Mikama - Mar 31, 2016

Bill dans Madagascar Tribune
Trois jeunes entrepreneurs malgaches sont sélectionnés et figurent dans la liste des 1000 retenus sur plus de 45 000 candidatures pour le cycle 2016 d’un programme initié par une fondation africaine qui s’appelle Fondation Tony Elumelu et qui est intitulé Programme Esprit d’Entreprise Tony Elumelu ou TEEP. Il s’agit de Jessica Rakotoarisoa, (Energy/Power Generation), de Soazara Ranivoarivelo (Agriculture-Agri-business, Farming, etc.), et de Thierry Ratsizehena (Education and Training). Ils vont bénéficier des formations, des réseautages et des compétences offerts par la Fondation Tony Elumulu mais également des fonds d’amorçage de leur entreprise. (..) La fondation Tony Elumelu est une organisation philanthropique basée en Afrique et financée par des fonds africains. Fondée en 2010, la TEF est déterminée à stimuler la croissance économique de l’Afrique en soutenant l’entreprenariat africain.

Miangaly Ralitera dans L'Express de Madagascar
Approprier formation et milieu professionnel. La Chambre de Commerce et d’Industrie France Madagascar (CCIFM) et l’Institut supérieur de la Communication, des Affaires et du Management (ISCAM) collaboreront pour assurer que les formations données aux jeunes soient adaptées aux besoins du monde professionnel.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Le programme PROSPERER financé par le FIDA (Fonds International de Développement Agricole) travaille en partenariat avec l’INBAR (International Network for Bamboo and Rattan) pour relancer la filière bambou dans ses zones d’intervention. Il s’agit notamment d’Analamanga, d’Itasy, de Bongolava, d’Atsinanana, de Matsiatra Ambony, de Vatovavy Fitovinany, de Boeny et de SOFIA (..) En outre, 591 micro-entreprises rurales bénéficiant d’une formation technique de transformation se lancent actuellement dans ces activités de transformation de bambou.
Centre de formation. Parmi lesquelles, 381 micro-entreprises rurales fabriquent des meubles en bambou tandis que 177 autres micro-entreprises produisent des mobiliers d’école. Quant aux 224 micro-entreprises rurales formées, elles optent plutôt sur la confection des produits artisanaux à base de bambou. Mais il y a d’autres micro-entreprises rurales au nombre de 107, elles font la construction de maison en bambou.

Dans Midi Madagasikara
650 millions de personnes dans le monde n’ont pas encore accès à l’eau potable tandis que 2,3 milliards n’ont pas accès à l’assainissement. Parmi eux, des Malgaches qui boivent et utilisent encore de l’eau trouble, au risque de développer des diverses maladies, notamment les diarrhées, frappant essentiellement les enfants. D’autres, essentiellement des femmes et des enfants, parcourent jusqu’à plus de 22km, comme c’est le cas pour les communes de Sampona et de Tanandava, près d’Amboasary Sud, pour puiser de l’eau dans la rivière Mandrare. (..) Pour atteindre l’objectif fixé par Madagascar qui est de donner accès à l’eau potable à 76% de sa population, soit plus des trois quarts, d’ici à 2025, le pays doit...
L’eau en chiffres
1,5 milliard de travailleurs dans le monde sont employés dans des secteurs liés à l’eau.
¾ des emplois dans le monde dépendent de l’eau.
50 litres par jour, telle est la quantité moyenne d’eau nécessaire à chaque personne pour assurer une bonne hygiène, rester en bonne santé et assurer tous les besoins domestiques.
45 %, soit près de la moitié, du salaire journalier des travailleurs pauvres, équivalent au coût de ces 50 litres d’eau actuellement.
48 % de la population de Madagascar n’ont pas encore accès à l’eau potable.

Mikama - Mar 30, 2016

Dans Madagascar Tribune
Le revenu, la santé, la protection sociale, la liberté de choix, la générosité et la confiance sont principaux les critères retenus par cette étude pour évaluer le bonheur des populations. Si, lors des premiers rapports, le classement s’éloignait assez peu de celui du PIB par habitant, il a toutefois évolué au fil des années. Selon les auteurs, cette édition 2016 a introduit un nouvel élément qui porte sur les inégalités : « la nouvelle recherche suggère que les gens sont significativement plus heureux dans les sociétés où il y a moins d’inégalités » assurent-t-ils. (..)
Classement des pays africains selon le World Hapiness Report 2016
1- Algeria (38e au niveau mondial)
2- Mauritius (66)
(..)
36- Madagascar (148)
37- Tanzania (149)
...

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Un nouveau type de vaccin baptisé Super Mafonja Plus, destiné aux poussins chair, a été présenté par Agrifarm, la semaine dernière. Cette innovation devrait améliorer la productivité de l’élevage de poulet de chair. 150 000 poussins par semaine ! C’est la vente moyenne réalisée par Agrifarm... Avec le nouveau vaccin, les éleveurs d’Agrifarm atteignent une performance de 2,3 kilos en 37 jours, d’après les explications. De leur côté, les éleveurs témoignent que le taux de mortalité est également réduit. Même si les chiffres ne sont pas précis, il faut croire que la consommation de poulet de chair dans la Grande île avoisine les 48 tonnes par jour.

Arh. dans NewsMada
Le bambou est omniprésent dans le quotidien des Malgaches si l’on ne cite que les paniers à fruits faits en bambou, les meubles qui ornent les foyers depuis longtemps et même les habitats faits en bambou. Son utilisation représente une part importante des revenus des exploitants et contribue à la protection de leur environnement. (..) les scientifiques étrangers ont recensé 22 mille hectares de plantation de bambou à Madagascar. (..) La Chine en exploite actuellement sur 3,2 millions d’hectares en vue de fabriquer des matériaux de construction, des produits artisanaux, des produits cosmétiques et des boissons énergisantes. (..) 591 micro-entreprises rurales (Mer) ont bénéficié de formations techniques de transformation dont 224 en matière d’artisanat et 91 en production de charbon de bambou. A court terme, des «champs-écoles paysans » (CEP) seront mis en place dans les différentes zones de chaque région pour une approche intégrée du développement des activités liées au bambou par rapport au marché : pépinières, plantation, charbon, artisanat. Prosperer et Inbar tentent dans ce sens de donner un place plus significative à cette matière première tant dans le domaine économique qu’environnemental.

