Mikama - Aug 29, 2014

Racl.R dans La Nation
Il est vrai que les semences améliorées coûtent un peu plus cher que des semences simples. Certes, le coût relatif à la recherche pour les obtenir est plus élevé(..) il y a beaucoup qui ne peuvent pas s’en procurer faute d’argent pour investir. Le rendement par hectare peut être augmenté de 10 fois plus que la moyenne avec de bonnes semences. (..) Au courant de l’année 2013, le FOFIFA a pu développer des semences de riz améliorées qui sont adaptées au changement climatique, au froid et aux cultures en hauteur. Un partenariat avec AFRICA Rice a permis de produire 60 tonnes de semences améliorées et pour les haricots, environs 20 tonnes.

Samy R. dans Newsmada
La Grande île a encore perdu de précieux points dans le dernier classement mondial par Indice de perception de la corruption (IPC) dressé par Transparency International, pour atterrir au 127e rang sur 177 pays en 2013 contre 97e sur 159 pays en 2010. Sur une échelle de 0 à 100, la note « zéro » correspondant à la nation la plus corrompue du monde, Madagascar n’a fait mieux que 28 l’année dernière contre 32 l’année d’avant. La Banque mondiale a également dressé son bilan et, selon cette institution financière internationale, la performance de Madagascar en termes de lutte contre la corruption est passée de 58% en 2008 à 32% en 2013. (..) Le Crem [Cercle de réflexion des économistes de Madagascar] affirme que 40% des liquidités qui circulent dans la Grande île proviennent de la corruption, alors que la dernière étude qu’elle avait menée en 1991 établit que la corruption représentait à cette époque 20% du PIB national. De ces 40% des faits de corruption, 20% ont même trait à des « tueries ».

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Les chiffres officiels le prouvent : les Investissements directs étrangers (IDE) sont en baisse de -25,6% au 1er semestre.

Mikama - Aug 28, 2014

Dans La Nation
L’entretien des routes a été délaissé depuis quelques années. Il se trouve qu’actuellement, leur état se dégrade inexorablement. Pourtant, le Fonds d’Entretien Routier ou FER est là pour assurer l’entretien. Un nouveau statut du FER est sorti, suivant le décret n°2014-788 du 17 juillet 2014. Il faut rappeler que selon son statut, le FER a été toujours administré par un Conseil d’orientation de l’entretien routier (COER). Toutefois, ce FER est orphelin de son COER depuis 2010. (..) Le Creabtp trouve aussi que les dépenses pour les travaux d’urgence pour rétablir la circulation dans l’immédiat sont plafonnées à 20% des ressources annuelles du FER alors qu’un taux limité à 10% est plutôt raisonnable.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
L’élevage porcin a été entre autres affecté par la maladie de la peste tandis que l’élevage bovin qui a même connu une régression en raison de la recrudescence de l’insécurité en milieu rural. Par contre, la filière avicole a connu une croissance soutenue de l’ordre de 10 % depuis ces cinq dernières années, et ce, malgré la crise qui a prévalu dans le pays. (..) D’après les statistiques fournies par la FAO, on recense actuellement 35 millions de têtes de volailles dont 86 % constituent du poulet gasy contre 29 millions de têtes en 2005. Le chiffre d’affaires enregistré dans ce type d’élevage est de plus de 100 millions USD par an. Parlant de la consommation de viande de volaille et des œufs, La Réunion a un besoin respectif de 28 000 tonnes par an dont 19 000 tonnes sont importées et 110 millions d’œufs par an.

Morasata Marc dans La Gazette de la Grande-Ile
... tous les orateurs ont souligné l’importance de la lutte contre la défécation à l’air libre, source de perte de 100 millions de dollars par an sur le plan national, en plus des impacts négatifs sur la santé.

Mikama - Aug 27, 2014

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
5,5% pour les dépenses de solde et plus de 32% pour les dépenses de fonctionnement hors solde au 1er semestre 2014. Du moment qu’il s’agit de dépenses autres que l’investissement, l’Etat s’empresse de décaisser. Ce n’est pas le cas pour les dépenses d’investissement dont le taux d’engagement sur la même période est seulement de 8,7%. (..) A ce sujet, le Trésor public a déjà avancé qu’on ne pouvait espérer développer le pays avec des dépenses publiques majoritairement consacrées au fonctionnement (63%). (..)  Certes, 70% des dépenses d’investissement sont encore assurées par les financements extérieurs et que ceux-ci sont encore loin de revenir à la normale...

