Racl.R dans La Nation
Des économistes comme Jean-Jacques Ratsietison a souligné, dans une lettre ouverte au président de la République actuel il y a des mois de cela, qu’avec une dévaluation de la monnaie de 100%, le pouvoir d’achat des 22 millions de Malgaches, est immédiatement amputé d’au moins 50%. Si on procède à une autre dévaluation de 100%, le pouvoir d’achat résiduel de 50% se réduira à nouveau de moitié, et il en restera donc 25%. (..) Cet économiste a fortement suscité qu’il est désormais temps de clamer haut et fort que la dévaluation directe ou sous ses autres formes, flottement ou MID est un véritable instrument de mort.
Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
«L’application des normes est une démarche facultative et lorsqu’elle devient volontaire, celles-ci deviennent des règlementations ou des règlementations techniques. Pour l’heure, moins de 0,5% des Malgaches connaissent le système normatif », explique Séraphin Razafimahaly, directeur général du BNM [Bureau des Normes de Madagascar]. (..) Selon les explications de José Rakotomanjaka, directeur général de Qeim, ce sont surtout les entreprises du secteur de la construction qui font de la certification. Ceux qui exportent des produits agricoles également, comme le litchi, procèdent à la mise aux normes de leurs produits à cause des exigences des marchés destinataires des produits. Par contre, le recours à la normalisation reste très faible dans le secteur industriel, à cause du manque d’informations, mais aussi et surtout le problème de coût trop élevé d’un processus de mise aux normes. Il existe plusieurs normes internationales. Nous avons par exemple les normes de santé, sécurité et environnement, la fameuse HSE.
Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
La
santé des enfants menacée. Le service de vaccination auprès du
ministère de la Santé publique recense au mois d’août, cent douze mille
cinq cent quarante-et-un enfants non-vaccinés sur cinq cent
soixante-huit mille six cent soixante dix enfants de moins d’un an.
Alors que tous les ans, le ministère de la Santé publique et ses
partenaires s’investissent pour deux campagnes de vaccination gratuite.
Manitrisa dans Midi Madagasikara
Le
sel gemme commence à faire sur le marché local en 2007. D’après le
comptoir régional du sel de Toliara, seulement 130 tonnes de sel gemme
sont exploitées annuellement. Et ce, avec des moyens de production
artisanaux. Du coup, la production est essentiellement destinée au
marché local. Le prix d’un kilo de sel gemme est 5 fois supérieur à
celui du sel marin. Selon des médecins, le sel gemme ne se mélange pas
aussi facilement dans les aliments, et dispose d’une vertu curative qui
améliore le système immunitaire.
Navalona R. dans Midi Madagasikara
« Raison pour laquelle, nous avons lancé le développement inclusif qui consiste à impliquer tous les acteurs concernés. Et pour pérenniser le système, il faut que chacun trouve un intérêt. A titre d’illustration, les producteurs peuvent être intégrés dans le circuit de commercialisation de leurs récoltes et les agents de l’administration seront primés quand l’objectif sera atteint. Il s’agit notamment de l’amélioration de la production pour être compétitive tant sur le marché national qu’international. Par contre, les opérateurs se verront augmenter leur chiffre d’affaires », a expliqué Faly Rasamimanana, le directeur général de la société Faly Export, l’initiateur de ce projet pilote. « Pour un bon fonctionnement de ce système inclusif, la constitution d’un fonds commun est de mise », a-t-il rajouté.
Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Le ministère de l’Éducation nationale réussira-t-il son pari de réinsérer et d’insérer un demi-million d’enfants à l’école, cette rentrée scolaire Les chiffres provisoires, émanant de sa direction de l’éducation préscolaire et de l’alphabétisation (DEPA), sont encore loin de cet objectif. Pour le moment, vingt-neuf mille sept cent trente-sept enfants déscolarisés suivent des cours de remise à niveau, dans huit directions régionales de l’éducation nationale (DREN). (..) La dernière étude sur la déscolarisation, réalisée en 2011-2012 indique que six cent quatre-vingt quatre mille enfants ont été déscolarisés, nombre supérieur par rapport aux cinq cent mille enfants, cibles de la réinsertion et d’insertion scolaire confondues
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