Mikama - May 31, 2016

Miangaly Ralitera dans L'Express de Madagascar
Le rapport non encore officiel de l’enquête sur la tran­sition des jeunes vers la vie active, effectué en 2015, montre que le taux de chômage, suivant la définition du Bureau International du Travail, s’est accru chez les jeunes de 15 à 29 ans. Il serait passé de 1,3% en 2013 à 3,1% en 2015. Cette hausse est dramatique selon les économistes. (..) « On peut citer, entre autres, l’inadéquation du profil par rapport à l’offre, la pénurie de l’offre par rapport à la demande ainsi que la crise économique engendrant des difficultés au niveau des entreprises ». Comme solution, les économistes proposent à l’État le financement productif, l’allègement des textes sur l’investissement pour attirer les investisseurs étrangers, la protection des capitaux mais aussi la facilitation de l’accès des jeunes diplômés à l’emploi.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Le transport aérien international est assuré par la compagnie nationale Air Madagascar dont le capital est souscrit à hauteur de 89,0% par l’Etat et par des compagnies étrangères assurant des liaisons long courrier sur l’Europe et moyen courrier sur les lignes régionales. Le transport aérien à l’intérieur du territoire est assuré pour l’essentiel par la compagnie nationale à laquelle s’ajoutent 10 compagnies malgaches avec des petits avions assurant des vols domestiques non réguliers.

Dans La Gazette de la Grande Ile
A l’instar des résultats de l’évaluation des récoltes et de la sécurité alimentaire dont le rapport1 est paru en octobre 2015, les situations de la sécurité alimentaire et des récoltes des produits alimentaires dans le Sud de Madagascar sont nettement détériorées. Tous les indicateurs sont alarmants d’autant plus qu’une série de déficits pluviométriques s’est accumulée depuis deux à trois ans successifs. L’estimation de la production des principales denrées alimentaires (riz, manioc et maïs) présente une baisse de l’ordre de 40 à 80 pourcent par rapport à la précédente campagne et celle de la moyenne de cinq dernières années. Par conséquent et en plus du phénomène d’insécurité grandissante (dahalo), le cheptel animal (bovins, petits ruminants, volailles) a connu une importante baisse de l’effectif dans les Régions Androy et Anosy.

Mikama - May 30, 2016

FR dans Madagascar Matin
Depuis 2007, des contrats de fourniture de biens et de services d’une valeur de près de 3 milliards de dollars ont été signés entre Ambatovy et les entreprises locales malgaches... Ambatovy a passé des commandes dont 42 % ont été effectuées à Madagascar, auprès de plus de 650 petites et moyennes entreprises locales...

Dans La Gazette de la Grande Ile
 Selon les données de l’enquête sur les OMD 2012-13, réalisée par l’Institut national de la statistique (Instat) avec l’appui des PTF, le taux global de pauvreté monétaire était estimé en 2012 à 71.5 %, en dégradation par rapport à 1993 (70 %) et 2001 (69.6 %). Le ratio de pauvreté en milieu rural dépassait 75 %, et même 90 % dans le sud de l’île, contre 31 % dans la capitale et 55 % dans les villes secondaires. En termes de groupes socio-économiques, le taux de pauvreté est plus élevé chez les agriculteurs (entre 79 % et 86 % des ménages selon la taille de leur exploitation), suivis des travailleurs indépendants (43 %).

Dans La Gazette de la Grande Ile
La croissance économique est ainsi restée modeste (3.2 %), à son rythme de 2014 et loin des performances d’avant la crise mondiale (5.7 % sur la période 2005-08) et de la croissance moyenne de l’Afrique subsaharienne (estimée à 5 %). L’un des principaux moteurs de la croissance économique demeure le secteur secondaire (zones franches industrielles, agro-industrie, industries du bois et métallurgiques, etc.) avec une croissance en baisse de 4.1 % en 2015 (mais contre 8.5 % l’année précédente). La branche des zones franches industrielles a connu une croissance de 7.1 %. Quant aux industries extractives, dans le contexte mondial de baisse des cours des matières premières, leur contribution en valeur a reculé, avec un taux de croissance sectoriel de 3.3 % contre 25.9 % en 2014.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Le secteur financier malgache est peu diversifié et développé. Au 31 décembre 2014, il comptait onze banques, toutes filiales de banques étrangères, cinq établissements financiers et 31 institutions de microfinance (IMF). Plus rapporte Perspectives économiques en Afrique 2016, le pays ne dispose pas de marché boursier, ni de marché à terme d’instruments financiers. Le taux de bancarisation est faible : seulement 6 % de la population disposent de comptes bancaires. La majorité des Malgaches s’orientent donc vers les IMF dont les interventions sont encadrées par la Stratégie nationale de finance inclusive (SNFI) 2013-17. Le taux de pénétration des IMF est passé de 22.69 % de la population en 2012 à 28.1 % en 2014, et le nombre de clients a augmenté de 30.8 % entre 2012 et 2014.

