Mikama - October 31, 2013

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de  Madagascar
Technologie, Une application pour des projets agricoles. « Avec cet outil, nos paysans se mettent à l’heure des nouvelles technologies. Ils doivent savoir gérer leurs projets, maîtriser le temps, obtenir des informations, le cours mondial des matières premières, même les données météorologiques. Et tout cela s’effectue en un seul clic », soutient Miradontsoa Andrianarison.

Vanessa Zafimahova dans Ino Vaovao
Tafiditra tanteraka amin’ny atao hoe fihariana maharitra, izy ity satria tsy ny tombom-barotra be no jerena fa ny faharetany, ka tsy mamono ny sehatra asa, no tsy mamono ihany koa ny mpiasa sy ny bibin-dandy ary ny fonenany. Misy ampahany amin’ny vola azo natao hikojakojana ny tontolo misy azy ireo ka tafiditra amin’izany ny fambolena ny honko sy fikarakarana azy tsy ho faty fa hitombo.
Ankehitriny dia misy mitetika ny hanova io fihariana maharitra io fa hametraka fihariana miankina amin’ny tombom-barotra. (...) Tsy ny fakana bibin-dandy na landy ao amin’ny baie de Betsiboka anefa no vahaolana fa ny fampiroboroboana ny voly tapia, izay fonenan’ny bibin-dandy any afovoan-tany.
Ny fampihenana ny fampiasana azy mba hahafahany mitombo sy ahafahan’ny mpampiasa azy mampiasa landy maharitra. Tetikasa mahomby ny an’ny FEM ka tsy tokony hitsabahan’ny fikambanana na olon-kafa. Marefo ny écosystème ao amin’ny baie de Betsiboka ao ka tsy hahatanty ny fitrandrahana betsaka sy tsy am-piheverana.

Rojo N. dans NewsMada
Le secteur infrastructure bénéficie de 21,1 % de l’enveloppe totale du Programme d’investissement public (Pip) dans la loi de finances 2014. Les 16,5 % de ce budget proviennent de l’extérieur et les 4,6 % de l’Etat. La grande partie du financement alloué à ce secteur est destinée à l’entretien des routes et des ouvrages d’art, à la promotion de l’énergie (en particulier l’énergie alternative et renouvelable) et à l’adduction d’eau potable surtout dans les zones rurales.

Noro Niaina dans NewsMada
Le projet d’auto-évaluation des capacités à renforcer (ANCR) pour la gestion de l’environnement a fait l’objet d’un lancement officiel hier au Development learning center (DLC) à Anosy. Ce projet permettra de consolider les initiatives et les besoins de renforcement de capacités relatives aux trois conventions de Rio en vue de sortir un rapport national et un plan d’action stratégique de renforcement de capacités, ainsi que des documents et outils de mobilisation des ressources financières. Et ce, dans le cadre de la mise en œuvre des trois conventions de Rio ratifiées par Madagascar, entre autres la convention sur la diversité biologique (CDB) et la convention cadre des Nations unies sur le changement climatique.

Racl.R dans La Nation
Le marché biologique est très peu exploité à Madagascar. Or les produits notamment biologiques sont très prisés à l’extérieur. La société Guanomad, fabricant reconnu d’engrais biologique à base de guano a reçu un financement à hauteur de 2,8 millions de dollars de l’Africa Agriculture Fund ou AAF SME pour développer ses produits pour une conquête du marché international. (...) Notons que l’engrais Guanomad possède actuellement 7 produits qui sont adaptés aux types de culture à Madagascar comme les potagers, les céréales (riz et maïs), les arbre fruitiers, les feuilles et gazons etc..



Post-Election - premier tour presidentielles - 2013

Rapportant une Forumiste de "madpsrc", un résumé des journaux.

