Dimisoa dans NewsMada
Pression fiscale : Madagascar détient le taux le plus faible en Afrique. Le taux de pression fiscale à Madagascar figure parmi les moins élevés en Afrique puisqu’il se situe autour de 10% du PIB. Cette situation résulte d’au moins trois facteurs, à savoir, la structure de l’économie du pays, la collecte des impôts fortement inégale ainsi que l’évasion fiscale des contribuables. (...) Par ailleurs, il y a également la prédominance de l’économie non bancarisée car selon les dernières statistiques seul un Malgache sur 15 possède un compte en banque. Ainsi, il est estimé que 40% du PIB officiel n’est pas soumis directement à l’impôt car il évolue en dehors des circuits de l’économie formelle. La collecte des impôts est fortement inégale dans notre pays car elle est concentrée autour de quelques activités. Les secteurs qui contribuent le plus sont le tabac et l’alcool avec 16,7% , suivis de la prestation de services qui est de 15,2% . Le secteur industrie n’arrive qu’à la troisième position avec 8,9% si celui de la communication est de 7,1%. Ces quatre secteurs comptent ensemble presque la moitié des recettes fiscales intérieures. Par contre, les secteurs des mines, du tourisme et de l’agriculture qui sont considérés comme les vecteurs de croissance de l’économie malgache apparaissent comme des contribuables peu importants.
Racl.R dans La Nation
Selon les chiffres avancés par la Samva et la CUA, 1 300 tonnes d’ordures par jour sont ramassées dans la capitale. Coté économique et environnemental, ce chiffre énorme représente un gros potentiel en biogaz. Mais la filière n’a été point exploitée alors que la technologie et les techniciens existent bel et bien à Madagascar. (...) Selon des études, on pourrait transformer 400 tonnes d’ordures par jour en période sèche et 700 tonnes en période de pluie car 65% des matières organiques sont facile à se décomposer.
Ihony Rasolomalala dans L'Express de Madagascar
« Ny fikarakarana ny fivarotan-tany no tena andraikitry ny nôtera, izany hoe mandray ny fifanekena eo amin'ny olon-droa na maromaro. Manamboatra ny porofo tsy azo lavina eo amin'ireo mpifanaraka ihany koa izy ireo », araka ny fanazavan-dRazanadrakoto Rija, filohan'ny Holafitry ny mpanora-dalàna eto Madagasikara. Afangaroan'ny olona ihany koa matetika ny volam-panjakana sy ny karaman'ny nôtera. Raha ny tokony ho izy anefa dia ny 6% amin'ny vidin'ny tany ny hetra aloha, 2% ho an'ny sampandraharahan'ny fananan-tany, ary ny 1,5% ny an'ny nôtera.
NIR dans La Gazette de la Grande-Ile
Exploitation minière : les populations locales paient le prix fort. Toliara Sands (TS) compte extraire et produire ces minerais dans le courant du second semestre de 2014. A cause de ces projets, des milliers de personnes dont 1.000 dans les environs de Mandena et 2.000 à Ranobe, sont les victimes directes de ces projets en étant contraintes de quitter les lieux…
R.V. dans La Gazette de la Grande-Ile
Coton dans le sud: Une grande potentialité pour le développement local. Rappelons que la culture du coton dans la région d’Ankililoaka a débuté à la fin des années 1950, sous l’impulsion de l’Institut de recherche cotonnière textile, transformé en Compagnie française pour le développement textile (CFDT) à la fin des années 1960. Cette entreprise est nationalisée en 1975 et devient Hasyma (coton malgache). En 2005, la Hasyma est à son tour privatisée et reprise par le groupe français Dagris qui revend en 2008 à GéoCoton, aux capitaux franco-libanais. Pourtant, l’entreprise ferme 6 ans plus tard. A cet effet plusieurs familles sont victimes de cette fermeture, comme le cas d’Ankililoaka (à 70km au Nord Est de Tuléar) où 70.000 familles exercent le métier. Mais depuis 2010, Bionexx tente de la relancer. Selon les informations recueillies, Bionexx encadre et incite les paysans à planter du coton. Ainsi, chaque paysan qui signe un contrat avec Bionexx s’engage, entre autres, à suivre les recommandations et le suivi technique de Bionexx et à lui vendre la totalité de sa production. En contrepartie, Bionexx achète la totalité de la production à un prix fixé à l’avance et vend les intrants. En 2012, le prix du kilo de coton récolté est d’environ 700 Ariary (0,33 dollar), pour un cours mondial d’environ 1,65 dollar par kilo de coton égrené. (...) Notons Bionexx travaille actuellement avec environ 2.000 paysans dans la région d’Ankililoaka, dont 900 cultivent le coton. Les plantations ont une taille moyenne de 1,5 à 2 hectares dont 10% dépassent les 3 hectares, fournissant ainsi plus de 50% du total du volume de coton récolté. Au total 1.450 ha de coton ont été emblavés pour la campagne agricole 2011-2012.
Noella Rakoto dans NewsMada
Andry Rakotovao a notamment souligné « Cette année, l’on assiste à une récession de la production par rapport aux années précédentes. Dans cette situation, il faut s’attendre à une hausse continuelle des prix du riz ». Il critique notamment la politique de l’Etat en ce qui concerne la gestion des importations. Selon lui, pour arriver à une autosuffisance alimentaire, il faudra commencer par mettre un frein aux exportations de riz.
Racl.R dans La Nation
Pour améliorer la durabilité de la pêche au homard. L’organisme britannique Azafady a lancé le projet Oratsimba, dans le cadre de son soutien continu à la communauté de Sainte Luce (Fort-dauphin) dans le domaine de la gestion communautaire des ressources naturelles. Le projet a été financé par SmartFish. (...) Donc, il y aura des sensibilisations et de l’organisation au niveau des pêcheurs locaux et les communautés locales pour élaborer, adopter et respecter un «code de conduite» ou dina pour la pêche au homard. Ensuite, il y a lieu d’établir une base volontaire zone interdite pour les homards, pour inclure un ensemble d'ouverture et de clôture de période pour la collecte et la détermination des tailles minimales à capturer. Finalement, élaborer des stratégies de subsistance alternatives pour les pêcheurs locaux, pour compléter les captures d’homard, et pour accroître leur résilience.
In Oil & Gas Journal
ExxonMobil Corp. affiliates (...) intend to resume exploratory and environmental work for shore-based and offshore operations on the Ampasindava, Majunga, and Cap St. Andre licenses.
ExxonMobil Exploration & Production (Northern Madagascar) Ltd. operates Ampasindava with 70% interest. Sterling Energy holds 30% interest.
ExxonMobil Exploration & Production Madagascar Majunga Ltd. operates Majunga with 50% interest. BG International holds 30%, Petrovietnam Exploration & Production 10%, and SK Innovation 10%.
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