Mikama - Jul 31, 2015

Depeche dans Orange.mg
SCRUTIN : 8.484.714 électeurs sont attendus ce vendredi 31 juillet dans 20.072 bureaux de votes répartis dans tout Madagascar, afin d’élire les maires et les conseillers communaux de 1.695 communes. 7.322 candidats maires et conseillers sont enregistrés auprès de la Commission électorale nationale indépendante pour la transition (Ceni-T).


Mikama - Jul 30, 2015

Sandra Miora Hafalianavalona dns L'Express de Madagascar
 « la Jirama achètera à 460 ariary (16 cents) le kilowattheure à la société Symbion, y compris le prix du carburant. En ce moment, la Jirama achète le kilowattheure à 700 ariary auprès d’autres fournisseurs d’énergie, alors qu’il est vendu à 372 ariary, voire 141 ariary pour le tarif social. De plus, c’est  la société qui  assure le carburant... En outre, Paul Hinks, directeur général de Symbion Power, a précisé que le bénéfice de la société est de 2,6 à 3 cents... Entre autres, Symbion Power va construire des petites centrales biomasses régionales. Elles permettront de produire jusqu’à 5 mégawatts chacune. Celles -ci vont supplanter les générateurs diesel coûteux utilisés au­jourd’hui.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
1 milliard de dollars pour les entrepreneurs africains. C’est la promesse de Barack Obama au 6ème sommet mondial de l’entreprenariat qui s’est tenu à Nairobi les 25 et 26 juillet derniers. Aucune personnalité politique malagasy n’y a fait le déplacement... Madagascar est au 180ème rang sur 189 économies selon le Doing business 2015 de la Banque mondiale. Il a donc perdu 2 places entre 2014 et 2015. Si les entreprises existantes ont du mal à obtenir des prêts, qu’en est-il des entreprises en création ou nouvellement créées ? Elles sont tout simplement obligées de compter sur leurs propres fonds ou le soutien d’un tiers et non pas sur le système bancaire ou financier... D’aucuns savent pourtant que l’esprit entrepreneurial est l’un des facteurs qui booste l’économie des Indiens et des Pakistanais installés à Madagascar. Cette population générerait plus 75% du PIB de Madagascar.

R.Edmond dans Midi Madagasikara
Ainsi, en complément aux engrais déjà utilisés, Mavin produit un gain net de 27 % en milieu contrôlé. Selon les explications fournies lors d’une conférence de presse qui s’est tenue au siège d’AGRIVET à Ambohibao, pour une dépense supplémentaire de 1 litre de Mavin par hectare, le rendement en SRI passe de 6,78 tonnes à l’hectares à 8,64 tonnes à l’hectare. Soit, un gain de 1,86 T/ha de paddy. En milieu non contrôlé, comme en riziculture traditionnelle, avec un rendement moyen en riz de 2 T/ha, et un gain minimal de 15 % seulement, les paysans gagneraient 0,3 T/ha supplémentaire, soit 210 000 ariary de revenus supplémentaires pour 30 000 ariary investis en Mavin.

Joachin Michaël dans NewsMada
A ce sujet, sept femmes volontaires originaires d’Iavomanitra (Amoron’Imania) et de Tsaratanana (Sud-ouest), ont bénéficié d’une formation sur l’ingénierie solaire dispensée par l’ONG indienne Barefoot Collège. (..) Ces femmes ont appris pendant six mois, à installer, assembler, entretenir des panneaux solaires pour éclairer leurs villages.

Riana R. dans NewsMada
..  selon les chiffres de l’Economic development board of Madagascar (EDBM). 50% des entreprises nouvellement créées au cours de cette période sont des entreprises privées. En moyenne, 4944 entreprises ont été créées entre 2010 et 2014 dont la moitié est constituée d’entreprises étrangères », a indiqué Robson Andrihamihaja, directeur général de l’EDBM dans la dernière édition de Tahiry, le bulletin mensuel de la direction du Trésor.

Fahranarison dans NewsMada
Une troisième campagne de vaccination contre cette maladie virale [poliomyélite] se tiendra du 3 au 7 août prochain. Cette édition cible près de 4.300.000 enfants de 0 à 59 mois dans les 22 régions de Madagascar. (..) A cette occasion, le ministère de tutelle vise à atteindre 95% de taux de couverture vaccinale des enfants de 0 à 11 mois contre tout antigène. (..) Le coût estimatif des activités de cette troisième vague de campagne de vaccination contre la poliomyélite est de 6.357 080.582 d’ariary, dont la prise en charge est assurée par l’Etat et ses partenaires, en l’occurrence l’OMS, l’Unicef, l’USAID et autres.

