Happy Holidays

Mirary Fety Sambatra sy Taom-baovao mahafinaritra. Hiala sasatra kely fa r@ volana Janoary indray. Fa tsiditsidiho ihany ny sehatra, na izahavo resaka atsy @ Search. Dia vangio koa ny Forum, ary raha misy resaka na famitinan-dresaka tianao ampitaina dia aza misalasala manoratra @ mikama@googlegroups.com.

Joyeuses Fêtes et Heureuse Année 2016. Je reviendrais en janvier. Dans cet attente, je vous invite a (continuer) faire des recherches d'articles de journaux ou encore à visiter le forum pour des compilations d'articles. Surtout n'hesitez pas a participer au forum en écrivant à mikama@googlegroups.com.

Mikama - Dec 17, 2015

Arh. dans Newsmada
Les statistiques de la direction générale des Douanes montrent que durant les deux premiers trimestres de cette année, Madagascar a importé plus de 52.500 tonnes de riz contre 120.700 tonnes à la même période en 2014. Le pays a importé 148.700 pour l’ensemble de l’année 2014. Le ministre du Commerce et de la consommation a affirmé au mois de novembre que «Les opérateurs en riz ont convenu d’importer 20.000 tonnes par mois pour maintenir l’équilibre dans l’approvisionnement jusqu’à la fin de la saison des pluies».

Dans RFI
« Beaucoup de filles ne vont pas à l’école. Leurs parents n’ont pas les moyens et elles sont sous influence d’autres filles. Elles veulent être bien habillées, avoir de l’argent facile, et elles tombent dans la prostitution » (...)  A Madagascar, 48% des filles âgées de 20 à 24 ans ont été mariées avant l'âge de 18 ans. Autre problème évoqué par les 88 adolescentes au sommet : la domination des filles par leur famille et leur conjoint mais aussi la contraception. (..) Selon une étude nationale menée en 2009, plus d'une adolescente sur trois est mère ou a déjà été enceinte.

Mikama - Dec 16, 2015

Arh. dans NewsMada
Madagascar a adopté une Nouvelle politique de l’énergie, visant à donner accès à l’électricité à 70% de la population d’ici 2030, en recourant aux énergies renouvelables. (..) seulement 15% des ménages malgaches sont raccordés aux réseaux de la Jirama. Encore qu’il existe une répartition inégale en défaveur des zones rurales avec moins de 5% de taux d’électrification. (..)  Madagascar produit 80% de son électricité grâce aux hydrocarbures. Pourtant, le potentiel hydraulique du pays est estimé à 7.800 Mw, mais seulement 2% sont exploités. Presque toutes les régions du pays ont plus de 2.800 heures d’ensoleillement annuel soit l’équivalent de 1.500 à 2.100 kwh/m2/an. Par ailleurs, les ressources en énergie éolienne sont considérables, dont le potentiel est de l’ordre de 2.000 Mw.

Sera R dans NewsMada
Dans le centre ville, les infrastructures sont toutes vétustes dont le vrai entretien, digne de ce nom, remonte du temps de la première république», poursuit-il. A titre d’exemple, l’absence de réseaux d’égout et de canalisation pour l’évacuation des eaux, conduisant à la décrépitude des infrastructures routières de la ville. (..) Parmi les problèmes auxquels fait face actuellement la ville de Mahajanga, figure le chômage, notamment pour les jeunes. D’après le maire, cette situation est due en partie par le coût de l’énergie fournie par la Jirama. «Nous sommes parmi les villes où le coût de l’énergie est le plus cher à Madagascar. Cela s’explique par l’utilisation d’une centrale thermique, freinant ainsi des projets d’investissement... Avec son trafic moyen de 460 000 tonnes et un scanner à conteneurs, le port de Mahajanga est le deuxième port de Madagascar. (..) Toutefois, le trafic des boutres et des cargos y tient encore sa place. Des boutres qui transportent en particulier des PPN vers les régions dont le trafic terrestre est plus ou moins impraticable, surtout en saison de pluie.

Dans NewsMada
De 96 000 dollars en 2010, cette exportation a progressé pour donner la valeur de 500 000 dollars en 2014, selon les statistiques du Centre de commerce international (ITC), consulté sur son site hier. En plus, «<em>Pour cette saison 2015-2016, Madagascar mise sur plus de 20 000 tonnes d’exportation de litchi</em>», a annoncé le président du Groupement des exportateurs de litchi (GEL), Thierry Samtio, rapporté par l’agence presse Xinhua.

