Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Des collèges agricoles seront implantés dans différentes régions pour améliorer les acquis des producteurs. «A Madagascar, on a souvent l’habitude d’envoyer les enfants aux champs après avoir raté le CEPE. Ces derniers ne maîtrisent pourtant pas les techniques ce qui empêche un développement effectif de leurs activités. La mise en place des collèges est une des solutions préconisées pour les rendre professionnels», a avancé Mamy Rajaonesa, responsable auprès du Fifata (Fikambanana Fampivoarana ny Tantsaha.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Le projet de loi devant régir la remise en état, la gestion, l’entretien, la préservation et la police des réseaux hydro-agricoles a été adopté en conseil de gouvernement le 14 octobre dernier. Selon le ministère de l’Agriculture et du Développement rural, ce projet de loi vise à lever les nombreuses entraves à la bonne gestion de l’eau, au bon entretien des infrastructures hydro-agricoles et à l’efficacité de la police des réseaux. Rappelons que le désengagement de l’Etat des secteurs productifs sous les programmes d’ajustement structurel des années 90 a obligé les usagers de l’eau à prendre en charge l’entretien de ces infrastructures. (..) Notons que les infrastructures hydro-agricoles reviennent très chères en investissement. Prenons l’exemple du grand barrage d’Andapa pour 35 milliards Ar et qui irrigue 10 000 ha.
Navalona R. dans Midi Madagasikara
L’Institut Malgache d’Innovations (IMI) et le Holding de Développement d’Industries Innovantes (HDI) travaillent en partenariat pour mettre en œuvre un projet de création d’usines de transformation de micro-algues, et ce, avec l’appui du ministère de l’Industrie.
Il s’agit d’un projet de transplantation des algues marines en vue d’une multiplication rapide dans une usine spécialisée avant de transformer les micro-algues sous forme de produits pâteux. (..) 3,5 milliards d’Euros. Les promoteurs du projet ont déjà identifié un site totalisant à 100ha dans les régions de Diégo et de Toliara pour implanter l’usine.
Had'Nah dans La Nation
Maladie de la cécité. 17.000 personnes sont concernées. (..) Pour la scolarisation des personnes aveugles, il n’y a pas encore d’établissement qui priorise et qui prend soin de leur situation à Madagascar. Ces écoles [primaires] sont au nombre de trois seulement dont une à Antsirabe, une à Fianarantsoa et une à Itaosy
Noro Niaina dans Newsmada
En fait, la malnutrition chronique s’installe au cours de la grossesse jusqu’à l’âge de deux ans chez l’enfant. C’est aussi la fenêtre d’opportunité des 1.000 premiers jours de l’enfant où le retard de développement causé par une nutrition et santé adéquate peut être prévenu. D’où l’idée de développer une approche intégrée et multisectorielle combinant les interventions en matière de santé maternelle et de nutrition, qu’est le projet Miaro, mis en œuvre conjointement par le Pam, le fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), l’Office national de nutrition (ONN) et le ministère de la Santé.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Les bases de données anglophones comptent des millions d’articles de notoriété internationale. Quant aux francophones, elles contiennent aussi des informations fiables et ciblées suivant les besoins des utilisateurs. Pour les universités numériques thématiques, des ressources par thème sont d’accès gratuit. Le CIDST fournit aux participants les liens pour en faciliter l’accès. Concernant les documents brevets, on n’a pas tellement l’habitude de les utiliser à Madagascar. Le directeur du Centre souligne toutefois : « Ces documents permettent d’entrer en contact avec des inventeurs et d’obtenir des informations fraîches. En effet, il peut se passer 50 ans entre le dépôt d’un brevet et la sortie d’un ouvrage correspondant ». Parmi les bases de données présentées à la faculté des sciences, on peut citer l’ARDI axée sur le développement et l’innovation. Elle est riche de 1 000 titres de revues en texte intégral et de plus de 7 000 livres.
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