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bonjour,
CONSTAT
La débauche des moyens démontrée démontrée pendant la campagne électorale pose un réel problème sur le plan :
- moral : existence d'un scandale entre la pauvreté ambiante et les moyens insolents déployés de manière arrogante
- de la vie démocratique : inégalités entre les candidats,  achat de voix et influence sur les électeurs notamment les plus vulnérables, indépendance des candidats et hauts risques dans la future gouvernance si les candidats adeptes de cette débauche des moyens sont élus.
- ect...
Des membres de la société civile ont constaté et témoignent qu'à Majunga Ville, des sommes allant jusqu'à 20.000 Ar ont été distribués par Fokontany. Cela s'est aussi passé à Ambatondrazaka. Y voir une corrélation avec les voix  obtenues par  ces candidats peu scrupuleux ?

Dans sa chronique ci-dessous (AMERTHUNES), VanF estime la comparaison entre les pratiques aux Etats-Unis sur les financements des campagnes et celle qui devrait être dans un pays comme Madagascar n'a pas lieu d'être, pour des raisons philosophiques et des idéaux.
Le contexte américain libéral et celui qui prévaut dans notre pays sont à des années -lumière.

QUE PEUT-ON FAIRE JURIDIQUEMENT?

Mikama - October 30, 2013

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
En deux ans, Madagascar a perdu en tout huit places dans le classement du rapport Doing Business de la Banque mondiale. Son économie est en effet passée de la 137ème place sur 183 dans le rapport Doing Business 2012, à 144ème sur 185 pour la publication au titre de l'année 2013, et 148ème sur 189 à la 11ème édition, le Doing Business 2014. (...) « Avant, le coût d'immatriculation d'une entreprise était de 20 000 ariary, maintenant il est fixé à 40 000 ariary », précise-t-il [Johary Rajosefa, directeur de la Facilitation et des Relations avec les Investisseurs auprès de l'Economic Development Board of Madagascar]. Quant aux améliorations apportées, deux réformes ont été notées. Le pays a facilité le paiement des taxes et impôts, et a réduit les coûts associés pour les entreprises à travers des formations pour les contribuables sur l'utilisation du système en ligne pour la taxe sur la valeur ajoutée des déclarations fiscales. La réduction du taux d'imposition du revenu des sociétés figure aussi parmi les mesures fiscales incitatives. (...) Dans la zone Océan indien, Maurice se positionne à la 20ème place avec trois réformes significatives, et les Seychelles au 80ème rang.
Reference: International Finance Corporation/Banque Mondiale
Et encore plus: Doing business ranking, doing business 2013

Rojo N. dans NewsMada
Le projet de loi n° 014/2013 portant loi de finances pour 2014 publié hier prévoit une croissance économique de 3 % en dépit du ralentissement des activités économiques engendré par la crise sociopolitique. Par contre, le retour des financements extérieurs est encore en suspens et des propositions du secteur privé n’auraient pas été prises en compte dans le projet de loi en question. Dans le cadre du budget général, les dépenses d’investissement public en 2014 sont évaluées à 806,3 milliards d’ariary contre 744 milliards d’ariary cette année. (...)

Mikama - October 29, 2013

Racl.R dans La Nation
La dégradation de l'environnement équivaut chaque année à la perte de la somme de 450 000 millions de dollars, soit environ 9 à 10 % du PIB, selon les statistiques recueillies.
Malgré les efforts grandissants de préserver l’environnement, le pillage d’espèces prisées comme le bois de rose, fait perdre des revenus considérables. La pollution de l’air à l’intérieur des foyers, entraîne 40% des infections respiratoires causant 10.000 décès par an chez les enfants de moins de 5 ans et 1 400 décès, suite aux bronchites chroniques chez les femmes de plus de 30 ans et bien beaucoup d’autres facteurs. (...) Selon les réactions de plusieurs personnes interviewées au hasard, leurs soucis sur les projets miniers restent toujours la dégradation de l’environnement. D’après leurs dires, « si ces compagnies respectent leur engagement insérés dans leur cahier de charges, il n’y a pas de problème mais la plupart d’entre elles ne le font pas ».

