Mikama - October 31, 2016

R.Edmond dans Midi Madagasikara
..  Jovenna a déployé les grands moyens en transportant par avion, depuis l’Ile de la Réunion,  deux turbines et des alternateurs d’un poids total de 340 tonnes. Un projet privé qui va, en tout cas, permettre une amélioration importante de la fourniture en électricité  d’Antananarivo. Un projet qui se chiffre, précisons-le à 40 millions d’euros.

Lova Rabary-Rakotondravony dans L'Express de Madagascar
Le prix de revient du kWh d’électricité distribuée par la Jirama peut atteindre 2 946 ariary dans certaines centrales. Le prix de vente auprès des abonnés varie pourtant entre 141 ariary et 893 ariary. (..) À l’origine de ce coût exorbitant du kWh de l’élec­tricité obtenue à partir du gasoil se trouve, entre au­tres, le coût particulièrement élevé avec lequel la Jirama achète les carburants faisant fonctionner les centrales louées. Bien que ceux-ci soient achetés en grande quantité et sur appel d’offres, leur prix d’achat est « plus élevé que les prix à la pompe des stations services »

Berado dans La Gazette de la Grande Ile
Soamahamanina. Effectivement, le site d’exploitation s’étendrait jusqu’à 250 km2, couvrant pas moins de 10 collines. Un large espace qui servait de pacage pour le bétail mais qui se révèle être une zone de piège mortels pour les zébus suite aux excavations effectuées pour les besoins de l’exploitation. Mais cela semble moins grave quand on observe la pollution de l’eau de la rivière arrosant la zone en raison non seulement des rejets des résidus d’exploitation de la carrière...

Mikama - October 28, 2016

M.R. dans L'Express de Madagascar
Record. Madagascar est classé parmi les 13 premiers pays à avoir un taux de prévalence de la grossesse précoce le plus élevé au monde, dans le classement World Atlas en 2015. «163 sur 1 000 grossesses concernent les adolescentes de 15 à 19 ans», selon l’enquête du suivi de l’Objectif du millénaire pour le développement (OMD) en 2012-2013. Cette situation est notamment engendrée par la faible utilisation des méthodes contraceptives chez les jeunes. En effet, seuls 7,5% des moins de 19 ans ont recours à ces méthodes...

CHAN-MOUIE  Jean Anastase dans Midi Madagasikara
Certes, le potentiel halieutique est élevé pour la Grande-île, si l’on considère que la production thonière est de  52 000 tonnes pour Madagascar, sur un total de 480 000 tonnes par an pour la zone ouest de l’Océan Indien. En outre, le pays produit 7000t de crabes, dont  4500t sont exploitées. Il y a également les concombres de mer  et l’algoculture dont la production est de plus en plus maîtrisée par les pêcheurs. D’après les propos soutenus par le DG de COPEFRITO,  Madagascar  comptait 24,2 millions d’habitants en 2015, selon l’estimation de la Banque Mondiale, avec un taux de croissance démographique de 3% et  un doublement de la population, tous les 20 ans.


Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
-5% entre novembre 2015 et mai 2016. C’est le recul de la croissance du crédit réel au secteur privé à Madagascar, selon la nouvelle publication du FMI intitulée « Perspectives économiques régionales. Afrique subsaharienne. Une croissance à plusieurs vitesses ». (..) C’est ainsi que le budget pour les infrastructures inscrit dans le Programme d’investissement public (PIP) est révisé à la baisse en passant de 36% dans la loi de finances initiale à 27,4% dans la rectificative.

Dans Africa Newsroom
Dans le sud de Madagascar, les effets de la grave sécheresse provoquée par le phénomène El Niño sur la production agricole, où près de 850 000 personnes sont en situation de grave insécurité alimentaire, vont vraisemblablement se poursuivre jusqu'en 2017. Cette année, l'absence de pluies abondantes dans la région d'Androy, dans le sud du pays, a fait chuter la production de maïs de 80 pour cent par rapport aux niveaux enregistrés en 2015, qui affichaient déjà une régression. (..) Selon certaines estimations, environ 1,4 million de personnes sont en situation d'insécurité alimentaire dans les trois régions du sud de Madagascar - Androy, Anosy et Atsimo-Andrefana - en 2016/17.

