Mikama - Mar 13, 2015

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Actuellement, la société [Madagascar Oil] produit 200 barils vendables par jour, contre un besoin de 2000 barils pour le marché local. Elle prévoit également de lancer les exportations dès que le marché local sera saturé. (..)  Dans les quatre prochaines années, il est prévu que la production journalière passe entre 6000 à 10 000 barils, avant d’atteindre progressivement la vitesse de croisière de 50 000 barils par jour. Actuellement, 80 000 barils d’huile sont stockés dans le réservoir de stockage de la compagnie. La Jirama constitue le premier client ciblé par Madagascar Oil.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Le Port de Toamasina sera le plus grand port de l’Afrique de l’Est, après son extension. Les travaux devraient commencer en 2016 et ne se termineront qu’en 2023. (..) Comme le Japon a déjà financé l’étude sur l’extension, on pourra espérer de même en ce qui concerne les travaux. En effet, le chef de la délégation japonaise a évoqué un prêt concessionnel à très faible taux de 0,01%, remboursable sur 40 ans avec 10 ans de grâce.

Georges R. dans Newsmada
En effet, selon le BIT seuls 6% des emplois à Madagascar sont formels et huit actifs sur dix sont sous-employés actuellement. (..)  « L’informel ne se limite pas juste au non- paiement des impôts, ou à la non-obtention d’un Numéro d’identification fiscale (Nif). L’inexistence de la couverture sociale chez les salariés, comme la non-affiliation des employés à la Caisse de prévention sociale, ou encore aux organisations sanitaires, sont également d’autres caractéristiques de l’informel » (..) D’ailleurs 80% des créations d’emplois au cours de l’année 2013 ont été enregistrées dans l’informel, notamment dans l’élevage et l’agriculture, selon les derniers chiffres de l’Instat.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Les mangroves font partie des écosystèmes les plus productifs au monde. Elles jouent un rôle important dans la protection des côtes et fournissent des services essentiels (maintien de la qualité des eaux côtières, zone de reproduction et nourricerie pour les ressources marines, stock de carbone, etc.) et permettent de lutter contre le dérèglement climatique (adaptation et atténuation). Les mangroves situées sur le littoral Ouest de Madagascar, dans la région de Melaky, subissent des pressions d’origine anthropique, liées à des modes d’exploitation non durables de leurs ressources (pêche, bois de chauffe, construction, collecte de crabes, etc.) et sont aussi impactées par le changement climatique.

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Comme il fallait s’y attendre, les intempéries depuis le mois de janvier n’allaient pas épargner la recrudescence de l’épidémie, dont le palu. De la région Atsimo Atsina­nana à l’Atsimo Andrefana, les enfants de moins de cinq ans y sont les plus vulnérables. (..) Le nouveau directeur du PNLP, le docteur Arsène Ratsimbasoa ne cache pas une interruption de certaines actions de lutte contre le paludisme, notamment la distribution des moustiquaires. Une des raisons qu’il estime à l’origine de la propagation de la maladie dans de nombreuses localités du pays.

Arh. dans Newsmada
Dans une perspective de réduction de la pauvreté, le gouvernement malgache a obtenu de la Banque mondiale le financement du Projet d’appui d’urgence aux services essentiels d’éducation, de nutrition et de santé (Pausens). Un projet qui apporte entre autres des réponses ciblées et efficientes afin d’atténuer les effets néfastes de la pauvreté sur les couches vulnérables. (..) Entre 2012, avant la mise en œuvre du projet, et 2014, l’effectif des élèves ont augmenté en moyenne de 5,3% par an. En 2013-2014 le pourcentage des élèves qui arrivent en CM2 atteint les 35% par rapport aux élèves du CP1 de 2009-2010, alors que ce taux était de 23% un an auparavant. (..) Particulièrement au niveau du Centre de santé de base (CSB), l’on constate une augmentation de 47% des consultations externes pour les enfants de moins de 5 ans ou encore une augmentation de 15% de l’utilisation du service d’accouchement au sein du CSB.

Georges R. dans Newsmada
Un milliard d’ariary par jour pour la société de distribution d’eau et d’électricité Jirama, 4200 ariary par jour pour chaque transporteur urbain… les subventions alourdissent de plus en plus les dépenses de l’Etat. (..) Selon les données parues dans le Bulletin mensuel Tahiry N°45 du Trésor public, la production de 13 000 mégawatts-heures (Mwh) d’électricité nécessite 3 millions de litres de fuel-oil alors que la même quantité de gasoil ne produit que 10 000 Mwh d’électricité. Dans le même registre, la construction de la nouvelle centrale thermique au fuel lourd d’une puissance de 25 Mw à Ambohimanambola, dite Ambohimanambola-II, en est actuellement à 60% de sa réalisation, indique-t-on auprès de la Jirama.

Noro Niaina dans Newsmada
Le taux d’accès à l’eau potable est de l’ordre de 40% à Madagascar. La répartition n’est pas équitable, car ce taux varie de 45%, en zone urbaine, à 38%, en zone rurale. De plus, certaines régions comme Anosy et Androy souffrent plus que d’autres de cette lacune mais les nouveaux travaux de forage et d’adduction d’eau par pompe à motricité humaine mis en œuvre depuis cette année apporteront une nette amélioration à cette situation. Quant à l’assainissement et à l’hygiène, près de 10.000 villages ont été déclarés exempts de défécation à l’air libre. Les campagnes de sensibilisation sur l’hygiène et notamment sur le lavage des mains avec du savon ont été multipliées.

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