Trois jeunes entrepreneurs malgaches sont sélectionnés et figurent dans la liste des 1000 retenus sur plus de 45 000 candidatures pour le cycle 2016 d’un programme initié par une fondation africaine qui s’appelle Fondation Tony Elumelu et qui est intitulé Programme Esprit d’Entreprise Tony Elumelu ou TEEP. Il s’agit de Jessica Rakotoarisoa, (Energy/Power Generation), de Soazara Ranivoarivelo (Agriculture-Agri-business, Farming, etc.), et de Thierry Ratsizehena (Education and Training). Ils vont bénéficier des formations, des réseautages et des compétences offerts par la Fondation Tony Elumulu mais également des fonds d’amorçage de leur entreprise. (..) La fondation Tony Elumelu est une organisation philanthropique basée en Afrique et financée par des fonds africains. Fondée en 2010, la TEF est déterminée à stimuler la croissance économique de l’Afrique en soutenant l’entreprenariat africain.
Miangaly Ralitera dans L'Express de Madagascar
Approprier formation et milieu professionnel. La Chambre de Commerce et d’Industrie France Madagascar (CCIFM) et l’Institut supérieur de la Communication, des Affaires et du Management (ISCAM) collaboreront pour assurer que les formations données aux jeunes soient adaptées aux besoins du monde professionnel.
Navalona R. dans Midi Madagasikara
Le programme PROSPERER financé par le FIDA (Fonds International de Développement Agricole) travaille en partenariat avec l’INBAR (International Network for Bamboo and Rattan) pour relancer la filière bambou dans ses zones d’intervention. Il s’agit notamment d’Analamanga, d’Itasy, de Bongolava, d’Atsinanana, de Matsiatra Ambony, de Vatovavy Fitovinany, de Boeny et de SOFIA (..) En outre, 591 micro-entreprises rurales bénéficiant d’une formation technique de transformation se lancent actuellement dans ces activités de transformation de bambou.
Centre de formation. Parmi lesquelles, 381 micro-entreprises rurales fabriquent des meubles en bambou tandis que 177 autres micro-entreprises produisent des mobiliers d’école. Quant aux 224 micro-entreprises rurales formées, elles optent plutôt sur la confection des produits artisanaux à base de bambou. Mais il y a d’autres micro-entreprises rurales au nombre de 107, elles font la construction de maison en bambou.
Dans Midi Madagasikara
650 millions de personnes dans le monde n’ont pas encore accès à l’eau potable tandis que 2,3 milliards n’ont pas accès à l’assainissement. Parmi eux, des Malgaches qui boivent et utilisent encore de l’eau trouble, au risque de développer des diverses maladies, notamment les diarrhées, frappant essentiellement les enfants. D’autres, essentiellement des femmes et des enfants, parcourent jusqu’à plus de 22km, comme c’est le cas pour les communes de Sampona et de Tanandava, près d’Amboasary Sud, pour puiser de l’eau dans la rivière Mandrare. (..) Pour atteindre l’objectif fixé par Madagascar qui est de donner accès à l’eau potable à 76% de sa population, soit plus des trois quarts, d’ici à 2025, le pays doit...
L’eau en chiffres
1,5 milliard de travailleurs dans le monde sont employés dans des secteurs liés à l’eau.
¾ des emplois dans le monde dépendent de l’eau.
50 litres par jour, telle est la quantité moyenne d’eau nécessaire à chaque personne pour assurer une bonne hygiène, rester en bonne santé et assurer tous les besoins domestiques.
45 %, soit près de la moitié, du salaire journalier des travailleurs pauvres, équivalent au coût de ces 50 litres d’eau actuellement.
48 % de la population de Madagascar n’ont pas encore accès à l’eau potable.
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