R.Edmond dans Midi Madagasikara
Ainsi, outre les emplois directs, 364 entreprises créées sont devenues fournisseurs de QMM, dont plus de la moitié se trouvent à Fort-Dauphin. Par ailleurs, le secteur tourisme est un des bénéficiaires de l’installation du Port d’Ehoala qui a accueilli 28 370 touristes pour 32 escales. Toujours sur le plan économique, outre les milliards d’ariary d’impôts, taxes et redevances, les achats locaux ont progressé, d’une manière significative. (..) 118 ha de zones ont été réhabilitées et reboisées dans le site minier, et 5 ha de marécage de « mahampy » cultivés. Il y a eu également près de 900 ha de reboisement hors gisement répartis dans les communes d’Ampasy, Mandromondromotra et Soanierana jusqu’en 2012.
Valis Dans Tribune de Madagascar
« Fish Trade for a Better Future » est un projet financé par la Commission européenne, mis en place par WorldFish, le Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD) et le Bureau interafricain des ressources animales de l’Union africaine (UA-BIRA). Il permettra de renforcer les chaînes de valeur et, en se concentrant sur la durabilité, de donner un meilleur accès aux marchés intra-régionaux et par conséquent d’améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle et les revenus en Afrique subsaharienne.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
250 000 dollars. C’est le tout premier financement accordé par le COMESA pour un projet de développement à Madagascar. Et il s’agit d’un projet sur l’agroécologie qui consiste à produire et à protéger le sol en même temps, une approche adaptée au changement climatique. (..) Pour le Moyen-Ouest, il est question d’augmenter de 80% les surfaces concernées par apport au projet BVPI, de doubler le nombre des paysans adoptants pour atteindre 1 000 agriculteurs dont 200 femmes. Dans le Sud-Est, les surfaces devraient doubler, alors que les adoptants sont prévus atteindre 1 400 dont 900 femmes. Le projet s’appuie sur des paysans-pilotes qui forment d’autres paysans. (..) Dans le Moyen-Ouest, le projet aidera à régénérer la fertilité du sol et à lutter contre le striga, cette mauvaise herbe rougeâtre... A Madagascar, les surfaces couvertes par l’agriculture de conservation sont encore modestes, soit environ 10 000 ha pour 15 000 à 20 000 paysans adoptants.
Y. Lomelle dans La Gazette de la Grande-Ile
l’ONG Lalana à travers un projet intitulé Zahay Koa a favorisé les personnes vivant dans les quartiers populaires en leur prodiguant des informations pour faire des 47 personnes bénéficiaires de ce programme des modèles et des leaders dans la société.
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