Mikama - Mar 29, 2016

Dans Africa News
Plastic bags less than 0.05 millimeters thick have been banned in Madagascar since October last year and a Malagasy company has been importing cassava starch to produce biodegradable alternative bags. At first sight, the bags look like ordinary plastic bags, but they are made of cassava and do not contain polyethylene. According to the manufacturers, the bags need 3 to 6 months only to decompose, compared with the hundred years for the plastic version. (..) Last year, the country asserts having made 40 tons of the bags and hopes to multiply production to 360 tons in 2016 and see her invention crossing the oceans.

Dans China Post
However, at times when he is able to spend 20 days a month at sea tending to his farm, Birisoa can produce up to 140 kilograms of dried red algae with his 60 rows every 45 days. This generates an additional 70,000 ariary (about US$21) for the family income. While its insufficient to cover the entire month's expenses, it is enough to pay the 20,000 ariary (about US$6) monthly school fees for his four children who are now attending the village's private school... with 120 rows, "the maximum a farmer can maintain during a season, a household can produce up to 300 kilograms of algae, and, with the current price of the product, earn 150,000 ariary (about US$46) every 45 days." This amount is equivalent to the minimum monthly salary in Madagascar, but that income has helped change the lives of many fishermen in this southern part of the Great Island where algaculture has been practiced for nearly 10 years now... In Beheloke where algaculture was introduced in 2013, the 33 algae farmers can still only produce 400 kilograms of dried algae every two weeks

Mikama - Mar 28, 2016

Dans La Gazette de la Grande Ile
Outre le MCC, qui est responsable des questions relatives à l'OMC, et des accords commerciaux bilatéraux ou régionaux, le Ministère chargé des finances est également fortement impliqué dans la mise en application de la politique commerciale, au travers notamment de la Douane pour les questions tarifaires et de facilitation des échanges. (..) parmi les entités également impliquées dans la promotion des exportations, l'Economic Development Board of Madagascar (EDBM) est un guichet unique de l'investissement, offrant des services de promotion et de facilitation, y compris au sein des ZEF. D'autre part, l'International Trade Board of Madagascar (ITBM) est une association privée dédiée à la promotion des exportations, au commerce international, créée en 2010 par les principales organisations patronales.. Diverses organisations patronales et syndicales sont associées à l'élaboration de la politique commerciale du Madagascar, également sur une base ad hoc. Parmi celles-ci figurent le Syndicat des industries de Madagascar, le Groupement du patronat malgache, la Chambre d'agriculture, le Groupement des entreprises de Madagascar, et le Groupement des entreprises franches et partenaires. La Fédération des Chambres de commerce et d'industrie de Madagascar, établissement public à caractère professionnel, fédère le réseau de 24 Chambres de commerce et d'industrie locales, instituées par une loi de 2006... Madagascar bénéficiait, en octobre 2014, d'actions concomitantes ayant comme objectif la promotion du commerce extérieur, menées par l'OMC, par la Conférence des Nations Unies pour le commerce et le développement (CNUCED), par le Centre du commerce international (CCI), par le Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD), par la Banque mondiale, par le FMI, et par le Cadre intégré renforce...

Mirana Rabakoniaina dans Madagascar Tribune
Près de tiers des jeunes filles 31% et 22% des garçons, ont eu des rapports sexuels avant l’âge de 15 ans, selon le ministère de l’Education nationale. Conséquence logique, la grossesse précoce des jeunes élèves qui abandonnent le banc de l’école. Chez les adolescentes de 15-19 ans qui ont déjà des enfants, plus de la moitié sont analphabètes ou non scolarisés. A peine le tiers ont fini l’école primaire et 12% seulement ont fini le niveau secondaire.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
... le gouvernement japonais a confirmé l’octroi d’un financement non remboursable d’un montant de 30 millions USD pour démarrer le projet de réhabilitation du périmètre irrigué et du bassin versant du PC 23 au Lac Alaotra. (..) En outre, « le Japon s’engage également à financer trois autres nouveaux projets que nous avons montés. Il s’agit du projet sur le développement de la chaîne de valeur agricole, notamment pour la riziculture, du projet de recherche agricole et du projet d’appui à la mécanisation agricole »

Berado dans La Gazette de la Grande Ile
Le paludisme touche près de 400.000 personnes par an à Madagascar et est en train de gagner du terrain dans la capitale. Généralement, le paludisme est une maladie qu’on ne rencontre que dans les zones tropicales. Même si elle est souvent sous-estimée, c’est l’une des principales causes de mortalité dans la grande île qui tue entre 300 à 600 personnes par an. (..) En 2007, l’objectif était de réduire les cas à 40.000 en 2012 et à moins de 50% la proportion de mortalité due au paludisme. La lutte a échouée à cause de plusieurs problèmes, notamment stratégiques et financiers. Les luttes ont bien eu lieu mais de façon illusoire et sporadique.

