Dans La Gazette de la Grande-Ile
Le total de ces recettes sera de 2983,2 milliards d’Ariary, soit un taux de pression fiscale de 11,6%. Par ailleurs, le flux des dons s’accroitra sensiblement avec les appuis budgétaires provenant de l’Union Européenne, de la Banque Africaine de Développement, de la Banque Mondiale et du Japon pour atteindre 625,0 milliards d’Ariary. De ce fait, et d’après les données du document portant annexe au projet de loi n° 014/2014 portant loi de finances rectificative pour 2014, il est indiqué que les recettes totales et dons passeront de 3070,1 milliards d’Ariary dans la prévision initiale à 3670,0 milliards d’Ariary, soit une hausse de 19,5%. (..) Le déficit budgétaire s’établira à 3,5% du PIB (contre 1,6% du PIB dans la Loi de Finances Initiale), correspondant à 906,8 milliards d’Ariary.
Noella Rakoto dans Newsmada
Le Maroc, l’Egypte, la France, la Belgique, Maurice… Tels sont, entre autres, les pays importateurs du café de Madagascar. Selon les mêmes sources, en 2013, le Maroc est le premier pays importateur de café malgache avec près de 4.807 tonnes. Il est directement suivi par l’Egypte avec 3.186 tonnes et la France avec 2.491 tonnes. Même si en 2009, la France a gardé la première place avec une part de marché égale à environ 46,6%, soit près de 818 tonnes...
Y.L dans La Gazette de la Grande-Ile
Pour l’énergie solaire, une carte élaborée suite à des études réalisées auparavant démontre que Madagascar dispose d’un important potentiel avec une énergie incidente de l’ordre de 2.000 kWh/m2/an.
Presque toutes les régions de l’île disposent de plus de 2.800 heures d’ensoleillement annuel, à l’exception des régions Diana, Sava, Boeny, Androy… Pour ce qui est de l’énergie hydraulique, le potentiel à Madagascar est estimé à 7.800 MW. A l’heure actuelle, une part infime de cette potentialité est exploitée, de l’ordre de 2,5%. Pour l’énergie éolienne, les régions du Nord, Sud et côte Est sont les zones qui disposent de vitesse de vent intéressante pour mettre en place des centres thermiques éoliens. Au total, l’île dispose de 2.000M d’énergie éolienne.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Pour 2014, ces pertes estimées à plus de 100 milliards Ar se rapprochent des recettes supplémentaires (146,3 milliards Ar) demandées à la douane dans la loi des finances rectificative. Mais si le pays réussit à exploiter au mieux les avantages offerts par l’APE-i, ces pertes ne signifieront pas grand-chose. Mais il y a loin de la coupe aux lèvres. En attendant, la COI veut rapidement un APE complet devant inclure certaines aspects de la coopération au développement, les règles d’origine, les obstacles techniques au commerce, les normes sanitaires et phytosanitaires, le commerce de services. Il y a aussi l’agriculture et les questions liées au commerce (concurrence, investissement, droit de propriété intellectuelle, marchés publics).
Navalona R. dans Midi Madagasikara
Les opérateurs revendiquent à l’Etat une stabilité des lois régissant ce secteur, sur le long terme tout en fixant une règle du jeu claire afin qu’ils puissent investir en toute sérénité. (..) Par ailleurs, la redistribution locale des revenus issus du secteur minier constitue une priorité dans le cadre de ce protocole d’accord. La création d’une base de données pour le programme WAVES de la Banque mondiale, ainsi que la gestion et la sécurisation foncière sont également prévues.
Navalona R. dans Midi Madagasikara
Un prêt portant une valeur de 11 millions USD en vue de financer un projet de réhabilitation de la 2e phase de la route nationale secondaire No 43 reliant Faratsiho et Sambaina. Avantages. Les travaux consistent notamment en la construction d’un tronçon de route d’une longueur de 50,50 km. « Ce financement est remboursable sur 30 ans moyennant un taux d’intérêt de l’ordre de 1 %. Par contre, ce taux d’intérêt ne sera pas payé pendant les cinq premières années »
Racl.R dans La Nation
Afin de diversifier ses rentrées d’argent, l’Etat malagasy s’associe avec des entreprises privées. Actuellement, selon les chiffres du Trésor public, il y a environ 54 sociétés dont l’Etat a investi aux côté des entreprises privés... « L’Etat Malgache éprouve de grandes difficultés à dissocier son rôle de puissance publique à celui d’actionnaire, son rôle de régulateur à celui de concurrent. En tant que puissance publique, il doit viser avant tout l’intérêt général au détriment de l’intérêt particulier. Or, en tant qu’actionnaire, son objectif principal est d’abord de veiller à la pérennité de l’entreprise, de faire fructifier ses placements, de sécuriser les emplois. La condition sine qua non pour cela est de faire en sorte que les entreprises concernées soient rentables »
Racl.R dans La Nation
Il a été indiqué dans le projet de loi de finances rectificative 2014, suivant la loi n°014/2014 du 25 juillet 2014 que les députés viennent de ratifier récemment que « les salariés qui touchent jusqu’à Ariary 250 000 de salaire devront s’acquitter de Ariary 2000 de taxe tandis que pour la tranche de salaire supérieure à Ariary 250 000, l’impôt sur les revenus est fixé à un taux de 20% ». Compte tenu de cette disposition, il semble que l’impôt sur les revenus salariaux et assimilés (IRSA) a été revu à la hausse.
Noella Rakoto dans Newsmada
Le taux d’électrification à Madagascar, notamment en zone rurale, demeure encore très faible. Effectivement, selon les données du ministère de l’Energie, ce taux s’élève à moins de 5% alors qu’au niveau des centres urbains, celui-ci est de 57%.
Reflet dans Newsmada
Problèmes d’irrigation, faiblesse des rendements, vulnérabilité de l'agriculture… ont conduit la société paysanne de la périphérie urbaine d'Antanarivo à chercher des solutions pour surmonter la crise. La briqueterie est l’une de ces solutions palliatives et les agriculteurs et artisans y ont recours volontiers. Les briquetiers saisissent toute opportunité pour combler les déficits de leurs revenus agricoles, et en même temps satisfaire les besoins en briques face à la prompte extension de la ville et ses périphéries. Toutefois, l’activité exerce une contrainte importante sur les rizières, laissées en friche par manque d'eaux ou inondées pendant la saison de pluies, sans parler de la surexploitation des lits des rivières Sisaony et Ikopa. Ainsi, la pratique de la briqueterie n'est pas sans risque quoi qu'elle soit plus rentable que la riziculture.
No comments:
Post a Comment