Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Le micro-entrepreneuriat pour tous. Hier, cent soixante personnes de 15 à 55 ans, issues des vingt-cinq fokontany vulnérables de la commune urbaine d'Antananarivo, de Bemasoandro et d'Ankadikely Ilafy sont diplômées en entrepreneuriat. Elles ne sont pas formées dans une grande école de ce domaine mais d'une durée de 30 heures, dans le cadre du projet sécurité humaine, en partenariat avec l'Unicef et l'Unfpa et est mis en œuvre par les centres Ilaiko. Remarquable parmi les autres est le savoir-faire de Mamy Josephine Razanakinirina. Depuis cinq ans, la mère de famille habitant à Bemasoandro est fabricante de poupées, à travers le recyclage des éléments de poupées jetées dans les ordures.
Noella Rakoto dans NEwsMada
Pour pouvoir exporter, il faut non seulement des produits aux normes tant en termes de qualité que de quantité, mais également connaître les procédures à suivre. Aujourd’hui, l’ITBM voudrait accompagner les entreprises dans la concentration des formalités locales pour l’exportation en un même lieu, dans un délai convenu et pour un prix fixe. Comme celles-ci sont devenues difficiles, lourdes et variables, le projet de guichet unique vise ainsi à améliorer davantage l’environnement de l’exportation. C’est également une initiative qui entend promouvoir davantage le domaine par la facilitation des procédures.
Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Assurer la promotion de la connaissance des marchés et de la performance internationale. Tels sont les deux défis que s'est lancé la structure de développement des exportations dénommée l'International Trade Board of Madagascar (ITBM) afin d'infléchir le déficit constant de la balance commerciale.
Dans La Gazettte de la Grande-Ile
Le Projet d’Appui à la Gouvernance Institutionnelle (PAGI) couvre le territoire national . Sa mise en œuvre est de 36 mois, allant du 1er janvier 2014 au 31 décembre 2016. Son financement est de 4,818 millions d’UC (FAD : 4,5 millions d’UC, contrepartie nationale : 0,318 millions d’UC).
Les principaux résultats recherchés par le PAGI sont, d’après les données du groupe de la Banque africaine de développement, : (i) un meilleur cadre de mobilisation des ressources publiques conduisant à une augmentation des recettes fiscales de 10,9% en 2012 à 13% du PIB en 2016; (ii) un renforcement des systèmes de contrôle interne et externe ; (iii) un renforcement des structures de lutte contre la corruption; et (iv) la promotion de la transparence dans la gestion des industries extractives à Madagascar.
Et au sujet des bénéficiaires directs du projet, il est fait état : les institutions intervenant dans la gestion des finances publiques, notamment la DGB, la DGD, la DGI, la DGT, la DGCF, l’ARMP, la Cour des Comptes, le BIANCO, le ministère des mines, et le Secrétariat Exécutif de l’ITIE.
Dans La Gazettte de la Grande-Ile
e Projet vise à améliorer les conditions socio-économiques des populations de la région Sud-Ouest de Madagascar. Celles-ci se sont fortement dégradées sous l’effet combiné de la réduction des dépenses pro-pauvres, suite à la crise politique que le pays connait depuis 2009, et l’extrême vulnérabilité de la région face aux changements climatiques (CC) avec des cyclones et sécheresses de plus en plus fréquents. Les principales réalisations attendues du projet sont : (i) l’appui à la mise en valeur de 13.400 ha de terres ; (ii) la construction de 74 Km de canaux principaux ; (iii) la réhabilitation de 40 Km de digue de protection de 5800 ha de terres irriguées; (iv) la construction de 32 km de pistes ; (v) la réalisation de 12 forages d’eau ; (vi) la construction de 12 magasins de stockage (vii) la construction de 3 marchés ruraux ; et (viii) l’appui à la délivrance de titres de propriété pour des agriculteurs occupant une superficie de 5000 ha. Le Projet bénéficiera à une population estimée à près de 105.000 personnes dont la moitié est constituée de femmes. Il générera une production additionnelle estimée à 55.000 tonnes de céréales. Le coût total du projet est d’environ 32 millions d’UC.
Mieux encore, il est détaillé que le coût du Projet est estimé à 32,086 millions d’UC hors taxes soit 110,728 milliards d’Ariary, dont 25,899 millions d’UC (89,377 milliards d’Ariary) en devises et 6,187 millions d’UC (21,351 milliards d’Ariary) en monnaie locale.
Valis dans Tribune de Madagascar
Deux navires se déplacent au large des côtes ouest malgaches et explorent les fonds marins à partir de 50 mètres jusqu’à 1 000 mètres de profondeur. Il s’agit du BGP Challenger et du Mv Maria qui ont leur siège à Houston aux USA et à Oslo en Norvège. Ils effectuent pendant deux (2) mois des recherches pétrolières par mode sismique dans les mers comprises entre Ampasindava au nord jusqu’au Cap Saint André. Les populations côtières et les pêcheurs des régions Diana, Sofia, Boeny et Melaky sont ainsi concernées.
Valis dans Tribune de Madagascar
Le conseil de gouvernement de mardi 19 novembre a admis la faible mobilisation des ressources publiques qui se manifeste entre autres par une pression fiscale en baisse (de 11,8% entre 2004 et 2008 à 10,9% en 2012), la faible décentralisation et déconcentration de la gestion budgétaire, le faible contrôle interne et externe de la gestion du budget de l’État. Le ministre des Finances a reconnu les conséquences néfastes des conflits d’intérêts, la corruption, les fraudes et les trafics illicites qui gangrènent l’administration et qui ont été dénoncé par la Bad.
Propos recueillis par Jao Patricius dans NewsMada
ERIC WONG : « Est-ce que les dirigeants malgaches écoutent son peuple ?»
Comme je l’ai toujours dit et je tiens à le souligner, les Etats-Unis soutiennent des principes et non des personnalités. Nous soutenons tout gouvernement qui respecte les droits de l’homme, qui s’occupe des besoins du peuple malgache, qui se préoccupe des développements socio-économiques, qui est ouvert, qui travaille dans la transparence et qui est redevable. Je pense que les Malgaches ont l’occasion maintenant d’élire un dirigeant qui peut répondre à ces critères. (...) Tant qu’il y a de la corruption, un manque de transparence, des risques politiques, je ne pense pas que les investisseurs étrangers viendront en masse. Par contre, suite à une élection démocratique et à l’avènement de la transparence, de la bonne gouvernance et d’autres principes y afférents, des investisseurs reviendront.
Dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar
« Jardins du monde » est une association humanitaire qui a pour objectif principal la valorisation de l'usage des plantes médicinales dans la santé communautaire, là où les populations ont difficilement accès à la médecine conventionnelle. (...)
Dans de nombreux pays, où la situation sanitaire est difficile, il existe une riche pharmacopée végétale. Selon l’OMS, près de 80 % de la population de la planète utilise les connaissances des médecines populaires et traditionnelles et les plantes médicinales de leur pharmacopée pour se soigner. Parfois par choix, mais trop souvent par nécessité. (...) Informations complémentaires :
Jardin pédagogique de l’AVUPMA : derrière la Croix Rouge d’Antsiranana
Jardins du Monde, 4 avenue du Général de Gaulle, en face du Consulat, Antsiranana 201 / Vente de sachets de plantes médicinales sur place
Site internet : www.jardinsdumonde.org
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