Mikama - Feb 27, 2015

R. Eugène dans Midi Madagasikara
« Il y a plusieurs filières [elevage] à développer. Il y a la filière bovine qui englobe la production de viande et la production laitière. La production de viande se fera surtout dans la côte ouest de Madagascar, de Fort-Dauphin à Diégo Suarez. Quant à la production laitière, il y a ce qu’on appelle le triangle laitier, à savoir Bongolava- Fianarantsoa- Alaotra Mangoro. Il y aura une autre filière, l’apiculture. Puisque cette importante filière est liée aux zones forestières, l’élevage participera à la protection de l’environnement. »

Navalona R. dans Midi Madagasikara
« Tanà en consomme 500 000 baguettes par jour », a déclaré Mouhaboubaly Arif, le Président de l’Association Professionnelle des Boulangers de Madagascar

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Madagascar dispose en abondance de fruits et légumes encore bio et de bon goût. Mais une perte de production de l’ordre de 30% est enregistrée à chaque saison.

Jane J. Lee dans National Geographic
Madagascar is home to a mind-boggling array of frogs, 99 percent of which are found nowhere else in the world. But a study released Thursday finds the island nation now also hosts the greatest threat to amphibian biodiversity in modern times—the chytrid fungus. As many as 7 percent of the world's amphibian species live only in Madagascar, says Molly Bletz, a researcher at the Braunschweig University of Technology in Germany.

Dans Sleek Money
Madagascar Oil (LON:MOIL) had its price target trimmed by VSA Capital from GBX 70 ($1.08) to GBX 35 ($0.54) in a research report sent to investors on Friday morning. The firm currently has a buy rating on the stock. Madagascar Oil (LON:MOIL) traded down 3.23% on Friday, hitting GBX 3.75. 165,667 shares of the company’s stock traded hands. (..) Madagascar Oil Limited is engaged in the exploration and development of heavy oil and conventional oil deposits on five contiguous onshore blocks in Madagascar. Madagascar Oil holds licenses in five blocks, representing an area of approximately 29,500 square kilometers

Mikama - Feb 26, 2015

Riana Randrianarisoa dans L'Express de Madagascar
94 % des cent cinq espèces de lémuriens est menacée de disparition imminente...  Si la déforestation suit son rythme actuel  évalué à 80 %, d’ici 20 ans, la grande d’ile n’aura plus de lémuriens ». Cependant, Madagascar dispose de 20 % des primates du monde.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Plus de 35 000 milliards d’Ariary. Tel est le coût total estimé pour financer la mise en œuvre du Plan National de Développement (PND) étalée sur une période de cinq ans, soit entre 2015 et 2019. Dans cette enveloppe, 57 % du montant total, soit plus de 20 000 milliards d’Ariary, sont alloués aux secteurs porteurs et stratégiques .. douze espaces de croissance sont, entre autres, à créer. A titre d’illustration, l’espace de croissance à Taolagnaro est lié à l’exploitation d’ilménite et à la réalisation du grand port d’Ehoala, tandis que celui d’Antsirabe porte sur l’agro-industrie. A Nosy-Be, la vocation touristique est importante et le pôle de Toamasina pour se part est lié à sa fonction portuaire et au développement des échanges commerciaux dans l’économie nationale. Par contre, le pôle de Fianarantsoa vise à valoriser son capital humain et les produits de son terroir si l’espace de croissance métropolitain, l’agglomération d’Antananarivo, constitue le pôle économique majeur générant près de 30 % du PIB.

R.Volatsara dans La Gazette de la Grande-Ile
Grâce à un financement de l’UE qui s’élève à 4 685 000 d’euros, près de 73 000 habitants sont touchés par ce programme, visant à améliorer les conditions de production des paysans planteurs de canne à sucre et des riziculteurs... ce programme touche une superficie totale du périmètre de 19 241 ha dont 9 215 ha du domaine de la Sucocoma (usine sucrière) et 10 026 ha du domaine des paysans dont 6 000 ha sont des rizières en 7 954 parcelles par 5 971 producteur dont 1 732 femmes..

