation de ce programme.

Lantoniaina Razafindramiadana ans L'Express de Madagascar
En 2012, malgré la reprise de l’interdiction d’exportation de ce métal précieux décidée par l’État, de l’or en provenance de Madagascar a été déclaré dans d’autres pays. La valeur de ces exportations était estimée à 18 millions de dollars en 2012, soit l’équivalent d’une quantité de 600 kilos d’or. (..)  Sur vingt huit mille exploitants  recensés actuellement, trois milles sont formels. Les petits exploitants sont ceux qui exploitent à ciel ouvert ou sous terre jusqu’à une profondeur de 20 mètres. Ils utilisent des techniques artisanales et emploient une vingtaine de  salariés au maximum, sans transformation des minéraux sur le lieu de l’extraction.

Dans L'Express de Madagascar
La guerre contre le SIDA est loin d’être gagnée même si le taux de prévalence reste en dessous de 1%. (..) . L’année dernière, selon la statistique du Comité national de lutte contre le SIDA (CNLS),  trois cent quatre vingt un nouveaux cas ont été encore estimés. Selon aussi le rapport de l’ONU/SIDA, l’année dernière, quatre mille huit cent soixante PVVIH [personnes vivant avec le VIH] ont été décédées en 2013 selon les estimations. Ce chiffre semble le plus élevé au sein de l’océan Indien.

Mikama - Mar 26, 2015

R.Volatsara dans La Gazette de la Grande-Ile
Seuls 40% des populations malgaches ont accès à l’eau potable. Sur les 40%, plus de la moitié prend de l’eau dans les bornes fontaines publiques. Pourtant, selon les enquêtes menées auprès des bornes fontaines, le prix d’un seau ou d’un bidon est presque inaccessible pour un foyer nécessiteux. (..)  Selon water and sanitation program, environ 10.400 Malgaches, notamment 6.900 enfants de moins de 5 ans, meurent chaque année de diarrhée. Ces décès sont à presque 90% directement attribués à l’impureté de l’eau et au manque d’assainissement et d’hygiène. Sur ce, 77 millions dollars sont la perte de la Grande Ile à cause de mort prématurée. Et s’ils sont malades, encore  9 millions dollars sont dépensés chaque année en soins de santé directement, et indirectement par la malnutrition (et ses conséquences liées à d’autres maladies (telles que les infections respiratoires et le paludisme)...

Racl.R dans La Nation
Le recyclage de déchet plastique reste une activité peu connue du fait qu'il y est question de manipuler des ordures mais en sachant également que toutes les matières plastiques, que ce soit bouteilles, chaises ou autres articles fabriqués en plastique, peuvent être recyclés et réutilisés. (..) ers 2011 et 2012, eco-aid a pu exporter 2 conteneurs de grains plastiques vers l'Asie car le projet Ambatovy fut en phase de construction et disposait d'une énorme quantité de déchets plastiques pouvant aller jusqu'à deux voyages de 30 m3.

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Le projet de nouveau code pétrolier est débattu durant deux jours depuis hier au Development learning center (DLC) Anosy. Le document de base, conçu par un comité conceptuel composé des représentants de l’administration, des opérateurs et de la société civile, s’articule autour d’un objectif principal : améliorer la contribution des prospections et des futures exploitations sur la population.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Pour la Banque mondiale par exemple, plus de 1 élève malagasy sur 2 dans les classes primaires bénéficient de son action. Ce qui représente 62% ou 2 845 593 élèves issus de 18 152 écoles réparties dans 17 régions sur les 22. C’est grâce à deux projets du gouvernement dont l’un est financé par la Banque mondiale et l’autre par le Fonds mondial pour l’éducation et géré par la Banque. Toutefois, l’éducation nationale est, après le ministère des Finances et du Budget (1 316,7 milliards Ar), le secteur qui jouit d’un budget public élevé, soit plus de 714,2 milliard Ar pour 2015, contre 333 milliards Ar pour la santé publique et 261,7 milliards Ar pour l’agriculture.

Mikama - Mar 25, 2015

Racl.R dans La Nation
Tout ce qu'une compagnie minière donne à l'Etat est considéré comme taxe. Celle de 1% souvent reprochée à la compagnie, concerne uniquement la redevance tirée du chiffre d'affaires de la compagnie. Il y a d’autres redevances basées sur les bénéfices, celles concernant l'eau et plusieurs autres taxes, car il y a en tout 40 taxes diverses.

Dans Spy Ghana
The United Nations Population Fund (UNFPA) will give Madagascar over 4.7 million U.S. dollars to support its annual action plan in the health sector. Out of this money, 2 million dollars will go towards supporting maternal health and purchase of contraceptives. (..) Statistics from the World Health Organization show that infant mortality in Madagascar varies from 106 for every 1,000 births in most poor families to 48 in every 1,000 births in less poor families.

Had'Nah dans La Nation
L’association FIMA ou Fikambanan’ny Masikoro dénonce l’exploitation de minerais dans la région d’Atsimo Andrefana. Selon le président de cette association, Zafy Fihaora Robinson, 84% de la population sont contre cette exploitation maquillée par des actions qui visent à donner du travail à la population locale. Plusieurs communes sont concernées par cette exploitation entre autres Belalanda, Manombo sud, Ankilimalinika, Kililoaka ou encore Analamifandry.