Racl. R  dans La Nation
Sur ce, il a révisé le taux de pression fiscale à 11,6% contre 10,7% dans la Loi de Finances Initiale, soit des recettes additionnelles de 270,8 milliards d’Ariary. De ce fait, les recettes fiscales intérieures augmenteront de 124,5 milliards d’Ariary et les recettes douanières de 146,3 milliards d’Ariary. Le total des recettes et dons, est donc estimé à 3 670,0 milliards d’Ariary contre une prévision initiale de 3 070,1 milliards d’Ariary. (..) D’un autre cote, l’Etat pense dépenser ces fonds dans les secteurs sociaux comme la santé, l’éducation et la protection sociale ainsi que sur la réhabilitation et/ou reconstruction des infrastructures de base. Selon la loi de finances rectificative 2014, les dépenses totales du Budget général seront révisées à 4 279,6 milliards d’Ariary contre 3 388,4 milliards d’Ariary dans la Loi de Finances Initiale. En vue du bon fonctionnement de l’Administration, les dépenses courantes y compris les soldes sont révisées à la hausse, à concurrence de 20,7% pour atteindre 2 787,8 milliards d’Ariary. Les dépenses d'investissement inscrites dans le Budget Général s’élèveront à 1 177,4 milliards d’Ariary dont 783,4 milliards d’Ariary provenant des financements extérieurs et 394,0 milliards d’Ariary sur financement intérieur.

Racl. R  dans La Nation
Ce taux de croissance projeté pour cette année 2014 sera tiré par les secteurs secondaires et tertiaires qui devraient y contribuer chacun à hauteur de 40%.

Mikama - Aug 26, 2014

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Le ministère de l’Agriculture prévoit le triplement de la production rizicole d’ici 2018, soit de 4 millions de tonnes à 12 millions de tonnes, dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie nationale de développement rural.  Pour ce faire, « il faut faire une révolution semencière, un des piliers pour l’augmentation du rendement de productivité », évoque Ratsimbaharison Alain Désiré, le secrétaire exécutif de la Plate-forme de Concertation sur la filière Riz (PCRiz) (..) « la production de semences de Madagascar est actuellement aux environs de 1 000 tonnes par an alors que le besoin en semences nécessaire pour permettre d’atteindre cet objectif est de 21 000 tonnes par an. Soit un gap de 20 000 tonnes de semences »

Racl.R dans La Nation
A bien examiner les diverses dispositions de la loi de finances rectificatives 2014, l’Etat mise sur trois secteurs pour essayer de propulseur la croissance économique et de contenir l’inflation que la population a de plus en plus mal à supporter.  (..) D’après les modifications apportées dans la loi de finances 2014, le secteur primaire gardera un essor positif de 1,5%. La branche agriculture connaîtra une évolution modeste de 0,8% et la branche élevage et pêche un taux de 2,8%. (..) En outre, le secteur secondaire devra progresser de 8,6% avec le dynamisme escompté dans la branche des industries extractives. Et pour le secteur tertiaire, l’Etat espère réaliser une croissance de 2,5% et cela grâce au dynamisme du secteur des Bâtiments et des travaux publics et par l’expansion des branches liées au secteur tourisme.

Noro Niaina dans Newsmada
Dans les 22 directions régionales de l‘Education nationale (Dren), près de 363.750 enfants déscolarisés suivent actuellement des cours de rattrapage pour qu’ils soient mieux réinsérés dans le système de scolarisation dès la prochaine rentrée.

Mikama - Aug 25, 2014

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Le total de ces recettes sera de 2983,2 milliards d’Ariary, soit un taux de pression fiscale de 11,6%. Par ailleurs, le flux des dons s’accroitra sensiblement avec les appuis budgétaires provenant de l’Union Européenne, de la Banque Africaine de Développement, de la Banque Mondiale et du Japon pour atteindre 625,0 milliards d’Ariary. De ce fait, et d’après les données du document portant annexe au projet de loi n° 014/2014 portant  loi de finances rectificative pour 2014, il est indiqué que les recettes totales et dons passeront de 3070,1 milliards d’Ariary dans la prévision initiale à 3670,0 milliards d’Ariary, soit une hausse de 19,5%. (..) Le déficit budgétaire s’établira à 3,5% du PIB (contre 1,6% du PIB dans la Loi de Finances Initiale), correspondant à 906,8 milliards d’Ariary.

Noella Rakoto dans Newsmada
Le Maroc, l’Egypte, la France, la Belgique, Maurice… Tels sont, entre autres, les pays importateurs du café de Madagascar. Selon les mêmes sources, en 2013, le Maroc est le premier pays importateur de café malgache avec près de 4.807 tonnes. Il est directement suivi par l’Egypte avec 3.186 tonnes et la France avec 2.491 tonnes. Même si en 2009, la France a gardé la première place avec une part de marché égale à environ 46,6%, soit près de 818 tonnes...