Mikama - Mar 24, 2016

Arnaud R. dans Midi Madagasikara
... le projet se fixe comme objectif de faire participer les personnes en situation de handicap à la mise en œuvre effective et au suivi des politiques publiques, au niveau national et local, conformes aux principes visés par ladite Convention. Son élaboration pourra se faire grâce à un financement total de plus de 260 886 Euros, dont 182 620 Euros (70%) de la part de l’Union Européenne, et 78 266 Euros venant de Handicap International. Parmi les grandes lignes de «Mirazo» figurent la formation et le développement des compétences de la PFPH/MAD, l’appui au MPPSPF afin de rendre opérationnelle la Commission Nationale du Handicap, la création d’un Observatoire du Handicap au sein de la PFPH/MAD, et enfin le déploiement des plaidoyers favorisant l’application des principes de la CDPH.

Riana R. dans NewsMada
Outre les techniques agricoles, l’engrais et les semences, le système d’irrigation est aussi d’une importance majeure pour les activités rizicoles. A ce propos, le district d’Ambohibary est avantagé avec la présence d’une quinzaine d’infrastructures hydro-agricoles dans cette localité</em> », a fait savoir Marcel Rakotondraibe, un technicien agricole qui travaille à Antsirabe-II. Selon les chiffres du ministère de l’Agriculture et du développement rural, la région Vakinankaratra arrive actuellement en tête en termes de production rizicole. La production dans cette région atteint les 650 000 tonnes par an ces dernières années, notamment depuis que la grande majorité des paysans ont développé la culture de riz pluvial.

S. Antonio dans Le Daily
François Woo Shing Hai, Directeur Général de CMT Ltd, compagnie mauricienne de textile au chiffre d&rsquo;affaire de 200 millions de dollars (1.2 milliards Rs de profits en 2011), annonce la réactivation de ses usines sur la Grande Ile, suite à un agrément du Ministère de l&rsquo;Industrie. Le géant mauricien compte donc re-ouvrir la &laquo;&nbsp;Compagnie Malagasy de Textile&nbsp;&raquo; , et le projet est d&rsquo;envergure : 60 nouvelles chaines de production de confection, élargissement de l&rsquo;ancien bâtiment de 200 000m2 et construction d&rsquo;un nouveau bâtiment de 300 000m2 huit kilomètres plus loin pour accueillir 86 chaînes de production additionnelles. Coût total des investissements : 20 millions de dollars US et une promesse de 10 000 emplois crées.

Mikama - Mar 23, 2016

Riana R. dans NewsMada
Pour la première fois depuis trois ans, les importations de riz retombent en dessous des 300 000 tonnes, avec 252 800 tonnes en 2015... « Les zones touchées par le Projet d’amélioration de la productivité rizicole sur les hautes terres centrales (Papriz) ont vu leur rendement rizicole augmenter de 3,3 tonnes par hectare contre près de 2,4 tonnes par hectare cette année. Le développement de la culture du riz pluvial est également une alternative prise par les riziculteurs pour assurer la hausse de la production. Ce qui a permis cette baisse des importations de riz »

Bill dans Madagascar Tribune
Le grand sud a besoin de 69,7 millions de dollars américains. (..)Exacerbée par EL NINO, cette sécheresse provoque au total 1.138.006 personnes touchées par l’Insécurité Alimentaire (AI) selon les résultats de l’évaluation publiée par le PAM en février 2016. Ce qui représente 80% de la population rurale des 7 Districts du Grand Sud du pays (Amboasary, Ambovombe, Tsihombe, Beloha, Bekily, Ampanihy, Betioky). Parmi ces personnes, 475.523 (34% de cette portion de population) sont en Insécurité Alimentaire Modérée (IAM) tandis que 663 484 (47% de cette portion de population) sont en Insécurité Alimentaire Sévère (IAS).

Berado dans La Gazette de la Grande Ile
... signature d’un accord de don pour le financement de l’ élaboration de « Schémas Directeurs d’Assainissement de Huit (08) Centres Urbains Secondaires » ou SDAUM, d’un montant s’élevant à Un million huit cent trois mille cinq cents euros, équivalent à six milliard quatre cent quatre vingt douze millions six cent mille Ariary. Le projet vise à doter les principaux centres urbains secondaires de Madagascar de Schémas Directeurs d’Assainissement ...

Ericka dans Madagascar Matin
Seuls 10% des travailleurs bénéficient de la sécurité sociale. Bien que la sensibilisation ait été renforcée et que le code de travail l’exige, peu connaissent réellement leurs droits.

FR  dans Madagascar Matin
L’exportation de « nickel », qui occupe le pôle au sein de la branche « extractive », a connu une augmentation de 24,1% entre le premier semestre 2015 et le premier semestre 2014. La valeur courante de l’exportation de ce minerai a atteint 222,9 millions de Dts en 2015... Ainsi, sur les six premiers mois de 2015, le pays a livré 23 126,0 tonnes... A ce propos, la tonne s’est vendue à 13 537,9 dollars Us en moyenne en 2015.. Quant à l’exportation de « cobalt », une progression à hauteur de 22,6% a été notée, en comparant les premiers semestres de 2014 et 2015. La valeur nominale Fob correspondante s’est chiffrée à 32,0 millions de Dts en 2015...

Mikama - Mar 22, 2016

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Antananarivo, Mahajanga et Nosy-Be sont les trois villes qui bénéficieront du projet Scaling Solar. Ce projet photovoltaïque de production à grande échelle réduira de moitié le coût de production d’énergie, sur 25 ans. 1,3 millions d’Euros et une surface de 1,5ha : c’est ce qu’il faut pour produire une énergie solaire d’un mégawatt (MW). (..) L’énergie renouvelable ne contribue aujourd’hui qu’à 20 % de la production d’électricité à Madagascar. Selon le ministre de tutelle, Horace Gatien, l’objectif actuel est de porter ce chiffre à 80 %, d’ici 2030. « Madagascar a un potentiel hydroélectrique de 2 800MW et un ensoleillement de 2 800 heures par an. Cependant, nous ne disposons pas encore de l’expertise nécessaire pour développer les ressources renouvelables. Le taux d’accès à l’électricité est encore très faible à Madagascar, de l’ordre de 15%. En milieu rural, ce taux est à environ 6 %. A travers la nouvelle politique de l’énergie, ce taux devrait augmenter à 70 %, dans les 15 ans à venir »

