Mikama - Oct 17, 2014

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
D’après lui [Rivo Rakotondrasanjy, secrétaire général de la Fédération du patronat malgache (Fivmpama)], selon les derniers chiffres de la Direction générale des impôts, il existe 173 000 entreprises formelles à Madagascar. Près de 3 000 sont dans le secteur primaire, 10 000 dans le secondaire et le reste dans le service. Par ailleurs, selon un autre chiffre de l’Institut national de la statistique (Instat), il existe plus de 2 282 000 entreprises qui opèrent dans le secteur informel, dont près de 800 000 micro-industries.

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Elle [l’Organisation Internationale de la Migration (OIM)] apporte un appui financier de 1 159 620 000 ariary de la part du gouvernement américain, et 251 000 000 d’ariary de sa part, pour contribuer à la lutte contre la traite des personnes. Les deux camps affirment qu’il ne s’agit pas nécessairement de freiner la migration des personnes, mais de réguler le processus pour les protéger, pour que les pays de départ en tirent bénéfice par la contribution de la diaspora au Produit Intérieur Brut, à travers les transferts qu’elle effectue.

Georges R. dans Newsmada
Selon les informations recueillies, c’est surtout dans le secteur Bâtiment et travaux publics (BTP) qu’on retrouve le respect des normes à Madagascar.
« La plupart des entreprises dans le secteur BTP importent de moins en moins de matériaux de construction, vu que les normes sont de plus en plus respectées », a martelé Séraphin Razafimahafaly devant la presse, mardi dernier. Néanmoins, le suivi des normes coûte cher aux entreprises. D’après un expert malgache dans ce domaine, la certification Iso coûte près de 10 000 euros, soit à peu près 32 millions d’ariary à une entreprise. C’est pour cette raison que la plupart des entreprises locales ne se lancent pas dans la certification Iso.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
L’objectif de ce forum [Forum économique de la francophonie (FEF)] est d’impulser une action collective autour du potentiel économique des pays francophones riches de ses 720 millions d’habitants et ses 7 200 milliards US$ de PIB générés par 57 Etats membres répartis sur les 5 continents. Bref, il y a de quoi à exploiter sur le plan économique.

Miarimbola dans Newsmada
Selon les explications, les discussions ont porté sur le « dina » qui touche le vol de bovidés, le trafic illicite de vanille et de girofle, ainsi que le pillage des richesses nationales et, comme l’a avancé le premier ministre, « la lutte contre l’insécurité est l’affaire de tout le monde », les villageois ont décidé de donner un coup de main aux éléments des forces de l’ordre dans l’éradication de ces mauvaises pratiques en acceptant d’appliquer, mais avec les conditions du ministère de la Justice, le « dina ». Dans ce cadre les sanctions ont davantage trait à des dédommagements plutôt qu’à des violences physiques, voire la mise à mort, qui ne respectent pas les droits de l’homme.

Arh. dans Newsmada
Cependant, expédier des marchandises à l’éxtérieur relève d’un véritable parcours du combattant pour les exportateurs malgaches. Une étude effectuée par l’ITC en 2013 a démontré que les barrières non-tarifaires entravent les échanges commerciaux surtout au niveau des PME qui représentent 80% du secteur privé. De plus, cette étude a montré qu’il existe 37 points de contact avant que l’on puisse faire sortir un produit du pays... améliorer l’offre de Madagascar sur les marchés extérieurs contribue à accroître la réserve en devises. D’où l’idée de la mise en place d’un guichet unique à l’exportation dont l’atelier national de validation s’est également tenu hier.

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