Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
En deux ans, Madagascar a perdu en tout huit places dans le classement du rapport Doing Business de la Banque mondiale. Son économie est en effet passée de la 137ème place sur 183 dans le rapport Doing Business 2012, à 144ème sur 185 pour la publication au titre de l'année 2013, et 148ème sur 189 à la 11ème édition, le Doing Business 2014. (...) « Avant, le coût d'immatriculation d'une entreprise était de 20 000 ariary, maintenant il est fixé à 40 000 ariary », précise-t-il [Johary Rajosefa, directeur de la Facilitation et des Relations avec les Investisseurs auprès de l'Economic Development Board of Madagascar]. Quant aux améliorations apportées, deux réformes ont été notées. Le pays a facilité le paiement des taxes et impôts, et a réduit les coûts associés pour les entreprises à travers des formations pour les contribuables sur l'utilisation du système en ligne pour la taxe sur la valeur ajoutée des déclarations fiscales. La réduction du taux d'imposition du revenu des sociétés figure aussi parmi les mesures fiscales incitatives. (...) Dans la zone Océan indien, Maurice se positionne à la 20ème place avec trois réformes significatives, et les Seychelles au 80ème rang.
Reference: International Finance Corporation/Banque Mondiale
Et encore plus: Doing business ranking, doing business 2013
Rojo N. dans NewsMada
Le projet de loi n° 014/2013 portant loi de finances pour 2014 publié hier prévoit une croissance économique de 3 % en dépit du ralentissement des activités économiques engendré par la crise sociopolitique. Par contre, le retour des financements extérieurs est encore en suspens et des propositions du secteur privé n’auraient pas été prises en compte dans le projet de loi en question. Dans le cadre du budget général, les dépenses d’investissement public en 2014 sont évaluées à 806,3 milliards d’ariary contre 744 milliards d’ariary cette année. (...)
le taux de croissance est estimé à 2,4% contre une prévision de 2,8 % dans la loi de finances de cette année et une réalisation de 2,5 % en 2012. (...) « le Programme d’investissement public constitue l’instrument de mise en œuvre de la politique du gouvernement. Les projets institutionnels et ministériels relatifs aux grandes orientations sectorielles respectives y sont retracés ». Rappelons que les dépenses d’investissement public en 2014 sont évaluées à 806,3 milliards d’ariary contre 744 milliards d’ariary cette année. Le financement externe est passé de 520,2 milliards en 2013 à 638,2 milliards d’ariary en 2014. En ce qui concerne le financement externe en 2014, les emprunts seront augmentés de 55,7 % par rapport à cette année, soit 340,9 milliards d’ariary. Par contre, les subventions connaîtront une baisse de 1,3 %, soit 297,3 milliards d’ariary. Pour l’année 2014, le montant total des dettes extérieures à rembourser s’élèvera à 217,9 milliards d’ariary dont 164,9 milliards d’ariary en capital et 53 milliards d’ariary en intérêts.
R.Mathieu dans NewsMada
Volam-panjakana : lany amin’ny karaman’ny mpiasa ny 71 %. Nomarihin’ny Banky iraisam-pirenena ny fisian’ny fandaniam-bolam-panjakana toy izany nandritra taona maro, ho an’ny fampandehanan-draharaha. Raha 1.467 miliara Ar ny vola mivoaka, 331 miliara Ar monja ny fandaniana ho an’ny asa hafa. Mbola fanampiana avy any ivelany ny niantoka ny 86 % tamin’ireny karazana asa ireny. Antony iray lehibe nahatonga tsy fahampian’ny tetibolam-panjakana izao ny tsy fidiran-ketra, nahatratra 220 miliara Ar nandritra ny enim-bolana voalohany 2013.
R.Mathieu
http://www.newsmada.com/index.php/economie/27891-varotra-ivelany--mihatsara-ny-fanondranana-nickel-ambatovy#.UnD_CHC-q9g
Ny fanondranana harena an-kibon’ny tany no tsara toerana indrindra amin’izao fotoana izao. Ny nickel avy ao Ambatovy, ohatra, mitentina 30 tapitrisa dolara isam-bolana. (...) Nitotongana hatrany, ohatra, ny jirofo, tsaramaso ary mitohy ny fidinan’ny letisia. Amin’ity taona ity, efa misy mpikaroka momba ny zavamaniry, nanaitra ny aretina mahazo ny letisia. Ny fanafarana entana kosa, mitombo betsaka amin’ny sakafo sy ireo kojakoja samihafa. Efa nanantombo 18 % ny vary avy any ivelany, nandritra ny enim-bolana voalohany 2013, raha ampitahana tamin’ny vanim-potoana mitovy tamin’ny taona 2012.
Racl.R dans La Nation
Selon une plateforme de discussion pour le développement économique de Madagascar, « economia-expansion.mg », le développement se joue entre l’amélioration des revenus salariaux des Malgaches et leur capacité à consommer les produits des entreprises locales. (...) « seuls [ces] revenus permettent à la population de consommer. Seule cette consommation pérennise les activités des entreprises B to C - commerce de distribution, industries agroalimentaires, restauration et hôtellerie… - indissociables de leurs fournisseurs et prestataires, les entreprises B to B comme les équipementiers, les industries informatiques, chimiques, minières, etc. Seule la consommation de leurs produits permet à ces entreprises de se développer, entre autres, de créer de nouveaux emplois pour ces centaines de milliers de jeunes qui arrivent sur le marché du travail chaque année. Seule cette consommation permet à l’Etat d’engranger des impôts afin qu’il puisse assurer ses missions : construction d’infrastructure publique, santé, éducation, justice, sécurité. Seule la croissance économique – l’augmentation de la production des biens, soutenue par une croissance des entreprises qui garantissent l’emploi et les revenus – peut assurer l’amélioration des conditions de vie, en particulier du pouvoir d’achat et du progrès », réitère la plateforme.
Dans La Verite
Une campagne de lutte confidentielle a été menée le 8 octobre dernier depuis La Réunion. Le patrouilleur Osiris a contrôlé 23 navires de pêche en l’espace de 14 jours. Certains navires ne fréquentent presque jamais les ports des pays où ils pêchent. Plusieurs navires ont reçu des avertissements pour des infractions légères. Un autre navire a reçu un procès verbal pour un trafic d’ailerons de requins à Maurice. Depuis le 22 octobre, le patrouilleur malgache, Tendromaso a pris le relais. Il est chargé de l’ inspection des navires, de procéder éventuellement à arraisonnement de navire de pêche,… Plus tard, il sera remplacé par un patrouilleur de haute mer de la Seychelles « fishing authority ».Ce programme exceptionnel se poursuivra au moins jusqu’en février 2014. L’équipage veillera jour et nuit en mer en Indianocéanie. L’Union européenne et les Etats membres de la Commission de l’océan Indien cofinancent le Plan régional de surveillance des pêches et le programme Smartfish. Les centres de surveillance des pêches de Madagascar et la Seychelles fishing authority ont reçu 600 000 euros de subvention de la part du projet Smartfish afin d’accompagner la stratégie régionale de lutte mise en oeuvre depuis 2007.
Mbola Ranaivomanana, Malagasy Red Cross Society dans IFRC
“It is very important to introduce first aid at all stages of a person's life, including the workplace and at home,” said Claude Rakotondranja, President of the Malagasy Red Cross Society. The activities culminated in celebrations during which members of the general public were encouraged to seek training in first aid and the importance of first aid in Madagascar was highlighted. Illustrating their new skills, a number of the truck and bus drivers demonstrated what they learned during the training.
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