Dans Madagascar Matin
Depuis le début de cette troisième campagne de lutte antiacridienne du Programme triennal, le 26 août 2015, et jusqu’au 10 décembre 2015, des populations acridiennes groupées ont été maîtrisées sur une superficie totale de 26 256 ha (dont 91,3 % par voie aérienne), soit : 14 995 ha par des traitements en barrières (contre des groupes larvaires) et 11 261 ha par des traitements en couverture totale (contre des populations groupées de larves âgées et d’ailés).

Dans L'Express de Madagascar
Le Plan National de Développement vise à atteindre les 35 000 ha de superficies reboisées et/ou restaurées d’ici 2019.

Mikama - Dec 15, 2015

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Selon l’enquête auprès de 532 opérateurs économiques et patrons d’entreprise effectuée d’octobre 2013 à mai 2014 par la Banque mondiale, 43% des entreprises ont dû payer des « cadeaux » à des agents publics « pour faire avancer les choses ». (..) En effet, près de 45% des entreprises sont obligées de donner des « cadeaux » pour sécuriser leurs contrats. Or auparavant, il fallait déjà payer sous forme de pots-de-vin 1,6% de la valeur du contrat pour obtenir celui-ci. Ce qui signifie qu’avant et pendant le contrat, l’entreprise doit veiller à effectuer des paiements informels et elle accepte donc de corrompre. Pour ce qui est de l’obtention d’une licence d’exploitation, 45,7% des entreprises avouent avoir payé des « cadeaux ». Un fait doit aussi attirer l’attention : 37,6% des entreprises ont dû payer des pots-de-vin pour disposer d’une licence d’importation.

Dans Lakroa
Lors des élections communales 7 électeurs sur 10 ont boycotté les urnes. -

Dans Lakroa
En 2005, l’Etat a confié l’administration des terres australes aux TAAF, créées en 1955 pour l’administration des terres antarctiques et subantarctiques. En 2007, les îles Eparses ont été intégrées à la collectivité d’outre-mer des TAAF. Pour en assurer l’administration, les TAAF ont dû se redéployer à moyens constants. Ces îles, auparavant sous la tutelle directe du ministre chargé de l’outre-mer, sont désormais intégrées à un territoire de la République, faisant de la zone économique exclusive entourant les TAAF la deuxième zone maritime française1(*) d’une surface de 2,4 millions de kilomètres carrés.

Mikama - Dec 14, 201

Dans La Gazette de la Grande Ile
19,2 ans. C’est la moyenne d’âge à Madagascar et le pays figure parmi les 15 pays africains dont la démographie est largement dominée par les jeunes. Mais face à cette réalité qui ne peut que sauter aux yeux, l’Etat n’accorde qu’une part plus que ridicule à cette catégorie d’âge, soit 0,3% du budget public prévu en 2016. Cette incohérence budgétaire, comme celle observée dans l’agriculture, la santé et l’éducation, ne peut que faire tiquer. (..)  Car plus de 3/4 des jeunes sont pauvres, alors que moins de 5% ont leur propre entreprise suivant les dernières données du Bureau international du travail (BIT).

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Réveiller le potentiel de 120 pays « riches en soleil » situés entre les tropiques du Cancer et du Capricorne. C’est le projet du premier ministre indien Narendra Modi qu’il a présenté à la conférence internationale sur le changement climatique (COP21) à Paris, une rencontre d’envergure qui fermera ses portes ce jour. Madagascar est parmi les pays situés dans la région citée plus haut et il faut signaler que le projet indien en partenariat avec l’Alliance solaire internationale, a pour objectif de lutter contre la pauvreté. Plus concrètement, il visera à donner accès à l’électricité à ceux qui en sont toujours privés. Ces derniers représentent 85% des Malagasy mais si l’on fait une distinction entre les villes et les campagnes, les paysans sont plus affectés : ils sont près de 96% à ne pas disposer de l’électricité chez eux. (..)  A titre de rappel, les données officielles font état d’un important potentiel en énergie solaire de l’ordre de 2 000 kWh/m2/an. De plus, la quasi-totalité des régions du pays bénéficient de plus de 2 800 heures d’ensoleillement par an.