Sarindra Razafindrabe dans L'Express de Madagascar
Des huîtres cent pour cent malgaches. La région Anosy est actuellement le foyer de l’élevage d’huître de la Grande île. (..) D’ici l’année prochaine, Les huîtres d’Anosy envisage de produire près de 15 tonnes d’huîtres pour le marché local si la situation économique le permet.

Fahranarison dans Newsmada
De l’eau potable à partir du robinet. C’est un rêve d’hier qui est devenu une réalité pour les habitants du fokontany de Milenaka dans le district de Toliara II, où des systèmes d’approvisionnement en eau potable viennent d’être installés. Cela grâce au projet financé à hauteur de 350.000 dollars par l’USAID et mis en œuvre par l’Unicef au profit de 10.000 personnes dans les zones rurales et arides de la région Atsimo Andrefana. Ainsi, outre les 2.700 bénéficiaires de Milenaka, 7.300 autres issus des fokontany de Belalanda, de Fotadrevo et d’Ehara vont tirer profit de ce partenariat fructueux entre ces deux entités et le ministère de tutelle. Pour le cas de Milenaka, un château d’eau ayant une capacité de 50.000 litres est actuellement fonctionnel... Ce réservoir d’eau approvisionnera directement les 16 bornes-fontaines des communautés avoisinantes. (..) Considérée depuis longtemps comme tabou, l’utilisation de latrines devient actuellement possible dans la commune rurale de Milenaka...

Mikama - Mar 24, 2015

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
70% des fonds alloués au secteur eau viennent de l’extérieur. (..) Une étude effectuée en 2012 a révélé que, la Grande île dispose de trois cent cinquante cinq mil­liards m3 d’eau de surface et cent quarante milliards m3 d’eau souterraine. Malgré cette abondance des ressources en eau, cet «or blanc» reste un défi. Selon le ministère de l’Eau, seuls 46% de la population accèdent à l’eau. (..) On espère réaliser l’accès à l’eau potable pour 68% de la population, à l’horizon de 2019, 67% d’accès à l’assainissement et à l’hygiène et 100% sans défécation, à l’air libre. Pour y parvenir, un budget d’environ huit cent millions USD, soit deux mille deux cent quarante milliards d’ariary sont nécessaires.

Noro Niaina dans Newsmada
Pour Nosy Hara particulièrement, la participation à ces ateliers a apporté des avantages capitaux tant sur la nécessité de l’amélioration de la qualité de gestion que sur les aspects relationnels ainsi que sur la partie promotionnelle de l’écotourisme du parc. Pour sa part, MNP dispose de 8 sites marins d’une surface totale de 270.000 hectares au sein de son réseau national d’aires protégées.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
300 000 personnes, soit 15% de la population tananarivienne, vivent dans les bas quartiers. Sans une stratégie pérenne et efficace donc, une bonne partie de cette population-là va toujours s’appauvrir étant donné qu’il faut des années pour se relever des dégâts et pertes causés par un cataclysme naturel de ce genre.

R.Edmond. dans Midi Madagasikara
Dans le cadre de son Plan de Gestion environnementale et sociale (PGES) relatif au pipeline, Ambatovy s’est engagée à restaurer les rizières impactées par cette composante du projet. Cette restauration est réalisée à 99 % à ce jour, avec plus de 684 hectares de rizières restaurées par la compagnie minière qui  a dépensé près de 5 milliards d’ariary sur les rizières modifiées lors de  l’installation du Pipeline  depuis 2008.

Mikama - Mar 23, 2015

R.V. dans La Gazette de la Grande-Ile
Dans la Grande Ile, les individus ont de plus en plus accès l’eau potable. Le taux d’accès a évolué ces derniers temps, à 38% en milieu rural et 47% en milieu urbain sur l’accès à l’eau potable. Tandis que pour l’accès à l’assainissement est de 56% en milieu rural et 67% en milieu urbain.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Il reste encore à trouver plus du quart (9 236 milliards Ar ou 3 826 millions USD) du financement nécessaire à la mise en œuvre du Plan national de développement (PND 2015-2019). .. si depuis longtemps, les dépenses de fonctionnement représentent plus de 60% du budget de l’Etat contre un peu moins de 40% pour l’investissement, le PND veut initier le contraire. Près de 48% du budget devant financer sa mise en œuvre devraient revenir au fonctionnement, contre un peu plus de 52% pour l’investissement

Valis dans Tribune de Madagascar
Le Programme Alimentaire Mondial des Nations Unies (PAM) a encore besoin de 3,5 millions USD (environ 10 milliards d’ariary) supplémentaires pour répondre aux besoins des communautés dans les régions affectées par les catastrophes naturelles et pour renforcer jusqu’à fin juin 2015, ses programmes d’assistance d’urgence par des activités de développement, afin de venir en aide aux communautés en insécurité alimentaire des régions du sud de Madagascar... La détérioration de la situation alimentaire due à l’échec de la campagne agricole 2014/2015 affecte près de 200 000 personnes dont 40 000 enfants.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Les réserves marines étaient à craindre avant l’intervention de Conservation International à Ambodivahibe. « Nos butins ont diminué au fil du temps. Autrefois, chaque pêcheur pouvait avoir jusqu’à 50 kilos de poulpe. En 2006, avant la gestion durable, il était très difficile d’avoir  plus de 20 kilos, même pour les meilleurs pêcheurs. Et suite à la première année de réglementation, nos avions obtenu 600 kilos de poulpes, lors de l’ouverture de la saison de pêche. En 2011, ce chiffre est monté à 1 tonne, puis à 3 tonnes en 2013. Aujourd’hui, nous avons obtenu plus de 4,5 tonnes de poulpes, rien que durant l’ouverture officielle de la saison de pêche. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. La gestion durable est efficace et les résultats ne cessent de s’améliorer », a confié Justin Kinkou, président représentant des pêcheurs à Ambavarano..

