Navalona R. dans Midi Madagasikara
Arriérés-FER-TVA : « L’Etat doit 527 milliards Ar à la Jirama » selon Haja Maminirina, le président national du SAT/Jirama... « les arriérés de paiement sur la consommation cumulée en eau et en électricité de l’Administration depuis des années, qui ont été facturés jusqu’en août 2016, se chiffrent à 180 milliards Ar. En outre, la Jirama a toujours payé le FER au titre de Redevance sur l’entretien routier alors que les compagnies de distribution pétrolières transportent directement les carburants vers les centrales de production d’électricité. Et ces compagnies paient en même temps le FER. C’est anormal car il y a deux fois de paiements du FER versés au Trésor Publics. Le ministère des Finances est en connaissance de cause. Entre 2015 et 2016, la Jirama a déjà payé 58 milliards Ar alors qu’elle n’aurait pas dû », a-t-il rajouté. Et ce n’est pas tout ! « Les crédits de TVA cumulés à rembourser par l’Etat depuis des années jusqu’au fin août 2016, s’élèvent à 289 milliards Ar », a-t-il enchaîné. Ce qui ramène à cette somme colossale de 527 milliards Ar.
Riana R. dans NewsMada
Le sixième rapport national sur le développement humain (RNDH) à Madagascar a été officiellement présenté lors d’une cérémonie, organisée hier à l’hôtel Carlton. Avec un score de 0,510, le niveau d’Indice de développement humain (IDH) de Madagascar reste parmi les plus faibles dans le monde. La Grande île est classée 154e sur 188 pays suivant son IDH. (..) Par ailleurs, l’espace budgétaire malgache dépend généralement de plus de 2/3 du volume des finances publiques du financement extérieur (aide publique au développement) et des Investissements directs étrangers (IDE). Les retards enregistrés dans la mobilisation des financements extérieurs et la faiblesse des investissements privés n’ont pas permis d’atteindre l’objectif de taux de croissance, prévu par l’Etat en 2015. Celui-ci était de 3,2% au lieu des 5% initialement prévus.
L.R. dans L'Express de Madagascar
L’industrie malgache souffre. Concurrence déloyale, importation sauvage, accès difficile au financement, manque de mesures incitatives, voilà les maux qui mettent à genoux le secteur industriel malgache en ce moment. (..) Pendant les six dernières années, la part des investissements privés dans le Produit Intérieur Brut (PIB) a été divisée par cinq par rapport à la situation d’avant la crise de 2009.
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