Arh. dans NewsMada
Les produits textiles occupent toujours la première place parmi les produits d’exportation de Madagascar devant les épices, les produits minier et pétroliers ainsi que les produits de pêche et de mer. En 2014, la valeur Fob de ce type de produits était estimée à plus de 1.200 milliards d’ariary contre plus de 900 l’année d’avant, selon les statistiques de l’Institut national de la statistique (Instat) et de la Chambre de commerce et d’industrie d’Antananarivo (CCIA). Jusqu’au mois de septembre de cette année, cette valeur tournait déjà autour de 950 milliards d’ariary. (..) Tous produits confondus, Madagascar a enregistré plus de 5.000 milliards d’ariary de recettes l’année dernière. Une nette progression en tout cas comparée aux performances de 2011 (plus de 2.600 milliards d’ariary)...

Dans La Gazette de la Grande Ile
Et pour réduire efficacement la pauvreté, il faut passer par l’égalité homme-femme dans tous les domaines. Il faut aussi combiner le plan de relance économique avec la promotion de la relance scientifique. Ce n’est pas pour rien que la Chine investit massivement dans la recherche et développement (R&D). Elle talonne l’Union européenne. Son investissement en R&D a été de 1,98% de son PIB en 2012 (soit 256 milliards de dollars), contre 2,07% pour l’Europe (282 milliards de dollars), 2,79% pour les Etats-Unis (397 milliards de dollars) et 3,35% pour le Japon (133 milliards de dollars). Et d’ici 2019, la Chine, déjà 2ème économie mondiale, sera au 1er rang mondial en investissement en R&D. A Madagascar, il est encore très difficile de comptabiliser la part de la recherche dans l’économie tellement elle est très, très modeste.

Mikama - Dec 11, 2015

Navalona R. dans Midi Madagasikara
...  plus de 50% du revenu national dépendent du capital naturel. Il s’agit entre autres, des terres agricoles, des ressources en eau, des forêts et des mines ainsi que la biodiversité. En particulier, le développement rural est directement concerné par la gestion durable de ce capital naturel. Et la rentabilité des investissements dans le monde rural serait anéantie sans la préservation et la bonne gestion de l’environnement. D’autres secteurs comme le tourisme dépendent également de ce capital naturel.

Arh. dans NewsMada
La valeur des marchés publics des travaux en 2014 représentait plus de 230,7 milliards d’ariary, selon les statistiques du Système informatisé de gestion des marchés publics à Madagascar (SIGMP). Cette hausse reste toutefois modeste avec 48,4 milliards d’ariary de plus qu’en 2011... Le chiffre d’affaires des entreprises BTP a connu une baisse de -60% en 2012, selon les données du ministère des Finances et du budget. «C’est la baisse la plus importante enregistrée au niveau des différents secteurs. Elle a été de -25% pour la pêcherie et l’élevage, -20% pour l’hôtellerie et -16% pour les assurances», peut-on encore relever dans ce document. (..) Certes, de nombreux chantiers sont en cours, ils semblent encore insuffisants par rapport à la capacité d’absorption totale des entreprises. «Particulièrement pour les membres du SEBTP, en termes d’effectif, avec près de 7.000 salariés, nous sommes à peine à 56% de ce que le syndicat a enregistré en 2008».

Fahranarison dans NewsMada
Un projet est ainsi en cours dont l’objectif est de consolider la bonne gouvernance et l’Etat de droit en garantissant le respect des droits humains en milieu carcéral. Ce projet est mené par l’ONG Acdem dans dix établissements pénitentiaires de la partie Sud de la Grande île, à savoir Betroka, Toliara, Ampanihy, Ankazoabo, Morombe, Fianarantsoa, Ihosy, Ambositra, Miandrivazo et Morondava. Financé par l’UE à hauteur de 189.451 euros pour une durée de 24 mois... il devrait toucher 3.776 détenus et contribuera au respect des lois régissant les principes de détention dans les domaines de la santé, la nutrition, l’hygiène et l’assainissement. (..) Mis à part ce projet qui touche le milieu carcéral dans le Sud de l’île, cinq autres projets, visant à promouvoir le respect des droits de l’homme, ont également bénéficié d’un appui financier de l’UE. Ceux-ci seront menés en faveur des personnes les plus vulnérables et touchent des sujets sensibles, notamment la promotion d’une meilleure mobilité pour les personnes en situation d’handicap, la promotion de l’éducation des enfants vulnérables, la promotion de l’application de la Convention internationale sur les droits des personnes handicapées, et la promotion des droits de l’enfant.

