Mikama - November 30, 2013

Navalona R. dans Midi Madagasikara
« Mais le principal problème des paysans constitue le fonds de roulement. Raison pour laquelle, le FDA est mis en place pour appuyer financièrement à la mise en œuvre de leurs projets », a évoqué Harison Randriarimanana. (...) « un comité sera mis en place pour examiner l’éligibilité des dossiers des groupements de paysans. Quant aux sources de financement du FDA, le ministère de l’Agriculture alloue une partie de son budget prévu pour l’année 2014, le ministère de l’Elevage contribue via son Fonds National de l’Elevage tandis que le ministère de la Pêche finance par le biais de l’AMPA », a-t-il expliqué.

Dans Proactiveinvestors Australia
Shares in Bushveld Minerals (LON:BMN) gained ground again as 54%-owned subsidiary, Aussie listed Lemur Resources (ASX:LMR), outlined its strategic plans. For its Imaloto coal project in Madagascar, Lemur aims to secure an independent power plant concession, to begin the environmental impact assessment, and to find a joint venture or strategic partner to assist with the development.

Mikama - November 29, 2013

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
« Ce que je conseille à une femme désirant entrer dans la vie politique, c'est d'avancer pas à pas. Elle peut commencer par diriger une association, et ainsi d'être considérée comme étant une leader du village. Voyant son dynamisme, son courage et sa manière convaincante, elle peut devenir chef fokontany avant de grimper les échelons vers la députation, puis pourquoi pas la mairie », ajoute-t-elle [Voahangi­nirina­zafimandimby]. (..) Selon le programme genre du projet d'appui au cycle électoral à Madagascar (PACEM), c'est l'une des plus faibles dans les pays de la SADC. Les statistiques du PNUD montrent que 26% des membres du Gouver­ne­ment de la Transition sont des femmes. Celles-ci représentent 17% des membres du Congrès de la Transition, et 12 % du Conseil supérieur de la Transition. Dans les communales, elles ne sont que 4% et 2,6% des chefs fokontany. Pour 2015, les plateformes relatives à la promotion du genre visent la parité 50/50 (homme-femme) dans les instances de décision.

Racl.R dans La Nation
Selon les rapports de l’Alliance Voahary Gasy, plus de 80% des Malgaches consomment environ 22 millions m3 de bois par an, facteur important dans la dégradation forestière. Ces bois sont utilisés pour les charbons de bois, les bois de chauffe. Comme souligne le président du Conseil d'Administration de l’Alliance Voahary Gasy Ndranto Razakamanarina, « le manque de ressources énergétiques alternatives accentue ce fort taux d’utilisation des bois à Madagascar ». 

Mikama - November 28, 2013

Dimisoa dans NewsMada
... dans le domaine économique, ce secteur [agricole] pourrait également être un moteur puisque l’agriculture peut générer environ 26 % du PIB et employer près de 90 % de la population économiquement active. (...)  A noter que l’indice d’accès rural est de 2,4% seulement à Madagascar. (...)  seulement 40% du produit brut des exploitations est commercialisé, et moins de 25% des ménages ruraux retirent un revenu monétaire de la vente des produits agricoles.

Bill dans Tribune de Madagascar
Ce mercredi 27 novembre s’est déroulé à Ambolokandrina un atelier relatif à l’extraction minière en Afrique qui a été organisé par le projet « Luttons contre la gabegie dans l’exploitation minière ». Les grands projets d’exploitation minière n’ont pas apporté de développement dans les communes et régions où ils sont implantés. C’est l’impression qui se dégage de cet atelier. D’après les témoignages qui ont été apportés, les recettes issues de ces grands projets sont peu transparentes alors même qu’ils accaparent des milliers d’hectares de terrains. Ces témoignages sont accusateurs car il a été dit et dénoncé que cette appropriation des terres se serait effectuée à coups de bakchich ou du moins dans la plus grande opacité.

Mikama - November 27, 2013

Dans Reuters
Madagascar Oil sees crude sales as early as next year. The aim in the first two or three years is to produce around 10,000 barrels per day from its Tsimiroro heavy oil field and then slowly crank output up. "With this resource it is realistic to talk in terms of 100,000 to 150,000 barrels per day peak oil," Ahmed said. He said it would probably take over a decade to get there. The Tsimiroro field has estimated resource of around 1.7 billion barrels of oil in place. Much of the oil will likely be used in Madagascar for power generation.

Racl.R dans La Nation
« Si aucune mesure concrète n’est prise, notre forêt risque de disparaître dans les 20 prochaines années », souligne le coordonateur national de l’Alliance Voahary Gasy Andry Ralamboson Andriamanga. (...) L’environnement se dégrade actuellement, selon la Banque mondiale et que cette dégradation coûte au pays entre 400 et 500 millions de dollars par an, soit environ 9 à 10% du PIB. (...) La dégradation de l’environnement est de l’ordre de 0,4% par an à Madagascar alors qu’il ne reste plus que 10% du capital forestier malgache qui est considéré comme forêt dense.