Dans Reliefweb
When it was launched in 2005, the goal of the President’s Malaria Initiative (PMI) was to reduce malariarelated mortality by 50% across 15 high-burden countries in sub-Saharan Africa through a rapid scale-up of four proven and highly effective malaria prevention and treatment measures: insecticide-treated mosquito nets (ITNs); indoor residual spraying (IRS); accurate diagnosis and prompt treatment with artemisinin-based combination therapies (ACTs); and intermittent preventive treatment of pregnant women (IPTp). Madagascar was selected as a PMI focus country in December 2006, with full implementation starting in 2008.  (..) After a military coup in 2009, PMI was unable to provide direct assistance to the government of Madagascar (GoM), hindering ability to support activities at the health facility level, including support for malaria in pregnancy, case management and monitoring and evaluation activities.

Mikama - October 27, 2016

M.R. dans L'Express de Madagascar
Record. Madagascar est classé parmi les 13 premiers pays à avoir un taux de prévalence de la grossesse précoce le plus élevé au monde, dans le classement World Atlas en 2015. «163 sur 1 000 grossesses concernent les adolescentes de 15 à 19 ans», selon l’enquête du suivi de l’Objectif du millénaire pour le développement (OMD) en 2012-2013. Cette situation est notamment engendrée par la faible utilisation des méthodes contraceptives chez les jeunes. En effet, seuls 7,5% des moins de 19 ans ont recours à ces méthodes...

Antsa R. dans Midi Madagasikara
...cette société d’Etat (Jirama) ne recouvre que 60% de sa facturation, ce qui ne lui procure que 50 milliards d’Ariary par mois, sur une facturation de 83 milliards d’Ariary. « Si le taux de recouvrement passait à 90%, la JIRAMA ferait une recette additionnelle de 25 milliards d’Ariary par mois, soit 300 milliards en un an... les interventions financières de l’Etat pour la JIRAMA, depuis 2012, se chiffrent actuellement à plus de 1500 milliards d’Ariary. Cette somme couvrirait largement la dette du secteur public envers la JIRAMA, que celle-ci estime à 537 milliards d’Ariary.

Navalona R.  dans Midi Madagasikara
Le Japon est prêt à renforcer sa coopération avec Madagascar dans le domaine de la pêche et de l’aquaculture, grâce à la mise en œuvre prochainement de nouveaux projets via son agence qu’est le Fonds de Coopération d’Outre-Mer en pêcherie. A cet effet, un projet d’installation d’un centre de développement de la production d’alevins est prévu sur les Hautes Terres. L’objectif est de produire un million d’alevins par mois dans ces zones, plus précisément  à Itasy et à Ambatondrazaka. (..) La consommation de poisson à Mahajanga s’élève à 27kg/personne/an. C’est pourquoi, nous voulons mettre le même projet à Itasy et à Ambatondrazaka car sur les Hautes Terres, cette consommation n’atteint que 2kg/personne/an.

Randria Maeva dans Madagascar Tribune
Cela se perçoit dans l’évolution du taux de croissance de PIB par habitant qui a baissé dans des périodes précises : la crise de 1972 (-6% à -7%), le socialisme en 1981 ( environ -12%) , la crise de 1991 et 1993 (environ -10%), la crise de 2002 (environ -15%) , la crise de 2009 (environ -7%). (..) L’économie de Madagascar se tourne plus vers le secteur tertiaire, caractérisé par les services avec une contribution de 60% dans le PIB. Le tourisme, le commerce, le transport ainsi que la télécommunication y sont cités. (..) Quant au secteur industriel, il tient aussi une place importante dans la création d’emploi mais le pays est encore sous industrialisé avec une contribution de 10% dans le PIB. (..) L’agriculture apporte une part importante dans la croissance économique, avec une contribution dans le PIB toujours supérieure à 25%.

Mikama - October 26, 2016

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
Tahina Randriarimanana a remporté le premier prix de l’Anzisha Prize. Son start-up Fiombonana a permis à ce jeune orphelin de Faratsiho de devenir le meilleur jeune entrepreneur de l’Afrique. (..) Ce jeune originaire de Fara­tsiho a remporté un financement de 32 500 dollars pour soutenir sa petite entreprise solidaire et à vocation sociale dénommée Fiombonana. (..)  « J’ai débuté dans la commercialisation des fromages laitiers. Ensuite, je suis entré dans la transformation des fruits, du thé et bien d’autres produits alimentaires », a-t-il témoigné ...

Navalona R.  dans Midi Madagasikara
Huile lourde de Tsimiroro : 160 000 barils à écouler sur le marché local. Différentes industries comme l’usine de cimenterie de Holcim, la compagnie Madagascar Oil elle-même et la centrale thermique de la Jirama à Mandroseza, ont déjà testé son utilisation avec des résultats concluants. (..)  Et lui de rajouter que l’huile lourde de Tsimiroro se distingue par de très notables qualités reconnues. A titre d’illustration, ce produit pétrolier a une très faible teneur en soufre, soit moins de 85% par rapport aux spécifications en vigueur, avec une faible quantité de cendres générées. C’est également une source d’énergie moins polluante par rapport aux fuels importés.

