Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Selon les statistiques de l'Académie malgache jusqu'en 2012, 0,57% du peuple malgache parlent uniquement le français, 15,87% la pratique occasionnellement et 83, 61% ne connaissent que la langue malgache.
Certains académiciens proposent une complémentarité entre les langues malgache et française pour que celle-ci ne s’apprenne pas au détriment de la langue maternelle. « Personne ne va dire qu'on n'a pas besoin d'autres langues. Au contraire, le bilinguisme est toujours un atout s'il est bien géré, c'est-à-dire si on respecte notre langue maternelle en maîtrisant celle des autres. Un atout parce que ce n'est pas seulement un instrument de communication, mais aussi un outil pour recevoir d'autres cultures », a souligné un académicien. Selon lui, une culture qui ne s'ouvre pas, serait morte, mais elle devrait être enracinée.
Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Selon les données fournies par le département ministériel, la production de lait est estimée à 100 millions de litres par an : 67 millions de litres proviennent des vaches laitières de races étrangères et 33 millions des vaches de race locale. Sur cette quantité totale, une partie non négligeable sert à nourrir les veaux qui sont estimés à près de 800 000 par an, et pour la consommation directe. L'industrie de transformation ne bénéficie que de 6,5% de la production totale.
Racl.R dans La Nation
La Banque africaine de développement (BAD) a approuvé, le vendredi 18 octobre 2013 à Tunis, un prêt de 70,98 millions de dollars des Etats Unis (prêt de 70,78 millions USD et un don de 0,20 million USD) en faveur de la République de Madagascar pour le financement du Projet d’aménagement d’infrastructures routières à Madagascar (PAIR). Etant donné que les infrastructures routières sont importantes pour le développement économique et le désenclavement des régions, leur réhabilitation est importante même si l’Etat doit s’endetter pour l’achever.
Noella Rakoto dans NewsMada
... en 5 mois, les éleveurs ont accusé une perte d’environ 4,2 milliards d’ariary. Ce montant représente près de 8% du cheptel bovin.
D’après les explications avancées durant ce conseil du gouvernement, la sècheresse est le premier facteur évoqué. Avec l’insuffisance de pluie, la pluviométrie a été ramenée à un niveau très bas. A cause de cette situation, les veaux, les vaches gestantes ainsi que les vieilles vaches périssent.
Tribune de Madagascar
En tout cas, les observateurs sont multiples et ils sont organisés par réseaux. Le KMF/Cnoe, la Croix Rouge malgache, l’ONG Tombotsoa/Sahivato, le Centre de développement Andohatapenaka (CDA) et Liberty 32 sont regroupés dans le réseau Mahitsy Fijery qui déploiera 1600 agents observateurs dans les 119 districts. Ce réseau dispose d’un financement de l’Union européenne de 569 766 300 ariary pour sa mission jusqu’au mois de février 2014.
Vohifiraisana est un autre réseau qui travaille étroitement avec la SADC.
L.T. dans La Gazette de la Grande-Ile
Plus de 800 observateurs électoraux étrangers sillonnent Madagascar à l’occasion de cette présidentielle. Ces observateurs sont issus de plusieurs entités telles que l’Union européenne, l’Organisation de la Francophonie (OIF), l’Union africaine, la Communauté des Etats d’Afrique australe (SADC) et la Commission de l’océan Indien (COI).
No comments:
Post a Comment