Mikama - Jul 29, 2015

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
En 2001, par exemple, la population estimée à environ
2 millions d’habitants a consommé plus de huit  tonnes de produits d’eau douce par jour. Or ces produits d’approvisionnement issus à 90 % de la pêche  sont en décroissance continuelle. Pour satisfaire ces besoins,  il est donc impératif de développer la pisciculture et d’accroître la production. Les opérateurs pisciculteurs, des producteurs d’alevins privés et un groupement de petits pisciculteurs nommé Siloama, ont produit durant la campagne 2014-2015, huit cent mille alevins tous confondus et cent tonnes de poissons marchands.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Le séminaire a pour objectifs , d’après les données publiées par le MinAgri,  de faire connaître les différentes démarches de valorisations de produits agricoles et agroalimentaires, d’ identifier et connaître les acteurs nécessaires à la mise en place d’une démarche de valorisation, d’ être capable d’analyser un projet de valorisation de produits agricoles et agroalimentaires ; d’accompagner les acteurs de terrain, les entreprises et les filières dans une démarche de valorisation de produit. (..) Ce projet SIQOI d’une durée de trois an (03), selon toujours la même source,  a été lancé en 2014 sur financement du Programme Opérationnel de Coopération Territoriale (POCT) du Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) de la Région de la Réunion...

Dans La Gazette de la Grande Ile
Actuellement, les principales exportations malgaches au Canada sont le minerai de titane, les épices, le café et le thé, ainsi que les vêtements tissés. A l’inverse, les exportations canadiennes vers Madagascar sont constituées, entre autres, par les appareils nucléaires, les articles textiles divers, le matériel et la machinerie électriques.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Sous la coordination de l’ONG Wildlife Conservation Society, les chercheurs ont dressé un inventaire du carbone stocké dans les sols des forêts humides malgaches. « Nos travaux, récemment restitués, posent les bases pour mettre en oeuvre l’initiative REDD de l’Onu, explique l’agropédologue Martial Bernoux. Celle-ci envisage de rémunérer les pays qui parviennent à conserver leur sol forestier à partir de fonds multibailleurs. » Sa mise en place conduira au développement d’un marché de financement des émissions liées à la déforestation.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Suite à la crise, la suspension de l’aide budgétaire par les principaux partenaires de Madagascar en 2009 a significativement diminué le volume décaissé de l’aide. Les Partenaires ont suspendu les nouvelles programmations ainsi que les activités des grands projets gérés par ou à travers le Gouvernement. La plupart de ces dernières ont été mises en œuvre par des agences indépendantes notamment à travers les ONGI. Plus rapporte Farimbona Newsletter de la Coopération au Développement1er semestre 2015, n° 001, le volume de l’aide décaissée enregistré pour l’année 2014 connait une hausse (36 %) par rapport au début de la crise et se situe à 579 millions de USD. Entre temps, ce volume n’a pas connu de variation importante et elle a atteint son minimum en 2012 avant de reprendre des nouvelles ascensions. (..) En ce qui concerne les prévisions, les données disponibles avancent le niveau des décaissements prévisionnels de l’ordre de 575 millions de USD pour l’année 2015 et 382,3 millions de USD pour l’année 2016.

Arnaud R. dans Midi Madagasikara
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Education de base : Approche pédagogique par objectif (APO) dès la rentrée scolaire ! Il s’agit d’installer une méthode qui aide les élèves à retenir plus facilement les leçons, et ainsi de réussir à l’examen. (..)  Cette nouvelle démarche vient donc en remplacement de l’Approche par Situation (APS) et l’Approche par la Compétence (APC) qui ont depuis toujours pris place au sein de l’éducation de base au niveau de la majorité des Cisco. (..) Pour ce faire, place aux formations des directeurs d’écoles et des enseignants Fram nouvellement recrutés qui sont au nombre de 42 000 au total.

Joachin Michaël dans NewsMada
Le tourisme retrouve son souffle dans la région Anosy. En fait, le port d’Ehoala à Taolagnaro a accueilli, depuis l’année 2010, 35.591 croisiéristes. 37 escales ont été répertoriées, lors de la dernière saison des croisières entre les mois de novembre 2014 et avril 2015.

Nadia dans NewsMada
L’Etat malgache a réitéré sa volonté de développer l’économie de Madagascar par le biais d’une bonne gestion du territoire maritime malgache, qui constitue le douzième espace de croissance énoncé dans le plan de mise en œuvre (PMO) du Plan national de développement (PND) et fait partie des six espaces de croissance prioritaires mentionnés dans le Schéma national des orientations sectorielles et transversales (Snost). Il faut savoir qu’en termes de superficie, le territoire maritime est plus vaste que l’espace terrestre.