Dans Prodhare intelligent Investing
Headline inflation in Madagascar will begin to rise in the months ahead on the back of continued food insecurity and loose monetary policy in the country. We forecast inflation to rise from 6.0% y-o-y in March to 8.2% by year-end and it will average 7.9% and 8.6% over 2016 and 2017 respectively.
https://www.proshareng.com/userfiles/1(3307).jpg

Dominique Mosbergen in Huffington Post
Even in good years, hunger is rife in Madagascar. More than 90 percent of its population lives below the poverty line, and nearly half of the country’s children are chronically malnourished or stunted. But three consecutive years of severe drought, widespread crop failure and water shortages have driven Madagascar to the brink of utter “catastrophe,” United Nations agencies said last week. (..) Last week, the WFP, together with the U.N. Food and Agriculture Organization and UNICEF, said it needs more than $140 million to support efforts to bring food and assistance to starving Malagasy communities. This includes the treatment of malnutrition in over 200,000 pregnant women, nursing mothers and children under the age of 5.

Mikama - October 25, 2016

Hanitra R. dans Midi Madagasikara
Le programme MAHEFA, un programme de santé communautaire mis en œuvre durant 5 ans et financé par l’USAID (Agence américaine pour le développement international) a pris fin.  Désormais, le programme « Community Capacity for Health » (CCH) ou « Mahefa Miaraka » prend le relai. Ce programme de santé communautaire intégrée comptera plus de 6 millions de bénéficiaires. (..)  Il contribuera à améliorer les services de santé dans 5205 « fokontany », 447 communes et 34 districts dans 7 régions, à savoir, Sava, Diana, Sofia, Boeny, Melaky, Menabe et Analanjirofo. Le programme travaillera avec 448 CSB (centre de santé de base) et permettra de former 9800 agents communautaires, ... Pour rappel, le programme Mahefa qui a précédé Mahefa Miaraka, a permis à 3,5 millions de personnes à avoir accès aux soins de santé, à 620.000 enfants d’être traités pour des maladies graves. Par ailleurs, 86.000 latrines ont pu être construites et 6052 agents communautaires...

Randria Maeva dans Madagascar Tribune
D’après ce rapport 2016, 35,4% de la population malgache est considérée comme étant sous-alimentée. Entre 2000 et 2016, ce taux est passé de 44,2 % à 35,4%, ce qui fait que Madagascar se trouve dans le dernier peloton des pays ayant la part la plus élevé de population sous-alimentée dans le monde. (..) Pour refléter la nature multidimensionnelle de la faim, le GHI combine les quatre indicateurs suivants dans un index. Il s’agit de relever la proportion de gens sous-alimentées dont la consommation calorique est insuffisante ; de la proportion d’enfants en dessous de cinq ans qui souffrent de perte de poids reflétant la sous-alimentation aiguë ; la proportion d’enfants en dessous de cinq ans qui souffrent de la sous-alimentation chronique ; et du taux de mortalité d’enfants en dessous de cinq ans.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Le chiffre est tiré du document intitulé « The cost of air pollution in Africa » publié en septembre dernier par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) regroupant les pays développés et émergents. Ainsi, la pollution de l’air par les transports et l’industrie coûte à Madagascar des pertes de 144 millions de dollars par an, contre 5,2 milliards US$ pour les pertes occasionnées par la pollution domestique. Celle-ci trouve ses sources dans l’utilisation du pétrole lampant comme éclairage, du bois de chauffe et du charbon de bois comme combustible. Quant à l’ingestion d’eau polluée, elle coûte au pays 3,3 milliards US$ de pertes, si celles-ci dépassent les 2,6 milliards US$ pour l’accès à des mauvaises infrastructures d’assainissement. Quant à la croissance anémiée des enfants, elle cause des pertes évaluées à plus de 1,8 milliard US$. En tout, ces pertes donnent un cumul dépassant les 13 milliards de dollars par an !

Mikama - October 24, 2016

Navalona R. dans Midi Madagasikara
24 084 tonnes. Telle a été la production de pêche enregistrée par le ministère des Ressources Halieutiques et de la Pêche l’an dernier. Ce qui a permis d’encaisser 375 milliards d’Ariary de recettes d’exportation. (..) Madagascar exporte notamment des conserves de thon ainsi que des crevettes sauvages et des crevettes en aquaculture. Par ailleurs, une société privée se lance actuellement dans la production de caviar à Mantasoa...