Y.L dans La Gazette de la Grande-Ile
Pour l’énergie solaire, une carte élaborée suite à des études réalisées auparavant démontre que Madagascar dispose d’un important potentiel avec une énergie incidente de l’ordre de 2.000 kWh/m2/an.

Mikama - Aug 22, 2014

Navalona R. dans Midi Madagasikara
... un accord de partenariat a été signé en avril dernier entre le ministère des Mines et l’Agence gouvernementale japonaise JOGMEC (Japan Oil, Gas and Metals National Corporation). L’objectif vise à développer les ressources minérales de la Grande île à travers le renforcement des capacités du personnel technique au sein du ministère des Mines en matière de télédétection et de nouvelles technologies utilisées dans la prospection et la cartographie géologique que sont les images satellitaires.

Noro Niaina dans Newsmada
Le rapport périodique des Nations unies, qui évalue les réalisations des pays signataires de la Convention relative aux droits de l’enfant (CDE) dont Madagascar, montre que certains points des droits fondamentaux des enfants ne sont pas tout à fait respectés surtout dans les domaines de l’accès à l’éducation, la santé,  l’eau, l’hygiène et l’assainissement. En éducation, près de 1,5 million d’enfants n’ont pas eu la chance d’aller à l’école. En santé, le taux de vaccination des enfants est en baisse. Bon nombre de jeunes filles sont exposées à des exploitations sexuelles, se livrent à la prostitution ou encore font face à des maltraitances, des violences, sans négliger du mariage précoce.

CHAN-MOUIE Jean Anastase dans Midi Madagasikara
Pour l’OMS, environ 1.834.400 personnes ou 10% de la population nationale, présentent au moins un type d’handicap.

Mikama - Aug 21, 2014

Racl. R dans La Nation
Pour la totalité des entreprises créées dans tout Madagascar, une baisse de 11,8% a aussi été enregistrée pour cette année 2014 avec seulement 10 356 entreprises crées entre janvier à juin 2014 contre 11 741 en 2013. En ce qui concerne les sociétés à responsabilité limité ou SARL, il y a eu 734 nouvelles sociétés qui ont été établies pour le premier semestre de 2014 contre 736 à la même période en 2013, soit une légère baisse de 0,3%. Pour les sociétés anonymes par contre, il y a seulement 13 sociétés créées pour 2014 contre 68 en 2013 soit une baisse de l’ordre de 80,9%. Pour les entreprises individuelles, 9 211 entreprises ont été établies contre 10 252 en 2013 soit une baisse de 12,5%. (..) Comme l’explique l’INSTAT, le tissu industriel malagasy tournent autour de quelques filières alors qu’avec le potentiel que possède le pays, la tendance devrait changer. L’industrie de boisson et de fabrication de produits alimentaires occupe 16,0 % du tissu industriel tandis que la fabrication de produits à base de tabac occupe les 16,1 %. Les textiles contribuent les 17,5 % du tissu industriel malagasy et la fabrication d'articles d'habillement occupe les 14,3 %.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Le gouvernement a demandé l’appui de la Société financière internationale (IFC) du groupe de la Banque mondiale pour améliorer le climat d’investissement. Rappelons que l’IFC publie tous les ans le Doing business qui mesure l’environnement des affaires dans une centaine d’économies dont celle de Madagascar. (..)  Rappelons que dans le Doing business 2014, le pays a été au 148ème rang sur 189 économies s’il était à la 144ème place en 2013. Un recul de 4 points a été donc constaté. Sur 10 domaines mesurés par ce rapport, seuls 3 ont connu une amélioration. Il s’agit de l’obtention de prêts, du paiement des impôts et du commerce transfrontalier. En revanche, la majorité a enregistré un recul. Ces domaines portent, entre autres, sur la création d’entreprise (-12 points), l’octroi de permis de construire (-7 points), la protection des investisseurs (-1 point), etc... Sinon, il est aussi question de rationnaliser l’administration fiscale. A ce sujet, la loi des finances rectificative mise sur un taux de pression fiscale de 11%, ce qui se traduit par des recettes supplémentaires à réaliser par le fisc et la douane.

R.Edmond dans Midi Madagasikara
Si les grands centres urbains ont leurs plans d’urbanisme qui, malheureusement ne sont pas appliqués  sur le terrain ; les communes rurales quant à elles disposent chacune d’un schéma d’aménagement  communal. Mais pour le moment, sur les 1543 communes qui existent au pays, seulement une vingtaine a leur SAC.