Mikama -November 26, 2013

Dans NewsMada
Une solution Microsol produit 50 MWh/an d’électricité, 1000 m3/an d’eau potable, et environ 800 MWh/an d’énergie thermique. Microsol repose sur le principe de cogénération électricité-chaleur, en abordant sous un angle nouveau une technologie déjà répandue : le solaire thermodynamique. La solution focalise ses contraintes sur la conception d’un stockage thermique n’utilisant que des produits inoffensifs pour l’environnement. L'objectif de ce projet est de répondre simultanément à trois besoins essentiels : accéder à une électricité fiable, efficace, et peu chère ; produire de l’eau propre à la consommation de manière économique et constante ; générer de la chaleur en continu et écologiquement.

Sébastien Hervieu dans Le Monde
Plus de la moitié des Malgaches de moins de 5 ans, soit environ deux millions d'enfants, souffrent de malnutrition chronique, selon les dernières données disponibles datant de 2009. Madagascar est classé au 6e rang mondial des pays les plus touchés par ce fléau plus méconnu que celui de la malnutrition aiguë, dont les images d'enfants dénutris sont plus spectaculaires.

Mikama - November 25, 2013

Antsa R. dans Midi Madagasikara
17 compagnies pétrolières travaillent actuellement avec l’Etat malgache, par le biais de l’Office des mines nationales et des industries stratégiques (OMNIS), pour le projet d’exploitation de pétrole à Madagascar. La plupart d’entre elles ont réalisé plus de huit ans d’exploration et vont passer au forage et à la phase de développement. (...)  Nous avons encore 228 blocs disponibles. 222 sont dans la classification offshore, c’est-à-dire, situés dans des zones marines ; et 6 en zone terrestre. (..) Toutes les dépenses liées à l’exploration sont à la charge des compagnies. Et lorsqu’on pourra vraiment exploiter ces ressources, ces compagnies seront remboursées petit à petit, par une partie de notre part de pétrole brut produit. Par ailleurs, certaines compagnies n’ont pas encore achevé leurs travaux d’exploration, alors que les huit ans prévus se sont déjà écoulés.

YL dans La Gazette de la Grande-Ile
Madagascar, comme un pays en voie de développement qui se respecte utilise encore le bois comme source d’énergie pour la plupart des ménages.  Soit 10,6 millions m3  par 82% des ménages malgaches pour la consommation de bois de chauffe et  400.000 T soit 3,6 millions m3 équivalent bois par 17% des ménages malgaches pour le charbon de bois. (...)

Mikama - November 22, 2013

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Le micro-entrepreneuriat pour tous. Hier, cent soixante personnes de 15 à 55 ans, issues des vingt-cinq fokontany vulnérables de la commune urbaine d'Antananarivo, de Bemasoandro et d'Ankadikely Ilafy sont diplômées en entrepreneuriat. Elles ne sont pas formées dans une grande école de ce domaine mais d'une durée de 30 heures, dans le cadre du projet sécurité humaine, en partenariat avec l'Unicef et l'Unfpa et est mis en œuvre par les centres Ilaiko. Remarquable parmi les autres est le savoir-faire de Mamy Josephine Razana­kinirina. Depuis cinq ans, la mère de famille habitant à Bemasoandro est fabricante de poupées, à travers le recyclage des éléments de poupées jetées dans les ordures.

Noella Rakoto dans NEwsMada
Pour pouvoir exporter, il faut non seulement des produits aux normes tant en termes de qualité que de quantité, mais également connaître les procédures à suivre. Aujourd’hui, l’ITBM voudrait accompagner les entreprises dans la concentration des formalités locales pour l’exportation en un même lieu, dans un délai convenu et pour un prix fixe. Comme celles-ci sont devenues difficiles, lourdes et variables, le projet de guichet unique vise ainsi à améliorer davantage l’environnement de l’exportation. C’est également une initiative qui entend promouvoir davantage le domaine par la facilitation des procédures.