José Belalahy dans Midi Madagasikara
Création d’emplois : Seulement 4% des jeunes y arrivent !..  le nombre de jeunes, âgés de 21 ans en moyenne, qui sont sous-employés ou qui font face à des emplois de mauvaise qualité avoisinent les 80%.

Nomena dans La Gazette de la Grande Ile
Il existe plusieurs utilisations du bambou, explique Njaka Rajaonarison, coordinateur national de l’agence intergouvernementale INBAR (International Network for Bamboo an Rattan). Les branches peuvent être transformées en meubles ou en planches, les feuilles peuvent contribuer à l’alimentation, mais le plus remarquable en ce moment est le charbon fabriqué à partir du bambou. (..) Madagascar est riche en la matière, avec 32 espèces endémiques. Ils poussent principalement dans la région Atsinana, Boeny, Vatovavy Fitovinanay et Haute Matsiatra.

Arh. dans NewsMada
Le projet «Jiro Kanto», mis en œuvre dans l’Alaotra-Mangoro, vise à électrifier à partir d’une ressource hydraulique renouvelable une quinzaine de communes rurales. Quelques 180.000 habitants en seront les bénéficiaires. Pour ce faire, deux microcentrales hydroélectriques sont actuellement en cours de construction sur la rivière Lovoka au lieudit Androkabe et sur la rivière Maheriara. (..) A partir de l’énergie électrique fournie par deux microcentrales hydroélectriques de 1.500 KW (Androkabe) et de 700 KW (Maheriara), il sera alors produit une énergie accessible à tous grâce à un réseau de distribution de 35 KV sur 70 km. D’un coût  total de 18 milliards d’ariary (5.3 millions d’euros), le projet est financé à 75% par l’Union européenne et à 25% par le Gouvernement malgache à travers le Bureau d’étude et des travaux de construction (BETC) Nanata.

Mikama - October 21, 2016

Randria Maeva dans Madagascar Tribune
Salon de la Recherche et de l’Emploi. 0,04% du budget national affecté à la Recherche... Les produits de recherches ont été étalé dans les stands, comme la briquette combustible, les briques en polystyrène, les études sur le cancer, les recherches sur la biologie animale et la biologie végétale, les recherches sur l’alimentation comme le Kitoza amélioré, les recherches sur les infrastructures routières, le dictionnaire Français-Malgache Vitasoa, ou encore les recherches sur l’énergie.

Miangaly Ralitera dans L'Express de Madagascar
Madagascar figure parmi les rares pays qui se sont engagés officiellement à la mise en œuvre de l’étude de suivi et de financement du secteur WASH ou l’initiative « TrackFin ». « Cette initiative nous permettra d’améliorer l’accès à l’eau potable... le taux d’accès à l’eau potable est encore faible, ne présentant que 45% de la population.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Retracée dans le plan d’actions prioritaires pour la gestion des Finances Publiques du MFB, l’élaboration des Cadres Macro budgétaires à Moyen Terme (CMBMT), du Cadre Budgétaire à Moyen Terme (CBMT) 2017-2019, du Cadre de Dépenses à Moyen Terme (CDMT) 2017-2019 de six ministères pilotes figure au cœur des réformes entamées afin de fiabiliser la préparation budgétaire. (..) Appuyé par le projet Ny Fanjakana ho an’ny Daholobe (NFD) de l’Union Européenne, sept ministères pilotes bénéficieront directement d’une assistance technique dans ces domaine...

Mikama - October 20, 2016

Antsa R. dans Midi Madagasikara
« Pour l’ensemble de l’Afrique, il faut 7 milliards USD par an, pour solutionner définitivement la malnutrition chronique... La malnutrition coûte au continent 25 milliards USD par an, soit une perte de 11% du produit intérieur brut (PIB)  (..) Pour Madagascar, un programme a été conçu par le Gouvernement avec un financement prévu de 40 millions USD, soit près de 128 milliards d’Ariary par an. D’après le ministre des Finances et du Budget, Gervais Rakotoarimanana, ce programme peut générer un retour sur investissement de 2 milliards USD, soit un gain de 500% du montant investi, pour l’économie nationale.

M.R. dans L'Express de Madagascar
Le manque d’hygiène au niveau des centres de santé a été soulevé pendant la célébration de la journée mondiale des lavages de main. « On y constate un état de délabrement avancé... ce personnel de soin est exposé aux multiples maladies provoquées par l’insalubrité, entres autres, la diarrhée qui tue chaque année 10 400 personnes dont 6 900 sont des enfants de moins de 5 ans.

