Orienter davantage les étudiants vers le monde professionnel, et ainsi de les pousser à créer leur propre entreprise en partant de peu, voire d’un rien. Telles sont les raisons d’être de la semaine du salon de l’entrepreneuriat 3e édition, organisé collégialement par les enseignants de la Faculté des Lettres, des Sciences, et l’Ecole Supérieure Polytechnique d’Antananarivo, avec l’appui du ministère de tutelle.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Réhabiliter les infrastructures de production, notamment hydro-agricoles endommagées par les intempéries du début d’année. C’est l’une des priorités de l’Etat en matière de Programme d’investissement public (PIB) selon le projet de Loi de finances rectificative (LFR). (..) Rappelons qu’en 2008, soit avant la crise, le PIP a été crédité d’une enveloppe de 1 624,2 milliards Ar, contre 1348,3 milliards Ar dans le projet de loi de finances rectificative de 2015. Certes en 2008, 72% du financement du PIP ont été assurés par les bailleurs de fonds.... Rappelons d’ailleurs que pour le 1er trimestre 2015, l’investissement public n’a représenté que 0,5% des dépenses totales.
D.H.R dans La Vérité
La première loi relative au régime de zone franche datait de 1989. Après deux évolutions, la dernière date était de janvier 2008. A cette époque, 150 000 emplois dans les entreprises en régime de zone franche étaient recensés. (..) Avec le retour de l’Agoa (African Growth and Opportunity Act) et son extension sur dix ans, ainsi que la loi sur la zone franche, le Gefp ambitionne de créer massivement d’emplois pour les cinq prochaines années. Il envisage de passer de 10 000 à 30 000 emplois.
Sera R dans NewsMada
A Madagascar, les poissons, notamment marins, sont de plus en plus prisés par rapport à la viande, selon un rapport de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture en 2013. Cela s’explique par leurs prix qui sont toujours inférieurs vis-à-vis de ceux de la viande, même avec cette dernière hausse. Malgré cela, la consommation de poisson est encore faible dans la Grande île, de l’ordre de 7 Kg par an et par personne, contre 40 Kg au Japon, et une vingtaine de kilos en Europe.
Aujourd’hui, l’Apdra intervient à Madagascar à travers 4 projets : « Projet Piscicole Madagascar Côte Est (Ppmce) » (2012-2016), financé par l’Union Européenne. Ce projet intervient sur 2 régions de la Côte Est : Atsinanana et Analanjirofo ; « Projet d’Appui au Développement de la Pisciculture Paysanne – Phase 2 (Padpp) » (2014-2018), mise en œuvre dans les régions du Vakinankartra, de la Haute Matsiatra, de l’Itasy, de l’Amoron’i Mania et d’Atsinanana. Ce projet est financé pour moitié par l’Agence Française de Développement (Afd) ; « Formation scolaire à la rizi-pisciculture dans les hauts-plateaux de Madagascar », (2014-2015), mise en œuvre dans le cadre du programme Smartfish de la Commission de l’Océan Indien (Coi) et de l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture des Nations Unies (Fao), sur financement de l’Union Européenne ; « Projet d’Appui aux marchés piscicoles en Analamanga (Ampiana) », (2015-2018), financé par l’Union Européenne.
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