Mikama - Aug 20, 2014

Racl.R dans La Nation
Il a été rapporté durant le mois de janvier à juin 2014, que la valeur des importations en million d’Ariary pour cette période s’élève à 3 785 686, soit une hausse de 8% par rapport à celle de 2013 qui est de 3 502 119, couvrant la même période. Cette légère hausse ne fait que confirmer la dépendance de Madagascar à l’importation... En gros, comparés à ceux de 2013, les biens alimentaires importés s’élèvent à 489 992 (en million d’Ariary toujours), alors qu’en 2014 ils sont de 581 572 soit une hausse de 18,7%. En ce qui concerne le riz en particulier, l’on a importé environ 143 514 dans le premier trimestre de 2013 alors qu’en 2014, l’on a enregistré une hausse de 93,2% allant jusqu’à 277 824. (..) Pour la même période d’observation, une hausse de 17% [des exportations] a été enregistrée pour 2014 par rapport à celle de 2013. En ce qui concerne la filière vanille en particulier, une hausse de 138,9% a été remarquée pour le premier semestre de 2014 par rapport à l’année dernière. L’exportation des produits des zones franches a aussi connu une hausse d’environs 12,7% et celle des biens alimentaires de 6,4%.

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Après 25 années d’existence, seuls 20% des cent soixante dix neuf mille membres de l’association pour le développement des paysans (FIFATA), sont devenus des paysans professionnels. (..) « Un paysan notamment celui dans l’agriculture familiale, est dit professionnel, quand il maîtrise les techniques pour améliorer la production, satisfait le marché local ou national. Il doit aussi profiter des structures mises en place, pour promouvoir les activités comme la coopérative ou l’institution de micro-finance. La spécialisation dans un secteur agricole fait partie également des critères de professionnalisation de l’activité », conclut Roland Rakotovao, membre de FIFATA.

Noro Niaina dans Newsmada
L’ampleur des dégâts causés par les intempéries durant chaque saison cyclonique a permis d’estimer les besoins annuels en moyens à mobiliser en cas de catastrophe majeure à hauteur de 36 millions de dollars.

Mikama - Aug 19, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Déforestation, la pratique du tavy, l’exploitation illicite d’or. Ces activités constituent une réelle menace au bon fonctionnement du barrage d’Andekaleka et donc de la centrale hydroélectrique de la Jirama. Au cause des travaux liés au débouchage des grilles des  vannes d’évacuation d’eau vers la centrale, la production d’énergie pour le réseau interconnecté d’Antananarivo diminue. « Presque toute l’année et surtout pendant la période de pluie, les déchets forestiers et les sables venant de la rivière Vohitra, la source d’Andekaleka, bouchent les grilles des  vannes d’évacuation d’eau vers la centrale. (..) Le volume d’eau de la rivière de Vohitra ne cesse de diminuer chaque année. Des travaux sont en effet prévus. Il s’agit de l’installation d’un système déssableur au niveau du barrage,  du nettoyage des galeries et conduites d’eau et la réhabilitation de la route reliant la centrale au barrage. Le financement total s’élève à 35 millions de dollars. Mais, la mise en place du déssableur au barrage nécessite un arrêt prolongé de la centrale. Ce qui ne serait pas possible compte tenu du besoin énergétique et sachant que plus de 50% du volume de production électrique du pays dépend de cette centrale. (..)  Les deux premiers groupes avaient été installés en 1982 avec une puissance totale de 58 MW. Le troisème groupe de 33 MW avait été installé depuis 2008.

Racl. R dans La Nation
Lorsque des investissements se font dans le côté infrastructure, la croissance est à l’horizon mais jusqu’à maintenant, il n’y a rien de tel à Madagascar. Certes des projets sont en cours de préparation, comme annoncé quotidiennement par la presse. Selon les experts, l’investissement dans les infrastructures incite la hausse du PIB et les effets sont plus durables et bénéfiques pour le pays. (..) Pour ainsi attirer l’attention des responsables de l’Etat, économia-expansion.mg ainsi que d’autres experts dans le domaine des infrastructures ne peuvent que penser à la stratégie que la Chine a déployée. « Non seulement le gouvernement a alloué des sommes colossales dans la construction, mais il a également envoyé l’argent à des endroits où la demande n’est pas toujours apparente, facilitant la tâche des économistes dans l’isolation des effets de l’investissement en tant que variable indépendante », explique le site.

Noella Rakoto dans Newsmada
Pour cette année, la prévision de production de coton est estimée à environ 40.000 tonnes contre une production de 12.000 tonnes en 2013.