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
1,5 milliard de dollars, c’est 14% du PIB ou plus de la moitié des richesses créées tous les ans par l’agriculture. C’est dire du coût onéreux des travaux routiers et des impacts désastreux de mesures économiques prises par la transition et le pouvoir actuel. On peut citer la suspension du paiement de la redevance pour l’entretien routier par les compagnies pétrolières, histoire de contenir les prix du carburant, les multiples dérogations sur l’utilisation des ressources du Fonds d’entretien routier (FER), lesquelles ont permis de financer l’entretien de rues urbaines. Ces dérogations représentent jusqu’à 50% des ressources du FER. Or, ce fonds est censé financer exclusivement l’entretien des routes nationales.

Racl.R dans La Nation
Un atelier d’évaluation des besoins liés à la « réduction des émissions de gaz à effet de serre dues à la déforestation et à la dégradation des forêts » ou REDD+ s’est tenu hier à la Résidence Ankerana. Ceci a été l’occasion pour discuter de ce mécanisme permettant d’éviter la dégradation de l’environnement. (..) D’après cette institution, les flux financiers du Nord au Sud sur la réduction des GES de REDD pourraient atteindre jusqu'à 30 milliards de dollars par an de fonds qui peuvent être investis dans des projets d'énergie renouvelable pour aider les deux milliards de personnes sans accès à l'électricité ou hôpitaux ou de nouvelles écoles dans le monde tout comme à Madagascar.

Mikama - Feb 24, 2015

Navalona R. dans Midi Madagasikara
... seuls 8 % des paysans qui pratiquent la riziculture en utilisent. Or, la culture rizicole est stratégique à Madagascar. (..) Afin de booster la production de semences de riz de qualité, il a été évoqué lors de cet atelier la redynamisation des 40 Centres de Multiplication de Semences (CMS) appartenant à l’Etat dans tout Madagascar, et ce, en partenariat avec le secteur privé. « Seuls huit CMS sont opérationnels alors que la demande en semences ne cesse d’augmenter au niveau des paysans », a fait savoir Oliva Rafalimanana.

Racl.R dans La Nation
Financé par l’Union européenne à hauteur de 4 685 000 d’euros, le projet « Mesures d’Accompagnement du Protocole Sucre » ou MAPS œuvre dans la réhabilitation des infrastructures hydro-agricoles de la plaine de la Basse-Mahavavy. La production de sucre dans cette région représente une niche d’emplois pour plusieurs familles paysannes ainsi que des entreprises qui travaillent avec eux dans la transformation. Ce projet a été lancé car les infrastructures hydro-agricoles n’arrivent plus à irriguer les quelques 19 241 ha de cannes à sucre.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Ainsi, d’après le MFB/SG/DGB/DPCB/SCAP/Division Analyse Economique , les priorités de dépenses se concentreront sur : (i) Le renforcement de la gouvernance, de l’Etat de droit et l’instauration d’une justice équitable ; (ii) Le raffermissement de la sécurité des biens et des personnes ; (iii) Le soutien au développement rural ; (iv) Le développement des infrastructures ; (v) Le renforcement de la sécurité alimentaire ; (vi) La facilitation de l’accès aux services sociaux de base (santé, éducation) ; (vii) La revitalisation du secteur énergie et la promotion des énergies renouvelables ; (viii) Le rétablissement d’un climat des affaires attrayant ; (ix) Le développement des activités favorisant la création d’emploi.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Il faut d’ailleurs rappeler que l’agriculture est l’un des rares secteurs à avoir reçu le maximum d’aides depuis l’indépendance, alors qu’elle est loin de se développer. Le rendement moyen national en riziculture tourne toujours autour de 2 t/ha et le pays est obligé d’importer au moins 100 000 t de riz par an. La moitié des enfants malagasy est victime de malnutrition…

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Filière girofle: 5 000 tonnes prévues à exporter. La Grande Ile fait partie des plus grands producteurs de clous de girofle et la production de girofle est assurée par une culture de cueillette pratiquée par quelques 20 000 petits planteurs sur de champs de girofliers s'étendant sur 80 000 ha.

