R.Edmond. dans Midi Madagasikara
... ce projet pilote TMC exécuté par le FID et dont l’objectif principal est de fournir un supplément de revenu aux ménages les plus pauvres, pour à la fois appuyer l’intégration ou la réintégration des enfants de 6 à 10 ans dans le système scolaire et promouvoir l’amélioration de l’état nutritionnel des enfants de 0 à 5 ans. (..) le système consiste en un transfert monétaire mensuel de 10 000 ariary plus une incitation scolaire de 5 000 ariary par enfant et plafonnés à 2 enfants. (..) Financé à hauteur de 1,6 million USD pour la période 2014 – 2017, le TMC vise initialement un objectif d’atteindre 5 000 ménages.
Racl.R dans La Nation
D’après Hanitra Raharinjatovo, directeur général du FDL, «1 200 communes sur 1 549 reçoivent les subventions du FDL à hauteur d’environ neuf millions MgA chacune. (..) A ce jour, l’établissement public a pu financer, dans le cadre de subventions d’investissement, 1 041 sous -projets pour un montant total de 7,3 milliards MgA répartis dans 968 communes sur les 22 régions. Près de 630 000 emplois temporaires ont été créés à travers les projets à Haute Intensité de Mains d’Œuvre (HIMO). Ces sous-projets concernent des travaux de réhabilitation ou de construction de pistes, d’écoles publiques et de bureaux administratifs.
Noro Niaina dans Newsmada
La Grande île fait face à une situation préoccupante qu’est la recrudescence des bidonvilles avec un taux d’occupation de plus de 90% dont 60% dans les 192 fokontany de la ville d’Antananarivo. Les villes de Manakara et de Moramanga représentent également le même taux que la capitale... cinq privations qui caractérisent les bidonvilles, à savoir le logement durable, l’accès à l’eau potable et à l’assainissement, la sécurisation foncière, l’espace de vie ne dépassant pas trois personnes dans une pièce. Actuellement, près de 1.300.000 personnes sont concernées par ces privations dans la capitale à cause de la croissance démographique d’un taux de 4,6% due à l’exode rural... A ce problème s’ajoute l’échec du plan d’urbanisation car seuls 27% de la superficie de la capitale sont aménagés et planifiés pour faire face à la hausse du nombre d’habitants.
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