Arnaud R. dans Midi Madagasikara
Une récente enquête nationale de suivi des Objectifs du Millénaire pour le Développement (ENSOMD) a montré que le taux de fécondité des adolescents de 15 à 19 ans à Madagascar est de 163 %0 (pour mille). «C’est l’un des taux de fécondité des adolescents les plus élevés, comparé aux autres pays... Le fait est que ce sont généralement les pauvres qui ont beaucoup d’enfants. Contrairement à la couche moyenne qui n’ont en général que 2 à 3 enfants par foyer. Seul 33 % de la population, de 15 à 49 ans, procèdent à l’utilisation des méthodes contraceptives à Madagascar (..) . «Ces dix dernières années, il y a eu une hausse de 2,8 % par an des jeunes de moins de 18 ans. Et à l’heure actuelle, la population active est moins nombreuse que la population inactive»

Maholy dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar
Les travaux d’extension et de rénovation du port d’Ankify Commune rurale d’Ambohimena, district d’Ambanja sont réalisés à 60% et sont prévus prendre fin en mai. (..) La zone du port s’étendant sur 3 500m2 a été pavée, un abri passager a été mis en place, le marché réaménagé avec une passerelle piétonne qui est en phase de finalisation. Le port est également doté de kiosque pour la gendarmerie nationale et un bureau de l’Agence Portuaire, Maritime et Fluviale (APMF). Alain Roger, chef de zone Bâtiment Construction Industrielle de Colas expliquent que les travaux restants consistent à construire des toilettes publiques, à aménager l’entrée du port et les points d’amarrages et à mettre en place une passerelle amovible. Le coût des travaux est de 2,5 milliards d’Ariary. Au moins 200 passagers et 40 tonnes de marchandises transitent chaque jour dans ce port.

Mikama - Mar 21, 2016

Lova Rabary-Rakotondravony dans L'Express de Madagascar
Selon les chiffres transmis par Robert Berg, directeur des ventes à Sourcing at Magic, un réseau de fournisseurs et de commerçants des secteurs textile et accessoire, les valeurs des produits textiles et accessoires exportés par la Grande île vers les États-Unis sont passés de 19 millions de dollars en 2014 à plus de 50 millions de dollars en 2015.

Noro Niaina dans NewsMada
La consommation d’alcool constitue le principal recours pour fuir les problèmes de la vie quotidienne chez certaines catégories de personne. Un comportement instinctif qui tend à gagner du terrain et favorise l’addiction surtout chez les personnes âgées de 30 à 45 ans dont 15% sont des femmes. (..) La source du problème réside également dans le fait que 60% de ces personnes ne travaillent pas à cause de la perte du contrôle de soi due à la consommation d’alcool. Par ailleurs, la plupart des gens qui viennent au CCAA ont un niveau et un cadre de vie moyens, exerçant une profession libérale ou encore sans revenu fixe. 82% des consultants sont totalement dépendants et 18% des consommateurs à risque.

Arh. dans NewsMada
A l’exemple de la région Itasy, elle bénéficie d’une situation préférentielle, de par ses richesses aquatiques naturelles. Le lac Itasy, quatrième plus grand lac continental de l’île, ainsi que les lacs avoisinants, vestiges d’une ancienne activité volcanique, permettent l’exploitation de plus de 4.000 ha de points d’eau, pour 3 220 pisciculteurs formels recensés, soit 2,25% des actifs de la région. Le secteur informel, peu enclin à respecter les périodes de fermeture des pêches, est également très présent, principalement à cause des taxes et des ristournes à payer. Des enquêtes sur le terrain qualitatives ont permis le recensement d’environ 4.500 pêcheurs, soit 20% de l’ensemble des pêcheurs de Madagascar.

Dans PRNewsWire
Cataracts are the cause of 64% of blindness and 86% of severe visual impairment in Madagascar. "Over the past 19 years, Lions Sight First Madagascar with support from Lions Clubs International Foundation (LCIF) and in partnership with the Ministry of Health, supported over 68,000 cataract surgeries in forty four hospitals and clinics all over the country. We also trained forty Malagasy surgeons as part of "Chirurgie Oculaire Essentielle" for essential eye care. (..) With the high demand for training of 150 – 180 qualified cataract surgeons, HelpMeSee will begin to accelerate the training of additional cataract surgeons in 2016.

Mikama - Mar 18, 2016

Dans La Gazette de la Grande Ile
Par ailleurs, les données publiées par la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement , Examen de la politique d’investissement Madagascar indiquent qu’un tissu entrepreneurial fort permet d’augmenter la capacité d’absorption de l’économie locale et, par conséquent, de mieux bénéficier des flux d’IED par une meilleure assimilation des transferts de technologie, des connaissances et par l’intégration dans les chaînes de valeurs des investisseurs étrangers et l’insertion dans le commerce mondial. Or, à Madagascar, seul 1,23% de la population est répertoriée de manière formelle comme entrepreneur, et la majorité est concentrée à Antananarivo. En effet, les dernières statistiques disponibles indiquaient que plus de 60% des entreprises opèrent dans la capitale malgache (INSTAT, 2006). En outre, les entreprises malgaches ont une productivité, en moyenne, plus faible que celles d’autres pays d’Afrique subsaharienne et une grande majorité d'entre elles sont informelles (Banque mondiale, 2014b).

