Mikama - November 30, 2013

Navalona R. dans Midi Madagasikara
« Mais le principal problème des paysans constitue le fonds de roulement. Raison pour laquelle, le FDA est mis en place pour appuyer financièrement à la mise en œuvre de leurs projets », a évoqué Harison Randriarimanana. (...) « un comité sera mis en place pour examiner l’éligibilité des dossiers des groupements de paysans. Quant aux sources de financement du FDA, le ministère de l’Agriculture alloue une partie de son budget prévu pour l’année 2014, le ministère de l’Elevage contribue via son Fonds National de l’Elevage tandis que le ministère de la Pêche finance par le biais de l’AMPA », a-t-il expliqué.

Dans Proactiveinvestors Australia
Shares in Bushveld Minerals (LON:BMN) gained ground again as 54%-owned subsidiary, Aussie listed Lemur Resources (ASX:LMR), outlined its strategic plans. For its Imaloto coal project in Madagascar, Lemur aims to secure an independent power plant concession, to begin the environmental impact assessment, and to find a joint venture or strategic partner to assist with the development.
It also plans to use its A$16.4 million cash resource to secure one or more mining assets in Africa with a focus on those with either near term production potential or with the chance of a significant resource. Imaloto has a JORC Resource of 135.7 million tonnes of which 68% is in the high confidence measured category. It includes a scoping study showing production for domestic and export markets of up to 1.5 million tonnes per year, low Phase 1 capital expenditure of US$12 million, a net present value of US$36 million and a 19 year life of mine. The project is near the existing port of Tulear and adjacent to proposed Soalara Port, where infrastructure planning is underway to provide a mineral bulk handling export facility.

Valis dans tribune de Madagascar
Du côté de la lutte contre la pollution marine, l’intérêt de l’Olep était de tester et de renforcer périodiquement la capacité des différentes administrations locales impliquées en cas de déversements d’hydrocarbures ou de produits nocifs dans la mer.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Les fonds pour les pays les moins avancés ,destinés à la lutte contre le changement climatique sont en bonne voie. (..) Selon les explications de Germain Randriasandratana, directeur du changement climatique au ministère de l'Environnement, ce projet d'un montant de 5 200 000 de dollars, porte sur la riziculture. « Des actions concrètes comme la construction d’ infrastructures pour la subsistance de l'agriculture sont effectuées. Il s'agit vraiment de réparer les dégâts », affirme ce responsable. Un projet de gestion et de protection des zones côtières est aussi en place moyennant un financement de 5 500 000 de dollars. Comme le premier, la mise en œuvre s'étale sur cinq ans. Considéré comme pays vulnérable, Madagascar n'est pas encore dans l'obligation de faire des efforts en matière d'atténuation ou de réduction de gaz à effet de serre.
 
Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Après la mise en place du centre i-Serazo avec le DIFP de l'université d'Antananarivo, l'Unicef se tourne vers le secteur privé. Hier, une quarantaine d'entreprises a répondu à son appel à l'hôtel Ibis Ankoron­drano. L'atelier avait pour objet de mettre les principes d'affaires relatives aux droits des enfants, au premier rang des responsabilités sociales des entreprises. Les principes sont leur engagement à soutenir les droits des enfants, la suppression du travail des enfants, la protection et la sécurité des enfants, l'approche marketing et publicitaire respectant les droits des enfants,...

Racl. dans La Nation
Le directeur exécutif de la fondation pour les aires protégées et la biodiversité de Madagascar, Ralava Beboarimisa explique que ces partages de connaissances sont nécessaires pour trouver ensemble les moyens de mieux contribuer à la conservation de la biodiversité malagasy. « Le but principal de cette foire du savoir est de porter à la connaissance de tous que la plateforme Hayzara existe et qu’il y a beaucoup de documents et des cartographies qu’on peut consulter et c’est une base de donnée pour les acteurs dans l’environnement », souligne Ralava Beboarimisa de la fondation pour les aires protégées. La plateforme HayZara travaille dans la promotion de l'accès ouvert aux ressources et aux informations générées par les agences des Nations Unies, les partenaires au développement, la société civile, et d'autres intervenants clés à Madagascar. HayZara s'efforce ainsi, de faciliter le partage, la gestion et l'application de ses connaissances dans un mode plus efficace pour la communauté de développement à Madagascar.

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