J.L.R – FR dans Madagascar Matin
Tantalus Rare Earths AG, aux activités focalisées sur les terres rares à Madagascar, est parvenue à un accord avec Apphia Minerals SOF PTE, compagnie basée à Singapour, qui achète, pour une considération cash de 3,7 millions d’euros, ses 60% d’intérêt dans sa filiale Tantalum Holding Mauritius Ltd, elle même propriétaire à 100% de la société minière Tantalum Rare Earth Malagasy S.a.r.l d’après l’agence ecofin.  (..) Le projet porte sur une concession de 300 km2 dans la moitié orientale de la péninsule Ampasindava dans la province d’Antsiranana et renferme 560 000 tonnes de ressources mesurées, indiquées et inférées d’oxyde.

Mikama - Dec 10, 2015

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Après l’hypertension artérielle, le diabète et les maladies neurologiques, les maladies respiratoires comme la tuberculose, l’asthme, la pneumonie ou la broncho-pneumopathie chronique obstructive deviennent les plus coûteuses à Madagascar. (..) Selon le « Diagnostic systématique de pays : Madagas­car » dressé par la Banque Mondiale, présenté le mois dernier à Anosy, l’impact de la maladie due à la pollution de l’air intérieur et liée à l’utilisation de combustibles solides comme le charbon de bois ou le bois de chauffe, se chiffre à près de douze mille décès.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Madagascar en fait partie d’autant qu’il est le premier pays en Afrique à être exposé aux cyclones intenses et fréquents. Rien qu’au début de cette année, deux cyclones conjugués avec près de 2 mois de pluies incessantes ont causé des pertes économiques évaluées à 1,2% du PIB selon les estimations de la Banque mondiale. Résultat : le secteur primaire affiche une croissance très modeste de 0,7% en 2015. La branche agriculture enregistre un taux de croissance de 0,6%, contre 0,8% pour l’élevage et la pêche, et 1% pour la sylviculture. Toujours d’après la Banque mondiale, il faut en moyenne 5 ans pour se relever des pertes et dommages occasionnés par les intempéries. En 2016 donc, le secteur primaire est prévu afficher une croissance de 2,5% si la prévision initiale pour 2015 est de 2%.

D.H.R. dans La Vérité
« Dans les zones enclavées comme à Taolagnaro, les petites et moyennes entreprises ont peur des banques. Elles estiment que les services offerts conviennent plus à des étrangers qu’aux nationaux. Les banques sont également pour les riches »

Mikama - Dec 9, 2015

Dans La Gazette de la Grande Ile
Recettes fiscales intérieures : 106% de l’objectif pour 2015. 1 450 milliards Ar. C’est le montant des recettes fiscales intérieures pour 2015, selon le directeur général des impôts. (..) Cette année, le taux de pression fiscale est prévue se situer à 9,9% du PIB si la prévision dans la loi de finances initiale 2015 a été de 11,5%. Et pour 2016, il est question d’élargir l’assiette fiscale, de mettre en œuvre des mesures législatives et fiscales, de renforcer le contrôle, de poursuivre les défaillants et de mettre en place un système de gestion des risques fiable et performant. L’objectif est de permettre au pays d’afficher un taux de pression fiscale de 10,4%, soit un gain de 0,5% pour l’année prochaine. Ce qui le positionnera toujours parmi les pays à très faible taux en Afrique subsaharienne. L’année prochaine, l’Etat prévoit des recettes fiscales intérieures de 1 740,4 milliards Ar et 1 688,7 milliards de recettes douanières.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Combinées au déficit pluviométrique qui a marqué le début de la campagne (octobre-décembre 2014), et qui s’est réinstallé à partir de fin mars 2015, ces intempéries ont provoqué une baisse générale de la production des principales cultures vivrières… Ainsi, selon toujours les mêmes indications ; pour le riz (paddy) à l’échelle nationale, la production est estimée à 3 722 304 tonnes en 2015, soit une contraction de 6 pour cent par rapport à 2014 et un recul de 12 pour cent par rapport à la moyenne des cinq dernières années. La production de maïs est estimée à 329 367 tonnes en 2015, et celle de manioc à 2 676 952 tonnes, soit des baisses de respectivement 10 pour cent et 9 pour cent par rapport à 2014…  Les besoins d’importations commerciales en 2015 sont estimés à 331 000 tonnes de riz usiné, 75 000 tonnes de maïs, et 145 000 tonnes de blé, soit au total 551 000 tonnes de céréales.