Georges R. dans Newsmada
Selon l’enquête nationale sur le suivi des OMD à Madagascar, menée par l’Institut national de la statistique (Instat) sur la période 2012-2013, la part accordée à l’éducation par rapport aux ressources totales est passée de 26,4% en 2008 à 20,1% en 2011.

Dans Oryza
Madagascar's paddy rice production has increased about 10% to around 3.98 million tons in 2014 from around 3.6 million tons in 2013 despite uneven rains in the south and impact of locusts. (..) USDA estimates Madagascar to produce about 2.75 million tons of rice basis milled (around 4.3 million tons, basis paddy), and import around 350,000 tons in MY 2014-15 (May 2014 – April  2015).

Mikama - Mar 20, 2015

R.Edmond. dans Midi Madagasikara
... ce projet pilote TMC  exécuté par le FID et dont l’objectif principal est de fournir un supplément de revenu aux ménages les plus pauvres, pour à la fois appuyer l’intégration ou la réintégration des enfants de 6 à 10 ans dans le système scolaire et promouvoir l’amélioration de l’état nutritionnel des enfants de 0 à 5 ans.  (..) le système consiste  en un transfert monétaire mensuel de 10 000 ariary plus une incitation scolaire de 5 000 ariary par enfant et plafonnés à 2 enfants. (..) Financé à hauteur de 1,6 million USD pour la période 2014 – 2017, le TMC vise initialement un objectif d’atteindre 5 000 ménages.

Racl.R dans La Nation
D’après Hanitra Raharinjatovo, directeur général du FDL, «1 200 communes sur 1 549 reçoivent les subventions du FDL à hauteur d’environ neuf millions MgA chacune. (..) A ce jour, l’établissement public a pu financer, dans le cadre de subventions d’investissement, 1 041 sous -projets pour un montant total de 7,3 milliards MgA répartis dans 968 communes sur les 22 régions. Près de 630 000 emplois temporaires ont été créés à travers les projets à Haute Intensité de Mains d’Œuvre (HIMO). Ces sous-projets concernent des travaux de réhabilitation ou de construction de pistes, d’écoles publiques et de bureaux administratifs.

Noro Niaina dans Newsmada
La Grande île fait face à une situation préoccupante qu’est la recrudescence des bidonvilles avec un taux d’occupation de plus de 90% dont 60% dans les 192 fokontany de la ville d’Antananarivo. Les villes de Manakara et de Moramanga représentent également le même taux que la capitale... cinq privations qui caractérisent les bidonvilles, à savoir le logement durable, l’accès à l’eau potable et à l’assainissement, la sécurisation foncière, l’espace de vie ne dépassant pas trois personnes dans une pièce. Actuellement, près de 1.300.000 personnes sont concernées par ces privations dans la capitale à cause de la croissance démographique d’un taux de 4,6% due à l’exode rural... A ce problème s’ajoute l’échec du plan d’urbanisation car seuls 27% de la superficie de la capitale sont aménagés et planifiés pour faire face à la hausse du nombre d’habitants.

Mikama - Mar 19, 2015

R.Edmond. dans Midi Madagasikara
D’après certaines recherches archéologiques, les relations entre Madagascar et l’Indonésie datent d’environ 2000 ans avant Jésus-Christ » (..) Mieux, les cultures indonésienne et malgache  sont très similaires, puisque outre les deux langues qui se rapprochent, le nouvel an malgache et celui des Indous indonésiens tombent à la même date. (..) En matière économique et commerciale, le volume des échanges commerciaux entre Madagascar et l’Indonésie se chiffre à 78,5 millions USD en 2013, dont 68 millions USD d’exportation indonésienne vers Madagascar et 10 millions USD d’exportation malgache vers l’Indonésie. Madagascar exporte essentiellement du girofle  et de l’huile essentielle vers l’Indonésie et importe des produits alimentaires et autres.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Elaborer une Politique nationale de développement des infrastructures et de l’équipement (PNDIE).(..) En effet, ce ministère [ministère d’Etat chargé des Projets présidentiels, de l’Aménagement du territoire et de l’Equipemen] à l’intitulé très ronflant ne dispose que d’un maigre budget d’investissement d’un peu plus de 44,3 milliards Ar pour 2015. Ce n’est rien comparé à celui des travaux publics (près de 222 milliards Ar), de l’agriculture (236,6 milliards Ar), de la santé (123 milliards Ar).. plus de 1 ménage sur 3 vivent dans une agglomération urbaine et près de la moitié de la population sera localisée en ville d’ici 2020, soit dans 5 ans !