Dans L'Express de Madagascar
Mal?en?point.?C’est?la?description?le?plus?approprié?de?l’état?de?l’éducation,?actuellement.
« Programmes?scolaires?dépassés,?structures?de?curricula?surchargées,?manuels?didactiques?inadéquats?et?insuffisants?ainsi?que?des?enseignants?non?qualifiés »,?telles?sont?les?difficultés?rencontrées?par?ce?secteur... Entre?l’année?2005-2012,?le?niveau?de?l’éducation?a?diminué?jusqu’à?plus?de?29?points,?passé?de?51,2/100?en?2005??à?32/100?quelques?années?plus?tard,?selon?les?résultats?des?évaluations?du?Programme?d’Analyse?des?systèmes?Educatifs?de?Confemen?(PASEC)?»,?enchaine?Voahirana?Nirina?Razafindrabe.

Mikama - May 27, 2016

Patricia R. dans La Vérité
7 800 jeunes vulnérables âgés entre 18 et 35 ans issus des villes d’Antananarivo, Toliara et Ambovombe ont bénéficié d’activités de transfert monétaire en échange de formations entre février et mai de cette année. Ce programme « argent contre formation » étant né d’une initiative du Pam (Programme alimentaire mondial).  « Ces jeunes issus de ménages vulnérables ont reçu des formations qui leur permettront d’avoir un emploi stable... Les bénéficiaires ont suivi une formation de 2 mois dans des secteurs porteurs...

Patricia Ramavonirina dans La Vérité
Selon l’enquête nationale sur le suivi des Objectifs du millénaire pour le développement (Omd), menée en 2012-2013, le taux de prévalence contraceptive est de 33 % à Madagascar. Mais le nombre d’utilisateurs est actuellement en hausse effective, notamment en milieu rural. « L’on dénombre 149 760 utilisateurs de Pf entre 2014 et 2016, sans parler des 101 405 utilisateurs réguliers.  Bon nombre d’entre eux sont des jeunes »..

Arnaud R. dans Midi Madagasikara
8 581 276 personnes issues des huit régions d’intervention du Projet Usaid Mikolo ont été atteintes par le projets, seulement à son mi-parcours. Elles ont pu bénéficier des actions de base menées par plus de 6 500 agents communautaires (AC) mobilisés par le projet dans les 43 districts composés de 506 communes et de 3 577 fokontany. «Les résultats obtenus à ce mi-parcours ne peuvent être qu’encourageants», s’est réjoui John Yanulis, directeur du projet Usaid Mikolo, hier, en faisant le rapport sur les avancées du projet. En effet, en se basant sur le système de santé communautaire, le projet intervient généralement dans les fokontany qui sont situés à plus de cinq kilomètres des centres de santé de base (CSB), à travers la mobilisation des AC. Ces derniers qui sont des personnes volontaires, élues par les communautés, sensibilisent les femmes, les hommes et les jeunes sur la santé.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Le stock de la dette de Madagascar était estimé, fin 2015, à 3.294 milliards USD, composé à hauteur de 74.1 % de dette extérieure et de 25.9 % de dette intérieure. Ce stock équivaut à 40.6 % du PIB, contre 35.2 % fin 2014. La dépréciation marquée du taux de change nominal en 2015 a contribué à alourdir le poids de la dette extérieure, qui représentait 30.7 % du PIB fin 2015, contre 10 % pour la dette intérieure. Plus de la moitié de la dette extérieure est due aux banques multilatérales de développement, avec des conditions hautement concessionnelles. Selon le FMI, qui a analysé en novembre 2015 la viabilité de la dette, le risque de surendettement extérieur de Madagascar est modéré.

Dans La Gazette de la Grande Ile
En creusant davantage la situation, les mêmes données font état, surtout, que le niveau d’urbanisation est passé de 11 % de la population en 1960 à 22 % en 1990, 27 % en 2005 et 37 % en 2013, avec une population urbaine estimée à 6.9 millions d’habitants en 2013. La population urbaine s’est accrue au rythme moyen de 4.7 % par an entre 2010 et 2015, plus rapidement que la population rurale. Selon les projections, la population urbaine devrait compter 18 millions de personnes à l’horizon 2035. (..) Sur les 1 617 communes rurales, 99 sont des communes rurales de première catégorie et 1 520 de deuxième catégorie. (..) Seulement 5 % du budget national est affecté aux collectivités locales et aux administrations régionales, et plus des trois quarts du budget des villes sont constitués par leurs ressources propres : i) les redevances sur les opérations commerciales ; ii) les taxes indirectes à travers la fiscalité foncière ; et iii) les redevances sur les services publics…

Mikama - May 26, 2016

Riana R. dans NewsMada
Le volume des transactions électroniques à Madagascar est estimé à plus de 1 100 milliards d’ariary en 2014, selon les chiffres de la Commission de supervision bancaire et financière (CSBF) ...  Selon les chiffres de la direction générale du Trésor, la gestion des espèces (impression des billets, destruction des billets usagés, transport de fonds…) représente 60% des charges opérationnelles de la Banque centrale de Madagascar (BCM). Le paiement électronique permettra entre autres d’améliorer l’inclusion financière, d’accroître la mobilisation des ressources internes, et de mieux sécuriser l’argent.