Mikama - November 21, 2013

Dans le Newsletter Ambassade de Suisse pour Madagascar et les Comores
Connaissez-vous ADES et/ou Monsieur Otto Frei: Tout a commencé avec 440 cuiseurs solaires. Près de 40 000 cuiseurs ont été vendus pendant sept ans, dont presque la moitié de ce chiffre cette année. Selon la planification il est prévu de produire 2014 plus que 25 000 cuiseurs. En 2013, plus de 100 000 tonnes de CO2 seront sauvés grâce à des méthodes de cuisson à économie d'énergie. La fin de l'année 2013 près de 200 personnes travaillent à l’ADES à Madagascar, dont 150 sont des employés ADES, et 50 dans les entreprises privées. La proportion de femmes aux postes de direction est bien au-dessus de la moyenne indigène - 98 % des employés sont de nationalité malgache. L’ ADES travaille actuellement comme une société moderne, comparable avec les conditions standards européennes. Le contrôle financier équivaut à celui de la Suisse

Noella Rakoto dans NewsMada
Selon lui [ le directeur général de l’industrie au sein de la vice-primature chargée de l’Economie et de l’industrie], les industries malgaches sont fiévreuses. Elles n’opèrent aujourd’hui qu’à 50% de leur capacité car le marché est saturé par les produits importés.
Revenant sur l’élaboration de la loi de finances, il ajoute que cette année, aucune des propositions des industriels n’a été retenue. Alors qu’en 2013, 5% d’entre les propositions l’ont été. Pour le compte de l’année 2014, la détaxation sur les produits importés est de 10%, voire 5% contre 20% auparavant.

Mikama - November 20, 2013

Dimisoa  dans NewsMada
Le taux d’électrification à Madagascar est très faible car moins de 30 % de la population en bénéficie, dont 65 % en milieu urbain et 6 % en milieu rural selon les données du ministère de l’Énergie. (...) Le pays dispose également de potentiels importants en ressource hydraulique qui est estimée à 7 800 MW, dont seulement 2.5% est exploité. (...) Pour l’énergie éolienne, les seuils opérationnels des vitesses de vent pour en disposer se situent entre 3m/s et 25m/s. Il a pourtant été révélé que seuls les Hauts plateaux de la Grande île bénéficient des vitesses de vent inférieures à 3 m/s. Les régions du Nord, Sud et les côtes Est constituent les zones qui disposent de vitesses de vent intéressant atteignant 7,5 m/s à 9 m/s. Le potentiel en énergie éolienne de Madagascar est estimé à 2 000 MW.

Arnaud R. dans Midi Madagasikara
Environ 10 400 Malgaches, dont 6 900 d’enfants de moins de 5 ans, meurent de la diarrhée tous les ans. (...) « le pays perd 201 milliards d’Ariary par une somme équivalente à 15 115 Ar par personne, soit 1% du PIB ». En d’autres termes, « tous les ans, Madagascar perd 0,8 milliard de dollars à cause des pertes en productivité pendant la maladie, le temps d’absentéisme au travail et à l’école engendré par la non-utilisation de latrines».

Vonjy Radasimalala dans L'Express de MAdagascar
Depuis dix ans, l'investissement sur l'infrastructure routière a connu une baisse significative. Aussi, les routes font-elles partie des top 5 des infrastructures publiques les plus vulnérables au cyclone.

Mikama - November 19, 2013

Racl.R dans La Nation
Dans un contexte politico-économique peu propice au développement du pays, le secteur privé, à travers le GEM, le Fivmpama et le SIM, semble s’agiter pour ses intérêts, mettant en exergue son incapacité à entreprendre librement depuis des années. Ce qui a conduit aux difficultés économiques que vit le pays actuellement. L’opinion ne peut alors s’empêcher de se poser des questions relatives aux succès, à la stabilité et aux genres d’investissement qu’ont entrepris ces groupements du patronat et des industriels dans le pays. (...) Un jeune entrepreneur a expliqué que les soi-disant membres du secteur privé à Madagascar sont tous des « tenderpreneurs » et non des entrepreneurs dans le sens où ils s’engagent à des niveaux de la haute sphère politique et, à la fin, les résultats retombent sur leurs propres intérêts et non à l’environnement des entrepreneurs en général. (...) Le problème avec les « tenderpreneurs », c'est qu'ils sont perçus comme étant des corrompus. Beaucoup croient qu'un tenderpreneur gagne des offres injustement par des connexions politiques et fournit de mauvaise qualité de service à la communauté, tandis que les entrepreneurs plus authentiques sont mis à l’écart, avec leur compétence et leurs services appropriés.

R.Mathieu dans NewsMada
Ao ihany ireo manao fikarohana ho fiarovana ny ala sy ny tontolo iainana eto amintsika. Anisan’izany ny orinasa malagasy Satsimami, nomena toerana manokana tao amin’ny « Salon de l’habitat » ny herinandro lasa teo, ho fantatry ny tokantrano maro. Mamokatra saribao vita avy amin’ny fako, taimbakona, akofambary, voana kesika ity orinasa ity.

Mikama - November 18, 2013

Megan Rowling dans Thomson REuters Foundation
The approach [landscapes approach] aims to help people think more broadly about the way they use land and natural resources, and how these can be used to boost food security and incomes without harming the environment and making global warming worse.
The "landscapes approach" requires a major rethink in research and policy on protecting forests and fisheries, providing access to clean energy, and supporting small farmers. These areas have been dealt with independently in the past, but experts said this makes little sense when around three quarters of deforestation is caused by the clearing of land for agriculture, for example.
"We need to learn more about what drives the successful adoption of climate-smart practices, and be prepared to support the shift through public funding," she added [Rachel Kyte, vice president for sustainable development at the World Bank].