Mikama - Feb 23, 2015

Léa Ratsiazo dans Tribune de Madagascar
80% des enfants bénéficiant de la cantine scolaire ravitaillée par le PAM, ne mangent qu’à l’école comme le cas des enfants du centre Betania Ankasina. Ce dernier accueille les enfants issus des familles défavorisées des quartiers riverains. (..) Notons que pour l’intervention dans le Sud, le PAM assure avoir besoin de près de 3 millions US$ jusqu’au mois de juin pour venir en aide à 350 000 personnes affectées par la sécheresse.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
« Il faut protéger les lagons et les coraux qui constituent des sites de reproduction des poissons et des autres espèces halieutiques dans le pays. La protection des ressources forestières comme les aires protégées est aussi indispensable car c’est l’habitat des faunes tels que les lémuriens et les oiseaux, sans oublier les flores qui constituent toutes des espèces endémiques au pays », a-t-il [Eric Koller, le PCA de l’Office National du Tourisme de Madagascar (ONTM)] poursuivi. L’ONTM a choisi de reboiser des jeunes plants d’eucalyptus et d’olive sur une surface de 0,5ha, servant à produire des huiles essentielles, en travaillant en partenariat avec des communautés de cette commune.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
« Madarail n’arrive à transporter que 4 000T de marchandises par mois, si l’on espérait au départ une capacité de 10 000T. Avec cette situation, si l’on ne compte que sur Madarail, il faudrait attendre 6 mois pour remplir un bateau d’une capacité de 24 000T. Kraoma ne peut attendre ce délai avant de commercialiser sa production, car on ne pourrait donc exporter vers l’Europe que deux fois par an », a expliqué le DG de Kraoma.

Racl.R dans La Nation
Dans le 13ème FAD, c’est de l’ordre de 41,14 millions d’Unité de comptes mais si nous regardons notre portefeuille de nos opérations à Madagascar, c’est de l’ordre de 202 millions d’UC, soit 700 milliards d’Ariary. On compte donner cette année, dans un projet de 5 millions d’UC, un autre de 26 millions d’UC et on compte également procéder à la deuxième phase de la réhabilitation de la RN 9 dans laquelle on compte mettre au moins 317 millions d’UC.

Dans Newswise
Carbon credits from WCS’s Makira Natural Park Project in Madagascar are now available through the Stand for Trees campaign, an online carbon sales platform recently launched by USAID and Code REDD. Through this initiative, individuals can now save wildlife and combat climate change by purchasing carbon credits on-line for the first time to preserve one of Africa’s most biodiverse tropical rainforests. Funds from any purchase of carbon credits, which can range from $10 to $1 million, will go directly towards protecting endangered lemurs and other unique species, empowering local communities, and offsetting one’s own carbon footprint.

Mikama - Feb 20, 2015

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
La loi sur les grands investissements miniers (LGIM) prévoit un taux de redevance de 2% avec un abattement de 1% pour les projets qui effectuent des transformations localement. Il y a également les questions liées aux impacts sociaux environnementaux qui prennent de plus en plus de place dans la conception des projets miniers

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Ce protocole d’accord est entré en application depuis le 1er janvier. Il permet l’accès d’un maximum de quatre vingt quatorze navires de pêche de l’Union européenne exerçant une activité de pêche thonière. Ces unités ne peuvent pêcher qu’à partir des 20 miles marins au-delà des côtes malgaches, évitant ainsi les conflits avec la pêche traditionnelle. Pour la première année d’application, la contribution de l’UE s’élève à 1 566 250 euros. A cette contribution vont s’ajouter les apports des armateurs, qui comprennent une part fixe et une part déterminée par le niveau des captures réalisées.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Ainsi, des baisses de création d’entreprises sont constatées, respectivement de 89,3% pour le secteur primaire, 58,7% pour le secondaire et 15,6% pour le secteur tertiaire. En valeur absolue, 16 771 entreprises ont été créées durant toute l’année 2014 contre 20 685 en 2013 dont 421 entreprises créées en décembre 2014 contre 626 durant le même mois de 2013.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
A titre provisoire, les exportations durant le mois de décembre 2014 totalisent 497,9 milliards d’Ariary (prix FOB) contre 331,3 milliards d’Ariary l’an précédant, soit une augmentation de 50,3%. (..) En ce qui concerne les importations, elles sont à hauteur de 708,5 milliards d’Ariary (prix CAF) pour le mois de décembre 2014, soit une hausse de 20,0% par rapport à la même période de l’année 2013 (590,5 milliards d’Ariary).

