Dimisoa dans NewsMada
Le taux d’électrification à Madagascar est très faible car moins de 30 % de la population en bénéficie, dont 65 % en milieu urbain et 6 % en milieu rural selon les données du ministère de l’Énergie. (...) Le pays dispose également de potentiels importants en ressource hydraulique qui est estimée à 7 800 MW, dont seulement 2.5% est exploité. (...) Pour l’énergie éolienne, les seuils opérationnels des vitesses de vent pour en disposer se situent entre 3m/s et 25m/s. Il a pourtant été révélé que seuls les Hauts plateaux de la Grande île bénéficient des vitesses de vent inférieures à 3 m/s. Les régions du Nord, Sud et les côtes Est constituent les zones qui disposent de vitesses de vent intéressant atteignant 7,5 m/s à 9 m/s. Le potentiel en énergie éolienne de Madagascar est estimé à 2 000 MW.
Arnaud R. dans Midi Madagasikara
Environ 10 400 Malgaches, dont 6 900 d’enfants de moins de 5 ans, meurent de la diarrhée tous les ans. (...) « le pays perd 201 milliards d’Ariary par une somme équivalente à 15 115 Ar par personne, soit 1% du PIB ». En d’autres termes, « tous les ans, Madagascar perd 0,8 milliard de dollars à cause des pertes en productivité pendant la maladie, le temps d’absentéisme au travail et à l’école engendré par la non-utilisation de latrines».
Vonjy Radasimalala dans L'Express de MAdagascar
Depuis dix ans, l'investissement sur l'infrastructure routière a connu une baisse significative. Aussi, les routes font-elles partie des top 5 des infrastructures publiques les plus vulnérables au cyclone.
« À la veille de la saison cyclonique, les routes seraient les plus vulnérables. La baisse de 20 000Km de routes bitumées depuis dix ans, en est un exemple. Des écoles paracycloniques ont bénéficié de l'appui de la Banque mondiale durant cette crise et peuvent faire face aux catastrophes naturelles, contrairement aux artères du pays », a indiqué une source auprès de la cellule de prévention et gestion des urgences (CPGU), hier.
Anjara Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
Si les infrastructures routières devraient avoir une durée de vie de 10 ans, elles ne sont que de 2 ans à Madagascar, où les routes sont victimes des catastrophes naturelles, des inondations, des changements climatiques, mais surtout des surcharges routières. Ainsi, en 10 ans, ces infrastructures sont passées de 50 000 km à 30 000 km.
Dimisoa dans NewsMada
...le guide de protection routière contre les inondations à Madagascar sera mis à la disposition de toutes les personnes concernées dans la construction des routes pour qu’ils aient entre leurs mains une méthode de construction des infrastructures routières suivant les normes internationales.
En effet, ce guide engendre un ensemble de normes qui définit le type d’infrastructure et ramène le niveau de ces infrastructures à des standards adéquats de manière à garantir toute l’année la résistance des ouvrages aux crues et inondations afin que les activités économiques ne soient pas interrompues à chaque saison cyclonique.
Par ailleurs, ce guide contient des recommandations et des directives depuis la conception du contrat jusqu’à son exécution.
Racl.R dans La Nation
D’après le CLAM toujours, il y a 4 dimensions de la sécurité alimentaire qui doivent être perçues pour pouvoir affirmer si un pays est stable en matière d’approvisionnement en nourriture, notamment sur l’accès, la disponibilité, la qualité et salubrité ainsi que la stabilité de cet approvisionnement.
HNA dans AoRaha
Misedra tsy fahampiana katsaka, izay 80%-n’ny akora fototra ilaina amin’ny fanamboarana praovandy, ireo orinasa mpamokatra sakafom-biby fiompy eto an-toerana. (...) « Mihena 7% hatramin’ny 10% isan-taona ny vokatra. Mirona mankany amin’ny landy rahateo ireo tantsaha satria manohana ny famokarana izany ireo mpandray ny vokatra. Efa azo antoka ihany koa fa hisy handray ny vokatra », hoy ny teo anivon’ny faritra Atsimo-andrefana. Toraka izany ny eo anivon’ny faritra Boeny. « Ny 40%-n’ny vokatra katsaka no tsy nisy azo noraisina tamin’ity taona ity. Mirona amin’ny fambolena voamaina lojy ireo tantsaha satria miakatra be ny filàn’ireo firenena arabo io vokatra io amin’izao fotoana izao », hoy ny tompon’andraikitra nanontaniana teo anivon’ity faritra ity.
Anthonia dans InoVaovao
« Mitobaka be ny savony avy any ivelany mitentina 12 miliara Ariary no nafarana tamin’ny taon-dasa.
Tsy mampidi-bola amin’ny Fanjakana araka ny tokony ho izy izany no tsy manome asa ihany koa. (...) Tamin’ny taon-dasa, nahena 10 % ny hetra amin’ireo tapa-tsavony miditra eto ka mameno ny tsena izy ireny mamono ny vokatra malagasy. (...) Manoloana ny olana mianjady amin’ny indostria maro, dia nanamafy I Thierry Ramaroson fa tsy misy loatra ny firaisan-kina amin’ny samy indostria malagasy.
Nilaza ho tsy mankasitraka ny fidiran’ny Karàna amin’ireo vondrona mpandraharaha sy indostria toy ny Fivmpama sy ny Sim i André Ramaroson ary manohy miady irery.
Arh. dans NewsMada
Concurrence déloyale, non-assistance de l’Etat : l’industrie malgache est au plus mal. « Les produits locaux ne sont pas compétitifs par rapport aux produits importés, notamment en termes de prix. Le produits importés détruisent la bonne marche de la concurrence à Madagascar », a évoqué Stéphane Raveloson.
Noella Rakoto dans NewsMada
L’industrie locale est à bout de souffle et a besoin d’un appui de l’Etat, au moins sous forme de subvention sinon de fonds de garantie. Cela s’avère nécessaire pour survivre car il faut compter au moins deux années après les élections pour espérer que la situation s’améliore ».
Il [Le président du Sim, Stéphane Raveloson] explique un peu plus la situation des industries en cas de hausse de prix. « Les industries malgaches sont obligées d’intégrer les coûts dans le prix du produit pour éviter de vendre à perte. Malheureusement, en parallèle, il n’y a pas de contrôle des produits importés. Cette situation nuit aux industries locales qui se retrouvent obligées d’appliquer une hausse des prix alors que ceux des produits importés sont maintenus. Du coup, les produits malgaches ne sont plus compétitifs », se désole-t-il.
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