Rojo N. dans Newsmada
Ressources halieutiques : le non-respect des lois remis sur le tapis
Chaque année, la pêche est fermée à partir du mois d’octobre jusqu’à décembre en raison de la saison de pondaison des poissons. Pourtant, le Centre de surveillance des pêches (CSP) à Madagascar fait toutefois de belles prises au cours de cette période en dépit des lourdes sanctions à l’encontre de ceux qui s’entêtent à enfreindre les lois régissant le secteur. A titre d’exemple, le centre a mis la main sur deux vedettes appartenant à des opérateurs malgaches pour pêche hors saison. En 2011, quatre navires étrangers ont été interceptés dans le courant du mois de novembre en train de pêcher dans les eaux territoriales du pays sans autorisation. (...)

DOSSIER: BANQUE MONDIALE - MADAGASCAR – ÉVOLUTION ÉCONOMIQUE RÉCENTE, Octobre 2013

MADAGASCAR – ÉVOLUTION ÉCONOMIQUE RÉCENTE 
Octobre 2013 

Résumé

Depuis plus de 4 ans déjà, l’économie malgache continue à être subjuguée par la crise politique. Par ailleurs, le contexte au niveau global a été instable en 2012, surtout au niveau des pays développés. La croissance mondiale a été tirée par les pays en développement tandis que la croissance a été négative dans la zone Euro 1. La région Afrique subsaharienne, à laquelle Madagascar appartient, a cependant enregistré une performance économique exceptionnelle avec une croissance moyenne estimée à 4.3% en 2012. La croissance dans cette zone est prévue s’accélérer en 2013 avec un raffermissement de la situation globale. Cependant, la situation au niveau local ne suit pas la tendance régionale. Avec les incertitudes liées à la réalisation de l’élection en 2013, la vie économique se ralentit.

Mikama - October 24, 2013

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Dans un document publié ce mois-ci « Madagascar - Evolution économique récente », la Banque mondiale explique : « Une hausse du prix du pétrole sur le marché international pourrait inciter le gouvernement à réviser le prix plafond imposé, d’autant plus que les subventions pèsent lourdement sur les finances publiques. Cependant, l’impact de la variation des prix du riz sur l’Indice de prix à la consommation (IPC) devrait être plus visible puisque ce produit représente 15% du panier de consommation, tandis que les produits pétroliers ne pèsent que 1,2%. ».
Certes, le blocage des prix à la pompe depuis 2010 permet de contenir l’inflation, mais il a également des conséquences désastreuses sur plusieurs secteurs. Si l’on prend l’exemple de l’entretien routier, il est laissé à l’abandon étant donné que l’Etat permet aux importateurs de produits pétroliers de ne pas verser la redevance sur l’entretien routier. Le réseau des routes nationales est donc en lambeau.
Source: Banque Mondiale - Evolution Economique Recente - Octobre 2013
(copie ici)

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Comment faire pour adapter la pratique culturale face au changement climatique Des chercheurs du laboratoire des Radio-Isotopes (LRI) de l'université d'Antananarivo ont trouvé une formule pour faire augmenter le gap de 21% de production rizicole, de 14% et 15% la production de maïs et de manioc due notamment à la sécheresse prolongée, cette année. « L'agriculture de conservation ou système de culture, sous couvert végétal permet, au moins de doubler la production agricole », a avancé le professeur Lilia Rabeharisoa, directeur du LRI.  « Ce système est également connu sous le nom de labour minimum de terre permettant aux végétaux de couvrir le champ », a ajouté le professeur Lilia Rabe­harisoa.