Miangaly Ralitera dans L'Express de Madagascar
Nouvelle frayeur. Les agents de vaccination ont détectée dix sept cas d’enfants atteints de la paralysie flasque aigüe (PFA) et suspectée d’être de la poliomyélite, lors des deux premiers jours de cette 7e campagne de vaccination contre la poliomyélite. (..) La présence de quelques enfants non vaccinés parmi ces 17 cas suscite, toutefois, l’inquiétude car la non immunisation facilite la propagation du virus, d’après les explications des scientifiques.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
En 2010, première année d’application de la gestion durable, les pêcheurs ont réussi à avoir 600 kilos de poulpes, la première journée de l’ouverture de la saison de pêche. Ce chiffre est monté à 800 kilos en 2011, puis à 1,2T en 2012 ; ensuite à 3T en 2013… L’année dernière, la première journée de pêche a donné 5T de poulpes. Et pour cette année, l’ouverture officielle de la saison de pêche a été annoncée le 11 mars dernier. Les pêcheurs ont obtenu près de 6T de poulpes et 200 kilos de poissons, rien qu’en une journée.

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
... avec la mise en place d’une technologie innovante. Il s’agit du point d’échanges internet dénommé Mada­gascar global internet exchange (MGIX). « Le point d’échanges internet plus communément appelé GIX, est une infrastructure physique qui permet aux acteurs interconnectés de s’échanger du trafic internet local grâce à des accords mutuels dits de “peering”. Les utilisateurs d’un IXP peuvent ainsi améliorer la qualité de leur débit Internet et éviter les coûts supplémentaires importants liés au transport des données », explique un spécialiste du secteur telecom.
Concrètement, ce dispositif permet de ne pas passer par des connexions internationales. Les échanges internet se réalisent au niveau national.

Dans PRNewsWire
Cataracts are the cause of 64% of blindness and 86% of severe visual impairment in Madagascar. "Over the past 19 years, Lions Sight First Madagascar with support from Lions Clubs International Foundation (LCIF) and in partnership with the Ministry of Health, supported over 68,000 cataract surgeries in forty four hospitals and clinics all over the country. We also trained forty Malagasy surgeons as part of "Chirurgie Oculaire Essentielle" for essential eye care. (..) With the high demand for training of 150 – 180 qualified cataract surgeons, HelpMeSee will begin to accelerate the training of additional cataract surgeons in 2016.

Mikama - Mar 17, 2016

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
2 jeunes filles sur 5 sont mariées ou en union avant l’âge de 18 ans selon les statistiques officielles. Madagascar figure ainsi parmi les pays au taux de mariage précoce le plus élevé au monde. Le Sud et l’Ouest du pays sont les plus concernés même si le phénomène s’observe sur tout le territoire. Les données de 2012 de l’Institut national de la statistique (INSTAT) révèlent que pour la province de Toliara, 69% des filles de 20 à 24 ans ont été mariées avant leur 18ème anniversaire. Ce taux est respectivement de 59% et de 58% pour les provinces de Mahajanga et d’Antsiranana. Fianarantsoa arrive en 4ème position avec un taux de 50%, puis Toamasina (41%) et Antananarivo (35%). (..) En Ouganda, l’approche est intégrée : les clubs des jeunes filles proposent une large palette d’activités dont les pratiques ludiques, l’éducation sexuelle, les formations professionnelles, les cours d’initiation financière, l’accès à des structures de microfinance pour celles qui souhaitent créer une entreprise… Ce pays compte plus de 1 500 clubs de ce genre gérés par l’antenne ougandaise du BRAC, une organisation internationale basée au Pakistan et connue pour son action en faveur de l’émancipation des pauvres et notamment des femmes. Les jeunes filles ayant fréquenté ces clubs pendant 2 ans ont plus de 70% de chances que celles qui n’en sont pas membres, d’avoir une activité rémunératrice. De plus, elles ont respectivement 26% et 58 % de risques en moins de tomber enceintes à l’adolescence et de se marier ou de se mettre en ménage.

V.M dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar
... plus de 60?% des femmes considèrent que l’homme a le droit de battre sa compagne. (..) Une fille sur deux est mariée ou en union avant 18 ans, le mariage des enfants engendre la grossesse précoce, une fille enceinte risque d’être exclue de l’école et limite sa chance de trouver un emploi décent et d’assumer son autonomie à l’avenir. La grossesse et l’accouchement constituent la cause majeure de décès chez les adolescentes. Dix femmes meurent chaque jour suite à des complications liées à la grossesse et à l’accouchement, dont trois adolescentes de 15 à 19 ans

V.M dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar
Responsabiliser les jeunes pour qu’ils ne replongent plus dans la délinquance est désormais l’objectif après la réalisation des études sur le phénomène qui a fait la triste célébrité de Diego Suarez, (..) Treize quartiers avec leurs bandes de jeunes délinquants respectives sont touchés par ce projet. Cent jeunes seront sélectionnés par les Fokontany suivant des critères préétablis qui sont l’âge (entre 15 et 18 ans), leur appartenance à une famille monoparentale, leur niveau scolaire (secondaire ou moins), ils ou elles appartiennent à un des treize groupes recensés, ont un revenu faible et ont déjà été condamné(e)s ou détenu(e)s. Pour la mise en œuvre et la pérennité du projet, trois comités sont constitués. Le premier travaille sur les mesures préventives à adopter, le second pour les actions pour la réhabilitation, la réinsertion sociale, culturelle et économique des enfants et des jeunes et le dernier pour la mise en place d’un cadre institutionnel et juridique contre ce phénomène.