Fahranarison dans NewsMada
Le budget affecté à la cantine scolaire, 3 milliards d’ariary, ne permet pas de couvrir la totalité des écoles primaires publiques (EPP) à travers le pays. (..)  le taux de couverture reste très faible. Seules 1.200 EPP sur les 15.000 à travers le pays, soit 8%, en bénéficient. Il ne faut pas s’étonner si le taux d’abandon scolaire actuel est de 20%.

Mikama - October 19, 2016

Arh. dans NewsMada
Dans la Haute Matsiatra, le taux d’accès à l’eau et l’assainissement demeure bas (40%), plus bas que la moyenne nationale (50%). Alors que le besoin est assez important. Du coup, cela engendre des conséquences économiques  avec un impact annuel équivalent à 1 % du PIB (WHO/Unicef JMP, 2014).

Sera R. dans NewsMada
Le BNGRC et Care international à Madagascar en collaboration avec la CUA, viennent de mettre à pied d’œuvre dans la capitale le projet « Iarivo », financé par l’USAID, afin de préparer les habitants à faire face aux éventuels cyclones et/ou inondations. Dans le cadre de ce projet, des exercices de simulation (Simex) en cas de cyclones et d’inondations sont organisés à l’intention des membres du Comité communal de gestion de risques et des catastrophes (CCGRC) de la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA). Ils se traduisent par la simulation des comportements clés à adopter en mettant en situation réelle les comités locaux de secours (CLS). A défaut de ces CLS dans la communauté, des riverains sont désignés et formés pour devenir des spécialistes en Réponse des risques et catastrophes (RRC)

D.H.R. dans La Vérité
Depuis 2013, le Fonds mondial pour la nature (Wwf) a initié la création de réserve de poulpes dans la zone côtière du littoral Mahafaly, au sud-ouest de Madagascar. Des réserves temporaires de poulpes ont été créées au sein des comités de gestion dans plusieurs villages comme à Besambay... La femelle du poulpe pond environ 300 000 œufs dans un trou et les couve durant un mois jusqu’à l’éclosion. La durée de vie d’un poulpe « octopus cyanea » est d’environ 18 mois. Son poids est doublé chaque mois. Il peut atteindre 6 400g en seulement sept mois. La pêche aux poulpes est interdite chaque année du 15 décembre au 31 janvier de l’année suivante sur la côte ouest du pays.

FR dans Madagascar Matin
D’après les données officielles émises par le Ministère du Commerce et de la Consommation, cette hausse considérable des exportations de Madagascar vers la région du Comesa est passée de 60 505 000 à 78 123 000 USD en termes de valeur. Cette augmentation est due notamment à l’augmentation de l’exportation de quelques produits tels que Café, thé, mate et épices, Coton, Sucres et sucreries, … Les importations en provenance du marché commun ont enregistré une hausse considérable de 35,92% entre la période de 2013 à 2015 à cause de l’augmentation de l’importation des certains produits tels que Étoffes de bonneterie, préparations à base de céréales, farines, amidons, fécules, réacteurs nucléaires, chaudières, machines, appareils et engins mécaniques, Matières plastiques et ouvrages en ces matières, … cela se traduit par une valeur des importations passée de 162 772 000 à 221 237 000 USD.

Mikama - October 18, 2016

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Arriérés-FER-TVA : « L’Etat doit 527 milliards Ar à la Jirama » selon Haja Maminirina, le président national du SAT/Jirama... « les arriérés de paiement sur la consommation cumulée en eau et en électricité de l’Administration depuis des années, qui ont été facturés jusqu’en août 2016, se chiffrent à 180 milliards Ar. En outre, la Jirama a toujours payé le FER au titre de Redevance sur l’entretien routier alors que les compagnies de distribution pétrolières transportent directement les carburants vers les centrales de production d’électricité. Et ces compagnies paient en même temps le FER. C’est anormal car il y a deux fois de paiements du FER versés au Trésor Publics. Le ministère des Finances est en connaissance de cause. Entre 2015 et 2016, la Jirama a déjà payé 58 milliards Ar alors qu’elle n’aurait pas dû », a-t-il rajouté. Et ce n’est pas tout ! « Les crédits de TVA cumulés à rembourser par l’Etat depuis des années jusqu’au fin août 2016, s’élèvent à 289 milliards Ar », a-t-il enchaîné. Ce qui ramène à cette somme colossale de 527 milliards Ar.