Fahranarison dans NewsMada
VIH/SIDA : un millier de nouvelles infections par an. Le taux de prévalence au VIH/Sida de 0,3% actuellement demeure faible. (..) Par ailleurs, sur les 40.000 personnes vivant avec le VIH (PVVIH), estimées en 2015, seules 1.828 sont suivies et bénéficient du traitement adéquat. Cela sous-entend qu’il existe encore quelque 38.000 PVVIH qui ignorent leur statut sérologique.

Patricia Ramavonirina dans La Vérité
Manque de maturité et de dynamisme, non maîtrise des langues étrangères, notamment le français et l’anglais. Tels sont les principaux blocages persistants chez les jeunes en quête d’emploi. Ce ne sont pourtant pas les offres et opportunités qui manquent, à en croire le directeur général du Cabinet de recrutement Mrh, Rafik Mohamedaly. « Parmi les 23 500 demandeurs d’emplois qui ont postulé durant les 7 éditions des Journées de l’emploi et de la formation, seuls 1 663 ont été embauchés. Pourtant, le nombre des offres d’emploi s’élevait à 6 213 »

Mikama - May 25, 2016

Miangaly Ralitera dans L'Express de Madagascar
Madagascar a relevé un défi. Le taux de la mortalité infantile d’enfants de moins d’un an est passé de 96 pour 1 000 naissances vivantes en 1997 (Enquête démographique et de santé) à 42 pour 1 000 naissances vivantes en 2012, selon l’enquête de suivi des objectifs du millénaire du développement (ENSOMD 2012-2013).

Riana R. dans NewsMada
 « Soixante-quinze pour cent des passations de marchés publics présentent des irrégularités », a affirmé la présidente de la Commission nationale des marchés (CNM), Rindra Rabarinirinarison, lors de l’atelier de validation de la stratégie de contrôle des passations de marché (..) Les marchés publics contribuent à hauteur de 9 à 10% au Produit intérieur brut (PIB), selon les chiffres de la Cour des comptes dans le rapport public 2014, publié le 20 mai dernier. (..) « une amélioration a déjà été constatée dans ce domaine ces cinq dernières années. Ainsi, en 2012, seulement 671 dossiers sont passés au niveau de la CNM pour un contrôle a priori, contre plus de 3 000 en 2015, soit cinq fois plus »

Dans La Gazette de la Grande Ile
... dans l’ensemble, et d’après toujours le même document, le taux de croissance économique est resté relativement faible en 2015, à 3.2 % comme en 2014, un rythme inférieur à l’objectif d’au moins 5 % fixé par le Plan national de développement (PND) pour réduire la pauvreté. (..) la croissance économique reste tirée par le secteur secondaire (zones franches industrielles, agro-industrie, industries métallurgiques et du bois) et par le secteur des services (banques, tourisme, assurances, BTP). Le secteur primaire dans son ensemble a connu un faible taux de croissance, (0.7 % contre 3.3 % en 2014), du fait des inondations dans la partie nord et de la sécheresse au sud. L’inflation a été contenue à moins de 10 %. Le déficit budgétaire s’est creusé, passant à 4.6 % du PIB en 2015 (estimation) contre 2.3 % en 2014. Le déficit du compte courant s’est également détérioré, passant de 0.2 % du PIB en 2014 à 2.3 % en 2015.

Mikama - May 24, 2016

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
La passation de marchés publics est parmi les secteurs les plus épinglés par la cour des comptes dans son rapport public présenté hier à la cour suprême concernant la période 2001-2014. Or, le pays pourrait économiser jusqu’à 25% de ses fonds s’il respecte le code des marchés publics. Cette estimation est de la Banque mondiale. (..) les exemples foisonnent concernant les dysfonctionnements constatés dans le secteur des marchés publics. Si l’on se penche toutefois sur l’exercice 2014, les dépenses d’investissement public ont augmenté de près de 46% dans la loi de finances rectificative par rapport à la loi de finances initiale. Elles sont passées de 806,3 milliards Ar à 1 177,4 milliards Ar financés à hauteur de 33,3% par les ressources internes et de 66,7% par les aides extérieures. Quelle que soit la modalité d’attribution des marchés financés par ces dépenses, ces marchés sont publics puisqu’ils sont financés par les deniers publics et par les dettes contractées auprès des bailleurs et donc à rembourser par les générations actuelles et futures. En réalité, les marchés publics, quoique régi par un code dédié, sont encore loin d’être gérés de manière efficace et efficiente. Ils font souvent l’objet de favoritisme, de copinage, de corruption…

