Mikama - May 9, 2016

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
« En 2011, la société [Agrival-Agrifarm] avait produit 5000 poussins chair. Actuellement, cette production atteint les 120 000 par semaine. En octobre, nous allons produire des poussins ponte localement afin d’aider les éleveurs malgaches », a-t-elle fait savoir. À Madagascar, l’élevage de cycle court a pris son élan ces dernières années. Cette filière concerne 71,7 % de la population malgache. C’est pourquoi, la production des poussins ne cesse d’augmenter.

Riana R. dans NewsMada
... le projet [Papi] est financé par la Bad à hauteur de 7 millions d’Unités de compte (environ 9 millions de dollars, soit près de 28 milliards d’ariary), dont 6 millions de dollars porteront sur les investissements, 3.6 millions de dollars en appui au Partenariat public-privé (3P), 800 000 dollars pour la gestion du projet et 400 000 dollars pour les imprévus. (..) L’objectif en 2018 étant de créer près de 120 000 emplois dans le secteur textile, et augmenter le taux des investissements privés à 18% du Produit intérieur brut (PIB) si celui-ci était de 15.2% en 2013

Mamisoa Antonia dans NewsMada
Le but de cette action qui se prolongera jusqu’en 2019 est la réduction des taux de mortalité des mères de 300 sur 100000, des enfants mort-nés de 17 sur 1000 et des enfants moins de 5 ans de 31 sur 1000 naissances vivantes. A ce titre, les mères et les enfants vont bénéficier de plusieurs offres gratuites dans tous les centres de santé publique. ...

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Trop anémié pour faire décoller l’économie, le taux de l’investissement public pour cette année 2016 n’est pas à même de donner un coup de pouce à ce décollage. Il représente seulement 32% du budget de l’Etat. Autrement dit, les dépenses de fonctionnement accaparent ce budget, soit 68%. En réalité, les dépenses publiques pour l’investissement demeurent très faibles : 14% selon la loi de finances rectificative de 2015, et 10% d’après la loi de finances rectificative de 2014. (..) Citons les chèques-carburant dont le montant d’alors aurait pu aider le pays à s’acheter des bateaux de surveillance à même de couvrir les 5 400 km de côtes si seules 14% de cette superficie font l’objet de surveillance. Quant aux méga-subventions de la Jirama de 2010 à 2013, elles auraient pu financer la construction de 13 centrales hydroélectriques de 15 MW chacune.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Ces deux facteurs sont parmi la liste énumérée par le FMI dans ses nouvelles Perspectives économiques régionales portant, entre autres, sur les facteurs nécessaires devant développer le secteur financier en Afrique subsaharienne. Mais Madagascar ne dispose ni d’institutions fortes ni d’une classe moyenne à même de doper le développement financier, pourtant indispensable à la croissance. (..) Quant à la bancarisation, les détenteurs d’un compte bancaire représentent tout au plus 5% de la population.

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