Mikama - Oct 28, 2014

Dimisoa dans Newsmada
Parmi les modes de transport, celui du fluvial est sans doute le moins connu. Ainsi, pour améliorer ce secteur, le ministère des Transports et de la météorologie et l’Agence portuaire maritime et fluviale (APMF) projettent pour la réhabilitation des infrastructures d’appontement, la vulgarisation et la mise en application des textes en vigueur, la promotion du partenariat public privé dans la gestion des infrastructures et les investissements relatifs aux infrastructures portuaires (..) Il est à noter que des textes sont en vigueur pour régir le transport fluvial, comme l’arrêté n° 6020 du 17 octobre 1990 fixant les conditions requises pour l’admission à naviguer sur les voies navigables, la loi n° 90-005 du 18 juin 1990 relative au code des voies navigables et de la navigation intérieure, etc.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Notons que l’agriculture familiale est une forme d’organisation de la production agricole caractérisée par des liens qui unissent la famille et l’unité de production avec un recours au travail familial. Le capital de production et le patrimoine familial y sont confondus. A Madagascar, « ce modèle familial prédomine et constitue même la base de l’économie nationale. Ce sont notamment des petits agriculteurs qui exploitent une superficie économique de moins de 1,5ha pour effectuer une pluralité d’activités incluant l’agriculture sans une spéculation spécifique, l’élevage, la pêche, l’artisanat. A part l’auto-consommation, ils commercialisent une partie de leur production même s’ils n’enregistrent aucun surplus. Et paradoxalement, ces petits agriculteurs sont très vulnérables », a exposé le Dr Jacqueline Rakotoarisoa, le directeur scientifique du FOFIF

Racl.R dans La Nation
10 millions de dollars par jour de transactions. Qui aurait-cru qu’une telle somme circulait chaque jour à Madagascar ?
Il y a en effet 10 millions de dollars en termes de transactions financières à travers le mobile banking. (..) D’après l’explication d’un haut responsable d’un opérateur téléphonique à Madagascar, ces 10 millions de dollars qui circulent à Madagascar proviennent de l’ « argent qui entre dans le système, l’envoi de l’argent de part et d’autre en B to B, les paiements des commerçants. En gros, c’est l’ensemble des volumes financiers, quelque soit son usage. J’envoie de l’argent à quelqu’un, je paie un fournisseur, je récupère de l’argent, je verse de l’argent dans le système ».

Mahefa Rakotomalala  dans L'Express de Madagascar
Parmi les points abordés figurent la suspension du montant forfaitaire de 2000 ariary d’import sur les revenus salariaux pour la tranche salariale de moins de 250 000 ariary. D’après les analyses, « cette mesure aurait pu ap­porter la contribution la plus importante de recette fiscale additionnelle ». En clair, il faudra donc s’attendre à ce que les objectifs en termes de recettes fiscales ne soient pas atteints à la fin de l’année. (..) Dans la loi de finances rectificatives, le département d’Armand Tazafy doit trouver 124,5 milliards ariary en plus pour financer les dépenses de l’État. 

R.V. dans La Gazette de la Grande-Ile
60% de la population d’Antananarivo sont des chômeurs. Autrement dit, des personnes n’ayant pas de travail. Cette situation ne concerne non seulement la région Analamanga, mais également, les régions Bongolava  et Itasy. En fait, dans ces régions, le taux de chômage est très élevé. Et pour subvenir à leurs besoins, la plupart d’entre eux se versent dans l’informel, comme le commerce. Selon la statistique de la direction du Travail, 90% des personnes s’intéressent et exercent dans le secteur  commerce.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Les paysans de la région Alaotra-Mangoro commencent à se lancer dans la production d’alevins de carpe royale. Un poisson de cette espèce peut atteindre 500 g en seulement 4 mois dans une rizière. Cette année, une commande de 100 000 alevins a été reçue par les producteurs.

Racl.R dans La Nation
En effet, par exemple en Chine, ces bêtes pèsent autour de 60 à 70 kilos alors qu’à Madagascar, leur poids ne dépasse guère les 30 ou 50 kilos. D’après la FAO, l’insuffisance de l’adoption des techniques d’élevage, la dégénérescence des races, la difficulté d’accéder aux moyens de production, le faible pouvoir d’achat des ménages et le manque d’infrastructure limitent le développement des exploitations agricoles. D’après un « newsletter » de la FAO, Madagascar dispose d’environ deux millions de têtes d’ovins et de caprins et bien qu’un grand nombre de ménages pratique l’élevage de petits ruminants, celui-ci reste un système d’exploitation extensif, traditionnel.

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