Mikama - October 23, 2013

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Selon les statistiques de l'Académie malgache jusqu'en 2012, 0,57% du peuple malgache parlent uniquement le français, 15,87% la pratique occasionnellement et 83, 61% ne connaissent que la langue malgache.
Certains académiciens proposent une complémentarité entre les langues malgache et française pour que celle-ci ne s’apprenne pas au détriment de la langue maternelle. « Personne ne va dire qu'on n'a pas besoin d'autres langues. Au contraire, le bilinguisme est toujours un atout s'il est bien géré, c'est-à-dire si on respecte notre langue maternelle en maîtrisant celle des autres. Un atout parce que ce n'est pas seulement un instrument de communication, mais aussi un outil pour recevoir d'autres cultures », a souligné un académicien. Selon lui, une culture qui ne s'ouvre pas, serait morte, mais elle devrait être enracinée.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Selon les données fournies par le département ministériel, la production de lait est estimée à 100 millions de litres par an : 67 millions de litres proviennent des vaches laitières de races étrangères et 33 millions des vaches de race locale. Sur cette quantité totale, une partie non négligeable sert à nourrir les veaux qui sont estimés à près de 800 000 par an, et pour la consommation directe. L'industrie de transformation ne bénéficie que de 6,5% de la production totale.

Mikama - October 22, 2013

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Cette institution de BrettonWoods soutient qu'à la fin du premier semestre, le déficit budgétaire excède déjà l’objectif établi pour l’année. Celui-ci se chiffre à 166 milliards d'ariary alors que la loi de Finances prévoit un niveau de déficit de 38 milliards ariary pour le premier semestre de 2013 et 141 milliards ariary pour l’année budgétaire. Les recettes fiscales n’atteignent pas non plus les prévisions alors que l'État n’a pas compressé ses dépenses de fonctionnement. Les autorités n’ont pu collecter que 84% des prévisions de la loi de Finances 2013 pendant les six premiers mois.  (...) Le niveau des réserves internationales s’est dégradé. Il est passé de 1,051 million USD en fin décembre 2012 à 853 millions USD fin juin 2013, soit l’équivalent de 2.6 mois d’importation. « Les arrangements sur le taux de change préférentiel accordé sur les impor­tations de produits pétroliers constituent la raison principale du tarissement des réserves », note toujours le rapport de la Banque mondiale. (...) Le déficit de la balance commerciale s’est nettement amélioré de 67 millions USD par rapport au premier semestre de l’année précédente. (...) Les crédits d’investissements ne se chiffrent qu’à l’équivalent de 10 mil­lions Usd. Cette situation démontre que le climat des affaires n’est pas du tout favorable à l’investissement et les entreprises à Madagascar déclarent que 80% de leurs investis­sements se font sur autofinancement.
Reference Banque Mondiale (données et autres)

Noella Rakoto dans NewsMada
L’écart entre les recettes et les dépenses est en partie imputable à une mauvaise programmation des recettes. Notre source affirme que d’un côté, les recettes sur les droits d’accises ont été surestimées avec une anticipation d’une hausse des recettes de 50%, suite à l’augmentation de 30% du taux d’imposition sur les cigarettes, soit de 250% à 325%. D’un autre côté, les recettes sur les produits pétroliers ont été largement inférieures aux prévisions. En effet, les recettes collectées sur les produits pétroliers ne sont qu’à 57% des prévisions. Aujourd’hui, les coupes budgétaires à l’endroit de chaque ministère visent à ne traiter que les dépenses prioritaires telles que les salaires des fonctionnaires, les pensions,…

Mikama - October 21, 2013

Dans Raw Story
Madagascar’s real-life lemurs face extinction within 20 years.
“As long as there is poverty, we can’t expect to prevent the lemurs’ extinction,” said primatologist Jonah Ratsimbazafy from the University of Antananarivo. (...) crop burnings and wild fires destroy 200,000 hectares of Madagascar’s forest a year. And the 13 percent of its natural forest that remains may disappear within a generation, according to Ratsimbazafy. (...) A coalition of conservationist groups have launched an international campaign to raise around $8 million, in a do-or-die effort to reverse the trend.
The three-year programme aims to help provide alternative livelihoods for the local population, in addition to tourism and agricultural programmes that have been running for a few years.
“We try to finance money-generating activities like planting beans, and pig, chicken or fish farming, so that people in the countryside stop destroying the forest,” said Benjamin Andriamihaja, local representative of the US-based Institute for the Conservation of Tropical Environments (ICTE).
“But it’s difficult to compensate for the lack of revenue of locals who don’t think long-term,” he added.

