Riana Randrianarisoa dans L'Express de Madagascar
94 % des cent cinq espèces de lémuriens est menacée de disparition imminente... Si la déforestation suit son rythme actuel évalué à 80 %, d’ici 20 ans, la grande d’ile n’aura plus de lémuriens ». Cependant, Madagascar dispose de 20 % des primates du monde.
Navalona R. dans Midi Madagasikara
Plus de 35 000 milliards d’Ariary. Tel est le coût total estimé pour financer la mise en œuvre du Plan National de Développement (PND) étalée sur une période de cinq ans, soit entre 2015 et 2019. Dans cette enveloppe, 57 % du montant total, soit plus de 20 000 milliards d’Ariary, sont alloués aux secteurs porteurs et stratégiques .. douze espaces de croissance sont, entre autres, à créer. A titre d’illustration, l’espace de croissance à Taolagnaro est lié à l’exploitation d’ilménite et à la réalisation du grand port d’Ehoala, tandis que celui d’Antsirabe porte sur l’agro-industrie. A Nosy-Be, la vocation touristique est importante et le pôle de Toamasina pour se part est lié à sa fonction portuaire et au développement des échanges commerciaux dans l’économie nationale. Par contre, le pôle de Fianarantsoa vise à valoriser son capital humain et les produits de son terroir si l’espace de croissance métropolitain, l’agglomération d’Antananarivo, constitue le pôle économique majeur générant près de 30 % du PIB.
R.Volatsara dans La Gazette de la Grande-Ile
Grâce à un financement de l’UE qui s’élève à 4 685 000 d’euros, près de 73 000 habitants sont touchés par ce programme, visant à améliorer les conditions de production des paysans planteurs de canne à sucre et des riziculteurs... ce programme touche une superficie totale du périmètre de 19 241 ha dont 9 215 ha du domaine de la Sucocoma (usine sucrière) et 10 026 ha du domaine des paysans dont 6 000 ha sont des rizières en 7 954 parcelles par 5 971 producteur dont 1 732 femmes..
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
1,5 milliard de dollars, c’est 14% du PIB ou plus de la moitié des richesses créées tous les ans par l’agriculture. C’est dire du coût onéreux des travaux routiers et des impacts désastreux de mesures économiques prises par la transition et le pouvoir actuel. On peut citer la suspension du paiement de la redevance pour l’entretien routier par les compagnies pétrolières, histoire de contenir les prix du carburant, les multiples dérogations sur l’utilisation des ressources du Fonds d’entretien routier (FER), lesquelles ont permis de financer l’entretien de rues urbaines. Ces dérogations représentent jusqu’à 50% des ressources du FER. Or, ce fonds est censé financer exclusivement l’entretien des routes nationales.
Racl.R dans La Nation
Un atelier d’évaluation des besoins liés à la « réduction des émissions de gaz à effet de serre dues à la déforestation et à la dégradation des forêts » ou REDD+ s’est tenu hier à la Résidence Ankerana. Ceci a été l’occasion pour discuter de ce mécanisme permettant d’éviter la dégradation de l’environnement. (..) D’après cette institution, les flux financiers du Nord au Sud sur la réduction des GES de REDD pourraient atteindre jusqu'à 30 milliards de dollars par an de fonds qui peuvent être investis dans des projets d'énergie renouvelable pour aider les deux milliards de personnes sans accès à l'électricité ou hôpitaux ou de nouvelles écoles dans le monde tout comme à Madagascar.
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