Arh. dans Newsmada
Le ministère de l’Elevage recense actuellement près de 9 millions de têtes pour le cheptel bovin à Madagascar. Il y a une dizaine d’années, le pays comptait encore 22 millions de têtes. (..) La baisse spectaculaire du nombre de bovins et le risque de disparition de la race bovine locale s’expliquent surtout par la surexploitation et l’absence de contrôle et de politique d’élevage bovin, associées aux vols de bovidés devenus un sport national.

FR dans Madagascar Matin
Nous sommes en train de modifier la législation dans plusieurs domaines tels que l’exploitation minière, l’accès à la terre et l’administration publique, entre autres. (..)  Le volume d’investissement direct étranger du pays se situe en dessous de la moyenne régionale et a connu une baisse au cours des 10 dernières années. (..) Axé sur la nécessité de restaurer la confiance des investisseurs, la revue recommande une clarté et la sécurité dans le cadre réglementaire de Madagascar, y compris la définition de l’Ide dans les textes juridiques, la sécurité foncière, la possibilité d’acquisition de terrain pour les étrangers, la fiscalité, ainsi que des critères pour l’adhésion à des zones économiques spéciales et les régimes pour les entreprises. (..) Paradoxalement, le régime en place refuse de mettre des mesures incitatives pour les investisseurs nationaux qui ne demandent, qu’au moins, à être sur le même pied d’égalité que les étrangers : bénéficier les mêmes mesures fiscales et douanières,…

D.H.R. dans La Vérité
L’un des objectifs de ce plan est d’incorporer la biodiversité dans les comptes nationaux d’ici 2020. La comptabilisation du capital naturel constitue un outil de décision pour une meilleure contribution des écosystèmes afin d’assurer le bien-être de la population, l’élimination de la pauvreté. Le capital naturel de Madagascar représentait 52 % de la richesse nationale en 2005, d’après la Banque mondiale. (..) La comptabilisation du capital naturel inclut l’état de l’évolution de l’environnement, des ressources minières, des aires protégées. (..) Par exemple, la comptabilité des terres permet à Madagascar, pays riche en biodiversité, de comprendre comment financer une zone protégée de plus de 60 000 km2.

Mikama - Dec 8, 2015

L. T. dans La Gazette de la Grande Ile
...cette Charte Africaine veut aussi empêcher  le maintien au pouvoir des dictateurs en rejetant le recours à des consultations populaires en visant à modifier les mandats des chefs de l’Etat prévus par la Constitution. (..) Et elle essaie aussi de renforcer le principe de séparation des pouvoirs et de donner l’égalité politique des hommes et des femmes… La Charte constitue aussi un engagement social de l’Etat à mettre à la disposition de la population un enseignement primaire gratuit et obligatoire, l’atténuation de l’impact des maladies, des politiques nécessaires pour générer de l’emploi productif,… (..) En ratifiant cette Charte, Madagascar aura l’obligation d’émettre pour la Commission de l’Union africaine un rapport tous les deux ans sur les mesures d’ordre législatif ou autres mesures prises en vue de rendre effectifs les principes et les engagements énoncés.

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Le ministère de la Santé publique prévoit de mobiliser de nouveaux moyens pour financer la santé publique. À part les dons et les legs, une taxe sera perçue. (..) « Trois formes de contributions ont été identifiées pour que la CSU puisse devenir une réalité, à savoir la mutuelle et l’assurance de santé déjà obligatoire pour les agents de l’État et les employés du secteur privé. Mais le financement innovant comme les taxes sur la cigarette, la téléphonie et les boissons sucrées va également renflouer cette caisse...»

Arnaud R. dans Midi Madagasikara
A l’heure actuelle, ils sont plus de 137 volontaires japonais, venus spécialement du pays du Soleil levant pour participer volontairement au développement de Madagascar, ce, depuis 2002. Arrivé dans la Grande Île, chacun rejoint l’endroit où il/elle est destiné parmi les 7 régions (Boeny, Bongolava, Analamanga, et Vakinankaratra, Itasy, Alaotra-Mangoro, et Atsinanana) d’intervention du Programme des volontaires Japonais pour la Coopération à l’étranger (JOCV). Chacun d’eux a ainsi 2 ans pour vivre aux cotés des Malgaches en assurant le partage d’expériences, de culture, et de savoir-faire dans le domaine de la Santé, le Développement Rural, l’Education, et l’Animation de la Jeunesse.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Mais le plus important selon les techniciens auprès de Conservation International est l’optimisation et la valorisation des ressources. En effet, le système de gestion durable a permis d’accroître la production de la première journée d’ouverture de la saison de pêche de 600kg en 2010, à 3 tonnes en 2013 et à près de 5 tonnes en 2015. En effet, ce système consiste à fermer la saison pendant les périodes de reproduction qui durent trois mois par an.