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Renforcer l’instauration de la bonne gouvernance. Selon les membres de la société civile regroupée au sein de l'Alliance Voahary Gasy, il s'agit d'une nécessité pour le secteur minier.
Les reportages ont, en effet, montré que des investisseurs ne respectaient pas les propriétés d'autrui. Ces derniers montrent aussi peu de transparence sur les activités qu'ils effectuent. La restauration des sites qui viennent d'être exploités n'est pas souvent au pro­gramme. La population tire peu de profit.

Mikama - November 16, 2013

Valis dans Tribune de Madagascar
Tous ont également admis et déclaré qu’il faut considérer les mines comme un patrimoine commun des Malgaches et non comme la propriété de l’État (sinon de l’Omnis). Des résolutions ont été prises dans ce sens dont en premier lieu l’instauration d’un véritable cadrage politico-économique et la mise en adéquation de la politique minière avec la vision sur 50 ans au moins. Les participants à cet atelier ont également souligné entre autres l’importance du respect de l’équilibre écologique, de l’équité sociale et de la viabilité économique des projets d’investissement ; ou encore le caractère incontournable de l’éducation citoyenne et les stratégies d’approche au niveau régional et intercommunal. Au niveau des textes, il a été décidé qu’il faut une révision des lois et textes dont la loi sur les grands investissements miniers (LGIM), le Code minier, et qu’il faut des textes plus concis et facile d’accès.

Reflet dans NewsMada
En raison de l’incertitude de l’avenir politique à Madagascar, les investissements privés dans le pays ont connu une chute importante ces dernières années. Néanmoins, des investisseurs, notamment dans la filière textile s’intéressent encore à la Grande Ile.

Mikama - November 15, 2013

Racl.R dans La Nation
D’après le communiqué de presse venant du Collectif TANY concernant le lancement du rapport « Echos et Témoignages du terrain-2013 », la promulgation en janvier 2008 de la loi 2007-036, en particulier, a autorisé la vente de terres aux sociétés à actions majoritairement étrangères qui ont une filiale malgache. La Constitution votée en novembre 2010 stipule dans son article premier que « les modalités et les conditions relatives à la vente de terrain et au bail emphytéotique au profit des étrangers seront déterminées par la loi ». Les communautés impactées par les accaparements disposent de faibles outils légaux auxquels ils peuvent faire appel. La réforme foncière de 2005 a introduit des innovations visant à reconnaître les droits d’occupation et d’usage des populations sur les terres sur les propriétés privées non titrées, mais un vide législatif subsiste particulièrement sur les zones de pâturage de vastes surfaces.

Note: Le rapport : « Accaparements des terres à Madagascar : Echos et témoignages du terrain - 2013 »
Autre source: Farmlandgrab.org

Racl.R dans La Nation
D’après le responsable de Trano Mirary, Harrisson Goerges Ramiadamanana, le marché immobilier à Madagascar est encore très exploitable et que les parts de marché ne sont pas encore saturées. (..)

Hevi-dravina...

Nalefa tatsy amin'ny Forum Serasera

Vao niresaka tamina gasy avy Mada aho t@ herinandro. Dia hoe... aza mba minomino izay rapport, sy koa izay resaka mivoaka eraky ny internet, fa tsy mahalala ny zava-misy akoriny ireny fa... Ny tiany lazaina, na ny fahazoako azy, dia "hevi-dravina" no betsaka mivoaka eny.

Dia hoy aho hoe, TSIA, fa arakaraka io. Safidio ny vakianao.

Hoe ry Bekintana ...

Nalefa tatsy amin'ny Forum Serasera

Dia mbola mahita foana aho soratra na vava miventy hoe imperialisma imperialisma izay rehetra ataon'ny Bekintana. Izao no fomba fijeriko azy.

T@ ireny 2009 ireny, dia nivory ny amerikana tao Mada. Top secret ny tatitra nalefa miakatra. (mila tadiaviko indray ilay wikileak fa averiko eto aloha ny tadidiko an-kandrina). Dia hoe : inona ny "interet US" @ izao toe-draharaha izao. Dia ny valiny dia hoe:
1- ny "securite" an'ny olompirenena amerikana any.
2- ny fahalalahan'ny fivezivezena sy fifanakalozana (ara-barotra sy fihariana)
Izany hoe raha milamina ny tany, manaraka ny lalAna ny tontolo malagasy, dia izay no "interet US" ao Mada ao.