Mikama - Aug 18, 2014

Njaka A. dans Newsmada
Raha ny ara-toekarena, mahatratra 116,55 tapitrisa dolara ny tentimbidin’ny entana hafaran’i Madagasikara avy any India ny fito volana voalohany 2014, raha 96,25 tapitrisa dolara ny taon-dasa, nahitana fitomboana 17,5%. Sehatra maro no voakasiky ny fiaraha-miasa eo amin’i Madagasikara sy India. Ao anatin’izany ny fanafaran’i Madagasikara vokatra ara-tsolika, ny lamba, ny fanafody, ny kojakoja an-tokantrano, ny vy, ny siramamy, ny simenitra, sns.
Mikasika ny haondrantsika mankany India, nitombo ho 35,02 tapitrisa dolara, ny janoary hatramin’ny jolay 2014 teo, raha toa ka 28,93 tapitrisa dolara nandritra io fe-potoana io ny taon-dasa. Vokatra tena naondrana ny harena an-kibon’ny tany, ny jirofo, ny ilomenaka, ny dipoavatra, ny kafe, ny hazandranomasina, ny kanela ary ny voamaina.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
La production de langoustes présente une tendance à la diminution dans la région Anosy. Des balises ont été mises en place. De 300 tonnes en 2009 à 75 en 2014. (..)  Face à la situation, une réduction des efforts de pêche est recommandée aux pêcheurs. Un consensus a été ainsi trouvé sur la mise en place de zone de conservation. (..) Au début de l’année, deux zones pilotes ont été mises en place à Sainte Luce et Itampera. Ces dernières ont été identifiées en collaboration avec la communauté des pêcheurs. Pendant une certaine période, la pêche y est interdite pour permettre aux langoustes de se reproduire.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Contrôle des finances publiques: Les incitations aux détournements sont légion. Une dizaine d’inspecteurs sur un besoin estimé à plus de 100 techniciens. 

Mikama - Aug 14, 2014

Racl.R dans La Nation
La plupart des cas, les paysans producteurs malagasy ne connaissent pas leurs droits sur leurs terres. L’on se demande bien si c’est par manque d’information, de sensibilisation ou d’éducation, toujours est-il qu’ils sont souvent vulnérables sur la question et ne savent pas comment sécuriser leurs terres. A l’origine de plusieurs mécontentements, la question relative à la sécurisation foncière demeure un enjeu fondamental malgré les réformes déjà entreprises il y a quelques années, notamment en 2005. Plusieurs paysans producteurs des endroits reculés se font déposséder de leurs terres à cause de l’ignorance des procédures à faire pour les sécuriser comme les titres ou du moins les certificats fonciers. (..) Parmi les 30 millions d’ha de terres, seul 3 millions d’ha sont actuellement exploités, soit par les paysans producteurs soit par des étrangers.

Lova Emmanuel dans L'Express de Madagascar
« À cette période où il y a une profusion d’avis sur la vie publique et politique en général, il serait judicieux pour l’État d’approfondir la démocratie et l’Etat de Droit par la création d’un observatoire, plus exactement un organisme rattaché à l’As­sem­blée nationale et au Sénat (aux parlements), un “Gover­nement Accountability Office” (GAO)», estime David Rajaona lors d’un entretien. (..) Aussi, rendre le travail de la cour des comptes et des inspecteurs d’État effectif et efficient permet d’éviter la captation par des « experts », soi-disant sociétés civiles « sans légitimité », de la voie et pensée unique de l’évaluation politique de l’État.


Dans La Gazette de la Grande-Ile
« Près de 40% du budget de l’Etat sont détournés et ce n’est pas acceptable. Il faut trouver des solutions »... l’effectif des contrôleurs des fonds publics est nettement insuffisant car l’île actuellement ne dispose que de 35 inspecteurs d’Etat et de 15 contrôleurs des Finances. Une goutte d’eau dans l’océan des agents de l’Etat dont le nombre aujourd’hui est estimé à 125 000.

Mikama - Aug 13, 2014

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
La bonne santé de la filière vanille se confirme. La valeur d’exportation de ce produit qui fait la réputation de Madagascar a connu une augmentation considérable durant le premier trimestre de cette année. Une hausse de plus de 45% selon les chiffres de la loi de finances rectificative. (..)  Les exportations en produits de rente ont subi des dégradations notables, comme le cas du café vert qui enregistre une baisse de moins 46,7% pour la même période et du girofle de moins 58,8%. Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette mauvaise performance comme la chute du prix mais aussi une baisse notable de la production à cause des feux de brousse et de l’insuffisance de pluviométrie dans les zones de production.