Riana R. dans NewsMada
Le sixième rapport national sur le développement humain (RNDH) à Madagascar  a été officiellement présenté lors d’une cérémonie, organisée hier à l’hôtel Carlton. Avec un score de 0,510, le niveau d’Indice de développement humain (IDH) de Madagascar reste parmi les plus faibles dans le monde. La Grande île est classée 154e sur 188 pays suivant son IDH. (..) Par ailleurs, l’espace budgétaire malgache dépend généralement de plus de 2/3 du volume des finances publiques du financement extérieur (aide publique au développement) et des Investissements directs étrangers (IDE). Les retards enregistrés dans la mobilisation des financements extérieurs et la faiblesse des investissements privés n’ont  pas permis d’atteindre l’objectif de taux de croissance, prévu par l’Etat en 2015. Celui-ci était de 3,2% au lieu des 5% initialement prévus.

L.R. dans L'Express de Madagascar
L’industrie malgache souffre. Concurrence déloyale, importation sauvage, accès difficile au financement, manque de mesures incitatives, voilà les maux qui mettent à genoux le secteur industriel malgache en ce moment. (..) Pendant les six dernières années, la part des investissements privés dans le Produit Intérieur Brut (PIB) a été divisée par cinq par rapport à la situation d’avant la crise de 2009.

Mikama - October 17, 2016

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Madagascar est le 4e pays qui souffre le plus de la malnutrition chronique. Ce fléau favorise la paupérisation, en réduisant de moitié la performance de notre capital humain. 47% des enfants malgaches souffrent de la malnutrition chronique, d’après les données de l’ONN (Office national de nutrition). (..) Jusqu’ici, la BAD a déjà fait en deux temps, des dons d’une valeur totale de 2 millions USD.

Miangaly Ralitera dans Midi Madagasikara
Des techniciens interministériels sont en pleine récapitulation des propositions sorties des consultations régionales et nationales, depuis vendredi. La reforme repose sur cinq thèmes. « Le développement du préscolaire, le profil de sortie, la politique enseignante, la gestion et la bonne gouvernance, l’adéquation formation-emploi »... Le prolongement de l’éducation fondamentale en 9 ans, ainsi que la suspension de tous certificats avant ces 9 ans, ont été approuvés par la majorité des participants à ces consultations.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Le pays dispose déjà du code des marchés publics voté en 2004 et devrait s’y conformer. Autrement dit, les autorités et responsables concernés à tous les niveaux devront se défaire de la corruption. Une étude de la Banque mondiale sous Ravalomanana a précisé que le respect du code des marchés publics devrait faire économiser au pays 25% des financements consacrés à ces marchés. C’est énorme. Et cette proportion révèle la mauvaise gestion des passations de marchés publics, souvent dominée par la corruption, le copinage et le népotisme. Sur la Grande Ile, le cadre juridique devant régir les 3P a été évoqué depuis 2008. Il a donc fallu attendre 7 ans pour qu’il se matérialise sous forme de la loi citée plus haut. Quant aux décrets d’application, ils seront au nombre de 3 et porteront sur l’ancrage institutionnel, les procédures à respecter et sur le dialogue compétitif.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
78,4%. Ce sera la hausse des financements externes pour le Programme d’investissement public (PIP) selon la prévision inscrite dans le projet de loi de finances 2017. Ainsi, le financement d’origine externe du PIP passera de 1 189 à 2 121 milliards Ar. (..). Il faut aussi souligner que les dépenses d’investissement public représentent environ 40% du budget de l’Etat, contre 60% pour le fonctionnement. Selon un ancien responsable du Trésor public et maintenant expert auprès du FMI, ce déséquilibre ne permet pas au secteur public de financer suffisamment la croissance. Or, le secteur privé est handicapé par un climat des affaires plus que morose pour fournir des efforts supplémentaires.

Mikama - October 14, 2016

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
Madagascar compte plus de deux cents blocs pétroliers. Dix huit d’entre eux sont déjà exploités par des sociétés pétrolières. Les trois bassins les plus importants se trouvent à Ambilobe, Mahajanga et Morondava, dans la partie occidentale de l’île. Les deux autres bassins plus petits, sont à la fois offshore : le bassin Cap Sainte Marie dans le Sud, et le
bassin de la côte Est. Des Américains, Britanniques et Chinois ont montré leur intérêt dans l’exploration et exploitation de l’or noir dans la Grande île. Le projet le plus connu est celui de Madagascar Oil, avec les gisements de Tsimiroro et Bemolanga.

