Mikama - Aug 29, 2014

Racl.R dans La Nation
Il est vrai que les semences améliorées coûtent un peu plus cher que des semences simples. Certes, le coût relatif à la recherche pour les obtenir est plus élevé(..) il y a beaucoup qui ne peuvent pas s’en procurer faute d’argent pour investir. Le rendement par hectare peut être augmenté de 10 fois plus que la moyenne avec de bonnes semences. (..) Au courant de l’année 2013, le FOFIFA a pu développer des semences de riz améliorées qui sont adaptées au changement climatique, au froid et aux cultures en hauteur. Un partenariat avec AFRICA Rice a permis de produire 60 tonnes de semences améliorées et pour les haricots, environs 20 tonnes.

Samy R. dans Newsmada
La Grande île a encore perdu de précieux points dans le dernier classement mondial par Indice de perception de la corruption (IPC) dressé par Transparency International, pour atterrir au 127e rang sur 177 pays en 2013 contre 97e sur 159 pays en 2010. Sur une échelle de 0 à 100, la note « zéro » correspondant à la nation la plus corrompue du monde, Madagascar n’a fait mieux que 28 l’année dernière contre 32 l’année d’avant. La Banque mondiale a également dressé son bilan et, selon cette institution financière internationale, la performance de Madagascar en termes de lutte contre la corruption est passée de 58% en 2008 à 32% en 2013. (..) Le Crem [Cercle de réflexion des économistes de Madagascar] affirme que 40% des liquidités qui circulent dans la Grande île proviennent de la corruption, alors que la dernière étude qu’elle avait menée en 1991 établit que la corruption représentait à cette époque 20% du PIB national. De ces 40% des faits de corruption, 20% ont même trait à des « tueries ».

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Les chiffres officiels le prouvent : les Investissements directs étrangers (IDE) sont en baisse de -25,6% au 1er semestre.
(..)  Mais les IDE ne sont pas les seuls concernés par la baisse au 1er semestre. Les statistiques officielles montrent que les autres investissements ont enregistré un recul de -17% sur la période étudiée.

Tahina Navalona dans Newsmada
L’objectif étant d’éradiquer la corruption, du moins jusqu’à 70% en 2025. La première étape consiste alors à réduire la corruption dans les secteurs clé tels que la police, la douane ou encore l’éducation, et la deuxième étape sera axée sur tout ce qui pourrait faire obstacle à l’économie du pays. Le Bianco manque de moyens. Depuis le début de cette année jusqu’en juin dernier, le Bianco a reçu 50.000 dossiers qu’il doit traiter cas par cas.

Noro Niaina dans Newsmada
 « Il faudra privilégier l’investissement pour faire avancer la bonne cause des enfants à Madagascar face aux différents problèmes dont  ils sont victimes durant ces dernières années de crise » ... si on ne parle que le cas des 1,5 million d’enfants quine sont pas scolarisés, qu’un enfant sur deux est victime de la malnutrition chronique, qu’une centaine de milliers d’enfants ne sont pas vaccinés ou encore victimes de violence et de maltraitance.

Lova Emmanuel dans L'Express de Madagascar
« 1,5 millions de malgaches lisent, écrivent et parlent le français », a estimé Clément Duhaime, Administrateur de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). (..) « Madagascar était parmi les quatre pays pilotes de l’OIF en terme de développement de la francophonie. Cette coopération était suspendue pendant la crise. Actuellement qu’elle a réintégré l’OIF, elle pourra bénéficier d’un autre programme », a précisé Clément Duhaime.

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
En 2012, les statistiques de l’Académie malagasy indiquent que 0,57% des Malgaches parlent uniquement le français, 15,87% le pratiquent occasionnellement et 83,61% ne savent que la langue malgache.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Les zébus sont de piètres laitiers, ce qui fait que même si 20% du cheptel passe à la traite, la production de lait et de produits laitiers reste faible. La production laitière commerciale fait appel à des vaches laitières de race améliorée, généralement par importation de races et croisement avec les zébus locaux. Les petits ruminants (1,9 million de têtes) et les porcs (1,3 millions de tête) sont élevés partout dans le pays. La production de ces espèces est principalement à petite échelle dans le cadre d’une exploitation familiale largement diversifiée.