Les conséquences de la sous nutrition sur l’augmentation des redoublements engendrent des pertes dans le secteur de l’éducation estimées à 11,4millions USD.
L’augmentation des cas annuels de diarrhée, d’infections respiratoires, de paludisme et d’anémie entraîne des coûts additionnels pour les familles et le système de soins de santé estimés à 169 millions USD, soit environ 1,6% du PIB
Les effets cumulés du retard de croissance sur la productivité (capacités physiques réduites, niveau d’instruction plus faible et heures de travail perdues du fait de la mortalité) font perdre à Madagascar 12,8% de son PIB et constituent le plus lourd fardeau sur l’économie. Cela étant dû principalement à une absence d’environ 11% de population en âge de travailler car décédée à cause de la sous‐nutrition…
Le coût annuel requit pour la mise en œuvre du portfolio proposé est de 48.4 millions de dollars soit un total d’environ 400 millions de dollars sur 10 ans.
Cet investissement, en plus de réduire le coût économique de la malnutrition de 40%, générera un retour sur investissement de 2 milliards de dollars soit donc un ratio coûts bénéfice de un dollar investi pour 5 dollars gagné.
Dans La Gazette de la Grande Ile
Sarah Georget Rabearisoa, chef du Parti Libéral Démocrate. La dame a accroché l’attention du public avec les petits chiffres qu’elle a distillés au micro, notamment pour dénoncer la corruption du régime. Depuis 2013, selon elle, 10 000 lémuriens par an sont sortis illégalement de l’île, de même que 60 000 tortues et 20 000 caméléons et hippocampes. D’après toujours Sarah Georget Rabearisoa, deux millions de rondins de bois de rose d’une valeur de trois milliards de dollars ont été expédiés de façon illicite à l’étranger.
D.H.R. dans La Vérité
Concernant le budget pour la gestion des parcs nationaux, 65 % proviennent encore des partenaires techniques et financiers, 15 % de la Fondation des aires protégées pour la protection de la biodiversité de Madagascar et 20 % de la part de Madagascar National Parks. Dans les années à venir, il importe de réduire les aides des partenaires techniques et financiers à 30 %, d’augmenter la part de financement de la Fondation des aires protégées pour la protection de la biodiversité de Madagascar à 30 %, et également de rehausser à 40 % celle de Madagascar National Parks.
Navalona R. dans Midi Madagasikara
Le marché des œufs de caille ainsi que de la viande se développe aussi rapidement. La preuve, la société Caille de Mada qui est un leader sur le marché national, a pu commercialiser 350 000 œufs depuis le démarrage de ses activités en septembre 2015. « Nous parvenons à vendre actuellement 90 000 œufs de caille par mois avec plus de 2 500 clients. Quant à notre cheptel d’élevage, nous disposons en ce moment de 10 000 têtes de caille tout en travaillant avec vingt-six fermes partenaires. Notre couvoir a également une capacité de 4 000 oeufs », a évoqué Ricky Ratianarivo, le directeur général de Caille de Mada lors d’une entrevue avec la presse. (..) « Il s’agit d’une filière très rentable qui se développe rapidement étant donné que les investissements réalisés seront amortis en moins d’un an. L’éleveur peut avoir un taux de rentabilité de près de 35% »
FR dans Madagascar Matin
« En 2014, l’Office régional du tourisme d’Analamanga enregistre 345 000 nuitées pour la région Analamanga. Un touriste passe généralement deux nuits dans la région. L’on peut dire que le nombre de touristes comptabilisés pour l’année 2014 est de 150 000. Le nombre de nuitée a diminué à 318 000 à cause du problème d’Air Madagascar », explique Harimisa Razafinavalona, Directeur au sein de l’Ortana. « Les statistiques ne prennent pas compte des touristes locaux qui séjournent dans leurs familles ou amis. Nous estimons que la région Analamanga attire près d’un million de touriste chaque année », rajoute notre interlocuteur. « Chaque année, les autres régions de Madagascar accueille près de 400 000 à 500 000 touristes issus de la région Analamanga », dixit Harimisa
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