Randria Maeva dans Madagascar Tribune
Concernant les recherches uranifères, elles ont commencé en 1940. Madagascar dispose de 3 zones de gisement en uranium dont Antsirabe, Fort Dauphin, Folakara et Makay. (..) Actuellement les compagnies pétrolières internationales qui ont conclu un contrat sur l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures dans 17 blocs pétroliers à Madagascar sont au nombre de 13. Selon les données de l’OMNIS, il existe 229 blocs pétroliers libres qui feront prochainement l’objet d’un appel d’offre. 30 compagnies minières sont impliquées dans l’exploitation des ressources minières.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Les produits importés comme les médicaments, les produits pétroliers, les intrants pour l’industrie et l’artisanat, les fournitures et consommables en tous genres, sans oublier les produits alimentaires, vont toujours connaître des prix élevés en 2017. En effet, le taux de change moyen prévu pour l’année prochaine est de 1 dollar pour 3 607,9 Ar, selon les prévisions pour le projet de loi de finances 2017... Cette année, la parité moyenne est de 1 dollar pour 3 199,2 Ar. (..) L’année prochaine en effet, l’inflation est prévue se situer à 7,1% comme pour cette année.

Mikama - October 13, 2016

Riana R. dans NewsMada
Ce secteur contribue actuellement 15% du Produit intérieur brut (PIB) national de Madagascar et soutient  la création d’emploi auprès de 16% de la population active malgache. Au niveau de la fiscalité, les entreprises membres du Sim contribuent à hauteur de 25% des recettes fiscale des industries à Madagascar. Entre un contexte économique difficile et une concurrence internationale de plus en plus dure, les industriels restent optimistes quant à l’essor du secteur dans le pays et estiment que ce secteur contribuera à hauteur de 25% du PIB national en 2025.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Les arriérés fiscaux, selon la Direction générale des impôts (DGI), atteignent les 440 milliards d’Ariary, dont 250 milliards concernent des dettes fiscales des entreprises publiques. D’après le DG des impôts, Garisse Iouri Razafindrakoto, seulement 30% de ces arriérés sont recouvrables

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
D’ailleurs, les responsables de la société tablent sur une production à grande échelle avant 2020. « Nous avons fixé comme objectif de produire 1.7 millions de poussins ponte par an et dix millions de poussins chair avant 2020. Si actuellement, nous détenons 40% de part de marché, notre ambi­tion est d’arriver à 60% avant 2020 », avait annoncé, avant son départ à la tête de cette société, Olivier Franchette. (..) D’autant plus que la société avait déjà produit depuis 2011 des poussins chair. Elle est capable de fournir 120 000 têtes par semaine. À Madagascar, l’élevage de cycle court a pris son élan ces dernières années. Cette filière concerne 71,7 % de la population malgache.

Raitra dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar
610 200 000 ariary, c’est le coût mensuel des combustibles utilisés pour que fonctionnent les centrales thermiques d’Antsiranana ou toute la province ou Madagascar (?). (..) ENELEC (ENergie ELEctrique) fournit à la JIRAMA 11MW sur les 12 MW dont la ville a besoin. (..) Le coût d’exploitation est par ailleurs très important, allantjusqu’à 500 000 litres de fuel et 50 000 litres de gasoil par mois. (..)  « Seulement 15 % des Malagasy bénéficient des services apportés par la JIRAMA, or cet établissement coûte 400 milliards ariary de subvention de l’Etat chaque année... »

Mikama - October 12, 2016

Dans La Gazette de la Grande Ile
Le taux de croissance de PIB est estimé à 4.5% et le taux d’inflation sera maîtrisé à 7.1% suivant la politique monétaire et budgétaire appliquées. Pour les recettes, l’administration prévoit un taux de pression fiscale à 11%. Pour les dépenses publiques, elles sont estimées à 18.3% du PIB. Les dépenses seront orientées suivant les objectifs prévus par le Plan National de Développement (PND). En effet, les actions menées seront concentrées sur le secteur social et les infrastructures. Le renforcement de l’investissement public axé sur le développement des infrastructures essentielles, est également préconisé.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Dans la Région Androy, on constate actuellement que 83% des Communes sont dans une situation de vulnérabilité élevée contre 72% au cours de la précédente période d'observation. Les Communes les plus vulnérables à surveiller de près sont: Ampamata et Imanombo (Ambovombe), Besakoa, Ankaranabo Nord, Antsakoamaro, Bekitro, Belindo, Bevitiky, Beteza, Anivorano Mitsinjo ainsi que Tsikolaky (Bekily). Les principaux signes révélateurs de vulnérabilité au niveau de ces Communes sont, d’après toujours la même source,  l'inexistence des stocks au niveau des ménages combinée à la diminution de l'accès aux aliments en vente sur le marché.