Malalanirina Nandrianina dans La Gazette de la Grande Ile
Seulement 3,5% des agents économiques ont fait des emprunts auprès d’une banque telle que mutualiste ou autre institution financière. Par contre, le taux de ceux qui ont emprunté auprès de leurs familles ou de leur connaissance s’élève jusqu’à 50,1%. (..) Sachant que 21,9% des Malgaches possèdent un compte financier toute nature confondue. Les crédits accordés par une banque ou micro- finance sont principalement destinés à financer des dépenses courantes : 33% et des frais de scolarité : 21,3%. Les petites et moyennes entreprises restent des clients potentiels des banques, dans les emprunts. Tandis que les agents économiques très pauvres pratiquent des emprunts familiaux.

Arh. dans NewsMada
L’économie malgache repose en grande partie sur l’agriculture. Le secteur agricole contribue au produit intérieur brut (PIB) à hauteur de 30 %. Et en intégrant les industries agroalimentaires, ce secteur y contribue jusqu’à 43 % et emploie 80 % de la population active.

Riana R. dans NewsMada
On recense actuellement 1,7 million d’hectares d’aires protégées dans le pays, le gouvernement prévoit d’étendre leur superficie à 2,5 millions d’hectares d’ici l’année 2020. Par ailleurs 1,7 million d’hectares de surface forestière sont actuellement protégés à travers le plan de gestion de restauration des forêts», a avancé Johanita Ndahimananjara. (..) La situation de la déforestation à Madagascar reste toutefois alarmante, et le phénomène n’est pas près de s’améliorer de sitôt. Les données chiffrées de l’Office national pour l’environnement (ONE) montrent que 36 000 hectares de forêts naturelles disparaissent chaque année à Madagascar. (..) Par ailleurs, Johanita Ndahimananjara a annoncé la mise en vente de crédits-carbone à travers un nouveau mécanisme de Réduction des émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forêts (Redd) qui vise également la gestion durable des forêts. «Le crédit-carbone est vendu six dollars la tonne. Madagascar a déjà testé ce mécanisme dans la forêt de Masoala et le corridor Ankeniheny-Zahamena, et a pu engranger près de deux millions de dollars jusqu’à ce jour...

Mikama - May 19, 2016

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Une hausse des recettes fiscales et des investissements publics est attendue du Programme d’Appui aux Réformes de la Gouvernance Economique (PARGE), financé par la BAD....  ce financement de 12,5 millions d’Unités de compte, soit 17,5 millions USD ou 56 milliards d’Ariary concerne l’exercice budgétaire 2015. (..)  il est attendu de la mis en œuvre de ce Programme, une amélioration du niveau des recettes fiscales, passant de 9,9% du PIB (Produit Intérieur Brut) en 2015 à 11,5% en 2016 ; ainsi qu’une amélioration du taux d’investissement public allant de 3,9% du PIB en 2014, à plus de 5% du PIB en 2016. Outre les 17,5 millions USD, le PARGE est également combiné à une Garantie Partielle de Crédit (GPC) de 40 millions USD, qui devrait permettre à Madagascar de lever 55 millions USD sur le marché bancaire international, à des conditions très favorables, en vue de financer la mise en œuvre du PND (Plan National de Développement).

Dans Relief Web
Les résultats de l’étude montrent l’ampleur des effets négatifs de la sous-nutrition des enfants dans les secteurs de la santé, de l’éducation et de la productivité. A Madagascar, la sous-nutrition engendre une perte économique de 14,5% du produit intérieur brut du pays par an soit environ 1.5 milliard de dollars. Plus de 40% de la mortalité des enfants est lie à la sous‐nutrition. Les conséquences de la sous nutrition sur l’augmentation des redoublements engendrent des pertes dans le  secteur  de  l’éducation  estimées  à  11,4 millions USD. L’augmentation  des  cas  annuels  de diarrhée,  d’infections  respiratoires,  de paludisme  et  d’anémie  entraîne  des  coûts additionnels  pour  les  familles  et  le  système  de soins de santé estimés à 169 millions USD, soit environ 1,6% du PIB. (..) Solutions possibles : Evidence issue du Plan d’investissement pour la Nutrition
De manière  globale,  la  charge  annuelle  de  1.5  millions  $  est  en  grande  partie  évitable  par  des  interventions efficaces à faible coût.  (..) Paquet 1‐ pour la population en générale  qui inclut: l’iodation universelle du sel, la fortification des aliments de grande consommation comme farine et l’huile
Paquet 2 ‐ pour les femmes enceintes qui comprend le Paquet 1 plus les suppléments des vitamines et minéraux, des compléments alimentaires riches en énergie et protéines, le déparasitage, et la prévention et traitement du paludisme.
Paquet 3 ‐ pour les enfants qui en plus des  paquets 1 et 2 comprend  la promotion de bonnes pratiques d'allaitement maternel et de l'alimentation complémentaire. Le cout annuel requit pour la mise en œuvre du portfolio proposé est de 48.4 millions de dollars soit un total d’environ 400 millions de dollars sur 10 ans. Cet investissement,  en plus de réduire le cout économique  de  la malnutrition  de  40%,  générera un retour sur investissement de 2 milliards  de dollars soit donc un ratio coûts‐bénéfice  de un dollar investi pour 5 dollars gagné .
Source ReliefWeb