Mikama - Mar 16, 2016

adminlaverite dans La Vérité
Les pertes générées par les accords économiques avec les partenaires régionaux s'élèvent à 74,8 milliards ariary dont 34,8 milliards d’ariary au titre de la préférence tarifaire du Marché commun de l’Afrique orientale et australe (Comesa) et 31,5 milliards d’ariary pour la Communauté de développement de l’Afrique australe (Sadc). (..) Les droits et taxes suspendus dont bénéficient les zones franches s'élèvent à environ 130 milliards d’ariary par trimestre dont près de 75 % pour des matières textiles et des confections. (..) L’année 2015 a été marquée par une quasi-stagnation des importations. Ces dernières étaient estimées à 6 806,3 milliards ariary de marchandises destinées à la consommation, contre 6 515,8 milliards d’ariary en 2014. Contrairement aux importations taxables, les importations admises en franchise ont progressé plus vigoureusement.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Le secteur agricole malagasy a souffert des facteurs exogènes telles les inondations, sècheresses, et invasion acridienne durant l’année 2015. Celle-ci a été prouvée par les contre-performances des productions de riz, de manioc et de maïs avec des chutes situées entre 6 et 10% durant cette période en revue, comparées à celles de 2014. Dans la région sud du pays, la chute est très significative, avec des reculs de production de 60 à 80%. (..) En 2016, l’objectif du Ministère de l’agriculture est d’implanter des laboratoires de sol et de semences, ainsi que deux usines d'engrais dans deux régions de l'Ile. Pour appuyer le secteur, le Ministère bénéficiera de 300 millions de dollars venant des différents bailleurs de fonds en deux ans pour la mise en oeuvre de plusieurs projets. En ce qui concerne le capital humain, la formation agricole et rurale va se poursuivre, et 6 800 jeunes seront formés.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Parmi les exploitants de graphite, la délégation ministérielle a visité Graph Mada, qui produit 12 à 20T de graphite par jour, l’établissement Galois qui produit 2 à 3T à Antsirakambo et Marovintsy ; et enfin la Power Stand à 50km de la ville de Toamasina, qui produit 12 à 13T tous les deux ou trois jours. Cette firme a produit 1 400T en 2014 et près de 3 000T en 2015. D’après les explications, les graphites produits sont purs, et contiennent jusqu’à 90% de carbonne.

Nirina Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
 « Nous puisons certaines de  nos  connaissances  dans  les  pratiques ancestrales  qui  se  sont  transmises  jusqu’à  nos  jours. Et les médecines traditionnelles font intervenir des divinations ou encore des cérémonies de possession comme diagnostics. Et puis, les plantes médicinales, les tabous et les comportements sont les remèdes que nous prescrivons (..) L’objectif de la pratique de soin  traditionnel, plus qu’un soin du corps, c’est également de résoudre les maux et les malheurs qui touchent les individus dans leur communauté, d’apporter des aides  mentales  et spirituelles, de faire le bien pour les individus et de rétablir quelque fois l’ordre social causée par un  conflit (..) toutes ces pratiques se basent sur la relation des guérisseurs avec les esprits, avec les ancêtres. Ils s’adressent à eux pour recevoir leur bénédiction qui conditionnera leurs pouvoirs, leurs connaissances et leur efficacité ».

Mikama - Mar 15, 2016

Dans La Gazette de la Grande Ile
Une liste de projets ayant subi une première sélection en interne est proposée au Ministère des Finances et du Budget. La programmation et la budgétisation qui traduisent les stratégies et activités en coûts financiers sont aussi assurées par les Ministères Sectoriels et institutions, avec l’assistance du Ministère des Finances et du Budget. La programmation triennale et glissante se réalise sur la base d’un Document d’Orientation Economique et Budgétaire (DOEB), accompagné des questionnaires PIP. Leurs canevas sont confectionnés par le MFB mais remplis par les ministères et institutions en vue de les responsabiliser dans le choix de leurs activités d’investissements (approche bottom –up). Ils retracent ainsi la logique d’intervention globale du ministère ou de l’institution concernée, en termes notamment de choix stratégiques et de préparation des projections de crédits détaillées. (..) Durant la dernière décennie, les investissements globaux tournent en moyenne autour de 24% du PIB nominal, dont 25% sont issus des investissements publics. (..)  Les taux d’investissement passent ainsi de 3,1% du PIB en 2013 à 3,9% du PIB en 2014 et 4,5% du PIB en 2015.

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
La part de marché des produits malgaches reste encore minime. Mais cela n’a pas empêché certains produits d’accéder facilement au marché canadien grâce à l’« initiative d’accès au marché ». (..) « Il y a une part de marché grandissant que Madagascar doit saisir. En 2014, nous sommes arrivés à la sixième place des pays africains exportateurs au marché canadien avec un volume de 37 581 922 dollars canadiens », continue-t-il d’expliquer. Le thé, le café, les épices, les gousses de vanille, les vêtements, les fruits de mer sont les principaux produits exportés depuis Madagascar.
Le Plan d’action sur les marchés mondiaux du Canada pour 2013 désigne Madagascar comme un « marché émergent qui offre des débouchés particuliers aux entreprises canadiennes ». En 2014, le commerce bilatéral des marchandises entre le Canada et Madagascar s’est élevé à 117 millions USD, hors investissements miniers.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
En 2015, cette entreprise d’Etat a consommé plus de 128 millions de litres de gas oil contre près de 93 millions de litres l’année précédente. Cela va encore augmenter avec la mise en place tout récemment des différentes centrales thermiques servant à résoudre le problème de délestage dans le pays. Il a été prévu dans la Loi des finances Initiale 2016 que les subventions accordées par l’Etat pour la Jirama sont de l’ordre de 240 milliards d’Ariary. « Mais à la suite d’une évaluation, ce montant a été révisé à la hausse, soit de l’ordre de 300 milliards d’Ariary pour cette année. Mais c’est quand même en baisse par rapport aux subventions allouées en 2015 qui ont atteint les 310 milliards d’Ariary »

Arh. dans NewsMada
Le marché actuel affiche un besoin annuel estimé entre 10 à 12 millions de poussins. Aussi, en raison de son accessibilité, l’élevage à cycle court s’avère-t-il être une alternative favorable pour les victimes de la crise. Il faut par exemple 2 kg d&rsquo;aliments pour obtenir un kilo de viande, alors que pour produire la même quantité, il faut près de 7 kg d&rsquo;aliments pour un bœuf et 5 kg pour un porc. De plus, la croissance d&rsquo;un poulet varie de 40 à 45 jours. (..) La consommation de poulet dans la Grande île reste encore faible, avec 2,5 à 3 kg par personne par an, par rapport à la consommation de l’île Maurice (40kg/pers/an), de la Côte d’Ivoire (13kg/pers/an) ou encore de l’Europe (50kg/pers/an).

