Mikama - Aug 5, 2014


Dans La Gazette de la Grande-Ile
Tsoa-kevitra 5 no nivoaka tamin’izany. Ny voalohany dia milaza fa “vitsy no manana petra-bola” satria tamin'ny 21,9% nohadihadiana dia ny 31,1%  eny an-tanan-dehibe ary 16,4% eny ambanivohitra. Mikasika ny fampiasam-bola indray 61,2% ny olon-dehibe no maka vola iray na roa isam-bolana ary 54,2% no maka ny vola rehetra isam-bolana. Nisy ihany koa ny fanontaniana napetraka momba ny antony tsy anokafan’ny fianakaviana kaonty. Ny 87,6% -n’ny olon-dehibe nanontaniana namely fa noho ny tsy fananany vola. Ny 53,6% kosa mitana ny volany any an-trano. Miteraka fahantrana ny findramam-bola, hoy kosa ny 24,9%-n’ireo nanontaniana.

Noella Rakoto dans Newsmada
L’atteinte de l’objectif de 400.000 touristes pour 2015, ou encore le million pour 2020 demande beaucoup d’efforts de la part des acteurs du secteur, d’une part, et d’autre part du ministère de tutelle.
Si l’on se réfère à la loi de finances rectificative (LFR), l’on peut constater effectivement que sur trois années successives, notamment depuis 2012, le budget du ministère du Tourisme a été revu à la hausse. De 3.469.187 milliers d’ariary en 2012, ce budget a d’abord été porté à 4.684.824 milliers d’ariary en 2013 pour plafonner à 7.231.131 milliers d’ariary dans la LFR  2014. (..) Faut-il rappeler que pour atteindre le million de touristes en 2020, 10 millions de dollars sont requis.

Noella Rakoto dans Newsmada
« Le projet de loi de Finances rectificative (LFR) 2014 est un bon début, notamment en ce qui concerne la fiscalité sur les investissements à entreprendre. Cependant, ces mesures sont encore insuffisantes pour lutter contre le secteur informel ». Par ailleurs, la LFR note que tous les produits finis importés sont taxés à 20%.
Cette disposition permet tout juste d’atténuer la concurrence déloyale qui règne déjà depuis trop longtemps. (..) La LFR stipule également que « Les entreprises qui investissent dans la production et la fourniture d’énergies renouvelables et celles relevant des secteurs touristique, industriel, bâtiments et travaux publics peuvent bénéficier d’une réduction d’impôt égale à l’impôt correspondant à 50% de l’investissement ainsi réalisé »

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
En terme de perspectives, la loi de finances rectificative prévoit une baisse, de moins de 2,6% pour les six derniers mois de l’année pour les exportations minières en général. La compagnie Ambatovy a, elle aussi, révisé ses prévisions. Au cours du premier trimestre, la prévision sur la production annuelle était entre 40 000 tonnes et 45 000 tonnes. Au second trimestre, elle a été finalement fixée à 37 000 tonnes (..) Pour l’État malgache, par ailleurs, la compagnie a payé plus de 30 millions de dollars de taxes, soit un écart de dix millions de plus qu’en 2012. Cette somme com­prend les taxes sur la masse salariale, les taxes d’enregistrement, les taxes sur la valeur ajoutée non remboursables, les taxes foncières, les frais d’administration de la mine, les droits de douane et autres paiements connexes.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Le minimum de perception en matière d’Impôt sur les revenus salariaux et assimilés (IRSA) pour tous salariés et ce, quel que soit le montant du revenu. Cette mesure inscrite dans le projet de loi des finances rectificative 2014 ne fera qu’éroder le pouvoir d’achat des salariés. (..)  Il faut d’ailleurs rappeler que les prix du carburant vont encore connaître une longue série de hausses. De quoi rogner encore un peu plus le pouvoir d’achat puisque l’inflation est prévue atteindre les 7% cette année, contre une prévision initiale de 6,2%. (..)  L’administration fiscale est obligée de faire 124,5 milliards Ar supplémentaires en termes de recettes cette année, contre 146,5 milliards Ar pour la douane. Les salariés sont parmi les contribuables qui vont trinquer pour étoffer la caisse de l’Etat. Il faut aussi signaler la retaxation à la TVA de 20% des poussins de 1 jour. C’est un coup dur pour les éleveurs de poulets de chair et de poules pondeuses. Cette mesure fera bondir les prix du poulet et des œufs. De quoi renchérir encore les prix de ces sources de protéines et d’accroître la malnutrition qui frappe pourtant la moitié des enfants de moins de 5 ans.

R.Edmond dans Midi Madagasikara
A Madagascar ce ne sont pas les produits spécifiques qui manquent. On peut notamment citer les épices comme les poivres et girofles de Madagascar ou encore les arts Zafimaniry. Il est en tout cas indéniable que la renommée du pays vient surtout de la richesse de son agriculture et de son climat, sans parler du savoir-faire de sa population. D’ailleurs, il est parfois fait référence à « Madagascar » pour valoriser les qualités d’un produit et le distinguer par rapport aux autres produits du même genre qui sont écoulés sur le marché et qui proviennent d’autres pays. D’où certaines appellations courantes comme vanille de Madagascar, poivre de Madagascar et autres. Une telle référence à l’origine géographique du produit est effectuée par l’apposition d’une indication géographique ou d’une appellation d’origine sur ledit produit.

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