Racl.R dans La Nation
Le groupe d’assurance-crédit Coface a réalisé des études économiques concernant Madagascar. Ainsi, il a constaté que l’économie du pays dépend fortement de l’Union européenne. Ceci remet en question l’indépendance en termes de croissance ou de développement dans le pays. (..) L’étude montre que « le secteur primaire (environ 30% du PIB) devrait bénéficier des mesures prises par le gouvernement en vue d’augmenter les rendements de production rizicole. La production minière, en particulier de nickel et de cobalt lancée en 2013, se poursuivra, tout comme l’exploitation des champs pétroliers de Tsimiroro qui a débuté en 2014. Le secteur textile sera soutenu par la réouverture du marché américain aux produits malgaches et la modeste reprise de la demande européenne. Les services (55% du PIB), plus particulièrement le tourisme, devraient rester porteurs...

Racl.R dans La Nation
Le Fonds monétaire international (FMI) a lancé son rapport à l’issue de la consultation au titre de l’Article IV qui s’était tenue du 29 octobre au 11 novembre 2014 à Antananarivo. A l’issue de ce rapport, le volet monétaire a été pleinement souligné car selon le FMI la politique monétaire à Madagascar doit s’améliorer. « Pour faciliter une politique monétaire active et préserver la stabilité macroéconomique, il sera important d'accroître l'indépendance de la Banque centrale, renforcer ses mécanismes de contrôle, et la recapitaliser.

Mikama - Feb 19, 2015

Dans La Gazette de la Grande-Ile
La moitié de la population a moins de 20 ans, et la population augmente au rythme de 2,8 % par an, ce qui correspond à 600 000 personnes de plus par an environ. Si l’on tient compte de la croissance de la population, le nombre de personnes vivant dans l’extrême pauvreté est passé de 10 millions environ (soit 60,5 % de la population) en 2001 à 13 millions (61,7 % de la population) en 2010, soit une hausse de 30 % en neuf ans. (..) En 2012, les dépenses publiques que Madagascar consacrait à l’éducation représentaient 2,7 % du PIB alors qu’en 2010, dans la moyenne des pays d’Afrique subsaharienne, cette proportion s’élevait à 4,3 % du PIB. (..)  Près de 80 % de la population vit en milieu rural, où la pauvreté absolue est près du double de celle des régions urbaines, et 86 % des pauvres vivent ainsi dans les régions rurales. La plupart des paysans font de l’agriculture de subsistance qui produit à peine de quoi nourrir leur famille. Dans l’agriculture, la valeur ajoutée réelle par habitant recule de 1 % environ par an depuis 1960

Navalona R. dans Midi Madagasikara
« un financement de 8 millions d’Euros du Fonds Européen de Développement (FED) est alloué pour la mise en œuvre d’un nouveau programme intitulé PROCOM qui s’étalera sur cinq ans, et ce, au profit des Micros, Petites et Moyennes Entreprises (MPME) » ...  Notre mission est d’appuyer toutes les PME en les regroupant au sein d’une coopérative ou association tout en identifiant ensemble les problèmes qu’ils peuvent rencontrer. On peut citer, entre autres, la difficulté  d’approvisionnement en matières premières ou l’inexistence d’une usine de transformation agro-alimentaire. A cet effet, nous soumettons des projets pour être financés via le programme PROCOM.

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Dans les communautés rurales, les Agents Communautaires (AC) sont autorisés à faire la sensibilisation pendant le culte de dimanche. Les AC sont appréciés par les villageois... haque dimanche, les prêtres nous offrent quinze minutes avant chaque culte pour parler des problèmes de santé et pour partager les conseils nécessaires et des messages clés sur la santé»... Les Agents Communautaires ont reçu cinq jours de formation du projet USAID/ MIKOLO, financé par l’USAID Madagascar et mis en œuvre par Management Sciences for Health (MSH).

Noella Rakoto dans Newsmada
La première phase de la rénovation de l’aérodrome d’Antsirabe est bouclée grâce à un partenariat public-privé (3P). Cette collaboration a permis de récolter environ 356 millions d’ariary. (..) Sur le plan financier, l’Etat contribue à hauteur de 150 millions d’ariary et les huit opérateurs de la région Vakinankaratra en ont apporté près de 206 millions. En ce qui concerne les opérateurs, il s’agit de la BMOI, de la BOA, des brasseries Star de Madagascar, de Holcim, de Lecofruit, de Promodim, de Socolait et de Socota. (..) Les 8 entreprises qui ont contribué au financement de la rénovation de l’aérodrome d’Antsirabe emploient aujourd’hui directement et indirectement plus de 45.000 personnes et elles ont contribué en 2014 à hauteur de 418 milliards d’ariary aux recettes de l’Etât en impôts et taxes.

