Njaka A. dans Newsmada
Raha ny ara-toekarena, mahatratra 116,55 tapitrisa dolara ny tentimbidin’ny entana hafaran’i Madagasikara avy any India ny fito volana voalohany 2014, raha 96,25 tapitrisa dolara ny taon-dasa, nahitana fitomboana 17,5%. Sehatra maro no voakasiky ny fiaraha-miasa eo amin’i Madagasikara sy India. Ao anatin’izany ny fanafaran’i Madagasikara vokatra ara-tsolika, ny lamba, ny fanafody, ny kojakoja an-tokantrano, ny vy, ny siramamy, ny simenitra, sns.
Mikasika ny haondrantsika mankany India, nitombo ho 35,02 tapitrisa dolara, ny janoary hatramin’ny jolay 2014 teo, raha toa ka 28,93 tapitrisa dolara nandritra io fe-potoana io ny taon-dasa. Vokatra tena naondrana ny harena an-kibon’ny tany, ny jirofo, ny ilomenaka, ny dipoavatra, ny kafe, ny hazandranomasina, ny kanela ary ny voamaina.
Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
La production de langoustes présente une tendance à la diminution dans la région Anosy. Des balises ont été mises en place. De 300 tonnes en 2009 à 75 en 2014. (..) Face à la situation, une réduction des efforts de pêche est recommandée aux pêcheurs. Un consensus a été ainsi trouvé sur la mise en place de zone de conservation. (..) Au début de l’année, deux zones pilotes ont été mises en place à Sainte Luce et Itampera. Ces dernières ont été identifiées en collaboration avec la communauté des pêcheurs. Pendant une certaine période, la pêche y est interdite pour permettre aux langoustes de se reproduire.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Contrôle des finances publiques: Les incitations aux détournements sont légion. Une dizaine d’inspecteurs sur un besoin estimé à plus de 100 techniciens.
C’est la réalité au sein de l’Inspection générale de l’Etat (IGE) si on se réfère à l’atelier sur le contrôle des finances publiques organisé la semaine dernière au centre de conférences international d’Ivato. Pourtant, l’IGE fait partie intégrante des organes de contrôle des finances publiques. Mais avec un tel effectif, comment l’IGE peut-elle assurer le contrôle des finances publiques gérées par les différents services étatiques à travers tout le pays ? Il faut aussi mentionner qu’elle n’est pas la seule à rencontrer ce problème d’effectif. Le même problème se vérifie au sein de la Commission nationale des marchés (CNM), l’organe de suivi au niveau de l’Autorité de régulation des marchés publics (ARMP)
Arnaud R. dans Midi Madagasikara
Une couverture nationale de 100 centres fiscaux sur les 122 districts est déjà effective pour servir les contribuables. (..) Actuellement, une augmentation des recettes fiscales est constatée dans le pays tout entier. A ce propos, le DGI de confier que c’était en 2012 que les améliorations avaient commencé. « En novembre et décembre de l’année 2012, nous avons eu 5 milliards d’Ar de recettes. La situation s’est encore améliorée l’année suivante avec 43 milliards d’Ar. Et en 2014, il y a eu 44 milliards d’Ar de recettes prévisionnelles. Mais ce record a été encore une fois dépassé car en juillet, nous avons eu 49 milliards de recettes », confie-t-il.
Dans La Nation
En 2008, le gouvernement malgache a pu négocier une ligne de crédit à hauteur de 1,5 milliards USD via l’Exim Bank Inde. Ce financement a été projeté à financer plusieurs secteurs dans le cadre de mise en œuvre du programme de développement établi par le régime Ravalomanana et afin d’atteindre les Objectifs du Millénaire de Développement. Dans le secteur énergie, le financement du développement de l’Energie renouvelable a été estimé à 313 millions USD. Pour le compte d’Air Madagascar, afin d’assurer la compétitivité de la compagnie aérienne nationale, le gouvernement de l’époque entendait injecter près de 225 millions USD pour le compte d’Air Madagascar à travers cette ligne de crédit conclue avec Exim Bank Inde. Un financement de 65 millions USD était aussi prévu pour moderniser et rénover les équipements de la société nationale Secren. La modernisation des hôpitaux régionaux étaient estimés à l’époque près de 47 millions USD, toujours dans le cadre du crédit conclu avec Exim Bank Inde. La modernisation de l’administration était aussi prévue dans ce financement, dont le coût fut estimé, en 2008, à près de 144 millions USD. Le développement du secteur privé, notamment l’appui aux entreprises d’exportation, avait réservé de ce crédit d’Exim Bank Inde un financement de 200 millions USD. La promotion de l’exportation, quant à elle, aurait été financée à 60 millions USD par cette ligne de crédit. Quant au développement de l’éducation secondaire, le régime Ravalomanana avait estimé un financement de près de 70 millions USD à travers le crédit d’Exim Bank Inde. Mais, tous ces projets sont tous tombés à l’eau, lorsqu’Andry Rajoelina et consorts ont commis un coup d’Etat en 2009
Racl.R dans La Nation
Si les élections de 2013 sont censées mettre fin à la crise et relancer l’économie actuelle, 63,1% des personnes consultées, toujours d’après « Liberty 32 », sont convaincues que les élections présidentielles et législatives de 2013 n’ont pas mis fin à la dernière crise. La persistance des conflits visibles et latents, notamment au sein du pouvoir législatif, inquiète les autorités et les citoyens interrogés. 24% des personnes questionnées considèrent les dissensions et manouvres politiques comme principales sources des crises récurrentes, tandis que 14% font état de déception générale de la population, 13,5% d’un marasme social persistant et 11,6% évoquent les pressions et ingérences extérieures.
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