Mikama - Mar 19, 2015

R.Edmond. dans Midi Madagasikara
D’après certaines recherches archéologiques, les relations entre Madagascar et l’Indonésie datent d’environ 2000 ans avant Jésus-Christ » (..) Mieux, les cultures indonésienne et malgache  sont très similaires, puisque outre les deux langues qui se rapprochent, le nouvel an malgache et celui des Indous indonésiens tombent à la même date. (..) En matière économique et commerciale, le volume des échanges commerciaux entre Madagascar et l’Indonésie se chiffre à 78,5 millions USD en 2013, dont 68 millions USD d’exportation indonésienne vers Madagascar et 10 millions USD d’exportation malgache vers l’Indonésie. Madagascar exporte essentiellement du girofle  et de l’huile essentielle vers l’Indonésie et importe des produits alimentaires et autres.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Elaborer une Politique nationale de développement des infrastructures et de l’équipement (PNDIE).(..) En effet, ce ministère [ministère d’Etat chargé des Projets présidentiels, de l’Aménagement du territoire et de l’Equipemen] à l’intitulé très ronflant ne dispose que d’un maigre budget d’investissement d’un peu plus de 44,3 milliards Ar pour 2015. Ce n’est rien comparé à celui des travaux publics (près de 222 milliards Ar), de l’agriculture (236,6 milliards Ar), de la santé (123 milliards Ar).. plus de 1 ménage sur 3 vivent dans une agglomération urbaine et près de la moitié de la population sera localisée en ville d’ici 2020, soit dans 5 ans !

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Car selon le seuil international de la pauvreté (moins de 2 dollars ou moins de 5 400 Ar de revenu par jour par personne), 9 Malagasy sur 10 sont pauvres. (..)  Pour l’heure, l’Etat malagasy doit encore trouver 9 236 milliards Ar ou plus de 3,8 milliards de dollars pour financer le PND jusqu’en 2019. Ce qui représente encore un fort taux dépassant les 26% du besoin total. (..) Mais si on se réfère à la stagnation du taux de pression fiscale sur la dernière décennie (10 à 11% du PIB par an contre 17% dans les pays subsahariens fragiles comme Madagascar), il ne faut pas trop compter sur une nette amélioration de la collecte de ces recettes. Quant aux recettes non fiscales, elles ont été toujours faibles.

Dans La Nation
Le projet ASA intervient dans plusieurs filières. Pour les filières maraîchage, poulet fermier et arboriculture fruitière, le projet va former et appuyer 4500 producteurs, et renforcera les capacités de 45 organisations de producteurs et appuiera la commercialisation des produits. Le projet envisage construire 50 bâtiments de stockage ainsi que 50 unités locales de transformation. Dans la filière pisciculture, le programme ASA entend former et accompagner 500 producteurs pour la pisciculture en rizière... Environ 72 000 ménages , soit 360 000 personnes, sont les bénéficiaires directs du programme à travers l’appui aux activités de culture maraichère, d’arboriculture fruitière, de production de poulet fermier, pisciculture, reboisement, charbon de bois et foyers améliorés, lait et sécurisation foncière, mais aussi toute la population malagasy à travers l’appui à la consolidation de la réforme foncière.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Recettes fiscales urbaines: Pas plus de 2 000 Ar par habitant par an !
Antananarivo et Toamasina regroupent plus de 80% de l’ensemble de la fiscalité locale dont l’Impôt foncier sur les propriétés bâties (IFPB) qui revient en totalité aux communes. Mais en termes de niveau de développement et sur la base des recettes par habitant, la majorité des villes ne dépasse pas 2 000 Ar par habitant selon le PND. (..)  En effet, le budget annuel de la commune urbaine d’Antananarivo est l’équivalent de 4 dollars par habitant, ou environ 10 800 Ar. (..) D’après l’enquête à haute fréquence par téléphone mobile de l’Institut national de la statistique (INSTAT), seuls 45,4% des ménages enquêtés en juillet et août 2014 ont déclaré avoir reçu une lettre les invitant à payer l’impôt qui vient en particulier des communes. Ce qui signifie que la grande majorité des ménages, soit 54,6% ne paient rien comme impôts locaux.

Léa Ratsiazo dans Tribune de Madagascar
Les marchés fictifs et les surfacturations ont fait perdre à la caisse de l’Etat au moins 1,2 milliards d’Ar en 2014 selon le premier responsable du SAMIFIN (Sampan-draharaha Malagasy Iadiana amin’ny Famotsiambola, la structure chargée des renseignements financiers et de la lutte contre le blanchiment d’argent), Jean Claude Razaraniaina.

Thomas Brookes dans Data Guidance
Razandrakoto told DataGuidance, "The Law was inspired by the European Data Protection Directive (95/46/EC) and experiences of francophone countries which are members of the Association of Francophone Personal Data Protection Authorities (AFAPDP). The Madagascan Government hopes that the passage of the Law will benefit the economy and modernisation of the countries. In particular, the Law should assist in the development of the Information Technology sector, encourage the development of new businesses and attract foreign firms to the country."

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