Mikama - February 12, 2014

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Mais en attendant d’y voir un peu plus clair, et selon  les analyses de la COMMISSION DE SUPERVISION BANCAIRE ET FINANCIERE  relatives à l’évolution du secteur de la microfinance , il s’avère que les résultats dans le secteur, sont mitigés. La filière  qui compte dix sept institutions de microfinance (IMF) de niveaux 2 et 3 en activité, a évolué comme suit sur les neufs premiers mois de 2013.
A l’actif, les crédits nets à la clientèle ont augmenté de 47,0 milliards d’ariary depuis le début d’année et se chiffrent à 235,9 milliards. En ressources, les dépôts de la clientèle ont enregistré une hausse de 28,3 milliards d’ariary (+19,2%) et s’établissent à 175,6 milliards contre 147,3 milliards en décembre 2012. Cette évolution est expliquée par les dépôts à vue (DAV) des sociétaires et par les dépôts à terme (DAT) des institutionnels. Les emprunts à terme se sont accrus de 12,0 milliards d’ariary et totalisent 60,9 milliards à fin septembre 2013. La trésorerie nette du secteur, positive de 58,1 milliards d’ariary, a diminué de 7,4 milliards (-11,3%) par rapport à la situation à fin 2012. Le secteur de la microfinance affiche un résultat net intermédiaire positif de 4,9 milliards d’ariary à la fin du troisième trimestre 2013 contre un bénéfice de 6,3 milliards un an auparavant, soit une contraction de 1,3 milliard. L’autosuffisance opérationnelle du secteur s’établit à 110,7%, indicateur en recul de 5,4 points par rapport à la réalisation de l’exercice précédent. La masse bilancielle du secteur est marquée par une hausse de 51,5 milliards d’ariary (+16,5%) pour se situer à 364,5 milliards.

Anjara Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
Le lancement officiel du nouveau projet de Genderlinks, « Femmes et élections communales », financé par l’Union européenne à hauteur de 227 000 euros soit près de 673 000 000 ar, s’est tenu hier à l’Hôtel Colbert, en présence du représentant du chef de la délégation de l’Union européenne et des premiers responsables auprès de Genderlinks, en l’occurrence Ialfine Papisy.



Racl.R dans La Nation
Dans sa phase de redressement après une longue crise, Madagascar pourrait afficher une bonne performance économique si les efforts sont axés sur la promotion de la production nationale. Ceci implique la création d’emplois pour les chômeurs diplômés, comme l’a bien expliqué Jimmy Lorretah Harisoa Nirina, économiste et membre du Centre de réflexion des économistes de Madagascar (CREM). Une interview qu’elle nous a accordée, explique l’importance de la production nationale pour une création d’emplois soutenue.

Racl.R dans La Nation
L'Union européenne a décidé de continuer à soutenir la région en approuvant une seconde Phase du programme SmartFish pour une période supplémentaire de 3 ans et demi avec un soutien financier de 16 millions d'euros. Ce montant alloué à la deuxième phase vient de s'ajouter aux 21 millions d'euros de la première phase, soit un total de 37 millions d'euros en appui au secteur de la pêche dans cette grande région et à travers un partenariat de longue date qui existe entre l'Union européenne et la Commission de l'Océan indien.

Noro Niaina dans Newsmada
Ampasindava-Galoko Kalobinono est la dernière née des aires protégées qui ont surpris les scientifiques. Ce site renferme de nouvelles espèces faunistiques et floristiques, soit au total 1.318 espèces de plantes qui se répartissent dans 159 familles avec identification de 10 nouvelles espèces dans la science. Elle contient 711 espèces endémiques de Madagascar dont 55 espèces endémiques régionales et 20 espèces rencontrées seulement dans la nouvelle aire protégée. 100 espèces menacées sont également recensées et 51 espèces incluses dans l’annexe II et III de la convention internationale de la commercialisation des espèces (Cites).

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