Samy R. dans Newsmada
L’Ordre des pharmaciens de Madagascar enregistrait en 2010 un ratio de 12 pharmaciens pour un million d’habitants. Actuellement, les dernières statistiques font état de 260 pharmaciens au total dont 253 inscrits dans ses registres, 29 travaillant dans le commerce de gros et 217 dans des officines. En tout et pour tout, 260 pharmacies sont ouverts sur le territoire national dont presque la moitié (105) à Antananarivo et ses périphéries.

Mikama - Feb 18, 2015

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
.. l’Etat prévoit d’appliquer une nouvelle fourchette de prix des terrains, aussi bien en milieu rural qu’urbain. Selon Hasim­pirenena Rasolomampio­nona, directeur  général des services fonciers, les tarifs appliqués actuellement sont très bas notamment dans les zones rurales, où ils s’étalent entre 200 à 1000 ariary et entre 10 000 ariary à 100 000 ariary. (..) Outre le prix du mètre carré, la nouvelle politique prévoit également de nouvelles dispositions qui porteront sur les conditions d’acquisition des terrains par les étrangers.

Racl.R dans La Nation
«Après quelques décennies, des centaines de milliards de dollars et plus de 4.000 % de dévaluation, le constat est édifiant : les économies africaines lourdement endettées et totalement sinistrées, ignorées par les investisseurs et des populations entières décimées par la précarité et la malnutrition », explique l’économiste Jean-Jacques Ratsietison. (..) D’après une étude, un jeune ingénieur stagiaire gagnait 70.000 Fmg en 1983, l’équivalent de 1.400 FF soit 213 Euros. En 2006, devenu ingénieur de classe exceptionnelle échelon 1 et après plus de 2 décennies de dévaluation, il émarge à 360.000 Ariary (1 Ariary = 5 Fmg) soit 128 Euros.

Dans Oil Review Africa
Sterling Energy has announced that its has secured approval to extend the existing phase of Ambilobe and Ampasindava blocks, offshore Madagascar, to July 2016 (..) The Ampasindava PSC, which was also awarded in 2004, is in the third phase of the exploration period. Sterling Energy owns a 30 per cent non-operated working interest in the block. ExxonMobil Exploration and Production (Northern Madagascar) operates it with a 70 per cent working interest.

Dans Africa Mining
Malagasy Minerals Limited completed its maiden diamond drilling programme on four targets at its 100% owned Maniry graphite project located in Madagascar.

Mikama - Feb 17, 2015

Antsa R. dans Midi Madagasikara
16 compagnies travaillent actuellement dans 5 bassins sédimentaires dans la Grande Île, à la recherche de ressources pétrolières. (..) « Au départ, chaque compagnie a droit à 8 années d’exploration. Comme les résultats des recherches étaient prometteurs, ces compagnies pétrolières ont demandé une prolongation de 2 ans, renouvelable, comme l’indique la loi en vigueur. Aujourd’hui, ces recherches s’achèveront bientôt. Cette année, ou l’année prochaine au plus tard, tous ces explorateurs de pétrole devront passer au stade de forage.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Selon les précisions du FMI, les données disponibles précisent qu’environ un cinquième des entreprises dont le chiffre d’affaires se situe entre
50 millions d’ariary et 200 mil­lions d’ariary ne respectent pas leur obligation de remplir des déclarations de TVA. De plus, la part de ces entreprises en infractions ne cesse d’augmenter depuis 2010. Par ailleurs, il existe une proportion élevée d’entreprises qui  déclarent une TVA nulle ou qui demandent des crédits de TVA. En 2013, cette proportion s’élevait à 65 % pour les grandes entreprises et concernait non seulement les entreprises exportatrices en zone franche, mais aussi tous les secteurs de l’économie.  À propos des investissements étrangers, en 2014,  46% des entreprises nouvellement créées sont d’origine étrangères, soit 478 sur les 1034, selon les données de l’Eco­nomic Developement board of Madagascar. La Chine, la France, l’Inde et Maurice occupent les quatre premières
places en matière d’investis­sements.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Un extrait du discours du premier ministre devant les députés l’atteste : «  Cette année, nous devons réaliser les travaux d'extension du réseau électrique dans les zones rurales et périurbaines, mettre en place des parcs solaires, remplacer les groupes utilisant le gas-oil par des groupes fuel lourd, mettre en place des parcs éoliens dans le Nord, valider les plans directeurs régionaux pour l'électrification rurale dans les régions Atsinanana, Atsimo-Atsinanana, Analanjirofo, Amoron'i Mania, Haute-Matsiatra, Melaky, Diana, Betsiboka, mettre en place l'énergie renouvelable à Nosy Be ».