DIMITRINA PETROVA dans Open Democracy
Madagascar is one of 27 countries worldwide which continue to deny women the ability to pass on nationality to their children on an equal basis with men... The precise number of stateless people in Madagascar is unknown, the UNHCR puts the figure at anywhere between 2,200 up to 100,000..

Mikama - Dec 7, 2015

Dans La Gazette de la Grande Ile
.. le pays a adopté des lois sur la concurrence et sur la lutte contre la corruption qui pourraient, si elles étaient bien appliquées, assurer une bonne gouvernance économique. Cependant, les monopoles de certaines entreprises, la corruption, l’absence de protection des consommateurs et les faiblesses institutionnelles, notamment des institutions judiciaires, font obstacle à la mise en place d’un climat des affaires ouvert, transparent et prévisible. Les textes juridiques sur la concurrence, selon les données de l’EPI de la Cnuced, contiennent les dispositions essentielles. Constitué de la Loi 2005-20 sur la concurrence et de son Décret d’application 2008-771, le régime appréhende à la fois les pratiques anticoncurrentielles individuelles (par exemple, l’inclusion d’une clause de non concurrence trop restrictive dans un contrat de travail) et collectives classiques (ententes, abus de position dominante, concentration et monopoles, et leurs exceptions), et les sanctions correspondantes, qui peuvent être pénales et/ou administratives.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
3,6%. Ce sera en 2016 la part des recettes non fiscales dans les recettes de l’Etat. Ce taux est faible par rapport au potentiel existant. La moyenne est de 0,9% du PIB entre 2008 et 2010 selon les données de la Banque mondiale. Mais cette année, les recettes non fiscales représentent seulement 0,2% du PIB. Les estimations de la Banque mondiale situent les recettes non fiscales à plus de 200 milliards Ar par an. Le pays est encore loin de ce niveau, d’autant plus que les traces des recettes non fiscales issues de certaines activités ne sont pas budgétisées. On peut citer les redevances sur le transport terrestre, sur les télécommunications, etc. Rappelons que les recettes non fiscales proviennent essentiellement de la part de dividendes de l’Etat générés par les sociétés où il a des participations. C’est le cas des sociétés comme Air Madagascar, la Jirama, la Kraoma, la Soavoanio, les compagnies pétrolières, les banques privatisées (BNI, BOA, BFV-SG), etc.

Dans La Gazette de la Grande Ile
En 2013, ces femmes ont été formées comme techniciennes de l’énergie solaire. La formation a été suivie de la dotation en matériels (batteries, panneaux solaires, ampoules, lampes, pièces de rechange…) Les grand-mères ont été chargées de monter ces matériels dans leurs villages situés dans des zones enclavées. Il a donc fallu transporter les matériels par camion, par pirogue, à pied par des porteurs. Et en juin 2014, la lumière fut dans ces villages. Elle procure également des avantages environnementaux puisqu’il s’agit d’une énergie propre. Et impact non négligeable, les ménages peuvent économiser sur le coût mensuel de l’éclairage. L’électricité solaire coûte la moitié de ce que les ménages dépensaient auparavant en pétrole lampant. Elle vaut 3 000 Ar/mois.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Des analystes du secteur remarquent également que les enfants ayant terminé le collège disposent relativement d’outils pour devenir des bons citoyens : ils savent comment planifier les naissances, améliorer leur revenu, rentabiliser leurs investissements, etc. Au milieu des années 2000 pourtant, le taux d’inscription dans les collèges était de 31% et le taux d’achèvement de 19% seulement. (..) Même si le ministère de l’Education dispose cette année de 16,5% du budget public, le plus gros poste budgétaire ministériel après le ministère des Finances, il est loin d’avoir ce dont le secteur a besoin. D’ailleurs, cette part a tendance à régresser au fil des ans : elle a dépassé les 18% en 2014 et s’est située à 17,8% en 2013.