Bernard Bridel dans Tribune de Geneve
«Depuis nos premières plantations en janvier 2011, nous avons produit 3,1 millions d’arbustes dans le but de reboiser quelque 2000 hectares. Pour reboiser les 6000 hectares cédés par l’Etat malgache à la coopérative de fermiers que nous soutenons, il reste à produire et à planter 6,4 millions de plants.» (...) Selon l’Office national malgache pour l’environnement (ONE), ce ne sont pas moins de 36?000 hectares de forêts naturelles qui disparaissent chaque année, soit environ une fois et demie la surface du canton de Genève. D’autres chiffres encore plus alarmants fournis par le WWF estiment à 200?000 hectares par an les surfaces de forêts perdues. «En 1952, rappelle Philippe Dubois, la couverture forestière était de 87%, elle est aujourd’hui de moins de 8%.» Si la tendance ne s’inverse pas, la forêt pourrait avoir totalement disparu de la Grande Ile d’ici à vingt ans.

Mikama - Jul 28, 2015

R.Edmond dans Midi Madagasikara
En tout cas, Ambatovy soutient les populations de ces villages par la mise en place d’actions d’accompagnement sociales et économiques (construction des infrastructures, mise en œuvre des Activités Génératrices de Revenus (AGR)…)... Parmi les différents types d’AGR répondant aux demandes des bénéficiaires mis en œuvre par Ambatovy, c’est plutôt la filière poules pondeuses qui a retenu l’intérêt de la plupart d’entre eux. Ils sont actuellement 190 à se lancer dans cette activité en plein essor sous l’encadrement d’un service technique compétent, et ce, après avoir reçu chacun 25 poulettes de 15 semaines qui ont commencé leur première ponte à l’âge de 18 semaines.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Le secteur informel regroupe environ deux millions d’entreprises et crée trois millions d’emplois. Soixante-dix mille seulement pourtant sont enregistrées à la Chambre de commerce, et ceux qui sont membres du groupement [Fivmpama] sont encore en nombre très limité... » (..) « La formalisation ne doit pas se limiter à l’intégration au sein d’un groupement et aux paiements d’impôts. Nous, le Fivmpama, allons soutenir les entrepreneurs sur plusieurs niveaux en leur procurant par exemple des conseils dans le domaine juridique, sachant que la majorité des entreprises n’ont pas de conseillers juridiques, il y aura également des formations et nous allons défendre leurs intérêts », poursuit Eric Rajaonary.

A. D. dans La Gazette de la Grande Ile
En partenariat direct avec le groupe Vision Madagascar (VIMA) dans le cadre de ce projet énergétique d’envergure, Symbion Power prévoit une production totale de 180 mégawatts au niveau de ses futures installations sur la Grande île. (..) Il faut savoir que toutes les centrales électriques proposées se trouvent en dehors de la capitale : à Tsimiroro, Mahajanga, Nosy Boraha, Nosy Be, Antsiranana et Toamasina. Histoire de s’assurer que ces projets fourniront un accès égal à l’énergie sur l’ensemble du territoire national. A noter également que la centrale la plus grande (116 MW) sera située à Tsimiroro où Symbion prévoit d’utiliser le mazout lourd extrait sur place. Une nouvelle ligne à haute tension reliera Tsimiroro à Antananarivo… Mahajanga sera le site de la centrale solaire de 10 mégawatts ainsi que de l’une des deux centrales à biomasse de 5 mégawatts... Toujours est-il de rappeler que Symbion fait office d’associé fondateur de l’initiative du gouvernement américain « Power Africa » visant à améliorer l’accès à l’électricité dans toute l’Afrique subsaharienne.

Noro Niaina dans NewsMada
Madagascar est le dixième pays en Afrique où l’on mène l’analyse du coût de la faim. Cette étude vise à démontrer que la faim et la malnutrition ont des conséquences tangiblement négatives sur la productivité et que lutter contre ces fléaux contribue à accélérer le développement économique et social d’un pays. Sur le continent africain, le coût annuel lié à la sous-nutrition infantile peut atteindre entre 1,9 et 16,5% du Produit intérieur brut (PIB). (..) Les conséquences du retard de croissance sont les plus préoccupantes étant donné que Madagascar est le quatrième pays au monde ayant le taux le plus élevé en la matière. Presque la moitié des enfants de moins de cinq ans (47%), représentant deux millions d’enfants sont touchés par la malnutrition.

Mikama - Jul 27, 2015

Sandra Miora Hafalianavalona dans L'Express de Madagascar
 « le bilan depuis janvier jusqu’en juin montre que le volume d’exportation de Madagascar est de 1200 tonnes, pour une valeur de 5 400 000 dol­lars, et crée plus de 28000 emplois. Pendant la période de crise en 2009, nous avons perdu quarante mille trois cent quatre vingt un emplois directs, et plus de cent mille emplois indirects ».