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Car selon le seuil international de la pauvreté (moins de 2 dollars ou moins de 5 400 Ar de revenu par jour par personne), 9 Malagasy sur 10 sont pauvres. (..)  Pour l’heure, l’Etat malagasy doit encore trouver 9 236 milliards Ar ou plus de 3,8 milliards de dollars pour financer le PND jusqu’en 2019. Ce qui représente encore un fort taux dépassant les 26% du besoin total. (..) Mais si on se réfère à la stagnation du taux de pression fiscale sur la dernière décennie (10 à 11% du PIB par an contre 17% dans les pays subsahariens fragiles comme Madagascar), il ne faut pas trop compter sur une nette amélioration de la collecte de ces recettes. Quant aux recettes non fiscales, elles ont été toujours faibles.

Dans La Nation
Le projet ASA intervient dans plusieurs filières. Pour les filières maraîchage, poulet fermier et arboriculture fruitière, le projet va former et appuyer 4500 producteurs, et renforcera les capacités de 45 organisations de producteurs et appuiera la commercialisation des produits. Le projet envisage construire 50 bâtiments de stockage ainsi que 50 unités locales de transformation. Dans la filière pisciculture, le programme ASA entend former et accompagner 500 producteurs pour la pisciculture en rizière... Environ 72 000 ménages , soit 360 000 personnes, sont les bénéficiaires directs du programme à travers l’appui aux activités de culture maraichère, d’arboriculture fruitière, de production de poulet fermier, pisciculture, reboisement, charbon de bois et foyers améliorés, lait et sécurisation foncière, mais aussi toute la population malagasy à travers l’appui à la consolidation de la réforme foncière.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Recettes fiscales urbaines: Pas plus de 2 000 Ar par habitant par an !
Antananarivo et Toamasina regroupent plus de 80% de l’ensemble de la fiscalité locale dont l’Impôt foncier sur les propriétés bâties (IFPB) qui revient en totalité aux communes. Mais en termes de niveau de développement et sur la base des recettes par habitant, la majorité des villes ne dépasse pas 2 000 Ar par habitant selon le PND. (..)  En effet, le budget annuel de la commune urbaine d’Antananarivo est l’équivalent de 4 dollars par habitant, ou environ 10 800 Ar. (..) D’après l’enquête à haute fréquence par téléphone mobile de l’Institut national de la statistique (INSTAT), seuls 45,4% des ménages enquêtés en juillet et août 2014 ont déclaré avoir reçu une lettre les invitant à payer l’impôt qui vient en particulier des communes. Ce qui signifie que la grande majorité des ménages, soit 54,6% ne paient rien comme impôts locaux.

Léa Ratsiazo dans Tribune de Madagascar
Les marchés fictifs et les surfacturations ont fait perdre à la caisse de l’Etat au moins 1,2 milliards d’Ar en 2014 selon le premier responsable du SAMIFIN (Sampan-draharaha Malagasy Iadiana amin’ny Famotsiambola, la structure chargée des renseignements financiers et de la lutte contre le blanchiment d’argent), Jean Claude Razaraniaina.

Thomas Brookes dans Data Guidance
Razandrakoto told DataGuidance, "The Law was inspired by the European Data Protection Directive (95/46/EC) and experiences of francophone countries which are members of the Association of Francophone Personal Data Protection Authorities (AFAPDP). The Madagascan Government hopes that the passage of the Law will benefit the economy and modernisation of the countries. In particular, the Law should assist in the development of the Information Technology sector, encourage the development of new businesses and attract foreign firms to the country."

Mikama - Mar 16, 2015

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Un comité conceptuel a été mis en place pour conduire les travaux de retouche du code minier.  Le débat s’annonce houleux avec les membres qui le composent. C’est peut-être un exemple à suivre en matière de débat. Le ministère auprès de la Présidence chargé des ressources stratégiques (MPMP) décide d’adopter une vaste approche participative dans l’élaboration du projet de réforme du code minier. Plusieurs fortes têtes de la société civile, entre autres, font partie du comité Conceptuel chargé d’élaborer l’ébauche du document. De virulentes personnalités qui comme Serge Zafimahova, président du CDE ou bien Hugues Rajaonson, membre du CREM, en font partie. Mais des représentants du secteur privé comme la Chambre des Mines ou bien le Syndicat et le Groupement des petites mines y sont également représentés.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Avec le retour à l’ordre constitutionnel, Madagascar gagne de la place en tant que pays favorable aux investissements... Par rapport à sa situation en 2013, le pays a gagné vingt cinq places, classé 80e sur 112 pays en 2013 à la 55e position en 2014. (..) « Il faut reconnaître que l’attractivité d’investissements miniers de Madagascar pose encore  problème dans de nombreux domaines », reconnaît l’économiste en précisant que des efforts doivent être menés dans quatre secteurs différents dont les infrastructures, la qualité de main d’œuvre, la lutte contre la pauvreté et la stabilité politique.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Le ministère de l’Elevage prévoit de mettre en place un plan national d’investissement en vue de développer le secteur élevage, que ce soit, l’élevage à grande échelle ou l’élevage familial. (..) a consommation de protéine à base de produits d’origine animale reste encore faible dans le pays avec un taux de l’ordre de 10,5 grammes/jour/habitant.