Racl.R dans La Nation
Comme le souligne toujours le président du Syndicat des industries de Madagascar (SIM), Stéphane Raveloson, Madagascar possède le taux de fiscalité le plus élevé dans la région de l’Océan Indien. (...)  Si ce taux de fiscalité élevé n’est pas revu à la baisse, il ne fera que tuer toute entreprise qui essaie de démarrer.

Mikama - October 18, 2013

Racl.R dans La Nation
Affaire Daewoo Logistics. Le cauchemar refait surface.
Le Collectif TANY souligne que « la situation est grave. (...) Revendiquons encore plus fort la transparence sur les termes de tous les contrats passés ou à venir sur les terres et les ressources naturelles pour que tous les citoyens, cultivateurs, éleveurs, juristes, économistes, experts du foncier et de l’environnement,... évaluent l’impact des projets à différents niveaux, s’expriment sur les décisions à prendre et assurent le suivi pendant la réalisation. Respectons les droits humains des paysans malgaches et refusons leur expulsion et déplacement de leurs terres sous prétexte d’investissements qui profitent seulement à une minorité mais qui ne contribuent pas réellement au développement ».

Alizé Carrère dans National Geography
“Scarred” Hillsides in Madagascar May Actually be Agricultural Gold Mines.
National Geographic Young Explorer Alizé Carrère is researching an innovative method of agricultural adaptation in the Malagasy highlands that has emerged in the face of severe deforestation. Known to locals as “lavaka”, literally meaning “hole”, they are massive erosional gullies that provide surprising agricultural and socio-economic benefits, turning a deforested landscape into one of opportunity, not hardship.

Mikama - October 17, 2013

Recueilli par Yann dans Tribune de Madagascar d’après un communiqué de la Fondation Mo Ibrahim
L’Indice Ibrahim de la gouvernance en Afrique 2013 révèle que Madagascar a connu la régression la plus importante du continent, passant de la 9e place en 2000 à la 37e place en 2012, et enregistrant un déclin particulièrement important dans la catégorie Participation et droits de l’homme. Depuis 2000, Madagascar enregistre sa plus forte régression dans la catégorie Participation et droits de l’homme, qui évalue notamment la protection des droits de l’homme, la participation à la vie civique et politique et les questions de parité.
Madagascar a également reculé dans les catégories Développement économique durable et Sécurité et souveraineté du droit. Cette dernière évalue notamment l’appareil judiciaire, la redevabilité, la transparence et la corruption, les droits de propriété et la sécurité individuelle et nationale, tandis que la première évalue les conditions favorables au développement économique, notamment une bonne gestion publique, la compétitivité de l’environnement des entreprises et l’existence d’infrastructures solides.

NewsTrack India
Speaking on the World Food Day, ONN official Lova Ralambomahay said the chronic malnutrition rate in Madagascar is 50.10 percent while the 26.40 percent of people in the country suffer from acute malnutrition, Xinhua reported.
Ralambomahay said this figure is the result of a survey done in 2009 covering 6,000 sites of ONN in 22 regions, adding that only four out of 22 regions in Madagascar have a low rate of chronic malnutrition.

Mikama - October 15, 2013

La Gazette de la Grande-Ile
Microfinance: Fragilisée par les litiges sur le recouvrement
«Les IMF (institutions de microfinance) sont actuellement confrontées à un problème très particulier mais qui les fragilise fortement : les litiges judiciaires avec leurs clients concernant le recouvrement de leurs créances et la mobilisation des garanties adossés aux crédits contractés.

R.Edmond dans Midi Madagasikara
Ces Communes participent, précisons-le, à l’Opération Communale d’Appui Intégré (OCAI), laquelle opération va appuyer 125 communes réparties en deux zones d’intervention. Ces communes bénéficieront de l’appui intégré pour renforcer leur capacité de gouvernance selon des méthodes déjà éprouvées. Les activités prévues vont activer le recensement des terrains et leur sécurisation avec un double objectif de reconnaissance des droits fonciers et d’accroissement des ressources fiscales, et vont améliorer les compétences des collectivités locales en matière de gestion des ressources humaines et financières, de respect des cadres légaux en vigueur et d’identification des populations.

