Mikama - February 26. 2014

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
L’accès à l’eau potable dans la capitale est de 60%, selon Olga Rasamimanana, vice-PDS de la commune urbaine d’Antananarivo. (..) La capitale ne compte pourtant que 1 000 bornes-fontaines. Si elle veut se conformer à la norme de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), soit 1 borne-fontaine pour 500 habitants, il faudra compter 3 000 bornes-fontaines, d’après la vice-PDS. (..) Avec une croissance démographique de 3% par an et dépassant la moyenne nationale (2,8% par an), la situation n’ira pas en s’améliorant. (..) La capitale à elle seule génère environ la moitié des richesses créées dans le pays. Ce chiffre atteint près des 3/4 du PIB si on y inclut tous les centres urbains du pays. Mais si les urbains manquent d’eau potable et d’autres services de qualité dans des  secteurs comme l’éducation, le transport, le pays verra à terme sa croissance bloquée.

Anjara Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
En 2003, le nombre d’enfants inscrits et allant à l’école primaire a été de 3,4 millions, et les efforts ont permis d’augmenter ce chiffre à 4,3 millions en 2009 – 2010. (..)
A un peu plus d’une année de la date butoir fixée pour 2015, le taux net de scolarisation dans le primaire est de 69,4% et le taux d’achèvement du primaire est de 68,8%. De même, le taux de fréquentation du primaire est passé de 118% en 2010 à 108% en 2012, et le taux brut de fréquentation de 73,4% en 2010 à 69,4% en 2012.

Fahranarison dans Newsmada
...  les récentes études entreprises par l’Instat dans le cadre du suivi des objectifs du millénaire pour le développement (OMD), présentées officiellement avant-hier indiquent que 30% des femmes enquêtées subissent au moins l’une des quatre formes de violence (physique, sexuel, économique, psychologique). (..) En outre, 24% subissent des violences économiques, 19% des violences psychologique et émotionnelle, et 7% des violences sexuelles.

Racl.R dans La Nation
Madagascar a signé l’accord concernant une zone de libre échange au sein des marchés régionaux comme le COMESA, or ces marchés ne sont pas suffisamment exploités selon les professionnels dans le domaine du commerce international. L’International Trade Board of Madagascar souligne que les flux commerciaux au sein du marché du COMESA ne représentent que 3% pour Madagascar.

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