Mikama - May 18, 2016

Nathan Raherivelo dans L'Express de Madagascar
Dans sept domaines de services publics sur douze abordés, la gestion de l’État a été jugée « très mal » par la majorité des enquêtés. Les interventions de l’État sont très insatisfaisantes, notamment en matière d’aide aux démunis (68,6% des individus enquêtés), de lutte contre la corruption (65,9%) et des besoins en matière de logement (54%). En plus de ces secteurs, la mauvaise performance de l’État a été relativement reconnue par les enquêtés aussi au niveau de trois autres domaines. Il s’agit de la sécurité publique (45%), de
l’électricité (43,5%) et du foncier (41,9%). Par contre, les résultats de l’enquête montrent que l’opinion publique reconnaît une performance assez satisfaisante de l’État dans les domaines relatifs à la santé, l’éducation, l’accès à l’eau et la retraite.

Miangaly Ralitera dans L'Express de Madagascar
Le nombre de victimes du paludisme est considérablement en baisse. En l’espace d’une année, le nombre aurait diminué jusqu’à 70%, comme l’indique Arsène Claude Ratsimbason, directeur du Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) du ministère de la Santé publique. (..) Entre janvier et mai 2015, par exemple, 187 cas de décès ont été enregistrés dans plusieurs districts. Par la suite, de fortes mobilisations ont eu lieu, comme les distributions de plus de de 10 000 000 moustiquaires imprégnées dans 92 districts, de plus de trois millions de médicaments et des tests de diagnostic rapide, mais aussi des aspersions de pesticide sur les Hautes terres.

Dans NewsMada
Rien qu’au premier trimestre de cette année, la quantité de 8277  T a été importée pour une valeur de 6,15 millions de dollars. Ce qui a amené des magazines étrangers d’affirmer que « 9 Malgaches sur dix s’habillent de fripes »... Si on se réfère toujours aux statistiques des douanes, l’importation est au top de sa situation le mois de mai, c'est-à-dire en prévision de la saison hivernale. Elle avoisine pendant cette période les 3 millions de tonnes. (..) De source auprès des statistiques de la direction générale des douanes de Madagascar, rapportées par l’International trade center (ITC), 126,5 millions de dollars étaient la valeur de l’importation d’articles en friperies effectuée par Madagascar entre 2010 et 2014.

Mikama - May 17, 2016

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Pour l’énergie solaire, il s’agit de gamme de packs de produits composés de batterie, de convertisseur, de régulateur et de panneaux. La durée de vie de ces éléments va de 10 à 25 ans (..) Les différents modèles sont adaptés à tous les besoins, allant de 3,5KVA pour les petits besoins, à plus de 10 KVA, pour les entreprises. (..) En ce qui concerne l’énergie éolienne, Andry Razafimaharo d’indiquer que  « nous avons également les modèles mini entre 300 et 350W, jusqu’au modèle Sky à plus de 1600W, pouvant desservir tout un petit village ».