Ny @ ilay ara-barotra sy fihariana, dia raha ny fahazoako azy, dia TSISY "interet US direct", satria ny kompania rehetra izao efa "multinationale" (ny investisseurs tompon'ny stock efa mety misy gasy koa).

Mikama - November 14, 2013

Emilie Filou dans The Guardian
The national contraception use rate in Madagascar is 29%. Yet in Velondriake, a remote area in the southwest of the country, it is 55%. Just 10% of the community were using contraceptives in 2007 when the marine conservation organisation Blue Ventures launched Safidy, its family planning programme. So how did it do it? (..) Community-based distributors (CBDs) in Velondriake received training from PSI and Mohan, a practicing GP in the UK. All CBDs can prescribe the pill and sell condoms but only the more senior CBDs can do contraceptive injections (which last three months). Longer-acting methods such as implants and coils are provided by Marie Stopes four times a year at a mobile clinic. Pope says that this chain of referral is essential to uphold women's free and informed choice and ensure they have access to the contraceptive method that best suits their circumstances. (...) Velondriake now has 32 CBDs who cover about 40 villages. CBDs buy contraceptives at cost from PSI (Blue Ventures pays for the transport) and sell them at a small profit. The service is highly valued by the community and since 2007, the fertility rate has dropped by 40%.

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Des nouvelles générations de jeunes ruraux modernes formés, professionnels qualifiés aux métiers de l'entrepreneuriat, et aptes à améliorer leur productivité agricole. Telle est la vision du nouveau programme de formation professionnelle et d'amélioration de la productivité agricole financé par Le Fonds international de développement agricole (FIDA.

Fifidianana ho Filoham-pirenena : Hery vs. Jean-Louis

Nalefa tatsy amin'ny Forum Serasera


Ny fahitako an'i Hery dia efa napetrako teto:
http://gasy-mkm.blogspot.ca/2013/09/hery.html

@ maha-minfin azy, dia izy izany no nitantana ny volam-panjakana tao:
   - mahalala tsara hoe ahoana ny tarehi-marika, avy aiza sy mankaiza ny vola...
   - manapaka hoe amena (debloquer) sa ahena ny anjaran'ny tsirairay
   - izy koa (isan'ny)  manao fifanarahana @ hafa...

Izany hoe i Hery izany no (isan'ny) tompon'andraikitra akaiky, miaraka @ireo mpanongam-panjakana, @ izao fandehan-javatra izao = fahantrana lalina sy fahapotehin'ny fiainam-pirenena sy ny fiainan'ny isam-batan'olona. Raha hoe "tsy tompon'andraikitra" izy @ izany, dia vao mainka loza : i Hery izany mpanompo mahafatra-po ny tompon'andraikitry izao fahantrana manjo ny malagasy izao.

Mikama - November 13, 2013

Racl.R dans La Nation
Selon l’indice d’accès rural, Madagascar est à 2,4% alors qu’elle dispose de 2 950 000 ha avec seulement 600.000 ha de terrains exploités. (...)  Les terres fertiles non exploitées sont encore nombreuses et la productivité peut être augmentée par des actions ciblées sur les intrants et les équipements. (...) Le secteur agricole malgache est caractérisé par quatre grands facteurs bien distincts. L’utilisation de pratiques agricoles dépassées faute de connaissance des producteurs sur les techniques de productions agricoles améliorées. La disponibilité et le coût élevé des intrants améliorés, l’absence de sécurité foncière qui est indispensable aux lancements des investissements et à la protection des actifs principaux des populations les plus pauvres. Dernièrement, le manque d’infrastructure de production (système d’irrigation, aires de séchages et magasin de stockage) et de transport dont le coût d’acheminement excessif des produits agricoles vers les centres urbains.

Dans Midi Madagasikara
Ce projet [de réhabilitation des infrastructures agricoles de la région Sud-Ouest (PRIASO)] d’une durée de 5 ans, vise à améliorer les conditions socio-économiques des populations de la région bénéficiaire. Développement des infrastructures agricoles, renforcement de capacité et développement agricole, seront opérés, accompagnés d’une gestion, coordination et suivi du projet. Il concerne également l’appui à la délivrance de titres de propriété pour les agriculteurs occupants une superficie de 5 000 ha. D’après les prévisions, une production additionnelle de 55 000 tonnes de céréales est attendue, à l’issue du projet qui touche près de 105 000 personnes dont la moitié sont des femmes.