Mikama - Mar 14, 20

R.Edmond. dans Midi Madagasikara
La Chambre de Commerce et de Coopération Canada-Madagascar (CanCham) vient d’être lancée pour dynamiser davantage les échanges entre les deux pays... le commerce bilatéral entre Madagascar et le Canada se  chiffre en 2014 à 117,3 millions de dollars, hors produits miniers. Dans ces échanges, 14,4 millions de dollars sont des  exportations canadiennes et 92,9 millions de dollars des importations malgaches. (..) Actuellement, plus de 4 000 Malgaches résident au Canada et plus de 500 Canadiens sont à Madagascar.

Miangaly Ralitera dans L'Express de Madagascar
Madagascar est l’un des rares pays à être encore victime de la maladie qui entraine le handicap, avec l’apparition brusque du virus dérivé du poliovirus vaccinal par voie orale (VDPV), en octobre 2014, à Analalava, dans la région Sofia. Depuis, la polio est devenue une épidémie. Onze enfants ont été confirmés être victimes de ce virus, dans les quatre coins de l’Ile, à savoir Nosi­varika, Analalava, Majunga, Sakaraha. L’État a œuvré avec les partenaires techniques et financiers (PTF) comme l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (Unicef), l’Alliance Gavi ou encore les Fonds des Nations unies pour le développement (Usaid), pour effectuer des campagnes de masse, afin que la poliomyélite soit éradiquée définitivement au niveau mondial. (..)  Le ministère de la Santé publique et les PTF ont alors procédé à l’implication des maires et chefs Fokontany, pour assurer la vaccination des 4 300 000 enfants de moins de cinq ans, pour cette prochaine campagne.

Fahranarison dans NewsMada
Selon les dernières statistiques, près de 1.140.000 individus sombrent actuellement dans l’insécurité alimentaire (IA). Cela représente 80% de la population rurale des sept districts du Sud, à savoir Amboasary-Sud, Ambovombe-Androy, Tsihombe, Beloha, Bekily, Ampanihy et Betioky. 47% d’entre eux, soit environ 665.000 personnes sont en situation d’insécurité alimentaire sévère (IAS), soit plus de 200.000 personnes de plus par rapport à la situation en octobre 2015. L’émigration temporaire suite à l’épuisement des aliments de disette témoigne davantage de l’aggravation de cet état de vulnérabilité. (..) Il faut noter qu’une vingtaine d’organismes ont été impliqués dans le Sud et près de 12 millions de dollars mobilisés en l’espace de 11 mois.

Mikama - Mar 11, 2016

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
L’exploitation illicite domine encore le marché aurifère dans la Grande île. Les 350 kg d’or sont encore loin du compte. À titre d’exemple, malgré l’interdiction d’exportation de ce  métal jaune, « les Nations  Unies  évaluent  la  valeur  des exportations  de  Madagascar  à 18 millions USD en 2012,  ce qui équivaudrait à 600 kg  d’or et pourraient représenter plus de 790 millions MGA de redevances », mentionne l’Extra­ctive Industries Trans­parency Initiative(EITI) dans son rapport.

Nadia dans NewsMada
47,3% des enfants de moins de cinq ans souffrent de malnutrition chronique dont 18,1% sous forme sévère, 8,6% atteints de malnutrition aiguë et donc à fort risque de mortalité, et 68% des enfants en âge scolaire anémiés. Ces statistiques de l’OMD en 2014 traduisent la triste réalité à Madagascar.

Dans NewsMada
La « Seikatsu Kaizen » est une approche qui vise le changement de comportement et de mentalité d’une personne pour qu’elle devienne créative dans la recherche de solutions à tout problème identifié dans sa vie quotidienne et sociale. C’est « l’amélioration progressive et continue de la vie, à partir des ressources disponibles ». Il ne s’agit en tout cas pas d’injecter des fonds de financement, mais de faire adopter une approche développée par les propres moyens du bénéficiaire lui-même. (..) Dans l‘Analamanga, le problème initial évoqué lors de la discussion était l’utilisation du bois de cuisson, un calvaire quotidien pour les villageois. Un volontaire japonais les a formés sur la production des briquettes ardentes et la fabrication de «charbon bozaka», type de charbon confectionné à partir de matières locales. Après avoir constaté des résultats rapides moins de dépense pour le charbon, propreté maintenue de la cuisine… les paysans sont motivés. (..) A Sahanivotry, à Antsoatany, à Antsapanimahazo dans le Vakinankaratra, les initiatives sont telles que les ménages ont adopté presque à l’unanimité l’approche « <em>Seikatsu Kaizen</em> ». A titre d’exemple, l’association Manaovasoa d’Ambatolahy-Sahanivotry dans le Vakinankaratra, qui regroupe 18 femmes et 21 hommes, a créé une caisse communautaire pour pourvoir aux besoins de chaque membre dans ses activités quotidiennes. En versant chacun 1.000 ariary par semaine dans cette caisse commune, et ce depuis au moins deux ans, ils sont parvenus à financer les projets personnels de chaque membre.

