Mikama - November 25, 2013

Antsa R. dans Midi Madagasikara
17 compagnies pétrolières travaillent actuellement avec l’Etat malgache, par le biais de l’Office des mines nationales et des industries stratégiques (OMNIS), pour le projet d’exploitation de pétrole à Madagascar. La plupart d’entre elles ont réalisé plus de huit ans d’exploration et vont passer au forage et à la phase de développement. (...)  Nous avons encore 228 blocs disponibles. 222 sont dans la classification offshore, c’est-à-dire, situés dans des zones marines ; et 6 en zone terrestre. (..) Toutes les dépenses liées à l’exploration sont à la charge des compagnies. Et lorsqu’on pourra vraiment exploiter ces ressources, ces compagnies seront remboursées petit à petit, par une partie de notre part de pétrole brut produit. Par ailleurs, certaines compagnies n’ont pas encore achevé leurs travaux d’exploration, alors que les huit ans prévus se sont déjà écoulés.

YL dans La Gazette de la Grande-Ile
Madagascar, comme un pays en voie de développement qui se respecte utilise encore le bois comme source d’énergie pour la plupart des ménages.  Soit 10,6 millions m3  par 82% des ménages malgaches pour la consommation de bois de chauffe et  400.000 T soit 3,6 millions m3 équivalent bois par 17% des ménages malgaches pour le charbon de bois. (...) Car notre stock actuel en charbon de bois est de 7,3 millions m3 tandis que le stock bois de chauffe est de 10,9 millions m3. C'est-à-dire que si l’on continue dans cette voie d’ici 10 ans nous serons en rupture de stock tant pour le bois de chauffe que le charbon de bois. (...) est-ce que la sensibilisation pour l’utilisation des foyers économes est insuffisante ou est-ce que nos concitoyens refusent de se détacher de leur coutumière charbon de bois et de bois de chauffe ?

Dimisoa dans NewsMada
La mise en place du centre du riz pour l’Afrique en 1971 a eu comme principale objectif l’amélioration de la productivité et la rentabilité du secteur rizicole en Afrique. 24 pays africains, dont Madagascar, en sont membres. (...)  La riziculture est en effet pratiquée par environ 200 000 ménages dans la Grande île et la plupart des Malgaches consomment du riz trois fois par jours, notamment ceux qui habitent les hautes terres. La consommation moyenne annuelle se situe autour de 138 kg par habitant, en milieu rural, et 118 kg par habitant, en milieu urbain. Par ailleurs, pour l’ensemble des différents modes de riziculture, la production globale est évaluée à 4 914 450 tonnes en 2008.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Plus de 80% de la population travaille dans le secteur primaire. De par cette situation, Mada­gascar demeure indéniablement un pays à vocation agricole. Cependant, les exportations de produits agricoles bien qu'elles occupent une part importante, ne représentent que 28% du PIB. Le développement de ce secteur reste cependant difficile, à cause des mesures non tarifaires instaurées par les pays importateurs. Selon une enquête menée par le centre du commerce international, sur une centaine d'entreprises malgaches, les exigences des pays étrangers sont généralement considérées comme trop rigoureuses et difficiles à satisfaire. Les mesures non tarifaires (MNT) contraignantes mises en œuvre par les pays partenaires, et plus particulièrement par les pays de l’Union européenne, dont la France et la Belgique, sont surtout des exigences techniques et d’évaluation de la conformité.

Racl.R dans La Nation
Les projets dans le secteur des nouvelles technologies sont en effet, des projets réalisables sans investissement financier direct selon plusieurs porteurs de projets. Le créateur du projet « Angano », une entreprise virtuelle de vente de livre numérique, Tolotra a expliqué que « le marché de livre numérique est encore large dans le monde et on n’a pas besoin de gros moyen financier pour démarrer une affaire ».

Racl.R dans La Nation
D’après l’Institut Malgache de Vaccins Vétérinaires (Imvavet) « la qualité des aliments dépend de plusieurs paramètres ». Le stress de l’animal avant l’abattage diminue énormément la qualité de la viande. Ce stress sur le système immunitaire affaiblit sérieusement l’animal dont l’installation facile d’autres pathologies, la perte de la majorité de réserves glycogènes de l’organisme. Les pathogènes parasitent lourdement la physiologie de l’organisme provoquant des effets immédiats sur l’état général de l’animal et particulièrement au niveau de muscle qui sera la future viande vendu sur le marché local, comme l’explique un responsable de Imvavet.
Ces paramètres représentent beaucoup d’enjeux sur la qualité de la viande et que seule la vaccination régulière des animaux pourrait remédier à cette problématique. (...) A titre de rappel, 20 g de protéines animales par personne par jour (soit 7,3 kg/an) devraient être fournis par une consommation annuelle de 33 kg de viande, ou de 45 kg de poisson ou de 60 kg d’œufs ou encore de 230 kg de lait, selon le ROR. Et même avec les 5 kg/an, les ménages malagasy sont loin du compte d’avoir une alimentation saine. Dans le monde, il en faut en moyenne 40 kg/habitant/an, contre 80 kg pour les pays riches et 40 kg pour les pays en développement. Dans les pays à faible revenu, la moyenne est de 8,8 kg.

Hanitra R. dans Midi Madagasikara
Seulement 2% des enfants en situation de handicap sont scolarisés. (...) « L’objectif est de faire en sorte que les enfants en situation de handicap bénéficient, eux aussi, d’une éducation de qualité, conformément au concept d’éducation pour tous, à travers une prise en charge éducative des enfants en situation de handicap », précise Aimée Oliva, responsable du projet Handicap au sein de ASMAE Madagascar. (...)  Avec une prévalence globale du handicap, estimée à 7,5% en 2007 à Madagascar, soit environ 1.347.150 personnes, les structures de prise en charge font cruellement défaut, tandis que les faits de discrimination et d’exclusion des personnes handicapées par la société, restent courants.

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