Sandra Miora Hafalianavalona dans L'Express de Madagascar
Un problème crucial. 200 000 tonnes de terre ont été emportées par l’érosion cette année, selon le rapport du ministère de l’Environnement (..) Ce chiffre équivaut à 500ha de terrain. Une étude de la Banque mondiale indique qu’en moyenne 400 tonnes de terres par hectare par an, sont emportées par l’érosion.
Or l’érosion risque de nuire fortement aux activités agricoles, à cause de la réduction de la productivité des sols couverts et ensablés par les alluvions. « La plupart de nos montagnes sont dénudées. Les couvertures végétales ont été emportées. Les rizières sont victimes de l’ensablement. Les sols n’ont plus la capacité d’infiltrer l’eau. Les lacs sont ensablés comme le lac Alaotra et les rivières envahies par la latérite. De plus, l’érosion entraine une perte de 10m3  d’eau par seconde dans la mer »,

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
 « Depuis la crise de 2009, le nombre de familles dans la rue a fortement augmenté dans la capitale. Dans nos zones d’intervention, autour des marchés d’Andravoahangy, d’Analakely et d’Anosibe, nous recensons, en moyenne, une dizaine de nouvelles familles en situation de rue. Cette statistique ne connaît encore aucune baisse », a interpellé Harisoa Rahanitriniaina, responsable du centre de l’association Graines de bitume.

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
... le ministère de la Santé publi­que détient la troisième place en termes de dépense publique. Il sera doté de 375 milliards d’ariary, soit une augmentation de 75 milliards d’ariary, par rapport à cette année. Cette dépense, indique la LFI 2016, visera à intensifier le programme élargi de vaccination, à améliorer l’accessibilité géographique et financière à des soins préventifs et curatifs de qualité, à mettre une disposition équitable de ressources humaines, suffisantes et compétentes, pour une gestion efficace des structures sanitaires.

Mikama - Dec 3, 2015

Dans La Gazette de la Grande Ile
Finances informelles : l’usure en plein essor. La somme prêtée est généralement à partir de 400  000 Ar. De quoi permettre de monter une petite affaire dans l’informel comme c’est aussi le cas pour ces usuriers qui opèrent en marge des circuits formels. Les petites affaires comme le commerce sont censées se développer en cette approche des fêtes de fin d’année. Seulement, le taux d’intérêt proposé est nettement élevé. Même les banques commerciales réputées pour leurs taux élevés sont plutôt généreuses face aux usuriers : si le taux des crédits à court terme auprès des banques a été de 60% sur les 4 premiers mois de l’année 2015, il a tendance à baisser depuis pour se situer entre 45 et 47%. Quant aux crédits à long terme souvent dédiés aux investissements, ils ont enregistré un taux variant entre 0,50% et 19,90%. Ces données de la Banque centrale montrent à quel point le taux d’usure souvent défini à partir de 50%, est très élevé. Contrairement aux banques pourtant, les usuriers ne prêtent ni sur le moyen ni sur le long terme.

Riana R. dans NewsMada
Selon les données de l’Instutut national de la statistique (Instat), 70% des agriculteurs malgaches produisent  sur de petites surfaces de moins de 1,5 ha, 23% entre 1,5 et 4 ha et seulement 4,8% ont une terre de plus de 4 ha. Dans la filière riz,  près de 2 500 000 agriculteurs cultivent sur un terrain de 60 ares pour produire près de 800  kg de paddy à chaque saison de culture.

Hanitra R. dans Midi Madagasikara
Avec 43% de la population ayant accès à l’eau potable et 40%, aux latrines de manière permanente, Madagascar est à la traîne dans le domaine de l’eau, l’assainissement et l’hygiène (EAH).

Sandra Miora Hafalianavalona dans L'Express de Madagascar
Cette année, Madagascar a enregistré 235000 visiteurs, selon les chiffres de l’ONTM. La perspective de Madagas­car pour l’année prochaine est de rattraper l’effectif de 2008, soit 400000 touristes environ.

Mikama - Dec 2, 2015

Léa Ratsiazo dans Madagascar Tribune
600 000 sinistrés climatiques que Madagascar enregistre chaque année ». Il précise que ce sont les victimes des destructions des infrastructures sociales et de production, ainsi que de la perte de récoltes par milliers de tonnes, due à l’ensablement des surfaces cultivées. Sur le plan national, la Grande Ile s’est engagée à réduire de 14% nos émissions de gaz à effet de serre et ambitionne d’atteindre l’objectif de réduction de 30%. Dans cette même ligne, Madagascar, augmentera de 32% sa capacité d’absorption d’ici 2030 et s’efforcera de consolider un puits de carbone compatible avec son essor économique

Léa Ratsiazo dans Madagascar Tribune
Officiellement, les responsables sanitaires ont détecté 460 séropositifs à Madagascar. Néanmoins, l’ONUSIDA estime à 39 000 les malgaches porteurs de virus de sida qui s’ignorent dont 4 000 enfants de moins de 15 ans. Quoi qu’il en soit, Madagascar figure parmi les pays d’Afrique ayant un faible de taux de prévalence avec 0,4%.