Arnaud R. dans Midi Madagasikara
A l’heure actuelle, 31.7% des jeunes filles ont déjà un enfant ou sont enceintes d’un premier enfant, d’après les informations recueillies auprès du ministère de la Jeunesse et des Sports (MJS). Et la précocité de l’âge d’entrée à la vie sexuelle et reproductive des jeunes est non moins persistante. Ainsi, 17% des filles âgées de 15 à 24 ans ont eu leur premier rapport à moins de 15 ans et 9% chez leurs pairs de sexe opposé.

Mikama - October 11, 2016

Miangaly Ralitera dans L'Express de Madagascar
La réforme de l’éducation fondamentale est envisagée. Elle sera obligatoire et sera divisée en trois cycles. Remplacer la structure cinq années du primaire et quatre années du collège en trois cycles, c’est-à-dire, trois cycles de trois ans pour l’éducation fondamentale. C’est l’une des propositions sorties lors de la consultation régionale pour la mise en œuvre du plan sectoriel de l’éducation (PSE), les 4, 5 et 6 octobre, dans les vingt deux régions de Madagascar. Ce serait un moyen pour maximiser le profil de sortie de l’élève. «Les participants se sont mis d’accord à ce que l’éducation fondamentale se fasse en 9 ans, au lieu de 5 ans, et qu’elle soit obligatoire.

Dans Midi Madagasikara
Outre l’exploitation et le procédé de raffinage de nickel et de cobalt,  ainsi que l’ensemble des étapes pour aboutir aux briquettes de nickel pur à 99.8%, ce sont surtout les retombées économiques  de l’exploitation de nickel et de cobalt à Madagascar qui ont intéressé  le  public. Et les sujets les plus discutés, sont notamment les questions  sur  le fameux 1% ou l’absence d’impacts économiques. Les agents du département de Communication d’Ambatovy ont clarifié ces sujets, notamment en rappelant que le taux de  1% (sur les chiffres d’affaires) constitue la redevance minière et qu’une quarantaine de taxes, redevances et impôts existe aussi dont les impôts sur les bénéfices à hauteur de 10 à 25% en fonction du raffinage à Madagascar du métal ou de l’exportation directe du minerai brut. Les explications sont allées jusqu’à proposer quelques comparaisons de redevances sur les chiffres d’affaires dans des pays dans la même situation de compétitivité que Madagascar. Quant à l’absence présumée d’impacts économiques, les guides ont expliqué aux visiteurs que grâce au raffinage du nickel à Madagascar, le nickel est devenu le premier produit d’exportation rapportant le plus de devises étrangères, loin devant les produits traditionnels, parce que à elle seule, Ambatovy fait rentrer 32% de l’ensemble des recettes de devises en 2015.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
A Madagascar, 190 000 entreprises sont recensées dans le NIFONLINE. Parmi lesquelles, 80% sont des PME/PMI. Le montant de leurs investissements varie entre 1 million et 100 millions d’Ariary avec une moyenne de 10 millions d’Ariary. Par ailleurs, le secteur informel fournit de l’emploi à quelque 3 millions de personnes et représente 26 à 29% du PIB du pays. (..) . A ce jour, les investisseurs sont classés en deux catégories. Ceux qui priorisent les impacts sociaux aux bénéfices et acceptent de ce fait un impact financier extrêmement faible et ceux qui vont être très proches du rendement du marché, mais qui assument d’arbitrer le rendement financier et le rendement social. Guanomad est l’exemple parfait de l’investissement financier ayant des impacts sociaux. Grâce à son développement,  l’entreprise investit dans des activités de Responsabilité Sociétale de l’Entreprise à travers son Association « Ho Maitso ny Tontolo ». Elle envisage de développer la filière bio en accompagnant les paysans jusqu’à la production finale des produits.

FR dans Madagascar Matin
Parmi les 250 filières végétales d’Yves Rocher à travers la planète, Madagascar est une pépite. Dotée d’une fantastique biodiversité (85?% des espèces animales et végétales n’existent nulle part ailleurs), la Grande île regorge de plantes magiques. On compte 14?000 espèces, dont 6?500 ont un usage médicinal. Il faut avoir l’œil pour ramasser un trésor. Près du village de Morarano, à l’est de l’île, des hommes sont penchés sur les rizières, tandis que les femmes cueillent des fleurs discrètes et délicates, aux faux airs de minuscules nénuphars, qui somnolent au milieu des herbes folles. Il s’agit de Centella asiatica. Bouillie et infusée, cette plante est utilisée depuis le XIXe siècle pour soulager des méfaits de la lèpre. Elle abonde en asiaticoside et en madécassoside, des molécules aux pouvoirs raffermissant. «?Nous en avons fait l’ingrédient star de notre gamme minceur?», dit Xavier Ormancey