Eustace Davie dans Madagascar Tribune
En une décennie le pays [Maurice] a pu gagner 14 places dans le classement mondial de la liberté économique (EFW), en passant de la 22ème place en 2000 à la 6ème place en 2013. (..) Peu après son arrivée au pouvoir, le nouveau gouvernement démocratique a envoyé une équipe pour étudier des exemples de politiques tournées vers l’exportation à Hong Kong, en Jamaïque, à Porto Rico, à Singapour et à Taiwan. Fort de ces expériences inspirantes, il a rapidement adopté des recommandations pour la mise en place de zones d’activité économiques (Processing Zone économique, EPZ). Cela a permis aux entreprises implantées dans ces zones d’importer des intrants en franchise de droits de douane, de profiter d’exonérations fiscales et d’un environnement du travail souple. Cela a d’ailleurs permis de libérer les femmes en leur offrant de nouvelles possibilités d’emplois.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Education: 3 enfants sur 10 terminent le primaire... [le secteur de l’éducation] est pourtant l’un des rares secteurs à être dotés d’un budget conséquent (810,5 milliards Ar pour 2016). Mieux, il vient en 2ème position après le ministère des Finances et du Budget. (..)  Le ministère prévoit une augmentation minime du taux d’achèvement du primaire de 1% par jusqu’en 2018. En face toutefois, le budget pour le 1er cycle augmente de 34,8% cette année, contre 14,5% en 2017 et 12,5% en 2018.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Création d’entreprises individuelles: Une moyenne de 4,7 millions Ar pour démarrer ! (..) C’est un montant énorme pour un pays dont 93% de la population sont pauvres et 52% extrêmement pauvres. La moyenne annoncée plus haut est l’équivalent du revenu d’un pauvre sur plus de 2 années ou plus précisément sur environ 750 jours ! Et selon le Doing business 2016 de la Banque mondiale, le coût de la création d’entreprise à Madagascar représente près de 44% du revenu par habitant. La moyenne en Afrique subsaharienne est certes de 53,4% mais il n’empêche que Madagascar est le 5ème pays le plus pauvre au monde.

Dans La Gazette de la Grande Ile
91,8% des entreprises nouvellement créées dans l’Analamanga sont dans le secteur tertiaire selon les données de l’Institut national de la statistique (INSTAT) pour le 4ème trimestre 2015. Ainsi, les services attirent plus les opérateurs que d’autres secteurs.

Fanomezana Rasolomahery dans L'Express de Madagascar
Le projet Miasa ou Mise en Oeuvre d’Améliorations des Services d’Assainissement Adoptés à l’Agglomération d’Antananarivo, est un projet qui vise à améliorer les conditions de vie des ménages des quartiers défavorisés, dans la filière d’assainis­sement. (..) Notre objectif est de contribuer à l’amélioration des conditions sanitaires et environnementales, dans les quartiers urbains de Madagascar en donnant accès à des toilettes hygiéniques par la mise en place des magasins de toilettes, car 27 % de la population n’ont pas accès sur ce volet.

Mikama - May 13, 2016

Dans La Gazette de la Grande Ile
Les conséquences de la sous nutrition sur l’augmentation des redoublements engendrent des pertes dans le secteur de l’éducation estimées à 11,4millions USD.
L’augmentation des cas annuels de diarrhée, d’infections respiratoires, de paludisme et d’anémie entraîne des coûts additionnels pour les familles et le système de soins de santé estimés à 169 millions USD, soit environ 1,6% du PIB
Les effets cumulés du retard de croissance sur la productivité (capacités physiques réduites, niveau d’instruction plus faible et heures de travail perdues du fait de la mortalité) font perdre à Madagascar 12,8% de son PIB et constituent le plus lourd fardeau sur l’économie. Cela étant dû principalement à une absence d’environ 11% de population en âge de travailler car décédée à cause de la sous‐nutrition…
Le coût annuel requit pour la mise en œuvre du portfolio proposé est de 48.4 millions de dollars soit un total d’environ 400 millions de dollars sur 10 ans.
Cet investissement, en plus de réduire le coût économique de la malnutrition de 40%, générera un retour sur investissement de 2 milliards de dollars soit donc un ratio coûts bénéfice de un dollar investi pour 5 dollars gagné.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Sarah Georget Rabearisoa, chef du Parti Libéral Démocrate. La dame a accroché l’attention du public avec les petits chiffres qu’elle a distillés au micro, notamment pour dénoncer la corruption du régime. Depuis 2013, selon elle, 10 000 lémuriens par an sont sortis illégalement de l’île, de même que 60 000 tortues et 20 000 caméléons et hippocampes. D’après toujours Sarah Georget Rabearisoa, deux millions de rondins de bois de rose d’une valeur de trois milliards de dollars ont été expédiés de façon illicite à l’étranger.

D.H.R. dans La Vérité
Concernant le budget pour la gestion des parcs nationaux, 65 % proviennent encore des partenaires techniques et financiers, 15 % de la Fondation des aires protégées pour la protection de la biodiversité de Madagascar et 20 % de la part de Madagascar National Parks. Dans les années à venir, il importe de réduire les aides des partenaires techniques et financiers à 30 %, d’augmenter la part de financement de la Fondation des aires protégées pour la protection de la biodiversité de Madagascar à 30 %, et également de rehausser à 40 % celle de Madagascar National Parks.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Le marché des œufs de caille ainsi que de la viande se développe aussi rapidement. La preuve, la société Caille de Mada qui est un leader sur le marché national, a pu commercialiser 350 000 œufs depuis le démarrage de ses activités en septembre 2015. « Nous parvenons à vendre actuellement 90 000 œufs de caille par mois avec plus de 2 500 clients. Quant à notre cheptel d’élevage, nous disposons en ce moment de 10 000 têtes de caille tout en travaillant avec vingt-six fermes partenaires. Notre couvoir a également une capacité de 4 000 oeufs », a évoqué Ricky Ratianarivo, le directeur général de Caille de Mada lors d’une entrevue avec la presse. (..) « Il s’agit d’une filière très rentable qui se développe rapidement étant donné que les investissements réalisés seront amortis en moins d’un an. L’éleveur peut avoir un taux de rentabilité de près de 35% »

