Mikama - Mar 26, 2015

R.Volatsara dans La Gazette de la Grande-Ile
Seuls 40% des populations malgaches ont accès à l’eau potable. Sur les 40%, plus de la moitié prend de l’eau dans les bornes fontaines publiques. Pourtant, selon les enquêtes menées auprès des bornes fontaines, le prix d’un seau ou d’un bidon est presque inaccessible pour un foyer nécessiteux. (..)  Selon water and sanitation program, environ 10.400 Malgaches, notamment 6.900 enfants de moins de 5 ans, meurent chaque année de diarrhée. Ces décès sont à presque 90% directement attribués à l’impureté de l’eau et au manque d’assainissement et d’hygiène. Sur ce, 77 millions dollars sont la perte de la Grande Ile à cause de mort prématurée. Et s’ils sont malades, encore  9 millions dollars sont dépensés chaque année en soins de santé directement, et indirectement par la malnutrition (et ses conséquences liées à d’autres maladies (telles que les infections respiratoires et le paludisme)...

Racl.R dans La Nation
Le recyclage de déchet plastique reste une activité peu connue du fait qu'il y est question de manipuler des ordures mais en sachant également que toutes les matières plastiques, que ce soit bouteilles, chaises ou autres articles fabriqués en plastique, peuvent être recyclés et réutilisés. (..) ers 2011 et 2012, eco-aid a pu exporter 2 conteneurs de grains plastiques vers l'Asie car le projet Ambatovy fut en phase de construction et disposait d'une énorme quantité de déchets plastiques pouvant aller jusqu'à deux voyages de 30 m3.

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Le projet de nouveau code pétrolier est débattu durant deux jours depuis hier au Development learning center (DLC) Anosy. Le document de base, conçu par un comité conceptuel composé des représentants de l’administration, des opérateurs et de la société civile, s’articule autour d’un objectif principal : améliorer la contribution des prospections et des futures exploitations sur la population.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Pour la Banque mondiale par exemple, plus de 1 élève malagasy sur 2 dans les classes primaires bénéficient de son action. Ce qui représente 62% ou 2 845 593 élèves issus de 18 152 écoles réparties dans 17 régions sur les 22. C’est grâce à deux projets du gouvernement dont l’un est financé par la Banque mondiale et l’autre par le Fonds mondial pour l’éducation et géré par la Banque. Toutefois, l’éducation nationale est, après le ministère des Finances et du Budget (1 316,7 milliards Ar), le secteur qui jouit d’un budget public élevé, soit plus de 714,2 milliard Ar pour 2015, contre 333 milliards Ar pour la santé publique et 261,7 milliards Ar pour l’agriculture.

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