Mikama - November 12, 2013

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Si les habitants vivant en dessous du seuil de pauvreté, à moins de deux dollars par jour selon l'un des critères de la Banque mondiale, ont atteint les 92% de la population en 2010, il est réduit à 91%, cette année. Les critères appliqués au niveau national pour déterminer le taux de pauvreté ont également avancé cette réduction du taux . Si 76% des Malgaches étaient qualifiés de pau­vres en 2010, ils sont 74% dans ce rapport. (...) Les séries d'enquêtes effectuées par d'autres organismes comme l'Afroba­romètre 2013 avancent de l'autre côté l'amplification du taux de pauvreté. L'accès à l'eau potable en est un exemple.
Aussi, 22% des personnes enquêtées ont affirmé en 2005, que l'eau potable a manqué plusieurs fois dans l’année. En 2008, 31% se sont plaints de ne pas en avoir à plusieurs reprises. Et en 2013, 51% des gens enquêtés en ont fréquemment manqué. Cette situation est due notamment à la faiblesse de l'investissement public entraînant l'augmentation du problème de santé et de la pauvreté.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Electricité: Madagascar affiche des tarifs élevés. 0,09 dollar le wattheure contre 0,05 à Maurice, en Afrique du sud et au Sri Lanka. Madagascar n’est pas compétitif alors que le coût de l’électricité fait partie des facteurs étudiés par les investisseurs potentiels. (...)  Dans le Doing business 2014 de la Banque mondiale publié récemment ou les facilités de faire des affaires, Madagascar est toujours classé 187ème sur 189 pays en matière de raccordement à l’électricité. Il a occupé le même rang en 2013. Ce facteur permet d’évaluer le coût et le délai de raccordement ainsi que le nombre de documents à fournir. (...)

Mikama - November 11, 2013

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Dans le cadre de cette déclaration de Maputo, le pays s'engage à allouer 10% du budget de l'Etat au secteur Agriculture, Élevage et Pêche. Cette allocation devrait se faire progressivement et nous espérons l'avoir en 2020. Pour ma part, je pense qu'il serait possible pour le pays de respecter cet engagement à partir de 2016, c'est-à-dire à partir de la phase intermédiaire. Le programme sectoriel présente trois phases que sont la phase de relance qui s'étalera jusqu'en juin 2016, la phase intermédiaire entre juillet 2016 et 2020, et la phase de croisière de 2021 à 2025. La croissance annuelle pour les trois secteurs est attendue à 6%. Pour le moment, les réalisations sont loin de ce chiffre. En 2012, le taux de croissance du secteur primaire dans le PIB était de 1,9%. (...)  Pour atteindre cette performance, nous avons pris le modèle thaïlandais basé sur l'appui aux petites exploitations familiales, et le modèle du Brésil qui repose sur une forte mécanisation.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Ce projet [P4ges ou « can paying 4 global ecosystem services reduce poverty ? »] qui voit la participation de 10 institutions dont Conservation international (CI), Madagasikara voakajy, Bangor university, a été lancé hier au Carlton pour une durée de 3 ans.

Mikama - November 8, 2013

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Quatre mille ménages ont vu s’accroître leur niveau de vie au bout de trois ans grâce
à la technique rizicole financée par la Banque mondiale. Les Japonais rejoignent le projet. (...) Le projet est basé sur la gestion de l’eau d’irrigation et la protection des bassins versants. Résultat, les productions rizicoles y sont doublées et les bénéficiaires sont passés à une autre classe sociale comme en témoigne Lucienne Raharivololonirina du village d’Ambohitrarivo. « Auparavant, on ne produisait que de 2 tonnes/ha. Depuis deux ans, le rendement est passé à 6 ,5 tonnes/ha. (...) Conditionné par la stabilité politique dans le pays, le gouvernement japonnais envisage d’octroyer un don de 26 milliards d’ariary dans la même optique que le BVPI [projet Bassins versants et périmètres irrigués]. Cette fois, les riziculteurs dans le périmètre d’Anony, de 7 700 ha, en seront les bénéficiaires.

Noella Rakoto dans NewsMada
Orlando Robimanana a pointé du doigt la politique du système administratif, hier, à l’hôtel Carlton Anosy durant son intervention à la rencontre économique du groupement des entreprises de Madagascar (GEM). D’après lui, le système doit être dénoncé et nécessite une restructuration sinon l’on n’arrivera à rien. (...) D’après le directeur général du Trésor, Orlando Robimanana, le système a réellement besoin d’une refonte. Il évoque de nombreuses irrégularités qui enveniment la gestion au niveau de l’Administration.

Mikama - November 7, 2013

Noella Rakoto dans NewsMada
D’après les chiffres présentés dans le tableau de bord de l’économie pour le mois d’octobre, en septembre dernier on a enregistré environ 637 entreprises individuelles contre 64 sociétés à responsabilités limitées (SARL) et 2 sociétés anonymes (SA). (...) d’après les mêmes données, c’est le secteur tertiaire qui caracole en tête à l’heure actuelle avec 1.623 entreprises nouvellement crées contre 42 entreprises pour le secteur secondaire et 22 pour le secteur primaire. (...) le secteur primaire garde une croissance positive de 0,9%, qui était de 1,5%. Ce, grâce au secteur de l’élevage et de la pêche qui affiche une croissance de 3,0% presque quatre fois plus que l’an dernier. Le secteur secondaire maintient une position phare avec une hausse de 7,9% de sa production contre 5,1% en 2012.