FR dans Madagascar Matin
« En 2014, l’Office régional du tourisme d’Analamanga enregistre 345 000 nuitées pour la région Analamanga. Un touriste passe généralement deux nuits dans la région. L’on peut dire que le nombre de touristes comptabilisés pour l’année 2014 est de 150 000. Le nombre de nuitée a diminué à 318 000 à cause du problème d’Air Madagascar », explique Harimisa Razafinavalona, Directeur au sein de l’Ortana. « Les statistiques ne prennent pas compte des touristes locaux qui séjournent dans leurs familles ou amis. Nous estimons que la région Analamanga attire près d’un million de touriste chaque année », rajoute notre interlocuteur. « Chaque année, les autres régions de Madagascar accueille près de 400 000 à 500 000 touristes issus de la région Analamanga », dixit Harimisa 

Mikama - May 12, 2016

Hanitra R. dans Midi Madagasikara
Les effets cumulés de la malnutrition font perdre à l’économie malgache 3384 milliards d’ariary par an, soit autour de 1,5 milliard de dollars, selon le rapport « Coût de la faim en Afrique »... C’est l’équivalent de 14,5% du PIB (produit intérieur brut) du pays. (..) Avec un enfant de moins de 5 ans sur deux, affecté par un retard de croissance pour cause de malnutrition et presque 1 enfant sur dix de la même tranche d’âge sur l’ensemble du pays, souffrant de malnutrition, l’ampleur du problème de malnutrition à Madagascar est préoccupante. (..) La mise en œuvre du plan d’investissement pour la nutrition, lequel prévoit, avec l’appui des Nations Unies, un investissement de 40 millions de dollars par an, pourrait amorcer une courbe décroissante des pertes économiques engendrées par la malnutrition... on pourra alors envisager un retour sur investissement de 2 milliards de dollars sur 10 ans, soit un ratio de 1 dollar investi pour 5 dollars gagnés.

D.H.R. dans La Vérité
« Le secteur secondaire contribue entre 15 à 16 % du produit intérieur brut » (..) la lutte contre la concurrence déloyale est entravée par les limites des textes en vigueur qui n’ont pas évolué. Néanmois, le projet de loi aborde le développement du partenariat public-privé et la promotion du concept « Vita malagasy ».

Patricia Ramavonirina dans La Vérité
 Le projet d’élaboration du schéma directeur du développement de l’axe économique Antananarivo-Toamasina à Madagascar (Tatom) sera bientôt mis en œuvre. Ce projet de l’Agence japonaise de coopération internationale (Jica) comprend 3 grands défis, à savoir la révision du plan d’urbanisme directeur à Antananarivo et celui de Toamasina, ainsi que l’élaboration d’un schéma directeur pour l’aménagement des réseaux de transport de ces 2 zones d’intervention. (..) L’extension du port de Toamasina, financée à hauteur de 500 millions de dollars... Pour information, 90 % des cargos entrant dans la Grande Ile débarquent au port de Toamasina. Après cela, 75 % de ces cargos viennent à Antananarivo via la Rn2...

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Il s’agit du Programme Régional de Sécurité Alimentaire et Nutritionnel (PRESAN) qui sera étalé sur une période de 2017 à 2022 et financé à hauteur de 150 millions USD. (..) L’objectif de développement du  PRESAN est de promouvoir l’augmentation de la productivité, de la production, de la compétitivité et du commerce inter-îles des produits agricoles d’intérêt communautaire ainsi que la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans l’Indianocéanie. Il  permettra ainsi de contribuer à la sécurité alimentaire et nutritionnelle ainsi qu’à la réduction de la pauvreté dans les états membres tels que les Comores, Madagascar, La Réunion, Maurice et Seychelles.

