La réforme de l’éducation fondamentale est envisagée. Elle sera obligatoire et sera divisée en trois cycles. Remplacer la structure cinq années du primaire et quatre années du collège en trois cycles, c’est-à-dire, trois cycles de trois ans pour l’éducation fondamentale. C’est l’une des propositions sorties lors de la consultation régionale pour la mise en œuvre du plan sectoriel de l’éducation (PSE), les 4, 5 et 6 octobre, dans les vingt deux régions de Madagascar. Ce serait un moyen pour maximiser le profil de sortie de l’élève. «Les participants se sont mis d’accord à ce que l’éducation fondamentale se fasse en 9 ans, au lieu de 5 ans, et qu’elle soit obligatoire.
Dans Midi Madagasikara
Outre l’exploitation et le procédé de raffinage de nickel et de cobalt, ainsi que l’ensemble des étapes pour aboutir aux briquettes de nickel pur à 99.8%, ce sont surtout les retombées économiques de l’exploitation de nickel et de cobalt à Madagascar qui ont intéressé le public. Et les sujets les plus discutés, sont notamment les questions sur le fameux 1% ou l’absence d’impacts économiques. Les agents du département de Communication d’Ambatovy ont clarifié ces sujets, notamment en rappelant que le taux de 1% (sur les chiffres d’affaires) constitue la redevance minière et qu’une quarantaine de taxes, redevances et impôts existe aussi dont les impôts sur les bénéfices à hauteur de 10 à 25% en fonction du raffinage à Madagascar du métal ou de l’exportation directe du minerai brut. Les explications sont allées jusqu’à proposer quelques comparaisons de redevances sur les chiffres d’affaires dans des pays dans la même situation de compétitivité que Madagascar. Quant à l’absence présumée d’impacts économiques, les guides ont expliqué aux visiteurs que grâce au raffinage du nickel à Madagascar, le nickel est devenu le premier produit d’exportation rapportant le plus de devises étrangères, loin devant les produits traditionnels, parce que à elle seule, Ambatovy fait rentrer 32% de l’ensemble des recettes de devises en 2015.
Navalona R. dans Midi Madagasikara
A Madagascar, 190 000 entreprises sont recensées dans le NIFONLINE. Parmi lesquelles, 80% sont des PME/PMI. Le montant de leurs investissements varie entre 1 million et 100 millions d’Ariary avec une moyenne de 10 millions d’Ariary. Par ailleurs, le secteur informel fournit de l’emploi à quelque 3 millions de personnes et représente 26 à 29% du PIB du pays. (..) . A ce jour, les investisseurs sont classés en deux catégories. Ceux qui priorisent les impacts sociaux aux bénéfices et acceptent de ce fait un impact financier extrêmement faible et ceux qui vont être très proches du rendement du marché, mais qui assument d’arbitrer le rendement financier et le rendement social. Guanomad est l’exemple parfait de l’investissement financier ayant des impacts sociaux. Grâce à son développement, l’entreprise investit dans des activités de Responsabilité Sociétale de l’Entreprise à travers son Association « Ho Maitso ny Tontolo ». Elle envisage de développer la filière bio en accompagnant les paysans jusqu’à la production finale des produits.
FR dans Madagascar Matin
Parmi les 250 filières végétales d’Yves Rocher à travers la planète, Madagascar est une pépite. Dotée d’une fantastique biodiversité (85?% des espèces animales et végétales n’existent nulle part ailleurs), la Grande île regorge de plantes magiques. On compte 14?000 espèces, dont 6?500 ont un usage médicinal. Il faut avoir l’œil pour ramasser un trésor. Près du village de Morarano, à l’est de l’île, des hommes sont penchés sur les rizières, tandis que les femmes cueillent des fleurs discrètes et délicates, aux faux airs de minuscules nénuphars, qui somnolent au milieu des herbes folles. Il s’agit de Centella asiatica. Bouillie et infusée, cette plante est utilisée depuis le XIXe siècle pour soulager des méfaits de la lèpre. Elle abonde en asiaticoside et en madécassoside, des molécules aux pouvoirs raffermissant. «?Nous en avons fait l’ingrédient star de notre gamme minceur?», dit Xavier Ormancey
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