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
TGS est une société spécialisée dans l’acquisition et l’analyse de données liées aux recherches pétrolières. Elle travaille avec l’OMNIS depuis plusieurs années, et les informations dont elle dispose  sont exploitées de commun accord avec ce dernier. TGS dispose à l’heure actuelle de données issues d’études sismiques effectuées sur 51 000 km² de blocs pétroliers, situés dans le bassin de Morondava. Elle a également réalisé une compilation et des traitements de données sur quatre vingt dix-huit forages réalisés dans le pays.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Selon Roberto Azevêdo, directeur général de l’OMC, la mise en œuvre de l’Accord de l’OMC sur la facilitation des échanges améliorera l’efficience et la gouvernance aux frontières, et aidera à diminuer les coûts du commerce. Cela fera diminuer les prix pour les consommateurs les plus pauvres, et créera des emplois dans les pays en développement

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Certes, les infrastructures de base et de production, l’assainissement et bien d’autres problèmes sont prioritaires, mais l’insécurité fait partie de ces priorités. 45% des Malagasy ont peur d’être attaqués dans leurs propres maisons selon les données d’Afrobaromètre, le réseau indépendant de chercheurs africains. (..) De plus, le pays manque d’effectif avec 1 policier pour 3 000 habitants, alors que la norme internationale est de 3 policiers pour 1 000 habitants. D’après les données de l’Institut national de la statistique (INSTAT), seuls 19,5% des fokontany de l’Androy disposent d’un poste de sécurité, si la moyenne nationale est de 31,5%.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Lutte contre les finances illicites : un engagement international ignoré par Madagascar. Près de 800 millions de dollars. Rien que pour les trafics de bois de rose, Madagascar enregistre des pertes colossales si on se fie aux estimations des spécialistes du secteur

Dans La Gazette de la Grande Ile
Concernant l’Énergie, les mêmes informations indiquent que la demande de produits en hydrocarbures est en hausse de 4% au mois d’Avril 2015, soit une différence de 3.033m3 observée par rapport au mois d’Avril 2014. Selon l’Office Malgache des Hydrocarbures (OMH), la consommation de gasoil a observé une hausse de 12% à cause de la hausse de la demande de la JIRAMA, de la consommation dans le secteur du transport, ainsi que des industries minières.

MariSchaefer dans Philly.com
More than half of the residents of Madagascar have to rely on potentially dangerous drinking-water supplies, and more than 85 percent use sanitation facilities that fail to meet basic hygiene standards.(..) In developing counties, 40 percent to 60 percent of water-supply infrastructure fails after five years.

Mikama - Jul 24, 2015

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Un peu plus de 35 millions de dollars. C’est la valeur des exportations d’huiles essentielles fabriquées à la main pour l’année 2014. (..)  Ainsi, les exportations d’huiles essentielles fabriquées à la main ont été de 26 millions de dollars en 2010 pour dépasser les 40 millions de dollars en 2011. Elles ont été inférieures à 15 millions de dollars en 2012 pour remonter à plus de 30 millions de dollars en 2013.(..) Jusqu’ici, Madagascar n’arrive qu’à satisfaire 1% de la demande internationale. Il faut noter que près de 60% de la production du pays sont exportés sur la France. (..) En effet, seule l’huile de girofle émerge réellement sur la période étudiée. Les autres affichent un tonnage insignifiant. On peut citer le lemon-grass, le vétiver, le géranium, l’ylang-ylang.

Dans All Africa
The Malagasy agricultural sector is characterised by very low performance in terms of yield - about 2.5 tons per hectare. Rice is the staple food of Malagasy people and the land surface of each farm is very low - in the region of 1.4 hectares per farm. According to statistics from Madagascar's statistics body, INSTAT, about 80 percent of the population resides in rural areas, where agriculture is the main source of income.

Dans All Africa
The International Fund for Agricultural Development (IFAD) won a 'best sustainable development practise in food security' award for its work promoting the System of Rice Intensification (SRI) in Madagascar. (..) The SRI methodology helps to substantially increase rice production and reduces water consumption by an average of 40 percent and in some cases as much as 85 percent. It relies on a significant reduction in the use of seed and can cost little or nothing to adopt.