Mikama - May 11, 2016

Dans La Gazette de la Grande Ile
Au niveau des infrastructures routières, Madagascar a perdu en moyenne 1.000 km de routes par an sur la période 1970-2000 . Fin décembre 2013, les routes en bon état ne représentaient que 10 % de l'ensemble du réseau routier malgache et la proportion des communes accessibles par voie de surface était estimée à 40 %

Dans La Gazette de la Grande Ile
Selon le rapport 2015-2016 sur la compétitivité mondiale du Forum Economique Mondial, les principaux facteurs les plus problématiques à l’amélioration du climat des affaires à Madagascar sont entre autres: l’instabilité politique, l’accès au financement, la corruption, l’inadéquate fourniture en infrastructures, l’insécurité, les niveaux de taxation élevés, les lois et règlements et une main d’œuvre peu formée. (..) En 2015, des pluies torrentielles ont entraîné le déplacement de 39 000 personnes dans les hautes terres, tandis que dans le sud du pays, 200 000 autres personnes ont eu besoin d’aide alimentaire en raison d’une sécheresse prolongée. Cette situation a contribué à aggraver les conditions de vie des malgaches.

SEFAFI dans Madagascar Tribune
Pourtant depuis plus d’une décennie maintenant la lutte contre la corruption fait partie du credo des dirigeants successifs. Madagascar a ainsi signé et ratifié différents traités Internationaux, telles la Convention des Nations Unies contre la corruption [1] et la Convention de l’Union Africaine sur la Prévention et la lutte contre la corruption [2]. Le 9 septembre 2004, l’adoption de la loi n° 2004-030 sur la lutte contre la corruption et de ses décrets d’application est apparue comme une étape importante avec la mise en place de différents organes et entités destinés à mener la bataille...

D.H.R. dans La Vérité
Dans le cadre du programme de renforcement énergétique de la Jirama, la société Jovenna procède à la mise en place d’une centrale thermique de 48 Mw à Ambohimanambola. (..) La nouvelle centrale thermique permettra à la Jirama de bénéficier d’un projet clé en main pour la fourniture d’électricité avec un fonctionnement en fuel lourd, ce qui permet de faire des économies importantes par rapport à l’emploi des groupes fonctionnant au gasoil.

Mikama - May 9, 2016

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
« En 2011, la société [Agrival-Agrifarm] avait produit 5000 poussins chair. Actuellement, cette production atteint les 120 000 par semaine. En octobre, nous allons produire des poussins ponte localement afin d’aider les éleveurs malgaches », a-t-elle fait savoir. À Madagascar, l’élevage de cycle court a pris son élan ces dernières années. Cette filière concerne 71,7 % de la population malgache. C’est pourquoi, la production des poussins ne cesse d’augmenter.

Riana R. dans NewsMada
... le projet [Papi] est financé par la Bad à hauteur de 7 millions d’Unités de compte (environ 9 millions de dollars, soit près de 28 milliards d’ariary), dont 6 millions de dollars porteront sur les investissements, 3.6 millions de dollars en appui au Partenariat public-privé (3P), 800 000 dollars pour la gestion du projet et 400 000 dollars pour les imprévus. (..) L’objectif en 2018 étant de créer près de 120 000 emplois dans le secteur textile, et augmenter le taux des investissements privés à 18% du Produit intérieur brut (PIB) si celui-ci était de 15.2% en 2013

Mamisoa Antonia dans NewsMada
Le but de cette action qui se prolongera jusqu’en 2019 est la réduction des taux de mortalité des mères de 300 sur 100000, des enfants mort-nés de 17 sur 1000 et des enfants moins de 5 ans de 31 sur 1000 naissances vivantes. A ce titre, les mères et les enfants vont bénéficier de plusieurs offres gratuites dans tous les centres de santé publique. ...

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Trop anémié pour faire décoller l’économie, le taux de l’investissement public pour cette année 2016 n’est pas à même de donner un coup de pouce à ce décollage. Il représente seulement 32% du budget de l’Etat. Autrement dit, les dépenses de fonctionnement accaparent ce budget, soit 68%. En réalité, les dépenses publiques pour l’investissement demeurent très faibles : 14% selon la loi de finances rectificative de 2015, et 10% d’après la loi de finances rectificative de 2014. (..) Citons les chèques-carburant dont le montant d’alors aurait pu aider le pays à s’acheter des bateaux de surveillance à même de couvrir les 5 400 km de côtes si seules 14% de cette superficie font l’objet de surveillance. Quant aux méga-subventions de la Jirama de 2010 à 2013, elles auraient pu financer la construction de 13 centrales hydroélectriques de 15 MW chacune.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Ces deux facteurs sont parmi la liste énumérée par le FMI dans ses nouvelles Perspectives économiques régionales portant, entre autres, sur les facteurs nécessaires devant développer le secteur financier en Afrique subsaharienne. Mais Madagascar ne dispose ni d’institutions fortes ni d’une classe moyenne à même de doper le développement financier, pourtant indispensable à la croissance. (..) Quant à la bancarisation, les détenteurs d’un compte bancaire représentent tout au plus 5% de la population.