FR dans Madagascar Matin
La microcentrale d’Anjiajia (située dans la commune rurale de Mahatsinjo, district de Maevatanàna) a été inaugurée hier. D’une capacité de 80 kW, cette centrale répond déjà à l’axe principal de la future et Nouvelle politique énergétique (NPE), soit la transition énergétique tournée vers le développement des énergies renouvelables. Mise en service depuis mars 2014, elle fournit de l’électricité à la commune d’Andriba (à 6 km d’Anjiajia) dont le besoin est de 10 kW. C’est ainsi que la commune de Mahatsinjo (à 17 km de la centrale en question) sera également alimentée d’ici trois mois. (..) Le nombre d’abonnés raccordés à Andriba est de 108 à fin juillet 2014. Celui des clients cibles est de  350 alors que ceux de  Mahatsinjo sont estimés à  250.  Cette électrification est faite grâce au partenariat avec la GIZ qui a financé à hauteur de  242 180 000 ariary le projet tandis que le FNE ou fonds national pour l’électricité a apporté un financement de 996 821 264 ariary et de 570 649 162 ariary pour la Seimad.

Ericka Ralambomamy dans Madagascar Matin
Plus de 80% des jeunes consomment de l’alcool et de la drogue selon les informations reçues.

Mikama - Aug 12, 2014

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Les perspectives économiques restent incertaines. La Loi de finances rectificative (LFR) table sur une croissance de 3% cette année. Trois secteurs, entre autres, devraient contribuer à ce résultat, dont l’agriculture, les mines et le tourisme. Mais l’évolution actuelle de la situation ne laisse pas très optimiste par rapport à ces secteurs.  La reprise tant attendue, notamment dans le tourisme, tarde à se manifester. Et en pleine haute saison, la déception commence à s’installer au niveau des opérateurs. (..) Concernant le secteur primaire qui devrait enregistrer une croissance de 1,5% selon les prévisions de la LFR, cette performance est également tributaire de plusieurs facteurs. À commencer par la maitrise de l’invasion acridienne... L’industrie extractive reste le pilier de cette croissance. Rien que pour le
premier trimestre, les exportations de cobalt ont progressé de 85% contre 33,4% pour le nickel. Logiquement, cette tendance devrait se poursuivre jusqu’à la fin de l’année...

Dans La Gazette de la Grande-Ile
En analysant ces données, ils ont pu définir des typologies, des stratégies et des tendances globales sur des échantillons représentatifs de ménages agricoles. Ils ont ainsi pu revisiter les notions de vulnérabilité, de résilience, de durabilité et de viabilité au niveau de l’exploitation agricole dans un contexte d’incertitudes multiples. Cette étude a aussi permis de dresser un bilan des différentes bases de données disponibles et de mettre en évidence leurs points forts et leurs faiblesses. Elle a surtout permis d’identifier des indicateurs socio-économiques pertinents à l’échelle du système d’activité que constituent le ménage et son exploitation agricole. Ces indicateurs permettront de construire un observatoire dans le cadre de l’initiative OAM. Une forte résilience globale des exploitations agricoles. Grâce à ces indicateurs, les chercheurs ont mis en évidence une forte résilience globale des exploitations agricoles face aux aléas climatiques et socio-économiques. Cette résilience tient à une large diversification des activités, y compris des activités non agricoles. Elle est aussi due à une capacité d’innovation technique relativement forte des systèmes de culture et d’élevage

Noella Rakoto dans Newsmada
D’après le bulletin Tahiry n° 45, la Jirama a produit 1 405 016 Mwh d’électricité alors que 32% de celle-ci n’a pas été vendue.

Mikama - Aug 11, 2014

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
L’idée d’une banque mobile à l’étude. La Bank of Africa prévoit la mise en place d’une banque foraine pour les villes enclavées chaque mois. C’est une manière d’améliorer le taux de bancarisation. (..) BOA (Bank of Africa), en particulier, par exemple, s’intéresse à des projets comme l’éthanol qui est fortement basé sur l’agrobusiness. Elle est, entre autres, partenaire de la première usine de production d’éthanol à Tsimanampotsy Rano­mafana.
En tout cas, en réponse à cette proposition de la gendarmerie, Abdallah Ikched, directeur général de la banque, tout en restant prudent dans sa réponse, s’était montré intéressé. Il a même donné une consigne à ses collaborateurs, pour qu’une équipe se penche sur la possibilité de concrétisation de cette idée. « Le temps de la banque assise est finie. Nous devons maintenant aller vers la population », avait-il déclaré.

Riana dans Madagascar Matin
L’ODE (Observatoire de l’Entreprenariat) a relevé les points faibles de l’agrobusiness à Madagascar, notamment la désorganisation de la filière à l’exception de quelques canaux, comme celui du riz ou de la vanille. La qualité des produits agricoles se détériore à cause des techniques de production archaïques, du vieillissement des plantations et du difficile accès aux semences améliorées et autres intrants. C’est effectivement pour ces raisons que les produits agricoles venant de la Grande île sont refoulés une fois arrivés dans les autres Etats importateurs, car les normes sur le marché international sont exigeantes. En effet, Madagascar reste en général dans l’agriculture de subsistance et est encore fournisseur de produits traditionnels non-transformés, d’après l’ODE. Les facilités de stockage et de transformation des denrées sont encore rares.