Mikama - October 11, 2013

Domoina Ratsara dans L'Express de Madagascar
« Il y a trop de composantes qui divisent et qui font obstacle à la construction d'une identité nationale », a conclu le Dr Ingo Wallner en répondant aux questions faisant suite à son intervention intitulée « Conscience culturelle et nationale : la construction d'une identité nationale malgache ».
L'analyse de la Constitution malgache, de la communication visuelle, des symboles et des représentations diverses révèle des identités individuelles, un imaginaire segmentaire mais aussi des dissonnances sociales qui font obstacle à l'unité nationale.
La notion d'identité nationale, évoquée par le docteur de l'Université de Münster et ancien consul honoraire de Madagascar en Allemagne, vient remettre en question la thèse de l'unité culturelle à Madagascar. Dans ce travail très documenté, l'auteur évoque le « fihavanana » comme un concept de valeurs universellement valable au niveau culturel et identitaire mais s'avère être en même temps un concept de segmentation sociale qui ne mène pas à la cohésion.

René Cyrille dans NewsMada
De façon quasi unanime la population rurale, qu’elle soit de campagne ou de brousse, ne se satisfait pas du sort que les gouvernants lui réservent. Elle exprimerait sa lassitude en brûlant la terre, une sorte d’appel à l’aide et de révolte. A-t-elle conscience qu’elle s’adonne à une sorte de geste de désespoir puisque ce faisant elle scie la branche qui la nourrit ?

Mikama - October 10, 2013

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
La production de paddy est estimée à 3,6 mil­lions de tonnes cette année. Cette production enregistre une baisse de 21%, par rapport à la production de l’année dernière. La production de maïs et celle de manioc ont également diminué par rapport à la saison précédente, de 15 et 14%, a fait savoir le rapport spécial de la mission de la FAO et du PAM, pour évaluer la sécurité alimentaire à Madagascar, hier. Un déficit d'environ 240 000 tonnes en riz blanc a été ainsi estimé pour la prochaine année commerciale d'avril 2013 à mars 2014. Une importation d’environ 48 000 tonnes de maïs serait aussi néces­saire, selon ce rapport conjoint, pour combler le déficit.
 Même si la production de pomme de terre n'a pas été mentionnée dans ce rapport, les paysans de la région de Vakinankaratra et ceux du district d'Andramasina, région Analamanga, se plaignent également de la baisse de production cette année. « Nous estimons que plus de 90% des cultures de pomme de terre ont été ravagées par le gel lors de la première saison . Les gens espèrent aujourd'hui une augmentation de la production pour la deuxième saison », a relaté Paul Rakotoarimanana, producteur de légumes à Ambohibary Sambaina et vendeur de légumes au marché du Namontana.

Arh. dans NewsMada
« La nourriture est la principale dépense d’environ un tiers des ménages qui y consacrent jusqu’à 75% de leur budget », indique le rapport FAO-PAM. « Ces chiffres sont voués à augmenter du fait de la hausse des prix, alors que les salaires n’ont pas été ajustés aux taux d’inflation ».

Mikama - October 9, 2013

Thomson Alisoa Andriamanalina dans Lakroan'i Madagasikara
TIC et NTIC Un frein à l’éducation des jeunes.
Et pourtant… Si les TIC étaient utilisées à bon escient, l’éducation des jeunes se verrait poussée vers une amélioration probante. Avec des livres par milliers, des données diverses sur quasiment tous les domaines d’études possibles, le tout disponible en quelques clics, les moteurs de recherche sont une vraie mine d’or pour les étudiants. Et pour ce qui est des réseaux sociaux, ils peuvent être utilisés comme une plateforme géante pour partager conseils et expériences utiles dans les études ou le travail.