R.Mathieu dans NewsMada
Taona fahatelo izao ny nanaovana ny Global entrepreneurship week (GEW) eto Madagasikara. Fifaninanana hampirisihana ny tanora hiditra amin’ny sehatry ny fandraharahana izy io, karakarain’ny vondron’ny tanora mpandraharaha eto an-toerana. (...) « Toa izay rehetra zahana anefa, olana avokoa amin’izay fandraharahana izay, fa ny misongadina indrindra eto amintsika, ny tanora manam-pahaizana nefa tsy misy vola ! », hoy Ramamonjisoa John

Mikama - November 6, 2013

Dimisoa dans NewsMada
Pression fiscale : Madagascar détient le taux le plus faible en Afrique. Le taux de pression fiscale à Madagascar figure parmi les moins élevés en Afrique puisqu’il se situe autour de 10% du PIB. Cette situation résulte d’au moins trois facteurs, à savoir, la structure de l’économie du pays, la collecte des impôts fortement inégale ainsi que  l’évasion fiscale des contribuables. (...) Par ailleurs, il y a également la prédominance de l’économie non bancarisée car selon les dernières statistiques seul un Malgache sur 15 possède un compte en banque. Ainsi, il est estimé que 40% du PIB officiel n’est pas soumis directement à l’impôt car il évolue en dehors des circuits de l’économie formelle. La collecte des impôts est fortement inégale dans notre pays car elle est concentrée autour de quelques activités. Les secteurs qui contribuent le plus sont le tabac et l’alcool avec 16,7% , suivis de la prestation de services qui est de 15,2% . Le secteur industrie n’arrive qu’à la troisième position avec 8,9% si celui de la communication est de 7,1%. Ces quatre secteurs comptent ensemble presque la moitié des recettes fiscales intérieures. Par contre, les secteurs des mines, du tourisme et de l’agriculture qui sont considérés comme les vecteurs de croissance de l’économie malgache apparaissent comme des contribuables peu importants.

Racl.R dans La Nation
Selon les chiffres avancés par la Samva et la CUA, 1 300 tonnes d’ordures par jour sont ramassées dans la capitale. Coté économique et environnemental, ce chiffre énorme représente un gros potentiel en biogaz. Mais la filière n’a été point exploitée alors que la technologie et les techniciens existent bel et bien à Madagascar. (...) Selon des études, on pourrait transformer 400 tonnes d’ordures par jour en période sèche et 700 tonnes en période de pluie car 65% des matières organiques sont facile à se décomposer.

Mikama - November 5, 2013

Racl.R dans La Nation
« Il y a deux volets quand on parle de finances publiques dont le budget de fonctionnement et celui d’investissement public. La volonté des dirigeants de l’Etat de contribuer au développement économique est perceptible dans leur programme d’investissement public. De cette façon, il devient un « Etat keynésien ». Si l’Etat fait des investissements publics, cette initiative va créer des emplois pour le peuple et il y aura automatiquement une hausse des revenus qui va augmenter la consommation. (..) Selon l’économiste Davida Olivaniaina Rakoto, « en économie, il y le rôle de l’Etat mais aussi le rôle du secteur privé. Une autre façon de montrer sa volonté de contribuer au développement économique c’est de donner avantage au secteur privé de faire sa part. Ceci, en réduisant le taux de pression fiscale. Si le taux de pression fiscale est trop élevé, aucun investisseur n’osera s’aventurer à entreprendre. Par contre, un taux de pression fiscale faible encouragerait ces derniers à entreprendre. Il faut noter qu’un taux de pression fiscale est dite élevé lorsqu’il est supérieur à 5% ou 6%. Nous n’avions jamais pu atteint cela car les recettes fiscales diminuent constamment ». Comment l’Etat va gérer cela, vu que ses dettes avoisinent encore dans les 200 milliards d’Ariary selon de source sûre.

NIR dans La Gazette de la Grande-Ile
Qu'est-ce qu'une agriculture à la fois écologique et intensive ?            
Le terme agriculture écologiquement intensive est à haute valeur environnementale. Elle se définit par une agriculture qui utilise intensivement les fonctionnalités des systèmes productifs et s’appuie aussi sur les principes de la viabilité des écosystèmes et des sociétés. Cela veut dire qu’il faut recourir au fonctionnement de l’écosystème et amplifier ses fonctions productives pour réussir à produire plus.