Mikama - Mar 13, 2015

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Actuellement, la société [Madagascar Oil] produit 200 barils vendables par jour, contre un besoin de 2000 barils pour le marché local. Elle prévoit également de lancer les exportations dès que le marché local sera saturé. (..)  Dans les quatre prochaines années, il est prévu que la production journalière passe entre 6000 à 10 000 barils, avant d’atteindre progressivement la vitesse de croisière de 50 000 barils par jour. Actuellement, 80 000 barils d’huile sont stockés dans le réservoir de stockage de la compagnie. La Jirama constitue le premier client ciblé par Madagascar Oil.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Le Port de Toamasina sera le plus grand port de l’Afrique de l’Est, après son extension. Les travaux devraient commencer en 2016 et ne se termineront qu’en 2023. (..) Comme le Japon a déjà financé l’étude sur l’extension, on pourra espérer de même en ce qui concerne les travaux. En effet, le chef de la délégation japonaise a évoqué un prêt concessionnel à très faible taux de 0,01%, remboursable sur 40 ans avec 10 ans de grâce.

Georges R. dans Newsmada
En effet, selon le BIT seuls 6% des emplois à Madagascar sont formels et huit actifs sur dix sont sous-employés actuellement. (..)  « L’informel ne se limite pas juste au non- paiement des impôts, ou à la non-obtention d’un Numéro d’identification fiscale (Nif). L’inexistence de la couverture sociale chez les salariés, comme la non-affiliation des employés à la Caisse de prévention sociale, ou encore aux organisations sanitaires, sont également d’autres caractéristiques de l’informel » (..) D’ailleurs 80% des créations d’emplois au cours de l’année 2013 ont été enregistrées dans l’informel, notamment dans l’élevage et l’agriculture, selon les derniers chiffres de l’Instat.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Les mangroves font partie des écosystèmes les plus productifs au monde. Elles jouent un rôle important dans la protection des côtes et fournissent des services essentiels (maintien de la qualité des eaux côtières, zone de reproduction et nourricerie pour les ressources marines, stock de carbone, etc.) et permettent de lutter contre le dérèglement climatique (adaptation et atténuation). Les mangroves situées sur le littoral Ouest de Madagascar, dans la région de Melaky, subissent des pressions d’origine anthropique, liées à des modes d’exploitation non durables de leurs ressources (pêche, bois de chauffe, construction, collecte de crabes, etc.) et sont aussi impactées par le changement climatique.

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Comme il fallait s’y attendre, les intempéries depuis le mois de janvier n’allaient pas épargner la recrudescence de l’épidémie, dont le palu. De la région Atsimo Atsina­nana à l’Atsimo Andrefana, les enfants de moins de cinq ans y sont les plus vulnérables. (..) Le nouveau directeur du PNLP, le docteur Arsène Ratsimbasoa ne cache pas une interruption de certaines actions de lutte contre le paludisme, notamment la distribution des moustiquaires. Une des raisons qu’il estime à l’origine de la propagation de la maladie dans de nombreuses localités du pays.

Arh. dans Newsmada
Dans une perspective de réduction de la pauvreté, le gouvernement malgache a obtenu de la Banque mondiale le financement du Projet d’appui d’urgence aux services essentiels d’éducation, de nutrition et de santé (Pausens). Un projet qui apporte entre autres des réponses ciblées et efficientes afin d’atténuer les effets néfastes de la pauvreté sur les couches vulnérables. (..) Entre 2012, avant la mise en œuvre du projet, et 2014, l’effectif des élèves ont augmenté en moyenne de 5,3% par an. En 2013-2014 le pourcentage des élèves qui arrivent en CM2 atteint les 35% par rapport aux élèves du CP1 de 2009-2010, alors que ce taux était de 23% un an auparavant. (..) Particulièrement au niveau du Centre de santé de base (CSB), l’on constate une augmentation de 47% des consultations externes pour les enfants de moins de 5 ans ou encore une augmentation de 15% de l’utilisation du service d’accouchement au sein du CSB.

Georges R. dans Newsmada
Un milliard d’ariary par jour pour la société de distribution d’eau et d’électricité Jirama, 4200 ariary par jour pour chaque transporteur urbain… les subventions alourdissent de plus en plus les dépenses de l’Etat. (..) Selon les données parues dans le Bulletin mensuel Tahiry N°45 du Trésor public, la production de 13 000 mégawatts-heures (Mwh) d’électricité nécessite 3 millions de litres de fuel-oil alors que la même quantité de gasoil ne produit que 10 000 Mwh d’électricité. Dans le même registre, la construction de la nouvelle centrale thermique au fuel lourd d’une puissance de 25 Mw à Ambohimanambola, dite Ambohimanambola-II, en est actuellement à 60% de sa réalisation, indique-t-on auprès de la Jirama.

Noro Niaina dans Newsmada
Le taux d’accès à l’eau potable est de l’ordre de 40% à Madagascar. La répartition n’est pas équitable, car ce taux varie de 45%, en zone urbaine, à 38%, en zone rurale. De plus, certaines régions comme Anosy et Androy souffrent plus que d’autres de cette lacune mais les nouveaux travaux de forage et d’adduction d’eau par pompe à motricité humaine mis en œuvre depuis cette année apporteront une nette amélioration à cette situation. Quant à l’assainissement et à l’hygiène, près de 10.000 villages ont été déclarés exempts de défécation à l’air libre. Les campagnes de sensibilisation sur l’hygiène et notamment sur le lavage des mains avec du savon ont été multipliées.

Mikama - Mar 10, 2015

Racl.R dans La Nation
Est-ce que Madagascar saura profiter de ces divers accords de partenariats économiques pour développer son propre commerce ? Une réunion des Hauts fonctionnaires se tient actuellement dans le pays pour discuter des négociations pour la reprise des négociations APE-AfOA qui touchent les pays de l’Afrique Orientale et Australe comme Madagascar.