Hou Qiang dans Africa News China
Like other rice farmers in Madagascar, 19-year old Patrick Razanakoto is hopeful of increasing his rice yield after using Chinese hybrid rice seeds. (..) Razanakoto has rented three hectares from Matagri, a company that popularizes Chinese hybrid rice dubbed Weichu-903. It rents land to farmers in Ambatondrazaka, gives them seeds and fertilizers and also buys their paddy. According to Andre Ranaivoson, the head of Matagri, the company deals with two categories of farmers, with the first category comprising farmers with their own piece of land and the second comprising those who are facilitated with everything, starting with land. "We give them seeds, equipments and money. After the harvest, both parties calculate their cost of production and deduct it from the profits," Ranaivoson said. He said whereas one hectare of land will require 26 kg of hybrid seeds, it can produce between 8 to 12 tons of hybrid rice after 152 days of cultivation. (..) Rice is the staple food in Madagascar. According to statistics from the National Instute of Statistics (INSTAT), most Malagasy households eat rice three times a day while a Malagasy consumes an average of 114 kg of rice per year. INSTAT notes that the country currently produces only 5.9 million tons of rice per year, which is below the required quantity for 22 million Madagascans.

Mikama - Jul 23, 2015

R.Edmond dans Midi Madagasikara
Le 8 juillet 2009, le Port d’Ehoala (Fort-Dauphin) a été ouvert pour la première fois au public. Un début prometteur pour ce port dont la construction a été cofinancée par le groupe Rio Tinto à hauteur de 256 millions USD et l’Etat malgache pour 35 millions USD, à travers le projet Pôle Intégré de Croissance (PIC) financé par la Banque Mondiale...  durant ses six années d’existence, Ehoala enregistre annuellement 103 escales de navires. En tout, 646 navires de tous types sont passés par le Port d’Ehoala dont 192 porte-conteneurs et 53 pétroliers. Et le caractère public du port d’Ehoala s’explique par le fait que parmi les 646 escales, seulement 73 sont minéraliers. Le Port d’Ehoala sert notamment pour les exportations de l’ilménite, du zirsill et du zircon, mais également pour d’autres produits comme le sisal, la langouste, le manganèse, les hioles brutes végétales industrielles. Les grains secs…Des produits alimentaires, des matériaux de construction du fuel lourd et même des voitures importés passent également par le port d’Ehoala qui a, par ailleurs réceptionné une grande quantité d’aide humanitaire.

Navalona R.dans Midi Madagasikara
La majorité de la production d’énergie de la Jirama est fournie par des opérateurs privés moyennant un prix plus élevé à raison de 1 000 Ariary/KWh en moyenne. (..) Si l’on se réfère aux groupes de la Jirama installés dans la centrale thermique d’Ambohimanambola, la direction générale a prévu de mettre en place vingt nouveaux groupes conteneurisés appartenant à la société Agrico et qui fournissent une puissance électrique totale de 20 Mégawatts via un contrat de gré à gré. (..) La Jirama achète la production d’énergie fournie par ces opérateurs privés avec un prix moyen de l’ordre de 1 000 Ariary/kWh alors que son prix de vente auprès des abonnés est en moyenne à 372 Ariary/KWh, voire 141 Ariary/KWh pour le tarif social.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Pour le cas de Madagascar, le dernier recensement agricole fait état de superficies rizicoles irriguées de 979 800 ha, contre 104 950 ha pour la riziculture sur « tanety » et près de 161 000 ha pour les cultures sur brûlis. (..) La FAO apporte ainsi sa contribution pour « renforcer l’efficacité et la durabilité des investissements hydroagricoles qui constitue une étape importante de plus dans la lutte contre la pauvreté à Madagascar ». Depuis des lustres, la maîtrise de l’eau est problématique parce que les infrastructures sont vétustes pour la plupart et en nombre insuffisant.

Dans The World Bank
Overall, about 1,200 out of the Marovoay rice plain’s remaining 20,000 hectares have been affected by sand this year, according to local officials. “If this continues, I’m sure my children won’t be able to grow rice here in the future,” says Marie-Rose. (..)  The Boeny region, where the rice fields of Marovoay are located, has had one of the highest deforestation rates in the country, reaching 1.5% in 2005-2010. Cyclones and erratic rainfalls have made things worse. This year in Marovoay, it rained almost 3,000 ml in two months, instead of the typical 1,500 ml in four months. (..) Madagascar pledged at the World Park Congress in 2003 to more than triple protected area coverage from 3% to 10% of Madagascar’s land. Despite political upheavals and a significant rise in poverty, the country has met and surpassed that goal. (..) Programs such as the World Bank-financed Irrigation and Water Management project (known by its French initials, BVPI), closed in 2014, and the ongoing German-backed Program to Fight Erosion (Programme de Lutte Antierosive, PLAE), have tried to address erosion by rehabilitating a number of gullies and planting trees. (..) In Madagascar, where 1.2 million hectares are under irrigation (more than any other Sub-Saharan African country after Sudan) and almost 30% of GDP depends on agriculture, a more holistic approach to fight land degradation and manage water resources will be crucial to sustain growth and lift out of poverty the 92% of the population still living on less than two dollars a day.