Charles RAZA dans Midi Madagasikara
«sécurisation des droits, gérer planifier le foncier, faciliter l’accès et valorisation du foncier urbain et rural, améliorer et mettre en synergie la déconcentration et la décentralisation, s’engager dans la transparence et la redevabilité ». Ces 5 points sont les principaux ingrédients mêmes des directives volontaires. (..) Voici les 5 engagements de FAO : «Contribuer à l’élimination de la faim, de l’insécurité alimentaire et de la malnutrition. Rendre l’agriculture, la foresterie et la pêche plus productives et plus durables. Réduire la pauvreté rurale. Favoriser la mise en place de systèmes agricoles et alimentaires ouverts et efficaces. Améliorer la résilience des moyens d’existence face aux catastrophes».

Tendry Rakotondranaivo dans L'Express de Madagascar
 Selon les statistiques des techniciens, un hectare peut produire 4 tonnes de riz d’une valeur moyenne de 3200000 ariary. Un hectare d’élevage de poissons peut par contre générer 33 millions d’ariary, à raison de 5000 ariary le kilo. Un alevin coûte environ 100 ariary auprès des producteurs » (..) Selon les statistiques, Madagascar compte 80 000 petits pêcheurs en 2014, avec une production totale de 123000 tonnes

Mikama - Dec 1, 2015

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Où sont donc les autres entreprises ? Les unes, soit les Petites et moyennes entreprises (PME) paient généralement leurs obligations fiscales mais pèsent moins lourds que les 700 grandes entreprises qui représentent 80% des recettes fiscales. Les autres qui constituent le gros de la cohorte peuvent être des entreprises informelles mais aussi formelles. Si les premières ne paient rien à l’Etat, les secondes sont formelles sur le papier mais soit, elles évitent de payer la totalité de leurs obligations fiscales, soit elles ne paient rien. (..) Le pays n’a jamais réussi à atteindre un taux de 13% alors que les Etats cités plus haut affichent 17% depuis 2012 et s’y maintiennent.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Les principales lois malgaches sont généralement modernes, mais manquent souvent de précision et de clarté, notamment dans le cas du cadre juridique spécifique aux IED (investissement étranger direct), de l’accès au foncier, de la fiscalité, des régimes de la concurrence et de recrutement des étrangers. Ces éléments ont pour conséquence une multiplication des exceptions juridiques, ce qui impacte l’ouverture, la transparence et la prévisibilité de l’environnement des affaires. De plus, une faiblesse des ressources humaines et financières, par exemple dans l’environnement et le droit du travail, ajoute à la difficulté de mise en œuvre des dispositions existantes.

Dans RFI
...  les objectifs de la Grande Ile : 14% de réduction d'émission de gaz à effet de serre et amélioration de 32% de la capacité d'absorption. Concrètement, il s'agit de la lutte contre les feux de brousse qui génèrent beaucoup de gaz à effet de serre, mais aussi la production d'énergie renouvelable, plus propre que les centrales au fioul actuelles. Il y a également des projets de reforestation, de gestion des littoraux, et d'autres encore. Tout cela pour améliorer la capacité du pays à faire face aux catastrophes climatiques : cyclones, inondations, sécheresses et leur l'impact sur la population... dans sa stratégie le gouvernement prévoit un financement de 42 milliards de dollars. Soit quatre fois le PIB du pays à répartir sur les quinze prochaines années.

Riana R. dans Newsmada
Le programme Power africa vise à développer des mini-réseaux électriques, et prône sur les sources renouvelables. A Madagascar, c’est particulièrement le secteur privé qui propose des solutions de micro-énergie à la population d’avoir accès à l’énergie. Seulement, le coût reste onéreux pour les couches défavorisées vu l’effritement du pouvoir d’achat des Malgaches ces dernières années. En effet, le pays est confronté depuis plusieurs années à un véritable défi d’améliorer l’accès à l’énergie tant en en quantité qu’en qualité. On estime à 18 millions le nombre de Malgaches qui n’ont pas accès à l’énergie actuellement, en considérant l’étendue du territoire, l’enclavement de certaines zones et  le coût actuel de l’énergie.