R.Edmond dans Midi Madagasikara
En ce qui concerne la production, on l’estime à 2 000 tonnes de vanille exportable pour cette année, conformément à la prévision établie en début de campagne. Une  production de bonne qualité puisque même les vanilles courtes affichent un taux de vanilline de 1,6 %.

Y. Lomelle dans La Gazette de la Grande-Ile
... les intervenants ont approfondi le concept de la culture des résultats afin de dégager l’importance de système pour Madagascar. Comme la Banque Africaine de Développement l’utilise depuis l’année 2002, Madagascar a du se soumettre à cette vision dans le cadre de la coopération avec ce bailleur qui est certainement parmi les plus actifs dans la Grande Ile. (..) « à l’heure où l’on parle, la plus grande difficulté c’est de définir les priorités car tout est prioritaire. Nous ne pouvons pas affirmer qu’un secteur doit primer avant un autre. Pourtant il nous faut les définir car la plus grande leçon qu’on a pu tirer c’est qu’on s’est trop éparpilleé dans nos actions. A force de vouloir tout faire, finalement nous n’avons rien accompli ».

Dans News24
Children starving as hunger hits 200 000 in Madagascar (..) WFP rations currently are keeping some 120 000 people alive in the wake of the October-through-February drought that destroyed the harvest in a country where one of every two toddlers under three suffer retarded growth due to inadequate diets. (..) The government says 200 000 to 350 000 people are suffering from hunger in the low-income nation of 22 million people, which is ranked 155th of 187 countries on the UNDP's Human Development Index. More than 70% of the population lives below the poverty line.

Mikama - Mar 9, 2015

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Depuis la signature du protocole de la Sadc sur le genre et le développement, en 2008, Madagascar a promis d’atteindre les vingt-huit objectifs, cités dans le document. «L’accès à l’emploi, l’hygiène maternelle, l’éducation et la prise de décision, en font partie», précise Ialfine Papisy, représentante du Gender Links. Toutefois, le pays reste en queue, sur les seize pays signataires du protocole.

R.Volatsara dans La Gazette de la Grande-Ile
Suite aux dialogues économiques dans quelques régions du pays, ainsi que dans la capitale, les participants affirment que la mise en place de la sécurité est importante pour faire développer entre autres le commerce, inciter les entreprises à s’investir encore plus, et offrir par la suite du travail aux jeunes du pays. Aussi, le développement du secteur agricole n’est-elle pas en reste.

R.V. dans La Gazette de la Grande-Ile
... en général, la plupart d’entre elles ne disposent pas des capacités ainsi que des qualités nécessaires pour faire avancer les choses, autrement dit, pour être un vrai acteur au développement, de plus, plus de 50% des femmes n’ont pas accès à l’éducation.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Comme quoi, le système bancaire a plus confiance aux particuliers qu’aux entreprises publiques : les octrois de crédits de moyen et long terme pour les particuliers ont affiché une croissance de +27% sur la période étudiée, contre -58% pour les entreprises publiques et +16% pour les entreprises privées.

Mikama - Mar 6, 2015

Racl.R dans La Nation
Dans un rapport intitulé, « évolution économique récente » publié en janvier 2015, il est mentionné que « les recettes fiscales s’établissent à 10.1% du PIB pour l’année 2014, soit en dessous de la prévision de la loi de finances rectificative de 11.6% et des ratios recettes fiscales/PIB des deux précédentes années. Les objectifs des recettes fiscales furent atteints à hauteur de 87% ». Comme l’explique Coralie Gevers, « ce taux de pression est l’un des plus faibles en Afrique ». (..) Le rapport souligne que le taux de croissance est estimé à 3% en 2014. Pour 2015, ce taux est maintenu mais la croissance démographique est estimée à 3% aussi
Source Banque Mondiale


Dans La Gazette de la Grande-Ile
Près de 80 % de la population vit en milieu rural, où la pauvreté absolue est près du double de celle des régions urbaines, et 86 % des pauvres vivent ainsi dans les régions rurales. La plupart des paysans font de l’agriculture de subsistance qui produit à peine de quoi nourrir leur famille. Dans l’agriculture, la valeur ajoutée réelle par habitant recule de 1 % environ par an depuis 1960... en 2010, les pauvres qui n’avaient pas suivi d’enseignement scolaire et n’avaient pas accès à l’électricité représentaient 26 % de la population.


Mikama - Mar 5, 2015

Racl.R dans La Nation
Sociétés d’Etat. 105 sur les 158 en faillite. Depuis plusieurs années, les sociétés d’Etat ont été la cible des extorsions de fonds. En analysant ainsi les raisons pour leur utilité, parfois les excuses avancées ne sont logiques. C’est pour cette raison que le Trésor public, face aux récentes nouvelles publiées par la presse locale sur les tentatives de débloquer les 200 milliards fmg pour la réhabilitation des routes, a mené une manifestation. La loi 2014 – 014 du 06 septembre 2014 stipule que toute sortie de fonds doit être décidée en Assemblée Générale des Actionnaires (AGO) et le motif de sortie de fonds ne doit pas différer de l’objet social de la société et que ces extorsions de fonds sont à l’origine de la faillite de bien des sociétés à participation de l’Etat.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
À propos de la Banque centrale, le chef de mission a réitéré qu’il sera essentiel d’assurer que le marché des changes est suffisamment liquide et reflète les conditions du marché. La reconstitution des réserves interna­tionales a été encore soulevée. Selon les données de la Banque mondiale, ces réserves se sont établies en fin 2014 à l’équivalent de 778 millions de dollars contre 660 millions fin novembre de cette même année,soit deux mois et plus d’importations. La hausse entre ces deux périodes proviendrait essentiellement du décaissement des appuis budgétaires intervenus en fin d’année.