Mikama - Jul 22, 2015

Dans Madagascar Tribune
... les dépenses militaires mondiales sont estimées à environ 1 800 milliards de dollars par an, tandis qu’au sein de l’OCDE, près de 260 milliards de dollars sont dépensés par an pour soutenir l’agriculture dans les pays membres. (..) Plus de 70% des pauvres vivent dans les zones rurales et dépendent de l’agriculture, de l’élevage, de la sylviculture ou de la pêche. (..) Nous estimons qu’avec un investissement annuel supplémentaire de 116 milliards de dollars dans la protection sociale et de 151 milliards de dollars dans les moyens de production (dont 105 milliards de dollars investis dans l’agriculture et dans les zones rurales), le monde sera durablement libéré de la faim. Ceci représente un investissement annuel d’environ 160 dollars par personne affamée – le coût d’un téléphone mobile ou d’un mouton.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Le coût total des programmes de l’UNDAF pour la période 2015-2019 a été estimé à 523,4 millions USD dont 53,1 % sont à mobiliser. Ce budget total sera alloué aux actions liées aux opportunités d’emplois et de revenus (43,5%) dans une perspective de développement inclusif, aux initiatives de renforcement de la gouvernance (6,8%) et aux services sociaux de base (49,7%)…

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
...  les statistiques de 2011 de l’UNICEF montrent qu’en milieu rural, moins de 25% des filles et des garçons âgés de 11 à 17 ans sont inscrits au secondaire. Plus de 75% des jeunes ruraux sont donc en dehors du système scolaire, alors que le milieu rural a une démographie plus importante. En milieu urbain, les taux de scolarisation de cette catégorie d’âge sont de 54,4% pour les filles et 60,6% chez les garçons. (..)  A Madagascar, l’analphabétisme affecte environ 30% des jeunes de 15 à 19 ans et environ 40% des jeunes de 15 à 24 ans.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
A 10 jours des élections communales et municipales, l’on apprend que seuls 39% des Malagasy préfèrent la démocratie à toute autre forme de gouvernement. (..) Les Zambiens sont les plus férus de la démocratie en affichant un taux de 90%, contre 85% pour les Mauriciens. La moyenne dans les 35 pays est de 71%. (..) A Madagascar, seuls 21% des Malagasy estiment que le pays est une démocratie d’après les données de 2011-2013 d’Afrobaromètre, le réseau indépendant de chercheurs africains. La moyenne est de 53% dans 24 pays africains.

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
le gouvernement israélien a apporté sa contribution à la Croix Rouge Malagasy (CRM), à Ambohimanambola. Il s’agit de trois tonnes de nourritures fortifiées, sous forme de céréales précuites. Dix mille enfants de moins de 12 ans, dans le district d’Amboasary Atsimo, en seront privilégiés, car, la région Anosy serait la plus frappée par le fléau.

DNI Metals Inc dans CNW
DNI Metals Inc. "DNI" is pleased to announce that it has been granted full commercial Mining Licence ("Permis de Exploitation" or "PE") over its Vohitsara graphite project in Madagascar. (..)  "We were attracted to Madagascar because it is known for its Large Flake, High Quality Graphite and because Madagascar has a world-class Mining Code.  Additionally, the area in which our Project is located contains excellent infrastructure and port facilities and the mineralisation itself is hosted in soft 'free-dig' material that greatly facilitates commercial extraction and processing.


Mikama - Jul 21, 2015

Arnaud R. dans Midi Madagasikara
Orienter davantage les étudiants vers le monde professionnel, et ainsi de les pousser à créer leur propre entreprise en partant de peu, voire d’un rien. Telles sont les raisons d’être de la semaine du salon de l’entrepreneuriat 3e édition, organisé collégialement par les enseignants de la Faculté des Lettres, des Sciences, et l’Ecole Supérieure Polytechnique d’Antananarivo, avec l’appui du ministère de tutelle.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Réhabiliter les infrastructures de production, notamment hydro-agricoles endommagées par les intempéries du début d’année. C’est l’une des priorités de l’Etat en matière de Programme d’investissement public (PIB) selon le projet de Loi de finances rectificative (LFR). (..) Rappelons qu’en 2008, soit avant la crise, le PIP a été crédité d’une enveloppe de 1 624,2 milliards Ar, contre 1348,3 milliards Ar dans le projet de loi de finances rectificative de 2015. Certes en 2008, 72% du financement du PIP ont été assurés par les bailleurs de fonds.... Rappelons d’ailleurs que pour le 1er trimestre 2015, l’investissement public n’a représenté que 0,5% des dépenses totales.