Reuters Foundation
As many as 4 million people in rural areas of Madagascar are food insecure following this year's reduced harvest. Production of rice – the Indian Ocean island's staple – and maize has been badly hit by erratic weather and a locust invasion. A further 9.6 million people are at risk of food insecurity, say two United Nations agencies.

Sur ce drame de Nosibe

Ça énerve un peu tout ce "lynchage médiatique" sur ce "lynchage" à Nosibe. Voici ma réponse sur RFI:
On "se fait justice". Mais ce n'est pas, et n'était pas à tous les jours que les Malgaches faisaient ça. Est-ce qu'il y a eu pareil ces 1 ou 5 ou 20 dernières années ? Que l'on se calme et qu'on en discute objectivement.

Mikama - October 8, 2013

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Comme attendu, les attentes des industriels restent à peu près les mêmes, avec, entre autres, des mesures fiscales visant à faciliter les investissements dans les équipements, afin d'améliorer leur compétitivité. Cela consiste à ramener à 15% l'impôt sur le revenu pour l'industrie de transformation, au lieu de 20%, à l'heure actuelle. Ils souhaitent également une réduction d'impôt de 50% sur les investissements. (...) Outre les mesures touchant l'impôt sur le revenu, plusieurs propositions des industriels n'ont pas également été prises en compte dans la loi de finances 2014. Il y a, par exemple, la réduction de la TVA à 5% pour les produits de consommation courante. Elle permettrait de soutenir la consommation, ce qui profiterait à la production des industries locales.

Racl.R dans La Nation
Les nouveaux élus sont-ils prêts à prendre une décision de dévaluation d’au moins 50% de l’Ariary par rapport au panier de devises ? Comment ils vont affronter alors l’inflation qui va tourner autour de 15% au premier trimestre 2014 ?

Mikama - October 7, 2013

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
«L’étape immédiate est d’abord pour la compagnie, de poursuivre le projet pilote en confirmant le succès de la technologie d’injection de vapeur. Cela permettra ensuite à l'entreprise d'évaluer avec précision le facteur de récupération potentielle de pétrole dans le réservoir et les coûts associés à l'exploitation. Lorsque nous serons convaincus du développement commercial, nous demanderons alors l'approbation pour le développement auprès des autorités puis procéderons à un investissement à plus grande échelle» enchaîne Romy Voos.

NIR dans La Gazettte de la Grande-Ile
Le métier de commercial a beaucoup évolué à Madagascar. Cherchant à réduire les prix, les clients deviennent de plus en plus exigeants. Du côté des vendeurs, la concurrence est rude. Le commercial ne peut donc plus être un simple vendeur mais un acteur permanent d’une politique commerciale dynamique. (...)

Mikama - October 4, 2013

Shaun Weston dans FoodBev
Virginia Dare and its new partner Soarary have announced a new dual strategy to improve the sustainability of Madagascar's vanilla market.
A primary objective is to enable farmers to properly cure their own green, or raw, vanilla such that they can earn the much needed extra revenue associated with this value-added activity.
To make this possible, the Virginia Dare/Soarary partnership has already gifted the materials and provided the training necessary for proper curing to a group of approximately 150 growers.
The second objective is to improve food security for Madagascar's vanilla growing community. An innovative scheme sponsored by the partnership will guarantee participating farmers access to affordable rice, Madagascar's staple food, during the annual shortage period.
This access will help increase growers' vanilla income by curtailing their practice of paying for otherwise unaffordable rice by pledging future vanilla production at prices below fair market value.

BBC
La campagne électorale entame sa deuxième semaine. Grâce à d'énormes moyens financiers, les plus grands candidats ont commencé à se démarquer dans une campagne encore marquée par l'absence de débats de société.  (...) Au grand désespoir des organisations de la société civile, le contenu des discours reste plutôt superficiel, les candidats se contentant souvent de ne citer que les mêmes objectifs économiques et sociaux sans révéler la manière d'y parvenir.

