Mikama - February 3, 2014

Fanjanarivo dans La gfazette de la Grande-Ile
A Madagascar, le budget public consacre tous les ans et depuis 2010 moins de 3% pour les secteurs agricoles dont l’agriculture proprement dite, l’élevage, la pêche, les forêts. Auparavant, cette part a été de 11%. Mais il faut souligner qu’avant 2009, 75% du financement du développement rural étaient assurés par les bailleurs de fonds.

Riana dans Madagascar Matin
Depuis les 41 années de signature de la convention sur les zones humides, Madagascar possède 7 sites de zones humides d’importance internationale, apprend-on d’un communiqué publié par la Conservation International. Ces sites concernent le lac Tsimanampetsotsa-Betioky (une superficie de 45 604 ha au sud), le complexe des 4 lacs de Manambolomaty-Antsalova (7 491 ha dans l’ouest), le lac Alaotra- Ambatondrazaka (722 500 ha à l’Est), le marais de Torotorofotsy-Andasibe (9 993 ha, également dans l’Est), le parc privé de Tsarasaotra à Soavimasoandro (27 ha, dans le centre ville d’Antananarivo), le lac Bedo-Belo/Tsiribihina (1 962 ha, dans le sud) et la rivière de Nosivolo-Marolambo (358 511 ha située dans l’Est). Rappelons-le, Madagascar a ratifié la Convention de Ramsar le 19 février 1998.

Fanjanarivo dans La gfazette de la Grande-Ile
Selon une étude de la Banque mondiale réalisée dans les années 2000 pourtant, si le pays respecte le Code des marchés publics, il peut faire jusqu’à 25% d’économies.
De quoi financer d’autres projets de développement. A l’époque, on reprochait au pays de passer trop de marchés sous le mode du gré à gré. Ce qui n’encourageait pas la concurrence et n’aidait pas à dépenser les deniers publics d’une manière efficace et efficiente. En 2007, les marchés supérieurs aux seuils et donc sujets aux contrôles, ont été de 17% des montants totaux alloués aux marchés publics. Ce taux a été ramené à près de 12% l’année suivante. Mais il a grimpé en 2009 pour se situer à près de 20%, contre 1% en 2010. Les marchés de gré à gré ont augmenté en 2012 pour totaliser plus de 16% des montants totaux. Et en 2013, le taux a culminé à 20,5%.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Bref, en 2009, l’ensemble des ressources du FER atteignait 100,622 milliards d’Ariary. En 2013, il ne restait que 33,9 milliards d’Ariary. Chaque année, les recettes émanant du RER sont en baisse. En 2009, elles étaient à 75,735 milliards d’Ariary, contre 68,023 milliards d’Ariary en 2010 ; puis 57,630 milliards d’Ariary en 2011 ; ensuite 15,239 milliards d’Ariary en 2012 ; et enfin 33,376 milliards d’Ariary en 2013.  En effet, avec l’état actuel des routes qui sont en permanentes dégradations, il faut croire que les ressources du RER qui souffrent d’un problème de recouvrement n’arrivent plus à financer les besoins en entretien.

Arh. dans NewsMada
Durant la campagne 2012, les producteurs de cette région [Vakinankaratra] vendaient encore leurs marchandises entre 300 et 500 ariary le kilo, aujourd’hui son cours fluctue seulement entre 50 et 100 ariary. (..) « Nous ne pouvions plus transporter nos produits à Antsirabe car les frais de transport des camions, seul moyen pour évacuer nos récoltes, sont très élevés », témoigne un cultivateur de cette région. A lui seul, le Vakinankaratra arrive à produire plus de 30 000 tonnes de pomme en une année et exploite plus d’une dizaine de variétés.

Noella Rakoto dans NewsMada
Les fonds, sous forme de bons du Trésor par adjudication, empruntés par l’Etat auprès de la BOA Madagascar s’élèvent jusqu’à maintenant à environ 254 milliards d’ariary. (..) Par ailleurs, le constat montre que, depuis quelques temps, 32% des crédits aux investissements à long terme ont été rachetés. Avec davantage de visibilité, les opérateurs sont plus confiants dans l’avenir. Par ailleurs, les crédits aux particuliers ont atteint les 794 milliards d’ariary.

Dans NewsMada
Reflets...Ravitaillement des marchés de Tanà : un parcours jonché d’obstacles
En réalité, ce sont pratiquement toutes les brèdes, mais aussi les navets, les carottes, les concombres, les artichauts, les choux fleurs, les tomates, les petits pois, les poireaux, les salades… bref tous les légumes que l’on retrouve au petit matin aux principaux points de ralliement à Namontana, Anosibe et Isotry au marché de la « Petite Vitesse ». (..) Ils sont plus d’une centaine de familles à réaliser chaque jour le même déplacement. Les lieux de récoltes se trouvent majoritairement à Ankadivoribe, Ambohimiadana, Ambatofotsy, du côté de Namontana, tandis que les vendeurs viennent d’Andranoro-Antehiroka mais aussi d’Ambohitrimanjaka au bord de la rue de la « Petite Vitesse ». Anosibe est le lieu de vente et de déchargement des vendeurs d’Anjeva.

Racl.R dans La Nation
Agro-industrie. Une menace pour l’agriculture familiale. La plupart des nouveaux investisseurs à Madagascar sont en effet des entreprises qui pratiquent l’agro-industrie, souvent mécanisée, sur de vastes surfaces, souligne le Collectif TANY, organisme qui lutte contre les accaparements de terres. Ces entreprises utilisent peu de main-d’œuvre et gèrent l’agriculture en termes de rentabilité et profit maximum, le plus souvent aux dépens de l’environnement et des communautés locales qui vivaient sur les terres ainsi accaparées.

Farhanarison dans NewsMada
Antananarivo : 60% des constructions sont hors normes. La construction illicite prend de l’ampleur ! Ce fait, conjugué au rétrécissement des terrains à bâtir, ne fait que multiplier le nombre de bâtiments construits hors normes. Les outils de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire opérationnel (Code de l’urbanisme, permis de construire, PUDi, PUDé, PSU, SSU, SAC, … ne servent-ils à rien ?

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