Seth Andriamarohasina dans L'Express de Madagascar
Venus dans l’archipel des îles Glorieuses pour s’adonner à des pêches clandestines, des pêcheurs malgaches et comoriens, se sont heurtés aux forces françaises. Découverts, ils ont été arrêtés. (..) Classé parmi les îles Éparses françaises la zone nord du canal du Mozam­bique, les iles Glorieuses s’étalent sur une superficie de 7 kilomètres carrés. Elles sont situées entre l’archipel des Comores et Antsiranana,  au Nord Ouest de la pointe Madagascar. L’archipel des Glorieuses est composé de deux îles sablonneuses entourées par une barrière de corail d’où émergent plusieurs récifs coralliens.
Placées sous la gestion de la collectivité des Terres Australes Antarctiques Françaises  comme les autres îles éparses, il a un statut de parc naturel marin.

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Selon le rapport de l’Unicef lors de l’inauguration du premier service de prise en charge intégrée des enfants victimes de violences sexuelles au sein de l’hôpital de Befelatanana, les violences sexuelles concernent 14% des jeunes filles de 15 à 19 ans, une jeune fille malgache sur deux est mariée ou vit en concubinage avant l’âge de 18 ans et les grossesses précoces touchent une fille sur trois à Madagascar.

Fanjanarivo   dans La Gazette de la Grande-Ile 
Au moins un taux de croissance annuelle de 5% par an sur les 5 années à venir pour maintenir le niveau du PIB par tête actuel. Cette estimation est de la Banque mondiale. Notons que ledit PIB par tête est déjà plus que maigre, soit 32 200 Ar. Et il est en régression depuis 2009. Ce qui signifie que les conditions de vie de la population ne cessent de se dégrader. (..) . Avec l’agriculture, le tourisme et la construction sont les deux secteurs censés créer des emplois à même d’aider le pays à résorber une bonne partie des 500 000 demandes qui arrivent sur le marché du travail tous les ans. Jusqu’ici pourtant, rien de bien concret n’est engagé pour soutenir la création d’emplois dans ces trois secteurs. (..) les deux greniers à riz du pays, Alaotra et Marovoay sont dans un état lamentable. Erosion, ensablement et non maîtrise de l’eau se conjuguent et réduisent les surfaces cultivées ainsi que le rendement. Ces deux zones ne bénéficient pourtant pas d’un grand projet de réhabilitation

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Dépenses publiques: Quid des procédures d’exécution ? (..) Il est important de savoir que toutes les procédures d’exécution des dépenses publiques à Madagascar sont définies par le Décret n°2005-003 portant règlement général sur la comptabilité de l’exécution budgétaire des organismes publics. Les organismes publics concernés par les procédures d’exécution des dépenses publiques sont l’Etat, les collectivités territoriales décentralisées (CTD) et les établissements publics (EP). L’exécution de ces dépenses incombe exclusivement aux ordonnateurs et aux comptables publics. Ils font l’objet d’une nomination par voie réglementaire. Pour les dépenses, les comptables sont les comptables du Trésor. L’exécution des dépenses comprend quatre phases dont...
Source : Trésor Public mg.

Mikama - Mar 4, 2015

R.Edmond. dans Midi Madagasikara
 « Entre fin 2013 et fin 2014, l’ariary s’est déprécié de 3% par rapport à l’euro et de 14% par rapport à l’USD. La dépréciation de l’ariary a atteint son pic vers fin novembre lorsqu’il a perdu 5% de sa valeur par rapport à l’euro et 14% par rapport au dollar.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Puis, les données publiées hier par la Banque mondiale sur l’évolution économique récente avance que la suspension des paiements des Taxes sur les produits pétroliers (TPP) depuis 2010 représente 10 à 14% des recettes fiscales totales annuelles au cours de ces dernières années. Cette grosse perte contribue à maintenir le taux de pression fiscal à un niveau faible, soit 10% du PIB en 2014, alors que la moyenne des Etats subsahariens fragiles comme Madagascar est de 17% selon les données du FMI. (..) D’après les données de Banque mondiale, les subventions du marché pétrolier représentent tous les ans 1,5% du PIB. C’est énorme surtout quand on sait qu’elles ont profité à une toute petite frange de la population (8%).

Dans Rigzone
Madagascar_Oil_Updates_on_its_Operations_Including_Tsimiroro_Project
As at Feb. 28, cumulative oil production had reached 173,351 barrels from a cumulative steam injection of 910,017 BWE giving a cumulative Steam Oil Ratio of 5.2. 90,780 barrels of crude oil available for sales were accumulated in the storage tanks at the SFP as at the same date.