D.H.R dans La Vérité
La première loi relative au régime de zone franche datait de 1989. Après deux évolutions, la dernière date était de janvier 2008. A cette époque, 150 000 emplois dans les entreprises en régime de zone franche étaient recensés. (..) Avec le retour de l’Agoa (African Growth and Opportunity Act) et son extension sur dix ans, ainsi que la loi sur la zone franche, le Gefp ambitionne de créer massivement d’emplois pour les cinq prochaines années. Il envisage de passer de 10 000 à 30 000 emplois.

Sera R dans NewsMada
A Madagascar, les poissons, notamment marins, sont de plus en plus prisés par rapport à la viande, selon un rapport de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture en 2013. Cela s’explique par leurs prix qui sont toujours inférieurs vis-à-vis de ceux de la viande, même avec cette dernière hausse. Malgré cela, la consommation de poisson est encore faible dans la Grande île, de l’ordre de 7 Kg par an et par personne, contre 40 Kg au Japon, et une vingtaine de kilos en Europe.

FR dans Madagascar Matin
Aujourd’hui, l’Apdra intervient à Madagascar à travers 4 projets :  « Projet Piscicole Madagascar Côte Est (Ppmce) » (2012-2016), financé par l’Union Européenne. Ce projet intervient sur 2 régions de la Côte Est : Atsinanana et Analanjirofo ;    « Projet d’Appui au Développement de la Pisciculture Paysanne – Phase 2 (Padpp) » (2014-2018), mise en œuvre dans les régions du Vakinankartra, de la Haute Matsiatra, de l’Itasy, de l’Amoron’i Mania et d’Atsinanana. Ce projet est financé pour moitié par l’Agence Française de Développement (Afd) ;   « Formation scolaire à la rizi-pisciculture dans les hauts-plateaux de Madagascar », (2014-2015), mise en œuvre dans le cadre du programme Smartfish de la Commission de l’Océan Indien (Coi) et de l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture des Nations Unies (Fao), sur financement de l’Union Européenne ;     « Projet d’Appui aux marchés piscicoles en Analamanga (Ampiana) », (2015-2018), financé par l’Union Européenne.

Mikama - Jul 20, 2015

Osiris dans Le Daily.mg
Les exploitants locaux, en la personne de Mamy Estelle Randrianasolo et Robert Barnes ont auparavant découvert le site de Vohitsara, sur la route nationale 2 menant à Tamatave... Le site s'étend sur 43 km² et présente un potentiel réel de graphite de haute qualité capable d'attirer de grands exploitants expérimentés. (..) Pour ce qui de la forme de l'accord entre Robert Barnes et Mamy Estelle Randrianasolo d'une part, n'entrent pas dans l'actionnariat de DNI Madagascar, mais sont désignés comme bailleur ou prêteur. Et DNI Metals d'autre part contrôle à 100% la filiale malgache et endossera le rôle d'emprunteur. (..) La somme pourrait surprendre au vu de la potentialité économique du projet sur 50 ans. Il faut savoir que Madagascar fournira jusqu'à 8% de la production mondiale de graphite en addition au gisement de Loharano, à l'Est de la Grande Île, exploité par StratMin Global et dans le Sud à Molo par Energizer Resources. (..) La valeur nominale du titre est 0,13 dollar au moment de l'introduction des 4.000
.000 d'actions. Le titre est évalué à 0,20 dollar au terme des 18 mois à compter de la date de clôture de l'émission. (..) Seules reviennent à l'Etat les taxes et les redevances liées à ces opérations, sachant que la redevance minière à Madagascar plafonnée à 3% est l'une des plus faibles du monde alors que des pays comme le Mozambique affiche cette redevance à plus de 20% et l'Afrique en moyenne à 15%.

S.M.H. dans L'Express de Madagascar
Produire pour le marché local et renforcer la consommation du tilapia. C’est l’un des objectifs d’un projet exposé par un groupe d’étudiants aux visiteurs de la journée  Portes ouvertes de l’Institut supérieur de polytechnique de Madagas­car... « Dans un étang de 400m², on peut obtenir  quatre cents kilogrammes de tilapia au bout de six mois. »

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
« C’est l’exploitation minière artisanale qui emploie des enfants. Cette exploitation a des impacts sur leur éducation et leur santé. Cette petite activité minière favorise aussi l’exploitation sexuelle des enfants à des fins commerciales », a indiqué Zo Randriamaro, responsable au sein du Centre de Recherches et d’Appui pour les Alternatives de Développement – Océan Indien.
Mais les petites mines ne sont pas les seuls pointées du doigt. « Des sous-traitants des grandes exploitations minières emploient aussi des enfants...