Fahranarison dans Newsmada
D’après les résultats de l’étude, 50% des personnes interrogées ont contracté un emprunt au cours des douze derniers mois, toutes couches sociales confondues, citadins comme ruraux. Seulement 3,5% d’entre elles ont eu recours à une banque ou à d’autres institutions financières.

Mikama - Aug 8, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Plus de deux cents tonnes. C’est la quantité de semences produites par le centre multiplicateur de semences d’Anosiboribory durant la campagne 2013-2014. (..) La mise en place d’un projet d’appui par l’État axé sur la subvention, est proposée par les producteurs pour une véritable révolution semencière. La production de paddy s’établit actuellement à 4 millions de tonnes. Pour obtenir les 12 millions de tonnes, il faudrait 21 000 tonnes de semences améliorées, or, la production nationale se limite à 1 000 tonnes.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
1 million d’euros. C’est le coût de la centrale hydroélectrique actuellement en construction à Tsarazaza situé à 26 km de la commune de Fandriana dans l’Amoron’i Mania. (..) La nouvelle centrale de 280 kW répond à l’une des principales ossatures de la future et nouvelle politique énergétique initiée par le ministère. Ladite politique sera axée sur la transition énergétique, c'est-à-dire qu’elle se focalisera sur les énergies renouvelables.  (..) Pour la centrale de Hydelec, l’investissement sera amorti d’ici 25 ans. (..) Par ailleurs, le ministre a visité les installations de l’entreprise Jira sy ranon’ny Fisakana (Jirafi). Cette entreprise privée fournit de l’électricité pour 3 communes, à savoir Sahamadio, Milamaina, Fiadanana. La capacité de sa centrale hydroélectrique est de 160 kW mais les besoins de ces 3 communes sont seulement de 30 kW.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Micro et petites entreprises: La formule CGA intéresse des secteurs . Le syndicat du BTP et le MPE connu pour la promotion des élevages à cycle court montent actuellement leur Centre de gestion agréé (CGA) respectif. (..)

Mikama - Aug 7, 2014

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Madagascar National Parks a initié la mise en œuvre d’un projet d’accompagnement des communautés riveraines des 28 aires protégées réparties dans toute l’île. L’objectif consiste à mettre en place une gouvernance participative pérenne des ressources naturelles à l’intérieur et autour de ces parcs avec les groupements des communautés locales. Ces dernières bénéficient en contrepartie un financement de sous-projets de développement servant à améliorer les conditions socio-économiques locales

Had'Nah dans La Nation
Le ministère de l’Intérieure a enregistré près de 43.505 étrangers arrivés à Madagascar. Parmi eux, on compte 12.309 Français, 8780 Chinois et 2993 Comoriens selon les chiffres enregistrés durant l’année 2013... on a enregistré 154 nationalités différentes, entre autres, la nationalité grenadienne, érythréenne, vanuatane et encore tant d’autres, pour ne citer que les plus inconnues... Le regroupement familial, la religion, le travail, l’étude ou encore l’investissement font partie des raisons qui poussent ces étrangers à venir dans la grande île, mais c’est l’investissement occupe le premier rang avec un nombre de 8973 étrangers.

Nadia dans Newsmada
Selon  les statistiques publiées par le programme Smartfish, «l’exportation de crabes vivants est passée de 2 tonnes en 2009 à plus de 800 tonnes en 2013, et atteint déjà 1400 tonnes à la moitié de l’année 2014.

Mikama - Aug 6, 2014

Reflet dans Newsmada
Plus de 60% du corps enseignant malgache est désormais formé d’« enseignants Fram ». Certains sont carrément volontaires, en attendant une hypothétique titularisation. Parallèlement à cette situation, on estime que trois enfants sur dix qui commencent les cinq années de primaire les finissent avec le certificat d'études (CEPE) en mains, si les sept restants se trouvent livrés à eux-mêmes. Ensuite, peut-être un quart de ces trois élèves poursuivront leurs études dans le secondaire. La situation est d'autant plus préoccupante que la moitié des 22 millions de Malgaches ont moins de 18 ans. Le nombre d'enfants non scolarisés a, selon la Banque mondiale, augmenté de plus de 600.000 depuis le début de la crise...