Mikama - November 4, 2013

Racl.R dans La Nation
Fait connu de par le monde comme étant un phénomène économique qui relie exploitation de ressources naturelles et déclin de l'industrie manufacturière locale, le syndrome hollandais risque de contaminer l’économie nationale si l’Etat n’est pas capable de développer des politiques publiques et sectorielles pour contrôler la production pétrolière dans les 10 années à venir, souligne Hugues Rajaonson, économiste du CREM.« après la croissance des exportations due à l'exportation de pétrole, une masse importante de devises va entrer sur le marché monétaire malagasy. Ce flux pourrait entraîner une croissance très importante des importations. Cela pourrait conduire à une dégradation immédiate de la situation des entreprises malagasy qui produisent des produits dont les coûts sont plus élevés que les prix des produits importés. Il s'ensuit une croissance du chômage dans le secteur industriel national. Ce syndrome fera disparaître le secteur productif. Les entreprises de service prendront le relais. Ainsi, la consommation intérieure dépendra progressivement des importations, ce qui va annuler les avantages procurés par la production pétrolière.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
« Ces dernières années, la Chine est devenue le principal partenaire commercial de la région ainsi qu'une source essentielle d'investissements et d'aide. Quelle est l'ampleur de ces retombées? Drummond et Liu (..) constatent qu'une hausse de 1 point de pourcentage de la croissance réelle de l'investissement en capital fixe en Chine tend à accélérer le taux de progression des exportations de l'Afrique subsaharienne de 0,6 point en moyenne, mais cet effet varie en intensité selon le groupe de pays.

Mikama - November 2, 2013

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
« Le secteur privé a proposé parmi tant d'autres mesures, la baisse de la TVA à 10% pour les produits de grande consommation. Mais l'État n'a pas cédé à cette proposition. Or, la loi de Finances rectificative ne peut pas apporter des modifications sur les taxes et impôts. Les opérateurs devront attendre 2015 pour pouvoir espérer un changement à ce niveau », regrette le Pr Andriampeno Ramilia­rison.
 Les mesures prévues ne présentent pas de spécificités par rapport aux années précédentes et par rapport à la volonté d'instaurer la relance de l'économie, principalement du secteur productif. « Le budget alloué à l'agriculture qui touche la majorité de la population est assez modeste par rapport à d'autres départements. Que pourrait-on faire avec ces 185 044 135 000 ari­ary », se demande le Pr Andriampeno Ramiliarison en guise de conclusion.

Rojo N dans NewsMada
Le centre de recherches, d’études et d’appui à l’analyse économique à Madagascar (Cream) a présenté un mémorandum axé sur le climat d’investissement à Madagascar, ce document, édité en février dernier est signé par l’économiste en chef, Amélie Vololonirina et l’économiste junior du Cream, Estelle Andriamasy. (...) Selon le mémorandum en question, « Le rôle de l’Etat est réduit à celui de régulateur, se traduisant à un retrait des secteurs productifs, financiers... et à la privatisation d’entreprises publiques. Quant aux relations financières avec les opérateurs étrangers, la facilitation des transactions en devises a été bien manifeste (le transfert de bénéfices, de revenus et de capitaux à destination de l’étranger, les prêts, l’ouverture de comptes en devises auprès des banques).
Par ailleurs, les auteurs du mémorandum suggèrent à l’Etat d’accélérer la réalisation des réformes structurelles outre l’ouverture des secteurs stratégiques de l’économie aux capitaux étrangers. Selon eux, « Ces deux recommandations vont de pair avec la mise en place d’un cadre multilatéral des investissements pour accroitre les apports d’IDE au pays tout en améliorant la transparence et la prévisibilité des règles en matière d’investissement ».

Mikama - November 1, 2013

Wagdy Sawahel in AllAfrica
Two projects in Benin and Madagascar that have helped train engineers and researchers in entrepreneurship and innovation skills are some of the most recent ones among more than 1,000 initiatives run by a Belgian NGO that aims to build entrepreneurial expertise through North-South exchanges.The projects used web conferencing and distance learning to train Africans.
"African people are very good at setting up small businesses, but they have problems in converting their ideas to business solutions and big Western-style companies due to a lack of money," he says.
For the project in Madagascar, 50 engineers who work at companies that belong to national IT association Goticom or are members of the chamber of commerce of the nation's capital Antananarivo were trained in project management and applying best practice, De Bruyn says.

Chantelle Kotze in Mining Weekly
Infrastructure and land logistics, mining and port scoping study results released by ASX-listed coal exploration company Lemur Resources for its flagship Imaloto thermal coal project, in south-western Madagascar, indicate the positive potential of the project and a pathway for its proposed development.
The three scoping studies were undertaken to establish whether an economically viable mining operation, producing up to one-million tons a year of saleable export product and 400 000 t/y of saleable domestic product, could be established. Preliminary estimates for the project envision a 19-year life-of-mine (LoM) for a total run-of-mine (RoM) of 21-million tons of coal.