Mikama - Mar 3, 2015

R.Edmond dans Midi Madagasikara
Ainsi, outre  les emplois directs, 364 entreprises créées sont devenues fournisseurs de QMM, dont plus de la moitié se trouvent à Fort-Dauphin. Par ailleurs, le secteur tourisme est un des bénéficiaires de l’installation du Port d’Ehoala qui a accueilli 28 370 touristes pour 32 escales. Toujours sur le plan économique, outre les milliards d’ariary d’impôts, taxes et redevances, les achats locaux ont progressé, d’une manière significative. (..) 118 ha de zones ont été  réhabilitées et reboisées dans le site minier, et 5 ha de marécage de « mahampy » cultivés.  Il y a eu également près de 900 ha de reboisement hors gisement répartis dans les communes d’Ampasy, Mandromondromotra et Soanierana jusqu’en 2012.

Valis Dans Tribune de Madagascar
« Fish Trade for a Better Future » est un projet financé par la Commission européenne, mis en place par WorldFish, le Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD) et le Bureau interafricain des ressources animales de l’Union africaine (UA-BIRA). Il permettra de renforcer les chaînes de valeur et, en se concentrant sur la durabilité, de donner un meilleur accès aux marchés intra-régionaux et par conséquent d’améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle et les revenus en Afrique subsaharienne.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
250 000 dollars. C’est le tout premier financement accordé par le COMESA pour un projet de développement à Madagascar. Et il s’agit d’un projet sur l’agroécologie qui consiste à produire et à protéger le sol en même temps, une approche adaptée au changement climatique. (..) Pour le Moyen-Ouest, il est question d’augmenter de 80% les surfaces concernées par apport au projet BVPI, de doubler le nombre des paysans adoptants pour atteindre 1 000 agriculteurs dont 200 femmes. Dans le Sud-Est, les surfaces devraient doubler, alors que les adoptants sont prévus atteindre 1 400 dont 900 femmes. Le projet s’appuie sur des paysans-pilotes qui forment d’autres paysans. (..)  Dans le Moyen-Ouest, le projet aidera à régénérer la fertilité du sol et à lutter contre le striga, cette mauvaise herbe rougeâtre...  A Madagascar, les surfaces couvertes par l’agriculture de conservation sont encore modestes, soit environ 10 000 ha pour 15 000 à 20 000 paysans adoptants.

Y. Lomelle dans La Gazette de la Grande-Ile
l’ONG Lalana à travers un projet intitulé Zahay Koa a favorisé les personnes vivant dans les quartiers populaires en leur prodiguant des informations pour faire des 47 personnes bénéficiaires de ce programme des modèles et des leaders dans la société.

Mikama - Mar 2, 2015

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
En effet, 27% des ménages urbains marchent à pied pour se déplacer, d’après l’enquête thématique à haute fréquence de l’Institut national de la statistique (INSTAT). (..) Le transport en commun n’est pas l’unique solution adaptée, d’autant plus que seuls 53,5% des citadins prennent le transport public comme moyen de transport. (..)  1,2% des riches utilisent leurs propres voitures pour se déplacer. Cette proportion approche des 5% chez les plus riches. Près de 50% de cette catégorie prennent le bus, contre 45,4% pour les riches.

Farah Randrianasolo dans L'Express de Madagascar
Le décret sur la Mise en compatibilité des Inves­tissements avec l’Envi­ronnement (MECIE), a vingt ans cette année.  Découlant de la Charte de l’environnement malgache, ce texte  porte essentiellement sur le principe de réalisation des Études d’impacts environnementaux (EIE) pour les projets d’investissements publics ou privés susceptibles de porter atteinte à l’environnement. (..) Les industries extractives, pour la plupart, n’attendent pas le permis minier délivré par  l’ONE. Au moment de la phase d’exploration, elles en profitent pour passer directement à l’exploitation. Ce qui crée un désaccord entre les habitants et les promoteurs sur un site minier. D’où la consultation publique.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Une mise en place d’un fonds de remise en état et d’entretien de ces réseaux hydro-agricoles s’impose ainsi pour bien aménager les 1 200 000ha de périmètres irrigués recensés dans toutes les régions de l’île. C’est ce qu’on a appris lors de la présentation de la nouvelle loi régissant les réseaux hydro-agricoles hier...

Racl.R dans La Nation
Le taux de bancarisation est très faible et 3% de ces adhérents sont des salariés. Ce sont eux qui sont éligibles pour des crédits. (..)Selon le Dr Andriampeno, « il n’est pas facile d’entreprendre à Madagascar car on n’a que des banques commerciales, c’est-à-dire des banques qui ne recherchent que des profits. Toutes les conditions y afférentes ne donnent pas aux personnes l’accès au financement alors que les opérateurs en ont besoin. A Madagascar, pour avoir un bénéfice de 20%, il faut avoir une marge de 40% ».

Dans SHD Logistics
International development charity Transaid has just started a new partnership with the Malagasy non-governmental organisation Lalana. This five-year relationship will focus on the promotion, development and implementation of initiatives and projects aiming to improve transport for development throughout the country. (..) he collaboration between Transaid and Lalana in Madagascar dates back to 2012 and began during the development of a project to support the mobility of local Community Health Workers (CHWs). That project was implemented in the context of the USAID-funded MAHEFA programme (MAlagasy HEniky ny FAhasalamana or MAlagasy HEalthy FAmilies) where Transaid is one of three major partners (alongside The Manoff Group and JSI Research & Training, Inc., the lead partner); Transaid and Lalana then developed together a training curriculum for maintenance, repairs and management of bicycles for CHWs