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Chaque commune est maintenant sollicitée à élaborer son Schéma d’aménagement communal en collaboration avec ses partenaires et les acteurs de développement locaux comme les ONG. En effet, « c’est un document de planification servant à gérer le patrimoine foncier de l’Etat au profit de l’intérêt général de la nation. Avec ce SAC, les maires peuvent réaliser leurs projets de développement communaux  tels que la mise en place des infrastructures de base ou la création des voies publiques compte tenu de l’évolution démographique », a expliqué Randrianasolo Arimina Tiana, le directeur général de l’Aménagement du Territoire lors d’une conférence de presse hier.

Noella Rakoto dans Newsmada
Cadre de référence destiné au développement de la commune, le Sac va de pair avec la gestion foncière. Pour le mettre en place, il faudrait près de 10 millions d’ariary qui seront à la charge des communes et de leurs partenaires techniques et financiers.

Mikama - Aug 5, 2014


Dans La Gazette de la Grande-Ile
Tsoa-kevitra 5 no nivoaka tamin’izany. Ny voalohany dia milaza fa “vitsy no manana petra-bola” satria tamin'ny 21,9% nohadihadiana dia ny 31,1%  eny an-tanan-dehibe ary 16,4% eny ambanivohitra. Mikasika ny fampiasam-bola indray 61,2% ny olon-dehibe no maka vola iray na roa isam-bolana ary 54,2% no maka ny vola rehetra isam-bolana. Nisy ihany koa ny fanontaniana napetraka momba ny antony tsy anokafan’ny fianakaviana kaonty. Ny 87,6% -n’ny olon-dehibe nanontaniana namely fa noho ny tsy fananany vola. Ny 53,6% kosa mitana ny volany any an-trano. Miteraka fahantrana ny findramam-bola, hoy kosa ny 24,9%-n’ireo nanontaniana.

Noella Rakoto dans Newsmada
L’atteinte de l’objectif de 400.000 touristes pour 2015, ou encore le million pour 2020 demande beaucoup d’efforts de la part des acteurs du secteur, d’une part, et d’autre part du ministère de tutelle.
Si l’on se réfère à la loi de finances rectificative (LFR), l’on peut constater effectivement que sur trois années successives, notamment depuis 2012, le budget du ministère du Tourisme a été revu à la hausse. De 3.469.187 milliers d’ariary en 2012, ce budget a d’abord été porté à 4.684.824 milliers d’ariary en 2013 pour plafonner à 7.231.131 milliers d’ariary dans la LFR  2014. (..) Faut-il rappeler que pour atteindre le million de touristes en 2020, 10 millions de dollars sont requis.

Noella Rakoto dans Newsmada
« Le projet de loi de Finances rectificative (LFR) 2014 est un bon début, notamment en ce qui concerne la fiscalité sur les investissements à entreprendre. Cependant, ces mesures sont encore insuffisantes pour lutter contre le secteur informel ». Par ailleurs, la LFR note que tous les produits finis importés sont taxés à 20%.

Mikama - Aug 1, 2014

Dans Thomson Reuters Foundation
WFP [United Nations World Food Programme] implements a school feeding programme targeting 220,000 beneficiaries in southern Madagascar. For 2014 -15, World Bank funds are helping provide daily hot meals to 107,000 children. US$ 3.5 million are needed to assist the remaining 113,000.

Babany C. dans Lakroan'i Madagasikara
Le JELFI ou Jery Lanja ho Fanatsarana Ifarimbonana et en français Fiche d’Evaluation Communautaire (FEC) ou encore Community Score Card (CSC). En fait, le JELFI est un outil vieux de 8 ans. “Le JELFI a été utilisé en 2006 pour la première fois. Il a été mise en œuvre dans le volet santé” ajoute Rasolonjatovo. Depuis l’année 2006 lus de 800 communes utilisent le CSC dans le domaine de la santé. (..) Depuis 2006, l’utilisation de l’outil FEC a été étendue dans plusieurs secteurs comme l’enseignement. “Nous avons choisi d’utiliser cet outil dans le volet passation des marchés publics pour améliorer ce secteur” déclare Rasolonjatovo Ida. La passation des marchés est un secteur où le passe-droit et la corruption règne. Selon certains techniciens actuellement plus de20% des marches se s’effectuent de gré à gré. (..) Le JELFI ou FEC ou encore CSC est un des nombreux outils pour atteindre la TRS ou Transparence et Redevabilité Sociale. On peut citer parmi les autres outils le BP ou Budget participatif tant vanter auprès des responsables des communes. On sait que le budget participatif est pratiqué dans plus de 800 communes dont 125 travaillent en collaboration avec le PGDI 2.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Seulement 22,85% des passations de marchés publics ont respecté les règles de procédures, pour la période 2011-2012, d’après la restitution de rapport de l’ARMP (Autorité de régulation des marchés publics), présentée hier aux organes de contrôle, et appuyée par PGDI2.