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Le projet PAPRIZ ou Projet d’Amélioration de la productivité Rizicole s’achèvera en juillet 2015. Une évaluation finale des résultats du projet s’est déroulée du 3 au 17 février, avec une équipe conjointe malgache et japonaise. <em>« Cette évaluation a fait sortir qu’une augmentation moyenne de 1.5t/ha de la productivité rizicole dans les sites d’intervention du projet  a été atteinte. Après avoir développé les Paquets Techniques ou technologie rizicole améliorée, on constate un fort taux de participation des paysans, avec environ plus de 24 000 paysans  ont participé aux formations de l’utilisation des Paquets Techniques sur les Hautes Terres ...

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Les produits d’assurance n’intéressent que très peu les Malgaches. Aujourd’hui, le taux de pénétration reste très faible et la part du secteur dans le PIB national est de 1% seulement. (..) . Actuellement, cinq maisons d’assurance interviennent sur le marché malgache dont trois sociétés malgaches et deux étrangères. Les sociétés malgaches que sont Aro, Ny Havana et MAMA, ont des parts de marché respectifs de 55%, 21% e 11%. Allianz arrive en quatrième position avec 9% et 8% pour Saham, les deux compagnies étrangères.

Mikama - Feb 16, 2015

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Selon le FMI: L'endettement à Madagascar. ..
L'état : La dette publique augmente mais, à environ 35 % du PIB, elle reste gérable, en partie du fait du niveau élevé de concessionalité. Néanmoins les faibles recettes fiscales et le passif implicite/d'urgence exige de suivre de près le niveau de la dette publique pour éviter les difficultés.
Les banques : Elles se financent essentiellement sur les dépôts et n'émettent pas d'obligations, ce qui leur permet de contenir leur endettement

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
La célébration de la journée mondiale des zones humides, samedi, au parvis de l’hôtel de ville Analakely, se présente ainsi comme une occasion pour les défenseurs de l’environnement, d’interpeller l’État sur l’importance des eaux continentales, mais non pas seulement des eaux marines même si la majorité des 1 189 000 Ha des zones humides, sont des lacs. « Il n’y a pas de gestion d’ensemble, d’amont en aval, de ressource en eau continentale ou en eau douce, actuellement. Il faut pourtant une gestion voire une politique d’ensemble pour protéger cette ressource naturelle », a indiqué Luciano Andriamaro, directeur du département scientifique au sein de « Conservation internationale de Mada­gascar ». (..) La dernière statistique dressée par la Banque Mondiale en 2011, fait état de 337Km3 de ressource en eau douce renouvelable, dont 96% utilisées pour l’agriculture. Cette ressource ne cesse pourtant de diminuer. Elle était de 14 700 m3 par habitant pour les années 2010-2014, si elle était estimée à 15 116 m3 en 2005-2009, selon toujours les statistiques de la Banque Mondiale.

Léa Ratsiazo dans Tribune de Madagascar
L’art et la culture ainsi que l’artisanat sont oubliés dans le programme du gouvernement à travers la Politique Générale de l’État (PGE). (..)  Pourtant l’artisanat fait vivre près de 2 millions de personnes à Madagascar et participe à hauteur de 10% au PIB selon les associations des artisans qui affirment que les recettes d’exportation s’élèvent à près de 13,5 millions d’euros par an ces dernières années.

Léa Ratsiazo dans Tribune de Madagascar
Une occasion pour l’ambassadeur de l’UE à Madagascar, Antonio Sandez-Benedito Gaspard, de préciser que le montant des aides allouées par cette grande organisation à la Grande Ile s’élève à 1 milliard d’euros de 2002-2013, notamment dans le cadre du 9ème et 10ème FED. Ce qui met l’Union européenne à la première place des bailleurs de fonds de Madagascar car ses subventions représentent 47% du total des aides reçues par la Grande Ile

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Le Gouvernement envisage de reboiser une superficie totale de 550 ha sur toute l'île, soit 25 ha/région, durant la campagne nationale de reboisement.