Mikama - October 3, 2013

Alisoa Andriamanalina dans Lakroan'i Madagasikara
... tous les jeunes qui font partie de la Jeunesse Croix-Rouge sont des volontaires qui se sont engagés, librement, dans ces activités. Ce volontariat apporte un plus dans leur éducation car dans ce cadre, non seulement ils sont responsablisés, mais en plus, ils vivent des expériences qui les rapproche des autres, du monde réel, de la société dans laquelle ils vivent. Entre autres, ils participent aussi à l’éducation des autres à travers la diffusion des valeurs de la Croix-Rouge, qui sont ancrées dans le respect des valeurs humaintaires et l’esprit d’entre-aide. Ainsi, l’appel aux volontaires continu, pour tous ceux qui veulent participer à ce processus d’éducation de soi et des autres.

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Dans ce rapport, le total des flux déclarés par l’État s’élève à 171,48 milliards ariary, soit 84,68 millions de dollars. Le total des flux réconciliés s’élève à 171,476 milliards d’ariary, soit 83,462 millions de dollars. «Les flux réconciliés signifient que les chiffes de l'État et ceux des compagnies ayant fait une déclaration ont été recoupés », explique un technicien proche du secteur.

Mikama - October 2, 2013

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Il s'agit d’enquêtes effectuées auprès des jeunes de 15 à 24 ans, afin de promouvoir un espace de dialogue entre eux, ainsi qu'entre les jeunes et les autorités.
«Durant les quelques mois d'enquête, les préoccupations des jeunes, collectées, tournent autour de quatre axes majeurs, notamment l'alcoolisme, la santé de la reproduction et les VIH/Sida, l'abandon scolaire et l'emploi», a rapporté Edmondine Ramaroson, présidente du Cnpc.

La Gazette de la Grande-Ile
Dans la Ville d’Antsiranana et les communes périphériques, le nombre d’enfants travailleurs sont au nombre de 29.000 représentant ainsi 15% des enfants entre 5 et 17 ans. 72% de ces enfants effectuent des travaux dangereux. Depuis 2006, des actes de violence et de vols, suivis parfois de meurtres ont été perpétrés par des enfants et des jeunes, phénomène ayant pris de l’ampleur au fil des années...

Pourquoi il n'y a pas de guerre civile à Mada ?

Au vue de ce qui se passe à Mada ces dernières années, tant d'abus et d'injustices de la part des tenants du pouvoir (qui ont fait un "coup"), la question de pose : pourquoi il n'y a pas eu de guerre civile à Mada ?

J'ai ma réponse, que j'ai fait part sur le site de RFI

Reponse (rhaj):
 
Il n'y a pas de guerre civile parce que l'opposition ne s'est pas versé dans une opposition armée. Trop "légaliste", peut-etre?
Mais les tenants du pouvoir ne se sont pas genés d'user de la force (des militaires qui ont soutenu le coup).
Avec cette élection, les memes militaires ont maintenant du budget pour "sécuriser l'élection". Un journal local, "Ino Vaovao", titrait meme aujourd'hui que des (ou un) membres des forces de l'ordre serait présent dans chaque bureau de vote

Note: le dernier paragraphe, pointant à Ino Vaovao a été "coupé" par RFI

Mikama - October 1, 2013

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Un bref délai. La création d'entreprise peut se faire en quelques heures. C'est le défi que se sont lancés les organisateurs du « Global entrepreneurship week » en créant l'évènement dénommé Startup Weekend Antananarivo. Il s'agit d'un concept de création d'entreprise en 54 heures et en équipe. Selon les explications apportées hier, par Hariniry Rakotobe, au Centre de presse malagasy, les startupers formeront des équipes pour monter ensemble leur business model.
Des coachs seront présents pour les conseiller et les appuyer dans leur démarche.

A.D. dans La GAzette de la Grande-Ile
« Six Malgaches sur 10 pensent que la situation économique actuelle est mauvaise », lit-on à travers les premiers résultats... Comme par exemple, « six Malgaches sur 10 ont déclaré avoir manqué plusieurs fois de nourriture au cours des 12 derniers mois précédant l’enquête ».