J.L.R – Dom dans Madagascar Matin
L’Unicef a précisé hier que la Grande île se trouve à la quatrième dernière place des pays qui sont en retard en matière d’accès à l’hygiène et à l’assainissement, avec un taux de 15% en milieu rural. (..) La Grande île se trouve également parmi les 6 pays où la majorité de la population, 66%,  boivent toujours de l’eau sale. En plus du fait que plus des trois-quarts (+ de 75%) des malgaches n’ont pas accès à l’eau potable si l’eau courante distribuée par la Jirama... Une feuille de route qui a pour objectif d’augmenter le taux d’accès à l’eau potable de 46% à 68% d’ici 2019 semble être perdu d’avance puisque les dirigeants n’arriveront jamais à trouver les 800 millions de dollars nécessaires pour financer les travaux de construction d’infrastructures d’addiction.

Mikama - Mar 10, 2016

Arh. dans NewsMada
Frappés d’interdiction d’exporter vers le marché européen depuis 1996, les opérateurs en miel malgaches n’ont pu reprendre leurs activités qu’en 2012, lorsque l’embargo qui frappait le produit a été levé ... Selon les statistiques de la Direction générale des douanes de Madagascar sur ITC Trademap, Madagascar exporte principalement son miel vers l’île Maurice, la France, l’Irak et les Comores. En 2015, la Grande île a exporté 54 tonnes de miel, dont 25 tonnes à Maurice, 11 tonnes en France, 9 tonnes en Irak et 5 tonnes aux Comores. Ce qui représente près de 186 000 dollars en valeur d’exportation. Une évolution est constatée par rapport au volume exporté en 2014, soit 17 tonnes. (..) « Pour traiter 25 ruches, un apiculteur doit au moins dépenser 240 mille ariary en pesticides alors qu’un apiculteur professionnel possède jusqu’à plus d’une centaine de ruches », a expliqué Samoelina Rakotomanga. La propagation des maladies a mis à mal la filière dans presque toutes les régions productrices. Dans le Sud-est, à Mananjary par exemple, 95% des ruches ont été dévastées. L’Analamanga commence peu à peu à se redresser.

Dans Midi Madagasikara
Les taux d’accès à l’eau et à l’assainissement en milieu rural à Madagascar sont respectivement de 34% et 15%, faisant de Madagascar le 4è pays au monde avec les plus mauvais indicateurs. Les OMD n’ont pas été atteints et la cible n°6 des Objectifs du Développement Durable relative à l’eau et à l’assainissement est encore plus ambitieuse. Le retard de Madagascar est notamment dû à un manque d’investissement accordé à ce secteur. Seulement 1 USD par habitant par an est investi sur l’eau et l’assainissement, alors que les besoins sont estimés à 5 USD. (..) Cette aide financière de 6 millions USD a ainsi permis de fournir un accès à l’eau et à l’assainissement à respectivement 278 000 et 1 350 000 personnes. Ces excellents résultats obtenus par le ministère de l’Eau, de l’Assainissement et de l’Hygiène et UNICEF classent Madagascar comme le pays le plus performant parmi les 9 pays bénéficiaires du programme DFID. Fort de cette réussite, DFID a décidé en fin d’année 2015 d’accorder une aide financière additionnelle de 2 650 000 USD à Madagascar.

Dans La Gazette de la Grande Ile
L'Organisme national de normalisation à Madagascar est le Bureau des Normes de Madagascar ou BNM. Créé en 1998 par le Décret n° 98-944 du 04 novembre 1998, cet organisme est un Établissement Public à caractère Administratif (EPA) et a pour mission la mise en œuvre de la Politique nationale en matière de normalisation/qualité. Régi actuellement par le Décret n° 2014-1570, il est sous la tutelle technique du Ministère chargé du commerce. Ses activités consistent entre autres à effectuer des travaux de normalisation, à promouvoir l'application des normes, à certifier les produits et à gérer la marque nationale de conformité, à dispenser des formations et à appuyer les opérateurs dans la mise aux normes de leurs produits et installations. Les travaux de normalisation se font à travers des Comités techniques de normalisation (CTN), qui regroupent des membres issus des entités concernées par les différents secteurs de l'économie à Madagascar. Les décisions seront prises selon un consensus entre tous les membres. Les normes ainsi validées sont présentées au Conseil d'Administration pour approbation avant leur promulgation au Journal Officiel de la République de Madagascar.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Dans cette situation, pour Madagascar, les analyses de la Coface font état, notamment, que La progression attendue des recettes fiscales sera insuffisante pour couvrir la hausse des dépenses budgétaires, empêchant toute amélioration des finances publiques. Malgré les mesures destinées à augmenter les recettes, grâce notamment à une amélioration du recouvrement des revenus fiscaux et douaniers, les revenus de l’Etat resteront contraints par le manque de dynamisme de l’économie. La baisse annoncée des subventions devrait par ailleurs être plus que compensée par une hausse des dépenses d’investissement, en raison des engagements pris par le nouveau gouvernement en matière de projets d’infrastructures. Ces dépenses devraient être financées, au moins partiellement, par l’aide internationale. (..) Le déficit courant devrait légèrement diminuer en 2016 en raison du repli des importations qui devrait plus que compenser la stabilisation, voire la baisse des exportations. Les ventes de textile à l’étranger devraient progresser mais les revenus provenant des principaux produits d’exportations (nickel, cobalt en particulier) seront contraints par l’absence de rebond des prix de ces matières premières.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Phénomènes naturels: La région Indocéanie la plus touchée au monde. (..) Sur les 20 dernières années, plus de 50 catastrophes naturelles ont touché la région. Les catastrophes naturelles ont coûté plus de 17 milliards de dollars aux économies de l’Indianocéanie et Zanzibar. Madagascar, capital humain et naturel sous pression. Madagascar est l’un des « 10 plus importants points de concentration de biodiversité mondiale avec un taux d’endémisme de 80% de sa faune et sa flore. (..) A cela s’ajoute 600 000 sinistrés climatiques chaque année.