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Madagascar fait partie des pays africains qui estiment que l’influence économique de la Chine est peu perceptible sur l’économie locale. A Maurice, 64% de la population pensent de même, contre 62% sur la Grande Ile. 37% des Malagasy ont une image négative de la Chine à cause de l’extraction de ressources naturelles que des investisseurs chinois effectuent dans le pays. (..) Dans le registre de l’image de la Chine à Madagascar, 30% des Malagasy déplorent la qualité moindre des produits chinois. Mais la faiblesse du pouvoir d’achat des Malagasy fait que 50% d’entre eux ont une image positive de la Chine à propos notamment du coût de ses produits. Quant aux aides chinoises, elles ne sont pas appréciées par 1 Malagasy sur 2 : 50% de la population pensent, en effet, qu’elles font du tort au pays si 38% pensent le contraire.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
... le tourisme est en crise à la suite de la longue grève d’Air Madagascar. Il représente pourtant 25% des recettes extérieures du pays. Cette grève n’a pas encore été prise en compte dans la révision à la baisse de la croissance économique de 2015. De 3,5%, le taux révisé pourrait encore être inférieur à cette prévision du FMI à cause de la crise du secteur tourisme. (..) A cause des conditions météorologiques du début d’année (cyclones, inondations, sécheresse) et de la baisse des cours du nickel, le taux de 5% défini par la loi de finances initiale de 2015 ne sera pas atteint.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Les Etats-Unis, la Chine et la France sont les modèles économiques à suivre cités par les Malagasy selon l’enquête Afrobaromètre. 1 Malagasy sur 3 a une préférence pour le modèle du pays de l’oncle Sam. Pour les universitaires, le taux est plus élevé car ils sont 40% à être de cet avis. Par contre, les moins instruits, soit 42% d’entre eux, estiment qu’il faut suivre le modèle économique français. Apparemment, ils sont moins au fait de l’évolution économique mondiale pour proposer ce choix. En effet, la France a décroché du top 5 des économies mondiales les plus puissantes selon le classement du FMI pour 2015. Ce top 5 est occupé par ordre décroissant par les Etats-Unis, la Chine, le Japon, l’Allemagne et le Royaume-Uni. La France arrive au 6ème rang. (..) . Par ailleurs, Madagascar est dans le top 5 de 17 pays africains qui pense que l’ancienne puissance coloniale a encore de l’influence sur l’économie locale. 42% des Malagasy le pensent, contre 27% pour la Chine, 12% pour les Etats-Unis et 10% pour les organisations internationales. L’opinion, majoritairement constituée de moins instruits, ne peut que coller à celle des dirigeants. Ces derniers ne cessent, en effet, de faire allégeance à la France...

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Mais il faut souligner que 1 Malagasy sur 2 avance que les autorités communales ou municipales ne l’écoute pas tout bonnement ! C’est l’un des résultats de l’une deux enquêtes menées par Afrobaromètre, le réseau indépendant de chercheurs africains travaillant dans 35 pays d’Afrique. (..)  Concernant la corruption, près de 1 Malagasy sur 2 pense que les élus communaux ou municipaux sont impliqués dans des affaires de corruption. Malgré cela et malgré la proportion élevée des insatisfaits par rapport à certaines prestations des collectivités, 67% des malagasy continuent à faire confiance aux élus locaux.

Sera R. dans Newsmada
Madagascar importe toujours du thon depuis une décennie pour une quantité allant de 1 000 à 20 000 tonnes chaque année. Ce qui équivaut une sortie annuelle de 1,2 à 3 millions de dollars de devises depuis, si on se réfère aux statistiques de la direction générale des douanes de Madagascar. En 2014, cela nous a coûté la bagatelle de 1,7 millions de dollars, contre une quantité importée de 1 250 tonnes... A voir ces chiffres, on peut conclure que le prix des importations est beaucoup moins cher, cinq fois en dessous du prix proposé localement. Effectivement, le prix d’un kilo de thon oscille entre 10 000 et 14 000 Ar. (..) Une telle pratique n’est pas nouvelle, car elle s’est déjà présentée aussi au niveau de la filière « <em>riz</em> ». On exporte du riz rose « bio » ou <em>« rojomena »</em>, puis on en importe après pour combler le déficit en production.

Joachin Michaël dans Newsmada
Actuellement, le kilo de la vanille est vendu à 30 000 ariary contre  20 000 ariary l’année dernière, et cela pourrait encore augmenter étant donné que l’offre ne suit pas la demande... A Sambava et à Antalaha, la production de vanille  a connu cette saison une baisse de 20%. Par conséquent, le produit disponible  sur le marché est insuffisant. (..) En dépit de la baisse de production, « la qualité est encore meilleure que l’année derrière », selon les producteurs locaux car, « la longueur des gousses vertes atteint les 15 cm »...